Baadoolo - Idy, l’heure de dilater sa poitrine
Aïe, quel gâchis, Idrissa Seck ! Un ancien numéro 2, futur Président... Mais à force de ruser avec le peuple, avec ceux qui étaient fanatiques de lui, comme Sonko en a aujourd’hui, il a fini par se faire hara-Kiri. Sûr que Franz-Olivier Giesbert aurait titré aussi «La Trag-Idy du Premier ministre», comme «La tragédie du Président». Même si Seck n’est pas Chirac. Tout le monde quitte son «pays», Rewmi, parce que «dokhoul», comme il l’avait dit du bilan de Macky Sall en 2013. Chef de l’opposition repart à la conquête du chef de l’opposition. Il faudra beaucoup de forces pour continuer. Dilater sa poitrine.
L’ex-Dg de Air Sénégal rejoint A&A Strategy Le grand retour de Ibrahima Kane
Le cabinet A&A Stratégy accueille un nouveau membre. Et pas de moindre calibre. Il s’agit de Ibrahima Kane, ancien Partner KPMG Afrique Francophone. Mais surtout ancien Directeur général de la compagnie aérienne Air Sénégal (2019-2022), et du Fonds souverain d’investissements stratégiques du Sénégal – Fonsis (2016- 2019). Estimant qu’il s’agit d’une «collaboration croisée», le cabinet indique qu’il va soutenir Ibrahima Kane dans le lancement de Delaa Impact, un fonds d’investissement dédié à la création et au déploiement de solutions de financements innovants aux besoins en infrastructures et industries au Sénégal et en l’Afrique de l’Ouest. Parallèlement, l’arrivée de M. Kane en tant que Senior Vice-Président chez A&A Strategy va «consolider l’expertise et le leadership du cabinet dans les domaines de l’industrie et du financement de projet.
Après la Présidentielle - La plateforme Idy Président 2024 dissoute
La plateforme Idy Président 2024 s’est réunie, dimanche, à Thiès, pour procéder à l’évaluation de la présidentielle. Dans un communiqué, son coordonnateur a annoncé sa dissolution. Le leader de Rewmi n’a pu passer atteindre 1% à l’issue du scrutin qui a vu Bassirou Diomaye Faye élu dès le premier tour. Toutefois, indique Souleymane Ciss, désormais ex-coordonnateur de la plateforme, leur engagement politique reste intact et ils poursuivent leur lutte effrénée en tant que «sentinelle de la démocratie, de la justice et du développement, en quête d’un Sénégal meilleur pour tous ses citoyens». Revenant sur l’élection présidentielle du 24 mars dernier, la structure a salué la «maturité démocratique» et la «sérénité» du peuple sénégalais. La plateforme Idy Président 2024 exhorte le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, à placer la réforme judiciaire comme «priorité absolue» parce que «pilier fondamental de toute société démocratique».
23e Session sur les administrations publiques - Mimi parmi les 17 experts de l’Onu
La candidate recalée par le Conseil constitutionnel fait partie du Comité des 17 experts des Nations Unies sur les administrations publiques (Cepa). Mimi Touré participe ainsi à la 23éme Session au Siège de l’Onu, à New York. Membre de la coalition Diomaye Président, elle a magnifié le thème de la rencontre qui traite des «Nouvelles perspectives en matière de gouvernance pour faire progresser les Objectifs de développements durables (Odd) et éradiquer la pauvreté». Pour l’ancienne ministre de la Justice, le thème de cette session s’inscrit en «droite ligne des ambitions de notre nouveau régime et des espérances des Sénégalais».
Achille Mbembé sur l’arrivée de Diomaye au pouvoir «C’est l’événement le plus marquant des dernières décennies»
Invité de Pape Alioune Sarr dans l’émission «Belles lignes» sur iTv, Achille Mbembé s’est exprimé sur l’élection présidentielle du 24 mars dernier. En visioconférence, l’historien et politologue camerounais, a indiqué que «l’arrivée de Bassirou Diomaye Faye au pouvoir est l’événement le plus marquant des dernières décennies en Afrique». L’intellectuel africain a par ailleurs souligné que «le Sénégal est parmi tous les pays en Afrique dite francophone, le pays où il y’a une culture historique, politique, qui s’est formée depuis longtemps et qui représente le meilleur de ce que nous aurons produit». Parlant du nouveau régime, Achille Mbembé : «Ils ont été investis il y’a à peine une semaine, il y’a encore un énorme chantier devant eux, mais je pense que ce qui s’est passé au Sénégal a une signification continental. Cela montre évidement que la démocratie électorale est en crise, mais si on s’organise à la manière des Sénégalais, il est possible d’aller de l’avant.»
Première visite hors du pays Diomaye attendu à Nouakchott ce mercredi
Le nouveau Président de la République va effectuer, ce mercredi, sa première sortie hors du pays. Sur ce, Diomaye a opté, comme destination, la Mauritanie, pays frontalier avec le Sénégal. Le Chef de l’Etat, après ses tournées dans les villes saintes du pays, est attendu à Noukchott, selon des sources de Sahara Media. Pour rappel, le Président mauritanien Mohamed Ould Cheikh avait assisté à la cérémonie d’investiture du successeur de Macky. Il faut retenir aussi que le Sénégal et la Mauritanie sont liés par un autre enjeu économique géostratégique depuis la découverte, en 2015, d’un important gisement de gaz à la frontière maritime des deux pays. Et les estimations de sa production se chiffrent entre 60 et 80 millions de dollars
Démenti
Le journal de presse écrite «BÉS BI, LE JOUR» m’a prêté à tort, dans sa livraison du 15 avril 2024, les propos suivants : «Aïda Mbodj ferme la porte aux transhumants : Je vois certains devant moi, opposez-vous.» J’apporte un démenti formel à de tels propos qui me sont attribués à tort et invite ledit journal à publier la présente note d’information rédigée à cet effet. Aussi, de préciser que je respecte le choix libre et volontaire des uns et des autres dans l’espace politique que nous partageons. Et, à ce titre, il ne m’appartient nullement, en ma qualité de Présidente de la «Coalition Diomaye Président» de réguler les mouvements en son sein, encore moins d’être investie d’une quelconque prérogative visant à y admettre où refuser les adhésions. Tout au plus, ma qualité de Présidente de cette Coalition se limite à la restructurer voire procéder à son organisation, lui trouver consensuellement une nouvelle dénomination et d’émettre des suggestions motivées sur la nature et le nombre des différentes Commissions nécessaires à son fonctionnement.
Aïda Mbodj, présidente de la Conférence des leaders de la Coalition Diomaye Président NRDL : La Rédaction du journal Bés Bi prend acte.
SÉNÉGALAIS DÉTENUS EN TURQUIE, HORIZON SANS FRONTIÈRES LANCE UN APPEL AUX NOUVELLES AUTORITÉS
"Les étrangers paient plus de 700 dollars pour l’obtention ou le renouvellement des cartes de séjours dont 90% des demandes sont rejetées sans remboursement", renseigne Boubacar Seye.
Le président de Horizon Sans Frontières (HSF) Boubacar Seye a annoncé, lundi, que de nombreux Sénégalais sont en situation précaire en Turquie dont plus d’une vingtaine dans les prisons. C’est l’alerte qui vient de parvenir à Horizons Sans Frontières.
« Les étrangers paient plus de 700 dollars pour l’obtention ou le renouvellement des cartes de séjours dont 90% des demandes sont rejetées sans remboursement. Ceux à qui on délivre les cartes de séjours reçoivent une durée de trois mois alors qu’ils ont payé une assurance d’un an », a-t-il indiqué citant un Sénégalais en situation délicate en Turquie qui s’est confié à l’ONG.
Selon ce dernier, les cartes de séjours ne garantissent pas la libre circulation dans le pays et tout moment ils peuvent l’annuler dans le site web du gouvernement sans que personne ne le sache. « C’est ce qui explique que certaines personnes sont bloquées à l’aéroport au retour de leur voyage », ajoute-t-il.
Boubacar Seye fait savoir que les personnes dont on a eu à supprimer les cartes de séjour, se font généralement attraper dans les places publiques, les stations de bus ou de métros, dans leurs lieux de travail ou dans leurs domiciles (appartements, résidents, maisons etc.).
« L’autre alarme, surtout à vérifier, est aussi sur la plan humanitaire car, nous dit-on, les personnes attrapées, peuvent être enfermées pendant 12 heures dans de très mauvaises conditions de détention, sans eau et sans nourriture », appelle-t-il.
Il ajoute, en outre, que pour torturer les étrangers, les autorités établissent de faux rapports médicaux pour les regrouper dans des centres de détentions comme des animaux.
L’autorité consulaire du Sénégal en Turquie est aussi appelée à « agir, soulager ses compatriotes et infirmer cette version. »
Il précise que les prisons sont pleines et surchargées et informe qu’a Iroum Askale (Turquie ) plus de 20 Sénégalais y sont incarcérés
« En détention, les prisonniers sont dépouillés de leurs biens (argent, téléphone). Voilà en détails, autant de raisons qui poussent l’ONG Horizons Sans Frontières à lancer un appel aux nouvelles autorités, tout en leur souhaitant une pleine réussite pour un meilleur avenir de nos compatriotes établis dans la Diaspora », a-t-il dit.
BASSIROU DIOMAYE FAYE S'EST RENDU À TIVAOUANE
Le président de la République est arrivé lundi soir dans la cité religieuse de Tivaouane, où il a effectué une visite de courtoisie auprès du Khalife général des Tidianes, Serigne Babacar Sy Mansour
Tivaouane, 15 avr (APS) – Le président de la République Bassirou Diomaye Faye est arrivé lundi soir dans la cité religieuse de Tivaouane, où il a effectué une visite de courtoisie auprès du Khalife général des tidianes, Serigne Babacar Sy Mansour, a constaté l’APS.
Bassirou Diomaye Faye était un peu plutôt dans la ville sainte de Touba, où il a effectué sa première visite dans les cités religieuses du pays depuis son installation, le 2 avril dernier.
A Tivaouane, un dispositif a été mis en place chez le Khalife des Tidianes pour l’arrivée du chef de l’Etat accompagné du ministre de l’Intérieur, Jean Baptiste Tine, du ministre des Transports, Malick Ndiaye, et de son directeur de cabinet, Mary Teuw Niane.
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L'AUBE D'UNE ÈRE DE SOUVERAINETÉ AFRICAINE
Selon Achille Mbembe, la tutelle des anciennes puissances coloniales est révolue. Il décrit une dynamique portée par l'émergence d'une nouvelle génération de dirigeants souverainistes. Et dont l'élection de Diomaye Faye constitue l'acte fondateur
Dans un entretien exclusif sur iTV, l'illustre penseur camerounais Achille Mbembe a sonné la charge pour un véritable renouveau des relations Afrique-Occident. Selon lui, une nouvelle vague de jeunes dirigeants insuffle un vent de changement majeur sur le continent.
« Le continent est rentré dans un nouveau cycle historique », a martelé Mbembe, évoquant la fin du compromis postcolonial désormais caduc. Cette mouvance souverainiste, portée par des pressions démographiques et l'influence des idées panafricanistes, remet en cause la tutelle des anciennes puissances coloniales.
Le philosophe n'y est pas allé de main morte, appelant au démantèlement des « chiffons rouges » hérités comme le Franc CFA, jugé trop dispendieux. « Il faut s'en débarrasser, et en bon ordre » a-t-il insisté.
L'exemple sénégalais, un modèle à suivre ?
C'est l'élection de Bassirou Diomaye Faye qui a véritablement cristallisé ces espoirs de rupture. Pour Mbembe, l'accession démocratique au pouvoir du jeune président et de son parti Pastef « est sans doute l'événement le plus marquant des dernières décennies ».
Un événement d'autant plus significatif que la France, après ses déboires au Sahel, « commence à comprendre qu'une page est tournée ». La pression de la société civile lors de cette élection « montre que notre sort est entre nos mains », s'est-il félicité.
Intégration continentale et renaissance culturelle
Mais le défi ne fait que commencer selon le Camerounais. Pour franchir un cap décisif, « l'Afrique doit investir dans ses organisations sous-régionales » plaide-t-il, citant l'exemple du nouveau portefeuille " de l'Intégration africaine " au Sénégal.
L'universitaire appelle également à un "rapatriement de l'imaginaire" par la redécouverte des cultures, des savoirs et de l'art africains trop longtemps délaissés. Un prérequis pour "s'ouvrir à elle-même" et dépasser le morcellement actuel.
Si la tâche s'annonce ardue, la brèche est désormais ouverte selon Mbembe : « Une partie de l'élite comprend qu'il faut se positionner autrement ».
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LA TYRANNIE DU YEBBI
La contre-dot, supposée témoigner de la reconnaissance d'une mariée à sa belle-famille, vire à la ruine financière pour nombre de femmes. Une coutume dévoyée qui confisque leur liberté au nom des "valeurs culturelles"
Au Sénégal, une tradition ancestrale se mue petit à petit en fardeau économique pour les femmes. Le "yebbi", également appelé contre-dot, est censé symboliser la reconnaissance de la mariée envers sa nouvelle belle-famille par des présents offerts lors des cérémonies nuptiales. Mais cette coutume, autrefois sobre, a pris une tournure démesurée de nos jours.
Dans une course effrénée à l'apparat et au paraître, de nombreuses familles s'endettent lourdement pour offrir des cadeaux toujours plus luxueux et coûteux à la belle-famille : tissus de grand prix, bijoux somptueux, électroménager dernier cri... Les femmes, principales actrices de cette compétition dispendieuse, en sont souvent les premières victimes.
VERS UNE AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL DES SÉLECTIONNEURS NATIONAUX
Le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, a déclaré vouloir améliorer les conditions de travail des nationaux, soulignant que c’est grâce à l’expertise locale que le Sénégal a pu engranger de meilleurs résultats.
Dakar, 15 avr (APS) – Le président de la Fédération sénégalaise de football, Me Augustin Senghor, a déclaré vouloir améliorer les conditions de travail des sélectionneurs nationaux, soulignant que c’est grâce à l’expertise locale que le Sénégal a pu engranger de meilleurs résultats.
”Il y a des sélectionneurs qui ont un vécu international. Ils ont gagné des trophées continentaux et ils sont allés en coupe du monde. Il y a des nouveaux sélectionneurs qui sont arrivés (…)’’, a-t-il déclaré lors d’un atelier de partage d’expérience organisé par la Direction technique nationale.
Cette rencontre, selon lui, ‘’permet de faire un partage des acquis et d’expérience et surtout, de prendre du temps, de gagner des raccourcis pour que ceux qui arrivent puissent travailler” sur la base de l’organisation déjà mise en place.
”La performance de haut niveau, c’est la coordination de beaucoup de travail. Nous avons montré l’exemple à l’Afrique toute entière (…) en recrutant des entraîneurs locaux (…) nous avons l’expertise technique nécessaire”, a dit Me Augustin Senghor qui a présidé cette réunion d’échange avec les différents staffs techniques nationaux.
”Tout le monde a suivi le cursus du football sénégalais ces dix (10) derrières années. (…) Un pays, qui en l’espace d’une année, a remporté cinq (5) à six (6) trophées continentaux, c’était du jamais vu’’, a souligné le président de la FSF.
Il a annoncé le démarrage prochain, du championnat de Futsal.
LE PRÉSIDENT DIOMAYE EN VISITE À TOUBA
Sa visite à Touba, l’une des villes les plus importantes du pays, revêt une importance particulière, témoignant de son engagement envers toutes les régions du pays.
iGFM (Dakar) Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, effectuera une visite officielle à Touba cet après-midi, annonce rst.sn.
Après avoir effectué la prière de l’Aïd el Fitr, marquant la fin du Ramadan, à la Grande mosquée de Dakar, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a invité les Sénégalais à consolider la culture du vivre ensemble, gage ”d’un Sénégal de paix, d’unité et de cohésion”.
À cette occasion, le chef de l’État a rendu un vibrant hommage à tous les maîtres coraniques, hommes de Dieu et Khalifes généraux, dont les prières bénies ”constituent le socle qui nous permet, quelles que soient les péripéties, de toujours rester debout”.
Sa visite à Touba, l’une des villes les plus importantes du pays, revêt une importance particulière, témoignant de son engagement envers toutes les régions du pays.
La ville sainte de Touba, renommée pour être un centre religieux majeur au Sénégal, est également un pôle économique et culturel dynamique.
LA PRÉSIDENTE DE L’ITIE MILITE POUR LA SOUVERAINETÉ ÉNERGÉTIQUE
Selon Oulimata Sarr, le continent africain “risque de supporter de façon disproportionnée les conséquences du changement climatique, même si elle ne contribue qu’à hauteur de 3% voire 4% des émissions de gaz à effet de serre”.
La présidente de l’Initiative pour la transparence dans les industries extractives (ITIE), Oulimata Sarr, a souligné, lundi, à Dakar, l’importance de la souveraineté énergétique dans un contexte de tension au Moyen-Orient qui devrait se traduire par une augmentation des cours du pétrole.
“Nous interpellons tous les pays qui n’ont pas encore atteint leur souveraineté énergétique. Nous voyons que la guerre qui s’est déclarée ce week-end au Moyen-Orient aura comme conséquence directe l’augmentation des cours du pétrole”, a-t-elle déclaré.
Oulimata Sarr présidait la cérémonie d’ouverture d’une formation sur “les exigences de la norme ITIE en matière de divulgation des émissions de gaz à effet de serre”.
Selon la présidente de l’ITIE, le continent africain “risque de supporter de façon disproportionnée les conséquences du changement climatique, même si elle ne contribue qu’à hauteur de 3% voire 4% des émissions de gaz à effet de serre”.
Le président de la commission de l’énergie et des ressources minérales de l’Assemblée nationale, Abass Fall, a relevé que “l’urgence de limiter les émissions à effet de serre est au cœur de la lutte contre le changement climatique”.
Il a appelé à “un juste équilibre sur la prévention du changement climatique et la lutte contre la pauvreté énergétique et l’accès à l’énergie pour tous”.
Dans cette perspective, a-t-il ajouté, les conclusions de cet atelier sur la norme ITIE en matière de divulgation des émissions de gaz à effet de serre, “serviront dans la prise en compte des prochaines décisions dans un domaine aussi vaste que les mines et ressources naturelles”.
Cet atelier s’inscrit dans le cadre de la prochaine évaluation du Sénégal en janvier 2025 par l’instance internationale sur la base des exigences de la norme 2023.
Il vise à renforcer la compréhension des membres du Groupe multipartite de l’ITIE “sur la manière dont ils peuvent soutenir la divulgation publique, la déclaration des émissions et de participer à un débat qui nous interpelle”.
Le Groupe multipartite (GMP) de l’ITIE est une structure regroupant des membres du gouvernement, des entreprises extractives publiques et privées et des organisations de la société civile. Il a pour mission de mettre en œuvre les principes et critères de l’ITIE et de se conformer à ses exigences.
“Cette formation permettra d’utiliser des données de l’ITIE dans la formulation des politiques publiques et des questions de transition énergétique et de changement climatique”, selon Oulimata Sarr.
LA COING-OIF APPELLE À LA PRÉSERVATION DU PATRIMOINE LITTÉRAIRE DE LÉOPOLD SEDAR SENGHOR
Cette collection, comprenant des milliers d’ouvrages ayant appartenu à l’illustre président sénégalais et l’un des Pères fondateurs de la Francophonie, représente un patrimoine d’une valeur universelle.
La Conférence des Organisations Internationales Non-Gouvernementales de la Francophonie (COING-OIF) exhorte la communauté francophone à agir face à la vente imminente aux enchères de la bibliothèque du Poète-Président Léopold Sédar Senghor, prévue le mardi 16 avril à Caen, en France.
Cette collection, comprenant des milliers d’ouvrages ayant appartenu à l’illustre président sénégalais et l’un des Pères fondateurs de la Francophonie, représente un patrimoine d’une valeur universelle. Nous lançons un appel pressant aux autorités sénégalaises et françaises, ainsi qu’à l’ensemble de la Francophonie, pour prendre des mesures adéquates afin de préserver cette richesse d’intérêt public.
Ce trésor culturel devrait demeurer dans l’espace francophone en tant que bien commun, accessible à tous. Nous encourageons vivement les autorités du Sénégal à acquérir cette collection pour l’intégrer aux collections nationales ou la maintenir au sein de la demeure des Senghor à Verson, afin qu’elle soit mise à disposition des chercheurs et des passionnés de culture.
Pour le Comité de Suivi, la préservation de la bibliothèque de Léopold Sédar Senghor est non seulement un devoir envers l’héritage culturel et littéraire de la Francophonie, mais aussi une garantie de transmission des savoirs et des idées qui ont façonné notre histoire commune.
La Conférence des Organisations Internationales Non-Gouvernementales de la Francophonie appelle à agir pour sauvegarder cette bibliothèque universelle et perpétuer l’héritage de l’un des grands penseurs de notre temps.
Le président Macky Sall avait permis, en octobre dernier, l’acquisition, par le Sénégal, de quarante et un biens appartenant à l’ancien président Léopold Sédar Senghor et à son épouse Collette Senghor pour un montant de 160.064.000 francs CFA à Caen, en France.