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7 juin 2025
L’APR VA PROCÉDER À L’INVESTITURE D’AMADOU BA, JEUDI
L’Alliance pour la République (APR), le parti politique de Macky Sall, annonce vouloir procéder à l’investiture d’Amadou Ba, son candidat à l’élection présidentielle du 25 février prochain, jeudi à 15 heures
Dakar, 18 déc (APS) – L’Alliance pour la République (APR), le parti politique de Macky Sall, annonce vouloir procéder à l’investiture d’Amadou Ba, son candidat à l’élection présidentielle du 25 février prochain, jeudi à 15 heures, au King Fahd Palace de Dakar.
L’investiture du candidat de l’APR et de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) aura lieu ‘’conformément aux dispositions statutaires du parti’’, l’APR, selon un communiqué du secrétariat exécutif national de cette formation politique.
‘’Cette haute instance présidée par […] Macky Sall procédera, dans les formes prévues par les statuts et le règlement intérieur, à l’investiture du candidat du parti, le Premier ministre, Amadou Ba’’, affirme la même source.
Elle tient à rappeler que M. Ba est le ‘’candidat unique’’ de BBY à l’élection présidentielle.
‘’Le secrétariat exécutif national appelle tous [ses] membres’’, ainsi que ‘’les responsables, les militants et les sympathisants à se mobiliser pour la parfaite réussite de ce conseil national, qui constitue une étape importante dans la vie de notre parti et notre marche vers la grande victoire au soir du 25 février 2024’’, ajoute le communiqué.
LA MIGRATION IRRÉGULIÈRE A FAIT PLUS DE 60.000 MORTS ENTRE 2014 ET 2023
‘’Le nombre de morts causés par la migration irrégulière est probablement sous-estimé. De 2014 à maintenant, plus de 60.000 vies ont été perdues lors des migrations irrégulières, dont plus de 22.000 vies sur la route de la Méditerranée centrale’’
Dakar, 18 déc (APS) – La migration irrégulière a fait plus de 60.000 morts dans le monde entre 2014 et 2023, a déclaré, lundi, à Dakar, le directeur régional de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, Christopher Gascon.
‘’Le nombre de morts causés par la migration irrégulière est probablement sous-estimé. De 2014 à maintenant, plus de 60.000 vies ont été perdues lors des migrations irrégulières, dont plus de 22.000 vies sur la route de la Méditerranée centrale’’, a dit M. Gascon à l’occasion de la célébration de la Journée internationale des migrants.
‘’Le désert du Sahara représente un terrain inhospitalier, où la mort frappe très souvent, avec plus de 2.000 vies perdues depuis 2014’’, a-t-il déclaré.
Christopher Gascon ajoute que ‘’depuis 2014, plus de 2.000 vies ont également été perdues sur les routes de l’Atlantique, principalement à cause des naufrages’’.
‘’Ces statistiques […] mettent en lumière la nécessité d’une action collective’’ contre la migration irrégulière, a souligné le directeur régional de l’OIM pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre, parlant de ‘’familles brisées’’ à cause de ces nombreuses morts.
‘’Ces chiffres soulignent l’urgence de renforcer les mesures pour protéger la vie de ceux qui entreprennent ces voyages périlleux’’, a-t-il ajouté.
Christopher Gascon fait part de ‘’l’engagement de l’OIM en faveur d’une migration sûre, ordonnée et régulière’’.
FASS MBAO, QUATRE INDIVIDUS EN GARDE À VUE POUR TRAFIC INTERNATIONAL DE COCAÏNE
Après près de six tonnes de cocaïne saisies, en moins d’un mois, au large de Dakar par la Marine nationale, la Police a également mis la main sur huit kilogrammes de ce même produit prohibé, le 30 novembre dernier
Après près de six tonnes de cocaïne saisies, en moins d’un mois, au large de Dakar par la Marine nationale, la Police a également mis la main sur huit kilogrammes de ce même produit prohibé, le 30 novembre dernier, à Fass Mbao. Selon le Bureau des relations publiques (Brp), l’opération est réussie par la Division opérationnelle de l’Office central de repression du trafic illicite de stupéfiants (Ocrtis), qui est également parvenue à mettre aux arrêts quatre individus, dont 2 Sénégalais et 2 de nationalités étrangère.
Ils sont tous placés en position de garde à vue pour :association de malfaiteurs et trafic international de cocaïne en groupe criminel organisé et blanchiment de capitaux », selon la même source.
Revenant sur les faits, celle-ci renseigne que le demantellement de ce réseau dont les ramifications s’étendent à d’autres pays de la sous-region, d’Europe et d’Asie, fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel portant sur la livraison de paquets suspects dans une balle de friperie, mettant en cause deux compatriotes établis dans la banlieue dakaroise.
Poursuivant, les diligences entreprises ont permis de mettre la main sur l’une des parties impliquées dans cette transaction, puis sur deux individus de nationalités étrangères dépéchés à Dakar pour dérouler la manoeuvre au profit d’une organisation mafieuse étrangère, ainsi qu’un autre sénégalais, rapporte le Brp de la Police. Il ajoute que deux autres individus de nationalité sénégalaise, un homme agé d’une quarantaine d’années, répondant au nom de Abdou Diagne et une femme trentenaire, dénommée Mama, sans autres précisions, tous domiciliés à Grand Dakar, ont réussi à prendre.
La Police nationale entend poursuivre les recherches et invite ainsi la population à collaborer avec les enquêteurs.
PERTURBATIONS SUR LES VOLS, AIR SÉNÉGAL PRÉVOIT UN RETOUR À LA NORMALE LE MARDI A 12H GMT
En raison d’une contrainte opérationnelle sur l’un de nos A319, et pour garantir la sécurité de nos passagers qui reste notre priorité, certains vols sur le réseau Air Sénégal ont subi des perturbations ayant entrainé des retards importants
iGFM - (Dakar) En raison d’une contrainte opérationnelle sur l’un de nos A319, et pour garantir la sécurité de nos passagers qui reste notre priorité, certains vols sur le réseau Air Sénégal ont subi des perturbations ayant entrainé des retards importants sur le programme annoncé.
"Conformément à notre politique client en cas d’irrégularités, tous les passagers ont été pris en charge et acheminés dans les délais réglementaires."
Air Sénégal prévoit un retour à la normale le mardi 19 décembre à 12h GMT.
"Air Sénégal regrette le désagrément subi par les passagers concernés et met en œuvre les moyens nécessaires pour minimiser l’impact de ces perturbations."
"Air Sénégal présente ses excuses à ses clients impactés et invite à prendre contact avec son service client au + 221 301 15 15 15 pour toute information complémentaire."
SUPPOSÉS FONDS REÇUS PAR SONKO, SEYDOU GUEYE POUR L’OUVERTURE D’UNE ENQUÊTE JUDICIAIRE
Invité à l’émission La Parole sur M7Tv, le ministre, ancien porte-parole du gouvernement, estime que la lumière doit être faite sur cette affaire.
Le débat sur les supposés fonds occultes reçus par Ousmane Sonko a fait réagir Seydou Guèye. Invité à l’émission La Parole sur M7Tv, le ministre, ancien porte-parole du gouvernement, estime que la lumière doit être faite sur cette affaire. «Sur le financement des partis politiques, c’est un vieux serpent de mer. L’ancien président Abdou Diouf y avait pensé, Me Wade idem, et tôt ou tard, on arrivera à ça. On doit régler ce problème de financement des partis politiques dès maintenant. On doit tirer toute la lumière sur ces accusations de financements occultes», déclare le responsable de l’Apr à Médina.
Mieux, Seydou Guèye trouve qu’il faut qu’on réfléchisse même sur le plafonnement des dépenses de campagne. Pour lui, il est temps de limiter ces ressources financières, parce qu’il y a beaucoup d’argent qui est dépensé pendant ces campagne électorales. «Nous avons une responsabilité de clarifier entre l’argent et la politique. Il faut qu’on clarifie ça, sinon on risque de mener ce pays vers une voie non souhaitable. C’est un intérêt pour notre démocratie», assure Seydou Guèye.
S’agissant du recours que l’Etat compte introduire sur le dossier de la réintégration de Ousmane Sonko sur les listes électorales, l’ex porte-parole du gouvernement indique que ce n’est ni un acharnement ni une volonté du pouvoir d’empêcher Sonko d’être candidat à la présidentielle. Il précise que l’essentiel, c’est la loi qui l’autorise ; et l’Etat a le droit d’user de cette disposition juridique. «La motivation est que quand vous êtes dans un Etat de droit, l’essentiel est que tout ce que vous faites soit basé sur le droit. Et c’est ça l’éthique. Pourquoi les gens veulent singulariser cette affaire ? Tant que la condamnation n’est pas définitive, personne n’a la qualité de dire qu’il est coupable. Seul le juge est habilité à le dire», explique Seydou Guèye.
LES PARIS ILLÉGAUX ALIMENTENT LA CORRUPTION DANS LE SPORT
Les paris illégaux sont désormais le ‘’facteur numéro un qui alimente la corruption dans le sport’’, a notamment dit M. Porteous, expert à l’ONUDC.
Dakar, 18 dec (APS) – Les paris illégaux alimentent la corruption dans le sport, a déclaré James Porteous, expert à l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC).
Les paris illégaux sont désormais le ‘’facteur numéro un qui alimente la corruption dans le sport’’, a notamment dit M. Porteous, expert à l’ONUDC et responsable de la recherche au Conseil de la Fédération asiatique des courses sur la lutte contre les paris illégaux et la criminalité financière connexe.
Il s’exprimait lors d’une session sur le sport et la corruption à la conférence internationale sur la lutte contre la corruption, organisée à Atlanta, aux Etats-Unis, par l’ONUDC.
Dans un rapport publié en 2021, l’ONUDC s’inquiétait déjà d’une “augmentation spectaculaire des paris illégaux, alimentée par les milliards de dollars qui transitent par le sport professionnel, ainsi que par la mondialisation et les progrès technologiques’’.
Selon l’ONUDC, ‘’jusqu’à 1 700 milliards de dollars sont pariés sur les marchés de paris illicites contrôlés par le crime organisé’’.
FREE OBTIENT UNE LICENCE D’EXPLOITATION DE LA 5G
Free devient le deuxième opérateur à disposer d’une licence d’exploitation de la 5G, cinq mois après que la Sonatel l’a obtenue.
Dakar, 18 déc (APS) – L’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) a annoncé, lundi, à Dakar, avoir attribué une licence d’exploitation de la 5G à la société Saga Africa Holdings Limited, qui commercialise ses services de téléphonie mobile sous la marque Free, en contrepartie de 13,5 milliards de francs CFA.
Free devient le deuxième opérateur à disposer d’une licence d’exploitation de la 5G, cinq mois après que la Sonatel l’a obtenue.
« Nous avons ouvert des négociations avec les autres opérateurs pour leur permettre, en fonction des moyens dont ils disposent, de pouvoir être éligibles à la 5G », a dit le directeur général de l’ARTP, Abdou Karim Sall, lors d’un point de presse.
Les coûts fixés par l’instance de régulation des télécommunications en vue de l’attribution de la 5G aux opérateurs varient en fonction de la quantité et de la qualité des fréquences dont ils ont besoin, selon M. Sall.
La Sonatel a obtenu sa licence d’exploitation de cette norme de réseau de téléphonie mobile en contrepartie de 34,5 milliards de francs CFA, tandis que Free a payé 13,5 milliards pour l’avoir.
En juillet, « le montant mis sur la table par Free ne correspondait pas aux 19 milliards représentant le bloc de base », a souligné le directeur général de l’ARTP.
Il laisse entendre que cet opérateur n’avait pas atteint le montant nécessaire pour obtenir la licence d’exploitation.
Une licence est une convention de concession et un cahier des charges en même temps, a précisé Abdou Karim Sall.
Selon lui, le cahier des charges est signé par l’opérateur attributaire de la licence et les ministères des Télécommunications et des Finances.
La procédure est bouclée par la signature d’un décret d’approbation du président de la République.
Selon le directeur général de l’ARTP, la Sonatel a élaboré un planning de déploiement de ses services 5G, dont la phase pilote commerciale est prévue en février 2024.
BOUBACAR CAMARA, CONTRE LES "ALLIANCES CONTRE NATURE"
"Nous sommes en train de travailler pour faire de larges coalitions. On sera toujours en alliance. Nous ne voulons pas des aller-retour ou des recyclages politiques."
Dans sa tournée Jotayu fal Kamah (rencontre pour élire Kama), Boubacar Camara candidat déclaré à la prochaine présidentielle était à Diourbel ce samedi. L’ancien inspecteur général d’Etat a rencontré ses partisans à qui il a présenté son livre «Construire le Sénégal». Boubacar Camara a dénoncé l’utilisation des moyens de l’Etat pour éliminer des candidats.
«Dans cette affaire Ousmane Sonko, on a vu des choses qu’on a jamais vues dans ce pays. Un ministre de la Justice qui interprète des faits pour décider des conséquences juridiques de la contumace qui, de surcroît, prend sa plume et écrit à son collègue de l’Intérieur pour lui dire que ce gars ne fait pas partie du fichier, il faut l’enlever. C’est de l’arbitraire. Aucun juge sérieux ne va refuser de donner des fiches à Ousmane Sonko», a-t-il parié.
S’agissant de l’opposition, M. Camara n’envisage pas des «alliances contre nature parce que le pays a trop souffert». Il dit : «Nous sommes en train de travailler pour faire de larges coalitions. On sera toujours en alliance. Nous ne voulons pas des aller-retour ou des recyclages politiques. On a vu des gens qui se déclarent opposition à la seconde où ils n’ont pas été désignés candidats du pouvoir. Ce n’est pas crédible. Nous sommes contre les retours en zone, des gens qui n’ont pas encore soldé des comptes avec des biens publics.» Il a annoncé son investiture prévue le 24 décembre.
LES CONGOLAIS AUX URNES MERCREDI
Près de 44 millions d’électeurs congolais sont appelés aux urnes, mercredi, pour élire un président de la République, des députés à l’Assemblée nationale et des représentants aux assemblées provinciales.
Dakar, 18 déc (APS) – Près de 44 millions d’électeurs congolais sont appelés aux urnes, mercredi, pour élire un président de la République, des députés à l’Assemblée nationale et des représentants aux assemblées provinciales.
Au total, vingt candidats, parmi lesquels le président sortant, Felix Tshisekedi, vont briguer la magistrature suprême dans un scrutin à un tour. Il suffit au candidat arrivé en tête avec au moins 20 % des suffrages pour être élu, selon la loi électorale de la République démocratique du Congo (RDC).
Felix Tshisekedi, 60 ans, arrivé au pouvoir en 2018, va tenter de se faire réélire face à dix-neuf candidats parmi lesquels l’homme d’affaires et ancien gouverneur du Katanga, Moïse Katumbi, 59 ans, chef du parti Ensemble pour la République (EPR), Martin Fayulu, 66 ans, candidats malheureux à la précédente élection présidentielle.
Le docteur Denis Mukwege, 68 ans, lauréat du prix Nobel de la paix en 2018 est en lice, alors que l’ancien Premier ministre de Joseph Kabila, Augustin Matata Ponyo, 59 ans, a rallié Moïse Katumbi.
Marie-José Ifoku, dont la candidature a été invalidée par la Commission électorale avant qu’elle ne soit réhabilitée par la Cour constitutionnelle, est l’unique candidate à ce scrutin après que Patrice Majondo et Noël Thsiani, ont désisté au profit du président sortant.
La sécurité et la logistique constituent des défis dans l’organisation ces élections générales. Des millions d’électeurs risquant de ne pas accomplir leur devoir citoyen, en raison notamment de la crise sécuritaire à l’Est et au Nord du deuxième plus vaste pays du continent africain, derrière l’Algérie.
La sécurité a d’ailleurs été l’un des thèmes de la campagne électorale qui s’achève ce lundi. Elle a été émaillée de violences parfois meurtrières. .
Sadiki Espoir Ndabuye et Joseph Kasongo Tshomba, deux candidats aux législatives membres de l’UDPS – l’Union pour la démocratie et le progrès social, le parti de Tshisekedi, ont été tués entre vendredi et samedi, dans le Sud et le Nord-Kivu.
Human Rights Watch a récemment déclaré avoir documenté des affrontements dans tout le pays entre partisans de partis politiques rivaux, qui ont donné lieu à des agressions, à des violences sexuelles et à au moins un décès.
Le plus jeune des candidats à la présidentielle, Constant Mutamba, 35 ans, dénonçait, à l’entame de la campagne, ‘’l’absence de mesures de sécurité prises en faveur des candidats’’.
La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a pu déployer le dispositif électronique de vote sur tout le territoire, alors que l’Union africaine a envoyé une équipe de soixante-cinq observateurs.
L’Union européenne, qui avait dans un premier temps envisagé d’envoyer quatre-vingts observateurs électoraux, a finalement réduit ce nombre à huit.
‘’Pour nous le souhait était que l’Union européenne déploie une mission ici en RDC parce que nous avons besoin d’une mission vraiment indépendante, un œil indépendant sur ces élections. Mieux vaut ces huit experts indépendants que zéro observateur indépendant », a réagi le directeur exécutif de l’ONG « la Voix des sans voix », Rostin Manketa.
EXPLOSION À CONAKRY, UNE ÉQUIPE DE SECOURS DÉPÊCHÉE PAR L’ÉTAT DU SÉNÉGAL
« le Président Macky Sall a donné des instructions pour l’envoi d’urgence d’une équipe médicale et de Sapeurs-pompiers spécialisés à Conakry ».
Une explosion s’est produite le 18 décembre dans le principal dépôt de carburants de Conakry. Conséquence : plusieurs blessés ont été enregistrés, selon une source médicale et des habitants. Ainsi, selon une information reçue à Emedia, « le Président Macky Sall a donné des instructions pour l’envoi d’urgence d’une équipe médicale et de Sapeurs-pompiers spécialisés à Conakry ». Selon toujours la même source, « d’autres appuis sont à l’étude pour apporter toute l’aide possible ».
D’ailleurs, « l’équipe de soutien dépêchée sur ordre du Président Sall arrive vers 13H30 parvol militaire avec, à l’accueil, l’Attaché militaire sénégalais en service au niveau de l’ambassade.
L’explosion, rapidement suivie d’un incendie, a eu lieu aux alentours de minuit au principal dépôt d’hydrocarbures de la société guinéenne de pétrole (publique), dans le quartier administratif et des affaires de Kaloum, non loin du port, selon des médias guinéens et des habitants.
L’incendie « d’origine inconnue » pour le moment pourrait « directement impacter les populations » au vu de son « ampleur et ses conséquences », a ajouté le gouvernement.