NON DAME BABOU, SONKO EST UNE CHANCE HISTORIQUE POUR LE PAYS
C'est un homme de vertu - Votons Sonko pour montrer que le Sénégal reste le pionnier de la démocratie et que c'est chez nous que le premier président authentiquement antisystème sera élu
« Comme les Etats Unis ont osé rétablir leur image après les abus de Bush en élisant Barack Obama », « Cheikh Anta Diop doit se retourner dans sa tombe en voyant le Président complexé quʼon a », « Même Senghor nʼétait pas allé aussi loin que Macky Sall », « Lʼélection de Sonko sonnerait comme un signal fort pour lʼAfrique et réconcilierait le Sénégal avec le monde après les dérives ostentatoires de Macky Sall », « LʼÉconomie sénégalaise est à genoux », « Sonko est un homme de vertu »
Pour la première fois dans l'histoire du Sénégal un candidat antisysteme pourrait arriver au pouvoir. Combien d'entre nous étions surpris de constater que malgré son passage aux impôts et domaines, aucun cas de corruption n'a pu lui être imputé. Je me souviens encore lorsqu'un journaliste a demandé au ministre apériste de l'intérieur Aly Ngouille Ndiaye si c'est vrai qu'il avait demandé à un homme d'affaires d'accuser Sonko de corruption et que ce dernier aurait refusé, il n'a pas osé dire non. Sonko est un homme de vertu. Au lycée Sonko était pareil. C'est un témoignage qui est revenu parmi ses anciens camarades et le récent témoignage de sa maman suffit à démontrer que Sonko, comme diraient les américains, preaches what he does. « Il fait ce quʼil dit » Le pouvoir en place a très tôt compris que la crédibilité de Sonko était sa force et ils ont tout fait Pour ce peuple sénégalais, le rendez-vous avec l'histoire aura bien lieu ce 24 février 2019 dès 8h. Pour la première fois en Afrique, le Sénégal a la chance de ressusciter son image, sa crédibilité aux yeux du monde et rappeler que c'est un des symboles de la démocratie en Afrique. Souvenez-vous comment le peuple américain s'était déterminé à élire le candidat antisystème Barack Obama pour rappeler au monde que les Etats-Unis demeuraient la nation de la démocratie, de la liberté, des droits de l'homme. En élisant à sa tête le premier homme noir, alors que Le monde ne sʼy attendait pas, l'Amérique est remontée dans lʼestime du monde entier.
La guerre en Irak, Guantanamo, toutes les formes d'oppression exercées par le régime de Bush ont été pardonnées parfois même oubliées par les peuples du monde sortis par millions accueillir Obama à chacun de ses passages. SONKO est ce héros, Sonko est cette chance que nous offre le bon Dieu de rappeler au monde le peuple fier et engagé que nous sommes et serons toujours. SONKO est celui que le bon Dieu avait préparé à incarner le leadership que nous attendons de notre leader en 2019 en faisant de lui l'antithèse de Macky Sall. Par respect pour le peuple Sonko s'est privé et s'est sacrifié. Par mépris pour le peuple Macky lui a tout volé avant de l'abandonner. On a été naïf de penser que cet homme arrivé au pouvoir avec 7 milliards de FCFA, avec la petite idée qu'il s'est faite du peuple en se donnant lʼaudace de tenter de se justifier (lui le candidat de la rupture) par le prétexte quʼil a bénéficié des largesses du Président Wade.
Comment un homme de moins de 50 ans peut se laisser aller au point de servir une telle excuse à son peuple en sachant pertinemment que Wade n'est pas arrivé au pouvoir avec une fortune personnelle ? Et si tel était le cas pourquoi alors mettre à genoux une femme de plus de 90 ans en la faisant pleurer publiquement parce que son fils Khalifa Sall a été enfermé dans le cadre d'un procès politique, le plus précipité de l'histoire du Sénégal, pour la somme de 1 milliard et poussière ? Si tel était cas, avec quel cœur a t il pu embastiller puis exiler pendant 6 ans le fils de son généreux donateur Abdoulaye Wade ?
Macky n'incarne pas les valeurs sénégalaises et il n'a aucun respect pour ce peuple qui l'a élu. Comment au moment où le système éducatif est malade, des jeunes en grèves de la faim pour réclamer leurs bourses et recrutements promis, les professeurs en grève pour dénoncer leurs conditions difficiles, au moment où le secteur de la santé au point mort, avec des médecins débordés par les accidents de la route et la vétusté ou lʼinsuffisance du plateau médical, de lʼabsence de radiothérapie pour soigner nos pauvres compatriotes atteints de cancer, peut- il, avec tant d'arrogance, sous ses pas de danse, annoncer qu'il va construire un nouveau palais à Diamniadio ?
Est-ce là encore une autre preuve que l'homme qui a enfermé plus dune trentaine dʼopposants, malgré les supplications de nos chefs religieux quʼil considère, cʼest vrai, comme des hommes ordinaires, est sous la pression de ses croyances mystiques ? Est ce que le Sénégal doit encore subir une telle folie après celles du Ter de plus dʼun milliards dʼeuros (sans compter les intérêts que la jeunes génération devra supporter) et du fameux marché de 50 000 lampadaires cédé dans la plus grande opacité à l'entreprise française Fonroche pour un coup de 87 millions d'euros et que le journaliste français annonçait sur France 2 comme étant, sans doute le plus gros chantier d'éclairage public solaire dans le monde? Rappelons tout de même que ce contrat avait été offert au Président Macron durant sa visite africaine. Il faut quand même reconnaître à ce jeune président français de 40 ans son attachement à son secteur privé national qui l'accompagne partout et pour qui il est prêt à tout. Pendant ce temps le secteur privé sénégalais est à l'agonie et les sociétés sont nombreuses à mettre la clé sous la porte...
Sous la pression de la concurrence déloyale que Macky Sall a installé au profit des entreprises étrangères. IL A OFFERT TOUTE NOTRE ECONOMIE AUX ETRANGERS. Cheikh Anta diop qui a lutté toute sa vie pour que l'africain soit fier de sa négritude doit se retourner dans sa tombe. Même Senghor n'était pas allé aussi loin. Alors peuple sénégalais, nous faisons face à notre avenir. VOTONS SONKO pour montrer que le Sénégal reste le pionnier de la démocratie et que c'est chez nous que le premier président authentiquement antisystème sera élu.
L'AFFAIRE KARIM MISE EN DÉLIBÉRÉ PAR LA CEDEAO
Le candidat du PDS doit patienter jusqu'à jeudi pour être fixé sur sa requête devant la juridiction sous-régionale
La Cour de justice de la CEDEAO a reporté sa décision quant à la participation ou non de Karim Wade à la présidentielle, à jeudi. Les avocats de l'ancien ministre et candidat désgné du PDS au scrutin du 24 février, étaient attendus ce mercredi pour plaider la cause de leur client. Ce dernier qui conteste la décision du Sénégal de l'écarter de la présidentielle, avait obtenu de l'instance sous-régionale lors de son audience du 7 février, le rejet des demandes d’incompétence et d’irrecevabilité formulées par l’Etat sénégalais.
UN POÈME DE MEÏSSA MATY NDIAYE POUR DES ÉLECTIONS APAISÉES
L’écrivain sénégalais Meïssa Maty Ndiaye vient de sortir un poème dans lequel il appelle à une présidentielle apaisée, joignant de cette manière sa voix à celle de personnalités sénégalaises dont les initiatives sont allées dans le même sens
Dakar, 20 fév (APS) - L’écrivain sénégalais Meïssa Maty Ndiaye vient de sortir un poème dans lequel il appelle à une présidentielle apaisée, joignant de cette manière sa voix à celle de personnalités sénégalaises dont les initiatives sont allées dans le même sens.
Dans son poème parvenu à l’APS et intitulé "Nos voix pour la paix", le lauréat du Festival national des arts et cultures (FESNAC), édition 1999, écrit : "Nous aimons tous le Sénégal/À chaque fils son amour pour la patrie/Élection et Paix font battre tous les cœurs/Taisons nos passions par la noblesse !/Posons nos choix dans la liberté !".
Il ajoute : "Sœurs et frères de notre prestigieuse Nation sénégalaise/Toute l’Afrique nous écoute/Tout le monde nous attend/Notre récolte doit tenir la promesse de nos graines/Notre vision humaine sera sublime/Si le collectif surpasse l’individuel/Si les instincts avares sont dominés/Si la patrie passe avant les intérêts partisans/Et ce sera en toute beauté le règne de l’Esprit/La victoire de notre digne peuple si avide de paix".
Le poète conclut : "Nous serons tous unis face à nos grandes missions/Pour construire sans décevoir le pays rêvé de TOUS/Le Sénégal des grandes valeurs morales et éthiques/Le Sénégal des grands érudits et fils exceptionnels/Le Sénégal d’un État de droit Démocratique et Protecteur des faibles/Paix, Paix, Paix, nous te chantons et te chanterons toujours !"
Meïssa Maty Ndiaye, lauréat du concours national de poésie (FESNAC 1999), avait déjà publié, à partir de 2002, un triptyque poétique aux couleurs nationales, dont le dernier, "Lumières jaunes", date de 2013. Il avait sorti quelques années auparavant "Lumières rouges" (2006) et "Lumières vertes" (2002). Cette dernière publication a été rééditée en 2004.
Trois livres qui venaient fermer "dix années d’effort créateur. Souffle généreux de l’engagement militant, énergie débordante de l’éducateur dont le souci est d’offrir à la jeunesse une lecture saine, tout en rappelant aux aînés les valeurs cardinales qui ont forgé notre identité à travers les générations", selon un de ses préfaciers.
Il a dernièrement publié, dans le même esprit, un recueil de poésie intitulé "L’œil du poète et la misère", une œuvre centrée sur le devoir de solidarité à l’égard des plus humbles.
M. Ndiaye, enseignant à la retraite, a également à son actif un livre publié en langue nationale wolof, "Yobbalu Tuut Tànk Yi" (2014), dont l’ambition est de contribuer à la correction des enfants et à l’éveil de leur bon sens.