BAADOOLO : Fin de la 3e …transe !
Nii la key ! Cette haute tension dans les ménages ne pouvait continuer. On en est arrivé à ne pas fermer l’œil à cause d’un «tiit ! tiit !» des compteurs et du point rouge d’avertissement qui illuminait presque les quartiers. Ailleurs, on avait l’impression que les lampes étaient éteintes pour dormir alors que c’était faute de crédit Woyofal. Tout le monde, la majorité en tout cas, était en transe. A cause de la 3e tranche qui est désormais supprimée. Et voilà Antoine qui, comme un père Noël avant l’heure, baisse la tension sociale. Avec «Antoine de fond», la Présidentielle. N’est-ce pas !
MALADIES RESPIRATOIRES ENREGISTREES EN CHINE LE MINISTERE DE LA SANTE RECOMMANDE DES MESURES BARRIERES
Suite à une augmentation des maladies respiratoires en Chine, le ministère de la Santé et de l’action sociale du Sénégal lance l’alerte. Dans un communiqué publié hier, les services de Marie Khémesse Ngom Ndiaye, qui disent suivre l’évolution de la situation en Chine et dans le reste du monde à travers son système de surveillance épidémiologique en général, et de son réseau de surveillance sentinelle syndromique au Sénégal en particulier, ont ainsi donné quelques recommandations. Il s’agit du respect des mesures barrières préconisées lors de la Covid19, pour prévenir les maladies respiratoires. Le ministère a aussi conseillé le recours précoce aux structures de santé en cas de maladie respiratoire survenue de manière récente, en particulier chez les enfants, mais encore, la vaccination systématique des enfants, cible du programme élargi de vaccination (Pev), avec un respect rigoureux du calendrier vaccinal officiel.
PARTI DEMOCRATIQUE SENEGALAIS LA CAUTION DE KARIM WADE DEPOSEE CE LUNDI
En attendant le retour de Karim Wade au bercail, ce lundi, le Parti démocratique sénégalais (Pds) va déposer la caution pour la participation de son candidat à la Présidentielle de février. Une information donnée par leur Secrétaire national à la communication, Nafissatou Diallo. Le fait de déposer à la Caisse des dépôts et consignations (Cdc) la somme de 30 millions de francs Cfa est un pas vers Dakar pour le fils de l’ancien président Abdoulaye Wade, en exil à Doha depuis 2015.
TOURNEE DE KALIDOU DIALLO ET SADA NDIAYE A MATAM DES PRIERES FORMULEES POUR LE RETOUR DE KARIM WADE
Après leurs retours au Pds, les deux barons politiques à Matam, Sada Ndiaye et Kalidou Diallo font bouger les choses dans le Fouta. Et pour le retour du candidat de la grande coalition «Sopi Dolima/Karim Président 2024», «des prières ardentes et ferventes ont été dites pour le retour sain et sauf» du fils de l’ancien président, selon un communiqué. Et surtout pour son «triomphe» dès le soir du dimanche 25 février 2024. Kalidou Diallo et Sada Ndiaye ont d’ailleurs organisé une tournée du 9 au 13 novembre 2023 dans «les 26 sections communales» du Pds de la région de Matam.
REOUVERTURE DES UNIVERSITES LE SAES DANS LA RUE
Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) durcit le ton. Pour la réouverture des universités, ces enseignants ont décidé de battre le macadam ce jeudi 30 novembre dans l’enceinte du campus de l’Ucad. Le Saes demande à ses militants de se mobiliser et de se vêtir de leurs toges ou d’arborer ses couleurs.
LE FESNAC DU 9 AU 12 JANVIER A FATICK MACKY SALL A L’HONNEUR
La 12ème édition du Festival national des arts et de la culture (Fesnac) se tient du 9 au 12 janvier 2024 à Fatick. Le thème choisi cette année est : «Macky, les arts et le patrimoine» dans le but de rendre hommage au président de la République, informe une note. Le Royaume du Maroc et la communauté lébou sont respectivement le pays et la communauté invités d’honneur du festival. Plusieurs localités de la région de Fatick vont accueillir des événements du programme.
AUGMENTATION DES MALADIES RESPIRATOIRES EN CHINE, LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ SUIT L’ÉVOLUTION DE LA SITUATION
Le ministère sénégalais de la Santé a déclaré dimanche suivre l’évolution de la situation en Chine, un pays confronté à une augmentation soudaine des maladies respiratoires, et rappelé l’importance de suivre les mesures barrières.
Dakar, 26 nov (APS) – Le ministère sénégalais de la Santé a déclaré dimanche suivre l’évolution de la situation en Chine, un pays confronté à une augmentation soudaine des maladies respiratoires, et rappelé l’importance de suivre les mesures barrières édictées au plus fort de la pandémie de Covid-19.
‘’Le ministère de la Santé et de l’Action sociale (MSAS) suit l’évolution de la situation en Chine et dans le reste du monde à travers son système de surveillance épidémiologique en général, et de son réseau de surveillance sentinelle syndromique au Sénégal (Réseau 4S) en particulier’’, rapporte un communiqué rendu public le même jour.
Le département ministériel en charge de la Santé a notamment insisté sur l’importance d’appliquer les mesures de prévention des maladies respiratoires à travers le respect des mesures barrières préconisées lors de la COVID-19.
‘’L’évaluation des risques montre que dans le tableau des maladies respiratoires évoluant présentement en Chine, les symptômes signalés sont communs à plusieurs maladies respiratoires, et qu’on dispose de peu d’informations détaillées pour caractériser pleinement le risque global de ces cas signalés’’, fait-on savoir.
Le ministère de la Santé signale toutefois qu’en raison de l’arrivée de la saison hivernale une tendance à l’augmentation de ces cas de maladies respiratoires est attendue.
Il fait remarquer qu’à l’heure actuelle, l’Organisation mondiale de la Santé ne recommande pas de mesures spécifiques pour les voyageurs se rendant en Chine mais déconseille aux présentant des symptômes évocateurs d’une maladie respiratoire de voyager.
‘’En cas de symptômes pendant ou après un voyage, il est recommandé aux voyageurs de recourir précocement à une structure de santé’’, lit-on dans le communiqué.
Selon l’OMS, il est observé depuis mi-octobre 2023, sur les données du système de surveillance épidémiologique de la Chine, une augmentation des maladies respiratoires touchant principalement les enfants.
Cette augmentation serait en rapport avec la levée des restrictions face à la COVID-19 et à l’arrivée de la saison froide, ainsi qu’à la circulation d’agents pathogènes connus tels que les virus de la grippe, Mycoplasma pneumoniae, le virus respiratoire syncytial (VRS), et le coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SARS-CoV-2), explique l’Agence onusienne en charge de la santé.
FATICK HÔTE DU 12E FESNAC
La douzième édition du Festival national des arts et de la culture (FESNAC) prévue dans la région de Fatick (centre) se tiendra du 9 au 12 janvier prochain.
Dakar, 26 nov (APS) – La douzième édition du Festival national des arts et de la culture (FESNAC) prévue dans la région de Fatick (centre) se tiendra du 9 au 12 janvier prochain, a annoncé, dimanche, le ministère de la Culture et du Patrimoine Historique.
Selon le département de la Culture, elle sera placée sous la présidence effective du président de la République Macky Sall, natif de Fatick avec comme thème : « Macky, les arts et le patrimoine’’, ‘’une manière de célébrer le président de la République et de rendre visible ses réalisations dans le secteur de la culture’’, a dit le ministre Aliou Sow dans des propos rapportés dans une note d’information.
« Les acteurs et professionnels de la culture et du patrimoine historique souhaitent rendre hommage au président Macky Sall à travers cette douzième édition’’, lit-on dans le document de reçu à l’APS.
Le ministère de la Culture fait savoir que le Royaume du Maroc a été choisi comme pays invité d’honneur de même que la communauté Léboue désignée invitée d’honneur.
Le texte note que plusieurs localités de la région de Fatick accueilleront des événements qui seront riches et variés.
Ce sera à l’image de la région de Kaffrine qui a abrité la onzième édition et où tous les département Malem Odar, Birkilane, Kaffrine et Gniby ont présenté leurs richesses culturelles.
Le ministre de la Culture et du Patrimoine historique Aliou Sow avait annoncé, jeudi, aux députés lors du vote du budget de son ministère, que le Fesnac à Fatick sera couplé au Salon national du livre.
Kaffrine a accueilli la onzième édition du Fesnac du 21 au 28 janvier 2023
Le Fesnac mis en place depuis 1996 a été une recommandation forte du colloque sur les convergences culturelles au sein de la nation sénégalaise tenue en 1994 à Kaolack à l’initiative du président de la République Abdou Diouf (1981-2000).
Le premier festival national des arts et de la culture a été organisé pour la première fois à Thiès en 1997. Il s’en suivra les régions de Dakar (1999), Ziguinchor (2001 et 2003), Tambacounda (2005), Saint-Louis (2007 et 2012), Louga (2017) et Kolda (2018). Le FESNAC met en exergue les cultures locales, les vécus ethnoculturels des différentes parties de la nation sénégalaise
QUAND LE JUGE REND SA DÉCISION, PARFOIS C’EST À LA RADIO QUE JE L'APPRENDS
Face aux élus, Aïssata Tall Sall a réfutés les nombreuses critiques qui s’abattent sur la justice et les magistrats.
L’affaire Ousmane Sonko était au cœur des débats ce dimanche à l’hémicycle où le ministre de la Justice était devant les députés. Face aux élus, Aïssata Tall Sall a réfutés les nombreuses critiques qui s’abattent sur la justice et les magistrats. Ci-dessous des passages saillants de ses réponses.
L'indépendance des juges
"Le Juge voyait sa carrière définie, son avancement ou sa rétrogradation décidés sans qu’il n’ait la possibilité d’en discuter, encore moins de savoir ce qui va être décidé sur son sort. Aujourd’hui ce sont les mêmes juges qui décident de leur avancement, qui font leur propre discipline."
Macky Sall et les magistrats
"Que fait le président de la République là-dedans ? Rien, absolument rien. C’est cela l’indépendance de la Justice. C’est dire aux Juges vous avez une affaire et vous jugerez selon la loi et selon votre conscience. C’est cela l’indépendance du Justice.
Les critiques de l'opposition
"Mais quelle est cette indépendance qui dit ‘‘si je gagne bravo, les juges c’est des héros, des patriotes, des indépendants.’’ Et quand vous perdez on les voue aux gémonies. C’est quoi cette justice à deux vitesses que vous voulez inculquer. Nous, nous respectons les juges y compris ceux-là qui nous déboutent comme nous respectons ceux-là qui nous font gagner."
Les décisions de Justice
"Moi Garde des sceaux, ministre de la Justice, je découvre les décisions de justice en même temps que vous. Quand le juge rend sa décision favorable ou défavorable, parfois c’est à la radio que je l’entends. Et vous dites que les magistrats ne sont pas indépendants ? Moi ministre de la Justice, je ne suis pas au courant des décisions qu'ils rendent."
LA CAUTION DE KARIM WADE DÉPOSÉE DÈS CE LUNDI
Dès demain, le Parti démocratique sénégalais (Pds) va déposer la caution pour la participation de son candidat à la présidentielle de 2024.
Dès demain, le Parti démocratique sénégalais (Pds) va déposer la caution pour la participation de son candidat à la présidentielle de 2024.
Dans son processus de préparation de la future présidentielle, le parti démocratique sénégalais (Pds) a décidé de passer à une nouvelle étape. En effet, il a annoncé le dépôt, de la caution de son candidat Karim Wade qui est actuellement hors du pays.
Selon leur secrétaire national à la communication, Nafissatou Diallo, c’est demain lundi qu’ils passeront à la Caisse des dépôts et consignations (Cdc) pour déposer la somme. Quid du retour de leur candidat au pays ? Mme Diallo n’a pas encore clarifié la date.
En application des dispositions de l'article L.122 du Code électoral, le ministère de l’intérieur avait fixé, dans son arrêté n°032006 du 25 septembre 2023, le montant de la caution à trente millions (30.000.000) de francs CFA pour la présidentielle de 2024.
SIERRA LEONE, L’ARMURERIE MILITAIRE DE WILBERFORCE SOUS LES FEUX D’ASSAILLANTS
Aux premières heures du dimanche 26 novembre 2023, des individus non identifiés ont tenté de s’introduire dans l’armurerie militaire de la caserne Wilberforce.
Aux premières heures du dimanche 26 novembre 2023, des individus non identifiés ont tenté de s’introduire dans l’armurerie militaire de la caserne Wilberforce. C’est du moins ce que nous apprend un communiqué d ministère Sierra Leonais de l’Information. Selon qui ces derniers ont tous été repoussés. Avant d’assurer que le gouvernement et les forces de sécurité de l’État ont le contrôle de la situation.
Afin de permettre aux forces de sécurité de poursuivre le processus d’arrestation des suspects, le communiqué signale qu’un couvre-feu national est décrété avec effet immédiat dans tout le pays.
MADIAMBAL DIAGNE LANCE UN ESSAI POLITIQUE SUR AMADOU BA
Après « Ousmane Sonko-Adji Sarr : l’Histoire », puis « Macky Sall derrière le masque », en septembre dernier, Madiambal Diagne présente « Amadou Ba, la dernière marche ».
Après « Ousmane Sonko-Adji Sarr : l’Histoire » ( Les confidences inédites de la victime, paru en juillet 2023, puis « Macky Sall derrière le masque », en septembre dernier, Madiambal Diagne présente « Amadou Ba, la dernière marche ».
« Je me suis proposé de faire un essai politique sur Amadou Ba, actuel Premier ministre, et candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Le propos de ce troisième livre, c’est présenté un homme politique qui aspire à la plus haute marche du pays, c’est à dire à la fonction de président de la République du Sénégal, a campé l’auteur.
Pourquoi Amadou Ba ? « Parce que c’est un candidat qui me semble être bien placé, qui suscite l’intérêt du public. C’est un candidat sur qui beaucoup de gens chercheraient à avoir des informations. J’ai la possibilité de les livrer pour avoir vécu des situations qui me permettent d’accéder à l’information, mais aussi j’ai pu accéder à des personnes qui le connaissent, mais aussi qui ont vécu avec lui, qui ont travaillé avec lui, et qui peuvent apporter des témoignages. Parce que ce n’est pas sur tous les candidats qu’on peut écrire. Il faut aussi écrire sur un candidat qui suscite l’intérêt du public. Il ne sert à rien d’écrire un livre que personne ne va lire. Je suis sûr en tant que journaliste, en faisant un choix rédactionnel d’écrire sur Amadou Ba, je suis sûr de toucher un large public. Je crois que tout journaliste, quand il écrit, cherche à faire quelque chose qui intéresse le public. Parmi les 268 candidats, quelques 250 n’intéressent pas grand monde. C’est pour cela que j’ai choisi celui qui semble être celui qui intéressait le plus grand monde », justifie le journaliste.
Interrogé sur le contexte lié à l’approche du scrutin présidentiel, le directeur général du groupe Avenir Communication se défend de tout « parti pris. »
« Au contraire, défend-il, le contexte est très favorable. Parce que dans la pratique journalistique, dans tous les pays au monde, à la veille d’échéances électorales aussi importantes, les journalistes font des publications sur des hommes politiques qui aspirent à diriger ce pays-la. Pourquoi ce qui est valable ailleurs ne doit pas l’être au Sénégal ? Il suffit simplement que l’information ou l’écriture faite sur l’homme politique soit fondée, soit étayée par des éléments factuels. Aujourd’hui, je peux avoir la prétention de dire que les informations sont irréfutables, factuelles, documentées et précises. C’est le credo du rapport avec la vérité, la véracité et la fiabilité de l’information. J’ai voulu montrer les facettes de l’homme. Libre à chacun de se faire sa propre opinion sur l’homme, sur ses ambitions, et sur sa capacité à diriger le pays où son incapacité à réussir telle ou telle chose ».
Il ajoute : « J’ai essayé à force de témoignages, d’anecdotes, de recherches et d’investigations à retracer son parcours et son itinéraire de vie, de son enfance à Grand Dakar, de son cursus universitaire, de sa carrière de fonctionnaire, et de sa carrière gouvernementale. J’ai essayé de retracer cela avec des faits précis, des anecdotes sourcées, vérifiées, avec des témoignages de proches, de collaborateurs, d’amis d’enfance, d’amis de la vie, mais aussi d’adversaires politiques, et aussi de compagnons. C’est un travail journalistique qui a été fait, et qui est livré au public pour mieux cerner la dimension de l’homme. Un volet qui explique ou qui présente les ambitions que Amadou Ba, candidat à la présidence de la République peut avoir dans la gestion des affaires de l’État, quelles sont ses contraintes, et ses ambitions pour le Sénégal ».
La richesse d’Amadou Ba ? « C’est ça l’intérêt du livre. Il n’y a pas de sujet tabou ».
LE SAES DÉCRÈTE LA PARALYSIE DES UNIVERSITÉS
Le Syndicat de l'enseignement supérieur exprime son ras-le-bol face à la fermeture prolongée de plusieurs universités publiques. Pour alerter les autorités, le SAES a décidé de paralyser les activités pédagogiques et administratives le 30 novembre
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 26/11/2023
Le Bureau national (BN) du Syndicat autonome de l'enseignement supérieur (SAES) a appelé à une journée «université morte» le jeudi 30 novembre prochain. Dans un communiqué daté du 26 novembre, le BN constate avec regret «la situation incompréhensible et grave de fermeture et d'arrêt des enseignements dans certaines universités publiques depuis bientôt 6 mois avec l'approbation du ministre de tutelle».
Le syndicat pointe ainsi du doigt le mutisme des autorités face à la longue crise qui secoue les universités publiques depuis plusieurs mois. «Cette situation porte un coup dur au système LMD (Licence-Master-Doctorat) et met en péril l'avenir de milliers d'étudiants», déplore le BN.
Celui-ci dénonce également «le non-respect du protocole d'accord SAES-gouvernement du 6 janvier 2023» censé trouver une issue à cette crise. «Malgré nos multiples appels au dialogue, le gouvernement fait la sourde oreille», affirme une source syndicale.
Aussi, le BN a-t-il «décrété une journée 'université morte', le jeudi 30 novembre avec cessation des activités pédagogiques (cours, soutenances, délibérations y compris pour les formations payantes), et l'arrêt de toute participation à des activités administratives et réunions».
Le SAES appelle par ailleurs «les militants de toutes les universités du Sénégal à se mobiliser massivement pour la marche nationale prévue le jeudi 30 novembre à 10H à l'Ucad pour la sauvegarde de l'Université publique».
Pour le syndicat, «l'avenir de notre système éducatif est en jeu». Une situation que les autorités doivent urgemment dénouer sous peine de voir la colère gronder davantage dans les rangs enseignants et étudiants.