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21 mai 2025
MODOU LÔ VS AMA BALDÉ, AU NOM DE LA COURONNE !
Enfin ! diront les amateurs du sport de chez nous. Ils auront le droit de savourer un choc de titans attendu depuis 2020. L’Arène mais aussi tout un pays retiendra son souffle, ce dimanche 5 novembre, pour le dénouement du combat Modou Lo – Ama Baldé, fic
Enfin ! diront les amateurs du sport de chez nous. Ils auront le droit de savourer un choc de titans attendu depuis 2020. L’Arène mais aussi tout un pays retiendra son souffle, ce dimanche 5 novembre, pour le dénouement du combat Modou Lo – Ama Baldé, ficelé depuis trois ans et qui a connu plusieurs reports pour diverses raisons. Un derby Pikine – Parcelles entre deux lutteurs aux styles distincts qui remet la lutte avec frappe au-devant de l’actualité comme durant les années fastes de notre sport national.
Depuis le 28 juillet 2019, date à laquelle il avait pulvérisé Eumeu Séne d’un uppercut dévastateur et glané le titre de Roi des arènes, Modou Lô attendait l’occasion de descendre de nouveau dans une enceinte. Ce devrait être le cas ce dimanche pour un combat tant attendu face à un challenger qui l’a tant défié et qu’il a battu en «mbapat» (tournoi de lutte traditionnelle). Un jeune loup aux dents longues qui ne rêve que de le terrasser et lui chiper cette fameuse couronne. Mais celui qui est surnommé Xaragne (téméraire) n’en aura cure pour avoir l’habitude de disputer des combats prestigieux. Avec un palmarès riche de 20 victoires, 3 défaites (terrassé par Bombardier et à deux reprises par Balla Gaye 2) et un match nul, la tête de file de l’écurie Rock Energie ne semble voir en Ama Baldé qu’un adversaire de plus dans sa carrière déjà bien glorieuse. Car au royaume des surdoués, Modou Lô ne ferait pas grise mine. Il serait dans son élément. Alliant classe et aisance technique, le chouchou des Parcelles Assainies trône sur le toit de la lutte avec frappe depuis quatre ans malgré un gabarit loin d’en faire un colosse. Grâce à une témérité sans faille, des mains aussi droites que foudroyantes dignes d’un boxeur et une technique hors pair qui en fait l’un des meilleurs dans l’arène, le chouchou des Parcelles assainies a su s’imposer dans un milieu d’habitude propice aux grands gabarits. Il ne compte d’ailleurs pas céder cette couronne à Ama Baldé. «Je ferai tout pour garder le titre de roi. Je suis même prêt à prendre ma retraite avec ce titre», a déclaré Modou Xaragne Lô mercredi lors de son open presse dans un stade des Parcelles Assainies plein comme un œuf.
Ama Baldé, devenir le 8ème Roi des arènes !
Face à l’ambitieux Ama Baldé, le roc des Parcelles Assainies ne pourra pas prendre ce combat à la légère. Benjamin d’une famille dont le nom renvoie à la lutte, le leader de l’écurie Falaye Baldé marche sur les pas de son défunt père, l’icône Falaye qui, de son vivant, avait prédit un avenir radieux à son fils dans la discipline. L’ascension fulgurante du chouchou des Pikinois vers le sommet lui donne raison, même si la tâche s’avère herculéenne pour le jeune prodige qui s’illustre au fil de ses sorties. «Seuleu bou ndaweu» dispute le prestigieux titre de roi des arènes à Modou Lô pour les besoins d’un derby de la banlieue (Pikine-Parcelles Assainie) parti pour figurer parmi les grandes attractions de cette saison après trois ans d’attente. Ama Baldé a les armes pour faire vaciller n’importe quel adversaire avec cette fougue de toujours, sa capacité d’enchainer les actions et sa promptitude à abréger ses combats. Face à un redoutable belligérant qui est un redoutable contre-attaquant et qui aime lutter jusqu’à l’usure, l’enfant chéri de Pikine aura face à lui un véritable dur à cuire.
En tant que digne fils d’un Falaye Baldé au palmarès impressionnant (135 victoires, 2 défaites et 1 nul), Ama compte 13 victoires en 15 combats (contre deux défaites contre Ness et Gouy-Gui), et possède les atouts nécessaires pour remporter ce combat. L’ambition de devenir le 8ème roi des arènes après Manga 2, Tyson, Bombardier (2 fois), Yékini, Balla Gaye 2, Eumeu Sène et Modou Lô motive et dope Ama Baldé devenu le porte-étendard de Pikine dont les anciens champions s’impliquent à fond dans ce combat qui a valeur de reconquête après les couronnements de Tyson et Eumeu Sène. Invaincu depuis le 27 mai 2021, il pourra aussi compter sur toute une ville qui ne rêve que de le voir couronner à domicile.
L’édifice de 20 000 places pourrait s’avérer trop étroite pour accueillir les fans des deux lutteurs les plus populaires du Sénégal. Luc Nicolaï a tenu à rassurer tout le monde avec l’engagement pris d’assurer une sécurité exceptionnelle dans le stade et dans les alentours mais également de réussir le pari de l’organisation avec une panoplie de décisions prises comme la vente des tickets le jour-même du combat. Doté du drapeau de l’ancien Tigre de Fass, Tapha Guèye, Modou Lô – Ama Baldé aura eu le mérite de raviver la flamme d’une discipline qui en avait besoin pour retrouver de sa superbe. «Lamb dékina» diront les puristes pour un dimanche qui tiendra tout un pays en haleine.
DES TIRS NOURRIS ENTENDUS À KALOUM, CENTRE ADMINISTRATIF DE CONAKRY
Des tirs nourris ont été entendus, ce 4 novembre, à Kaloum, centre administratif de Conakry. La maison centrale de Coronthie où se trouvent plusieurs détenus célèbres aurait été attaquée par un groupe d’hommes armés. Le capitaine Moussa Dadis Camara, ex-c
Des tirs nourris ont été entendus, ce 4 novembre, à Kaloum, centre administratif de Conakry. La maison centrale de Coronthie où se trouvent plusieurs détenus célèbres aurait été attaquée par un groupe d’hommes armés. Le capitaine Moussa Dadis Camara, ex-chef de la junte de 2009, se serait évadé.
Selon les informations du correspondant de TV5MONDE sur place, certains détenus en lien avec les évènements du massacre du 28 septembre 2009 auraient possiblement été exfiltrés par ces hommes lourdement armés.
Le centre-ville serait bloqué depuis l’aube, pas d’entrée ni de sortie. Kaloum est le siège de la présidence, du gouvernement, des institutions, du quartier général de l’armée mais aussi de la prison centrale.
PAR Alioune Tine
ORGANISER LE DIALOGUE LA DERNIERE CHANCE
La solution salvatrice c’est le dialogue de la dernière chance. Aujourd’hui, le président de la République Macky Sall doit absolument créer les conditions d’une présidentielle transparente
Il faut absolument s’arrêter, décrisper, apaiser et organiser le dialogue de la dernière chance pour apurer pacifiquement avec lucidité et responsabilité les contentieux pré-électoraux qui agitent en permanence le champ politique et social sénégalais et qui risquent d’entrainer un processus électoral toxique de la présidentielle de 2024.
Les Sénégalais n’ont jamais vécu un processus présidentiel, si tendu, si violent et si marqué de façon continue par la série noire des contentieux sur l’éligibilité, depuis mars 2021.
Le seul point positif qui permet encore de croire à la possibilité d’une résilience démocratique, c’est la focalisation sur le débat juridique, le dynamisme du débat politique par sa diversité, sa force et sa pertinence : c’est une forme d’évaluation critique de la démocratie, de l’Etat de droit et du suffrage universel.
Le droit, la justice et la régulation électorale n’arrivent plus à régler les contentieux, les malentendus, les divergences politiques profondes qu’on a tendance à réguler par la violence et par la force (violence d’Etat vs violence de la rue), qui ne règlent rien dans la durée sinon installer le pays dans le surplace, la régression et le régime de l’incertain, dans un contexte géopolitique mondial et régional marqué par les conflits et le désordre.
La solution salvatrice c’est le dialogue de la dernière chance. Aujourd’hui, le président de la République Macky Sall doit absolument créer les conditions d’une présidentielle transparente, apaisée et inclusive en prenant des initiatives inédites sur le processus électoral en cours car le président doit imprimer sa marque et sa sortie par des initiatives démocratiques hardies en continuité de l’évolution de l’histoire politique et démocratique du Sénégal. Il est temps de rassurer le Sénégal et l’Afrique sur les capacités de résilience politique et démocratique du pays et d’éviter le basculement vers l’indignité que tout le monde créé en ce moment. Il est temps de mettre un terme sur les controverses sans fin sur processus électoral de la présidentielle de 2024.
Il faut absolument apaiser, décrisper et créer les conditions de succès du dialogue de la dernière chance par des mesures politiques audacieuses qui permettent de réconcilier les sénégalais avec la politique et avec leur Président.
L’autre décision pour apaiser et restaurer la confiance en l’Etat et aux autorités, c’est de traiter sans délai et avec lucidité la défiance de la jeunesse par rapport aux capacités du pays à leur offrir un rêve, un avenir au Sénégal en dépit des promesses de prospérité du pétrole et du gaz.
L’Etat semble tétanisé et impuissant face au phénomène de l’exode massif des jeunes vers l’Europe et les USA, ce qui nous interpelle en tant qu’Etat, citoyens et parents. En aucun cas, cette situation ne doit être politisée car c’est par une réflexion collective, lucide et sereine qu’on pourrait la régler.
Pour la stabilité du pays dans la durée et pour sortir des impasses, et traverser et résoudre les difficultés ensemble afin de montrer que le Sénégal n’a rien perdu de ses capacités de résilience, de ressaisissement, de remise en question, d’introspection, de prospection, de capacité de restauration de la dignité nationale, de la confiance et de la concorde nationale, envisager sans délai un dialogue de la dernière chance pour nous prémunir des menaces complexes et souvent imprévisibles auxquelles il faut faire face en se serrant les coudes : faire nation et faire humanité.
SUSPENSION DE L’EXPORTATION DE LA FERRAILLE : LES ACTEURS DANS TOUS LEURS ÉTATS
Les acteurs du secteur de la ferraille protestent contre la décision de l’Etat de suspendre l’exportation de cette matière. En conférence de presse, ils ont appelé Abdou Karim Fofana à revoir sa décision.
Les acteurs du secteur de la ferraille protestent contre la décision de l’Etat de suspendre l’exportation de cette matière. En conférence de presse, ils ont appelé Abdou Karim Fofana à revoir sa décision. Le ministre du Commerce, de la Consommation et des Pme a obtenu l’accord favorable de son collègue des Finances et du Budget la suspension temporaire de l’exportation de la ferraille en attendant l’aboutissement des discussions en cours entre les services de l’Etat et les acteurs du secteur béton et ferraille.
Abdou Karim Fofana, invoquant des difficultés des industries locales à s’approvisionner suffisamment en ferraille, avait sollicité la suspension. C’est chose faite, mais cette mesure ne fait pas l’unanimité au sein des acteurs de la ferraille. «Les ferrailleurs et les exportateurs se sont réunis pour échanger sur le secteur. Il y a beaucoup de personnes qui sont en train de le politiser ; ce qui est la cause de toutes ces difficultés auxquelles nous sommes confrontés», a affirmé Ahmadou Tall, président des ferrailleurs du Sénégal. Tabaski Ndiaye et ses camarades demandent aux autorités d’ouvrir le dialogue avec les acteurs parce que des «lobbies ont infiltré leur secteur pour créer le désordre et mettre la main sur l’économie de la ferraille au Sénégal». Les acteurs sollicitent l’intervention du Premier ministre Amadou Ba pour mettre un terme au «désordre» qui règne dans le secteur de la ferraille.
SUSPENSION DE L’EXPORTATION DE LA FERRAILLE : LES ACTEURS DANS TOUS LEURS ÉTATS
Les acteurs du secteur de la ferraille protestent contre la décision de l’Etat de suspendre l’exportation de cette matière. En conférence de presse, ils ont appelé Abdou Karim Fofana à revoir sa décision.
Les acteurs du secteur de la ferraille protestent contre la décision de l’Etat de suspendre l’exportation de cette matière. En conférence de presse, ils ont appelé Abdou Karim Fofana à revoir sa décision. Le ministre du Commerce, de la Consommation et des Pme a obtenu l’accord favorable de son collègue des Finances et du Budget la suspension temporaire de l’exportation de la ferraille en attendant l’aboutissement des discussions en cours entre les services de l’Etat et les acteurs du secteur béton et ferraille.
Abdou Karim Fofana, invoquant des difficultés des industries locales à s’approvisionner suffisamment en ferraille, avait sollicité la suspension. C’est chose faite, mais cette mesure ne fait pas l’unanimité au sein des acteurs de la ferraille. «Les ferrailleurs et les exportateurs se sont réunis pour échanger sur le secteur. Il y a beaucoup de personnes qui sont en train de le politiser ; ce qui est la cause de toutes ces difficultés auxquelles nous sommes confrontés», a affirmé Ahmadou Tall, président des ferrailleurs du Sénégal. Tabaski Ndiaye et ses camarades demandent aux autorités d’ouvrir le dialogue avec les acteurs parce que des «lobbies ont infiltré leur secteur pour créer le désordre et mettre la main sur l’économie de la ferraille au Sénégal». Les acteurs sollicitent l’intervention du Premier ministre Amadou Ba pour mettre un terme au «désordre» qui règne dans le secteur de la ferraille.
SUSPENSION DE L’EXPORTATION DE LA FERRAILLE, LES ACTEURS DANS TOUS LEURS ETATS
Les acteurs du secteur de la ferraille protestent contre la décision de l’Etat de suspendre l’exportation de cette matière. En conférence de presse, ils ont appelé Abdou Karim Fofana à revoir sa décision.
Les acteurs du secteur de la ferraille protestent contre la décision de l’Etat de suspendre l’exportation de cette matière. En conférence de presse, ils ont appelé Abdou Karim Fofana à revoir sa décision. Le ministre du Commerce, de la Consommation et des Pme a obtenu l’accord favorable de son collègue des Finances et du Budget la suspension temporaire de l’exportation de la ferraille en attendant l’aboutissement des discussions en cours entre les services de l’Etat et les acteurs du secteur béton et ferraille.
Abdou Karim Fofana, invoquant des difficultés des industries locales à s’approvisionner suffisamment en ferraille, avait sollicité la suspension. C’est chose faite, mais cette mesure ne fait pas l’unanimité au sein des acteurs de la ferraille. «Les ferrailleurs et les exportateurs se sont réunis pour échanger sur le secteur. Il y a beaucoup de personnes qui sont en train de le politiser ; ce qui est la cause de toutes ces difficultés auxquelles nous sommes confrontés», a affirmé Ahmadou Tall, président des ferrailleurs du Sénégal. Tabaski Ndiaye et ses camarades demandent aux autorités d’ouvrir le dialogue avec les acteurs parce que des «lobbies ont infiltré leur secteur pour créer le désordre et mettre la main sur l’économie de la ferraille au Sénégal». Les acteurs sollicitent l’intervention du Premier ministre Amadou Ba pour mettre un terme au «désordre» qui règne dans le secteur de la ferraille.
MOUSSA DADIS CAMARA ÉVADÉ DE PRISON
Dans la nuit de vendredi à samedi, un commando a pris d'assaut la plus grande prison de Guinée, faisant évader plusieurs détenus. Il s'agit notamment de l'ancien chef de la junte et de deux de ses co-accusés, jugés pour le massacre du 28 septembre
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 04/11/2023
Dans la nuit de vendredi à samedi, un commando a pris d'assaut la Maison centrale de Conakry, la plus grande prison de Guinée, faisant évader plusieurs détenus de haut vol, selon les informations obtenues par Jeune Afrique.
"Des individus lourdement armés ont fait évader plusieurs des accusés dans le procès du massacre du 28 septembre 2009, à commencer par l’ancien homme fort du pays, le capitaine Moussa Dadis Camara, mais aussi Claude Pivi et Blaise Goumou", rapporte une source proche du dossier.
Dirigé par le fils de Claude Pivi, ancien membre des Forces spéciales et ex-ministre de la Sécurité présidentielle sous la junte de Dadis Camara, le commando composé de quatre véhicules pick-up a réussi à soustraire les détenus les plus surveillés.
Il s'agit notamment de l'ancien chef de la junte Dadis Camara et de deux de ses co-accusés, jugés depuis septembre 2022 pour le massacre du 28 septembre 2009, lors duquel plus de 150 personnes avaient été tuées au stade de Conakry sur ordre de Camara.
"Les détenus qui sont parvenus à fuir comptaient parmi les plus surveillés du pays. Ils se sont évadés alors que le régisseur de la prison venait de rentrer d'une formation à l'étranger", précise la source.
Des opérations de ratissage ont été lancées dans la capitale mais restent pour l'heure sans résultats, ce qui constitue un coup de théâtre majeur dans ce procès très attendu en Guinée.
ABDOULAYE SYLLA, NOUVEAU PRESIDENT DE LA CENA
Le nouveau président de la Commission nationale électorale autonome (CENA), Abdoulaye Sylla est un inspecteur général d’État de classe exceptionnelle. Il est né en 1956 à Dakar.
Le nouveau président de la Commission nationale électorale autonome (CENA), Abdoulaye Sylla est un inspecteur général d’État de classe exceptionnelle. Il est né en 1956 à Dakar.
Cet ingénieur des travaux d’aménagement du Territoire est diplômé de l’École nationale d’Économie appliquée. M. Sylla est un administrateur civil breveté de l’École Nationale d’Administration (ENA). Dans sa brillante carrière, il a entre autres occupé les fonctions de juge au Conseil constitutionnel, président de l’Autorité de Régulation des Marchés publics, Conseiller technique du Premier Ministre. Abdoulaye Sylla sera aidé dans sa charge par le magistrat Ndary Touré, nommé vice-président de la CENA.
L’inspecteur général d’État Cheikh Awa Balla Fall, Serigne Amadou Ndiaye, professeur des universités, les administrateurs civils Cheikh Tidiane Ndoye et Léopold Wade, et le commissaire de police Mamadou Marème Diallo, également à la retraite sont désormais membres de la Commission électorale nationale autonome.
Aminata Fall Niang, professeure des universités, la journaliste Ndèye Rokhaya Mbodji, Mamadou Bocar Niane, un enseignant, la notaire Aïssatou Sow, et la conseillère en décentralisation Fatou Kiné Diop ont été aussi nommés membres de la CENA, selon un décret du président de la République. Les membres de cette institution chargée de la supervision et du contrôle des élections exercent un mandat de six ans.
POURVOI EN CASSATION DE L’ÉTAT CONTRE SONKO : LA COUR SUPRÊME TRANCHE LE 17 NOVEMBRE
L’ultime combat entre Sonko et l’Agent judiciaire de l’Etat (Aje) se jouera finalement le vendredi 17 novembre 2023, à 10h, a appris E-Media.
L’ultime combat entre Sonko et l’Agent judiciaire de l’Etat (Aje) se jouera finalement le vendredi 17 novembre 2023, à 10h, a appris E-Media. L’Etat du Sénégal, à travers son agent judiciaire, avait formé un pourvoi en cassation après que le président du Tribunal d’instance de Ziguinchor a ordonné l’annulation de la radiation du maire de Ziguinchor des listes électorales et, par conséquent, sa réintégration.
La Direction générale des élections (Dge), qui s’était basée sur la radiation pour refuser de remettre les fiches de parrainage au mandataire de Sonko, dit attendre la décision de la Cour suprême. Et c’est le même argument que Thiendella Fall a servi à la Cena.
POURVOI EN CASSATION DE L’ÉTAT CONTRE SONKO : LA COUR SUPRÊME TRANCHE LE 17 NOVEMBRE
L’ultime combat entre Sonko et l’Agent judiciaire de l’Etat (Aje) se jouera finalement le vendredi 17 novembre 2023, à 10h, a appris E-Media.
L’ultime combat entre Sonko et l’Agent judiciaire de l’Etat (Aje) se jouera finalement le vendredi 17 novembre 2023, à 10h, a appris E-Media. L’Etat du Sénégal, à travers son agent judiciaire, avait formé un pourvoi en cassation après que le président du Tribunal d’instance de Ziguinchor a ordonné l’annulation de la radiation du maire de Ziguinchor des listes électorales et, par conséquent, sa réintégration.
La Direction générale des élections (Dge), qui s’était basée sur la radiation pour refuser de remettre les fiches de parrainage au mandataire de Sonko, dit attendre la décision de la Cour suprême. Et c’est le même argument que Thiendella Fall a servi à la Cena.