«AVOIR DES TROPHEES ET FAIRE GRANDIR DES GENERATIONS DE JOUEURS»
Me Augustin Senghor voit le Mondial U20 comme une étape permettant aux jeunes footballeurs sénégalais de grandir et de perpétuer une dynamique positive

Me Augustin Senghor voit le Mondial U20 comme une étape permettant aux jeunes footballeurs sénégalais de grandir et de perpétuer une dynamique positive. «Dans le football des jeunes, nous nous battons pour avoir des trophées mais pour faire grandir des générations de joueurs qui vont perpétuer cette dynamique positive qui s’est installée dans toutes nos équipes nationales depuis quelques années. Nous sommes allés à la Can et avons pris l’engagement d’aller à la conquête d’un titre plus important, qui est la Coupe du monde», a -t-il déclaré lors de la remise du drapeau à l’équipe nationale U20 en partance à la Coupe du monde en Pologne, hier, vendredi 10 mai.
SENGHOR REMERCIE MACKY SALL ET MATAR BA ET CHARGE LES DETRACTEURS DE LA «CO-GESTION»
«Nous avons la chance d’avoir une nouvelle génération, une nouvelle cuvée excellente en qualité technique et en qualités humaines. C’est une chance pour notre football d’avoir de la base au sommet, de nouvelles valeurs qui sont promues. C’est un plus et la continuité pour battre un football performant. Nous avons joué une demi-finale et un 8e de finale. Nous essayerons de faire mieux. Nos jeunes ont la capacité technique, physique et morale. Nous avons un groupe motivé à honorer le drapeau national que vous allez nous remettre», relève-t-il. «Si le football a fait des progrès, c’est grâce au Président de la République, par son appui constant. Le ministre des Sports a réinventé une nouvelle approche qui permet à toutes les fédérations de se sentir à l’aise», ajoute-t-il tout en fustigeant «la démarche de ceux qui veulent torpiller le travail de la Fédération sénégalaise de football et qui veulent qu’il ait conflits avec le ministère des sports». «Nous continuerons avec le ministère des sports dans cette logique que l’on appelle la co-gestion. Quoi que les gens puissent dire et faire», a-t-il soutenu.