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24 juin 2025
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LE CRI DU CŒUR D'AMY SARR FALL POUR LA JEUNESSE SÉNÉGALAISE
Face à l'ampleur de l'immigration irrégulière, elle appelle à agir en amont pour donner aux jeunes Sénégalais des raisons d'espérer. Selon elle, le sentiment de ne rien représenter dans la société et le vide spirituel sont des moteurs puissants du départ
Invitée de l'émission Objection ce dimanche sur Sud FM, Amy Sarr Fall, directrice d'Intelligences Magazine, a livré un vibrant plaidoyer en faveur de la jeunesse de son pays.
Face à l'ampleur de l'immigration irrégulière, elle appelle à agir en amont pour donner aux jeunes Sénégalais des raisons d'espérer et de s'accrocher. Selon elle, le sentiment de ne rien représenter dans la société et le vide spirituel sont des moteurs puissants du départ.
En cette année électorale, Amy Sarr Fall presse les acteurs politiques d'apaiser le climat afin de garantir le bon déroulement du scrutin. Elle met aussi l'accent sur l'urgence de réformer le système éducatif pour permettre aux jeunes de développer leur citoyenneté.
À propos de l'actualité internationale, l'invitée de Baye Omar Gueye se dit dévastée par la situation en Palestine et appelle à plus d'humanisme, rappelant que chaque vie compte de la même manière.
L'HÉRITIER BALDÉ DÉFIE LE ROI LÔ
Jour de vérité pour Modou Lô et Ama Baldé. Quatre ans après, le combat de légendes se tient enfin ce dimanche à Dakar. L'héritage de Falaye Baldé en jeu
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 05/11/2023
Le choc tant attendu entre le Roi des arènes Modou Lô et le challenger Ama Baldé aura enfin lieu ce dimanche 5 novembre 2023 à Dakar. Ce combat mythique, scellé depuis 2019 mais reporté à deux reprises en raison de blessures du détenteur de la couronne, promet de tenir en haleine les amateurs de lutte sénégalaise.
Fils de la légende Falaye Baldé, décédé en 2013 après une carrière exceptionnelle (137 combats, 2 matchs nuls et 3 défaites), Ama Baldé (33 ans) incarne l'héritier tout désigné. "Aux lutteurs bien nés, la valeur n’attend point le nombre d’années", comme le rappelle RFI. Entré dans l'arène dès l'âge de 20 ans, le lutteur de Pikine compte 13 victoires en 15 combats, ne s'inclinant que deux fois.
"Ama Baldé est plus volcanique. Il aime marcher sur ses adversaires et prendre le combat à son compte", analyse pour RFI Abdoulaye Dembélé, journaliste spécialiste de la lutte sénégalaise. Face à lui, Modou Lô (38 ans), installé sur le trône depuis juillet 2019 et deux victoires sur Eumeu Sène, possède "l'expérience d'affronter tous types d'adversaires". Le Roc des Parcelles sera donc favori pour ce combat événement.
En jeu également, la suprématie sur la banlieue dakaroise, avec d'un côté le champion des Parcelles Assainies et de l'autre "l'espoir de tout Pikine". La ville cherchera par la voix d'Ama Baldé à reprendre le trophée laissé par Eumeu Sène, venu soutenir le jour de la conférence de presse son "jeune frère".
Pour ce combat, promu par Luc Nicolaï, Modou Lô empochera 150 millions de cachet contre 100 millions pour son challenger. Lequel n'envisage que la victoire, pour lui comme pour sa ville de Pikine. La lutte sénégalaise tient donc son choc de l'année ce dimanche.
L’ASSOCIATION DES PROFESSIONNELS COMPTABLES, ADMINISTRATIFS, FINANCIERS… LANCÉE
Professionnels comptables, fiscalistes et économistes ont procédé, samedi 4 novembre 2023, à la mise sur pied de l'Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, Fiscalistes et Economistes (APCAF). Il s’agit, selon son président Al
Professionnels comptables, fiscalistes et économistes ont procédé, samedi 4 novembre 2023, à la mise sur pied de l'Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, Fiscalistes et Economistes (APCAF). Il s’agit, selon son président Alassane Sow, d’un cadre de concertation entre professionnels, comptables, administratifs, financiers et fiscalistes qui exercent dans des entités publiques, parapubliques, privées, fondations et ONGs.
« Les spécificités des différentes entités dans notre pays, le Sénégal suffisent pour justifier la mise sur pied d’un cadre d’échanges entre professionnels venant d’entités spécifiques et soucieux d’adapter les pratiques comptables à leur réalité afin d’harmoniser les bonnes pratiques dans des entités similaires », a notamment déclaré M. Sow devant la presse.
Le cadre de concertation que mettons aura pour mission de développer les échanges entre professionnels sur toutes les questions comptables, financières, juridiques, fiscales et sociales concernant les Agences, Projets, Programmes, Autorités, Haute autorités, Commissions, Délégations, Etablissements publics, Entreprises du secteur parapublic, Entreprises du secteur privé, ONGs, etc.
L’APCAF entend, également, faire la promotion des bonnes pratiques comptables et fiscales mais également porter le plaidoyer auprès de l’État du Sénégal.
M. Mor DIENG, président de l’Ordre Nationale des Experts Comptables et Comptables Agréés du Sénégal (ONECCA), est le président d’honneur de l’Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, et Fiscalistes (APCAF).
« Dans ce monde en constante évolution, la collaboration entre nos différentes spécialités est essentielle pour répondre aux défis complexes auxquels sont confrontés nos Etats, nos entreprises et les organisations. En unissant nos forces, en partageant nos connaissances et en apprenant les uns des autres nous pourront offrir un meilleur service à tous les acteurs qui ont besoin de nous », a déclaré M. Dieng qui s’est dit honoré de voir la naissance de cette l’APCAF.
L’ASSOCIATION DES PROFESSIONNELS COMPTABLES, ADMINISTRATIFS, FINANCIERS… LANCÉE
Professionnels comptables, fiscalistes et économistes ont procédé, samedi 4 novembre 2023, à la mise sur pied de l'Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, Fiscalistes et Economistes (APCAF). Il s’agit, selon son président Al
Professionnels comptables, fiscalistes et économistes ont procédé, samedi 4 novembre 2023, à la mise sur pied de l'Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, Fiscalistes et Economistes (APCAF). Il s’agit, selon son président Alassane Sow, d’un cadre de concertation entre professionnels, comptables, administratifs, financiers et fiscalistes qui exercent dans des entités publiques, parapubliques, privées, fondations et ONGs.
« Les spécificités des différentes entités dans notre pays, le Sénégal suffisent pour justifier la mise sur pied d’un cadre d’échanges entre professionnels venant d’entités spécifiques et soucieux d’adapter les pratiques comptables à leur réalité afin d’harmoniser les bonnes pratiques dans des entités similaires », a notamment déclaré M. Sow devant la presse.
Le cadre de concertation que mettons aura pour mission de développer les échanges entre professionnels sur toutes les questions comptables, financières, juridiques, fiscales et sociales concernant les Agences, Projets, Programmes, Autorités, Haute autorités, Commissions, Délégations, Etablissements publics, Entreprises du secteur parapublic, Entreprises du secteur privé, ONGs, etc.
L’APCAF entend, également, faire la promotion des bonnes pratiques comptables et fiscales mais également porter le plaidoyer auprès de l’État du Sénégal.
M. Mor DIENG, président de l’Ordre Nationale des Experts Comptables et Comptables Agréés du Sénégal (ONECCA), est le président d’honneur de l’Association des Professionnels Comptables, Administratifs, Financiers, et Fiscalistes (APCAF).
« Dans ce monde en constante évolution, la collaboration entre nos différentes spécialités est essentielle pour répondre aux défis complexes auxquels sont confrontés nos Etats, nos entreprises et les organisations. En unissant nos forces, en partageant nos connaissances et en apprenant les uns des autres nous pourront offrir un meilleur service à tous les acteurs qui ont besoin de nous », a déclaré M. Dieng qui s’est dit honoré de voir la naissance de cette l’APCAF.
CINQ MORTS DANS UN ACCIDENT SUR LA ROUTE DE BAMBILOR
C'est encore une triste nouvelle qui nous provient des routes dakaroises. Un choc frontal entre une voiture de type Dacia et un camion a ôté la vie à 5 personnes ce samedi, vers Bambilor.
iGFM - (Dakar) C'est encore une triste nouvelle qui nous provient des routes dakaroises. Un choc frontal entre une voiture de type Dacia et un camion a ôté la vie à 5 personnes ce samedi, vers Bambilor.
C'est un terrible accident qui s'est produit ce samedi, sur la route de Bambilor. En effet, un choc entre un véhicule de marque Dacia et un camion a fait 5 morts. Malheureusemet, une fillette de 3 ans fait partie des victimes. Le chauffer de la Dacia s'est évanoui dans la nature après l'accident. Le Choc a eu lieu à hauteur de Tolu Thiam.
"C'est un accident de la circulation entre un véhicule particulier Dacia et un camion. Malheureusement le bilan est de 5 corps sans vie. Nous avons envoyé les corps sans vie vers les districts sanitaires", indique le Capitaine Jeannot Sagna, commandant de la 14e compagnie des sapeurs pompiers de Rufisque.
Les victime sont de sexe féminin, toutes du quartier Keurikaw de Bambilor. Elles allaient à un baptême à la Cité Raffinerie de Mbao
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MANIFESTATION DE SOUTIEN À LA PALESTINE
Écoles, hôpitaux et civils pris pour cible à Gaza : lors d'un rassemblement à Dakar ce samedi 4 novembre, de nombreux manifestants ont haussé le ton contre l'apathie mondiale face aux "exactions" d'Israël
L’Esplanade de l’Institut islamique de Dakar a abrité ce samedi, dans l’après-midi, une manifestation de soutien à la Palestine et aux habitants de la bande de Gaza en proie au blocus et aux bombardements israéliens depuis le 7 octobre, a constaté l’APS.
Ils étaient nombreux, hommes, femmes et enfants à se rassembler à l’initiative de l’Alliance nationale pour la cause palestinienne au Sénégal, brandissant des drapeaux et arborant des écharpes aux couleurs de la Palestine. Ils ont dénoncé »l’injustice » et le »silence » des grandes puissances face aux massacres de civils par l’Armée israélienne.
“Israël est venu dans cette guerre en coupant l’eau, l’Internet et l’électricité. Ce qui est non réglementaire dans une guerre. Et au niveau international, on a rien vu, on a entendu aucune réaction rigoureuse pour dénoncer ces faits », a déploré Mohamed Nazire Ndom, un des organisateurs de cette manifestation pacifique.
“Nous soutenons à mille pour cent la Palestine, nous soutenons également les résolutions des Nations Unies et nous demandons à l’Etat du Sénégal de durcir le ton pour que les agressions contre la Palestine s’arrêtent dans les meilleurs délais », a-t-il-ajouté.
Pour Mohamed Nazire Ndom, la communauté internationale doit agir pour permettre à la Palestine d’avoir son propre Etat.
Une manifestante a qualifié de »génocide » ce qui se passe actuellement dans la bande de Gaza.
“Il s’agit clairement d’un génocide. On ne peut plus le nier. Avec les réseaux sociaux, le monde voit ce qui se passe », a affirmé Sandra, une libano-guinéenne installée à Dakar
“Tout le monde a constaté le silence des organisations internationales en qui on a placé notre confiance, en qui on a placé nos voix et nos pouvoirs mais qui ne font rien. Aujourd’hui, ce nous que pouvons faire, c’est de sortir dans les rues pour crier et partager notre peine avec le peuple opprimé de la Palestine », a-t-elle-dit.
Pour Sala Diop, maitre coranique, les bombardements contre les hôpitaux et les écoles dans la bande de Gaza »sont des actes inacceptables » qui méritent d’être condamnés par »tous les peuples épris de justice ».
“On bombarde les écoles, les hôpitaux. On tue les enfants et les femmes, et les Etats regardent sans agir. Je crois c’est inhumain, nous sommes là pour dénoncer ces faits et dire que nous sommes de tout cœur avec la Palestine », a-t-il lancé.
L'ESSAI CHOC DE LÉONORA MIANO CONTRE LES DÉRIVES DE LA BLANCHITÉ
Dans son dernier essai "L'opposé de la blancheur", publié en novembre aux Éditions du Seuil, l'écrivaine camerounaise lance un appel radical à déconstruire la notion de "blanchité"
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 04/11/2023
Dans son dernier essai "L'opposé de la blancheur", publié en novembre aux Éditions du Seuil, l'écrivaine camerounaise Léonora Miano lance un appel radical à déconstruire la notion de "blanchité". Cette notion qu'elle a elle-même forgée est au cœur de sa réflexion sur l'esclavage, la colonisation et le racisme.
Née à Douala au Cameroun et élevée en France après l'âge de 6 ans, Léonora Miano est une figure majeure de la littérature africaine contemporaine. Ses nombreux romans et essais témoignent d'une analyse lucide et engagée sur ces sujets brûlants d'actualité.
Interrogée par le quotidien L'Humanité, l'autrice explique que la "blanchité" s'est imposée comme modalité de pouvoir à la fin du 16ème siècle, lorsque l'Europe est devenue conquérante et dominatrice. Cette époque a laissé des traces dans nos représentations et nos rapports aux autres, estime-t-elle, même après l'abolition des esclavages et colonies.
Pour Léonora Miano, il s'agit donc de comprendre "pourquoi, à un moment de l'histoire, on a eu besoin de s'inventer blanc face aux autres". Sans volonté de culpabilisation mais de manière "très objective", il faut regarder comment ce passé "nous habite encore", et peut influencer le regard que l'on porte sur l'autre.
Car selon l'écrivaine, le racisme perdure en France malgré l'abolition de la fiction raciale. Depuis qu'elle a eu une fille dans l'Hexagone, elle déplore le climat de rejet dont souffrent les personnes "racisées".
Léonora Miano invite ainsi les personnes "racialement favorisées" à un examen de conscience individuel et collectif, afin de faire reculer le racisme désormais "décomplexé". Elle cite en exemple la nécessaire réflexion sur les représentations diffusées dans la culture et l'éducation.
Forte d'une carrière déjà dense entre roman, essai et théâtre, Léonora Miano dit puiser sa vitalité dans la réalisation de ses rêves d'artiste. Ses textes explorent avec audace l'intimité féminine, preuve pour cette passionnée des arts que le changement passe par les imaginaires. Avec cet essai radical, elle appelle à un sursaut national sur ces enjeux majeurs.
L'AFRIQUE À L'ÉPREUVE DE L'INFLUENCE FRANÇAISE
Le 21 novembre, le gouvernement français devra s'expliquer devant le Parlement sur sa stratégie sur le continent africain
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 04/11/2023
Le 21 novembre, le gouvernement français devra s'expliquer devant le Parlement sur sa stratégie en Afrique, annonce le journal Sud Ouest. Emmanuel Macron s'était engagé à cet exercice de transparence auprès des chefs de parti, lors de sa rencontre à Saint-Denis fin août.
Ces débats interviennent alors que le retrait français s'accélère sur le continent. Après le Mali et le Burkina Faso, où des coups d'État ont poussé Paris dehors, l'armée française a dû commencer à se désengager du Niger à la suite d'un putsch.
Élu sur la promesse d'un « nouveau discours » pour l'Afrique dès 2017, Emmanuel Macron a tenté d'impulser un changement de cap moins militaire et davantage tourné vers la société civile. Mais sa stratégie suscite des réserves.
Si la France a condamné le putsch nigérien, elle s'était accommodée du premier coup d'État au Mali en 2020. Elle avait également adoubé le nouveau régime tchadien issu d'une transition non constitutionnelle.
Ces incohérences illustrent, selon le journal, la difficulté pour Paris à faire évoluer son influence sur un continent où les régimes militaires surfent sur le sentiment anti-français pour s'imposer. Le débat parlementaire s'annonce délicat.
AFRIQUE, LE PARI PERDU DU QUINQUENNAT MACRON
Arrivé au pouvoir avec l'ambition d'un "nouveau récit" post-Françafrique, le président français s'est heurté à "un passif trop lourd". Ses discours se sont parfois apparentés à "un vieux paternalisme sous des habits neufs"
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 04/11/2023
Malgré sa volonté affichée de rupture en 2017, Emmanuel Macron n'a pu empêcher le ressentiment des sociétés africaines à l'égard de la France, estime Le Monde dans son éditorial du 4 novembre. Symbole de cet échec: le retrait "humiliant" des troupes françaises du Sahel.
Arrivé au pouvoir avec l'ambition d'un "nouveau récit" post-Françafrique, le président français s'est heurté à "un passif trop lourd". Ses discours se sont parfois apparentés à "un vieux paternalisme sous des habits neufs", prêtant le flanc aux accusations d'ingérence.
Dans une série d'enquêtes, le quotidien démontre "toute la complexité" d'une relation spéciale entretenue par l'histoire mais désormais remise en cause. Car les coups d'Etat au Mali, Burkina et Niger ont fait de l'anti-français "le combustible politique des militaires putschistes".
Parmi les raisons du ressentiment africain, Le Monde note le "double jeu" français avec des autocrates, une approche "trop sécuritaire" au Sahel, la politique migratoire, l'influence russe et le "style cassant" de Macron.
Autre élément majeur: l'intervention en Libye en 2011, dont "les conséquences ont durablement déstabilisé la région". Malgré des gestes sur la restitution du patrimoine africain, "le président français est encore perçu comme l'héritier d'un système à solder".
Avec ce constat très critique, le journal estime que la France est "condamnée au profil bas" dans la région pour les prochaines années.
GUINEE : LE CAPITAINE MOUSSA DADIS CAMARA RAMENÉ EN PRISON
Le capitaine Moussa Dadis Camara, ex-chef de la junte de 2009, sorti de prison, ce 4 novembre, par un commando a été retrouvé dans l’après-midi et a été ramené en prison.
Le capitaine Moussa Dadis Camara, ex-chef de la junte de 2009, sorti de prison, ce 4 novembre, par un commando a été retrouvé dans l’après-midi et a été ramené en prison.
Samedi après-midi, l’armée et l’avocat du capitaine Dadis Camara ont annoncé qu’il avait été retrouvé et ramené en prison.
«Le capitaine Moussa Dadis Camara a été retrouvé sain et sauf et reconduit en prison », a dit à l’AFP le directeur de l’information des armées (Dirpa) Ansouma Toumany Camara, sans préciser les circonstances de la capture. Dans la matinée, son avocat évoquait la possibilité que son client ait été emmené contre son gré. Il était environ 5H00 du matin. Des hommes lourdement armés ont fait irruption à la maison centrale de Conakry. Ils ont réussi à partir avec quatre accusés dans le procès des évènements du 28-Septembre (2009), notamment le capitaine Moussa Dadis Camara.