RECENSEMENT GENERAL DE LA POPULATION, LA SENSIBILISATION PRECONISEE
Abdou Diouf, adjoint du directeur général de l’Agence nationale de statistiques et de la démographie (ANSD), a souligné, mercredi,la nécessité d’accroître la sensibilisation des populations sur les enjeux de la cinquième édition du recensement général

Saint-Louis, 23 fev (APS) – Abdou Diouf, adjoint du directeur général de l’Agence nationale de statistiques et de la démographie (ANSD), a souligné, mercredi, la nécessité d’accroître la sensibilisation des populations sur les enjeux de la cinquième édition du recensement général de la population prévue en mars et juin 2023.
’’La clé du succès pour cette opération, c’est la sensibilisation’’, a-t-il indiqué lors d’un Comité régional de développement (CRD) consacré à la préparation de cette opération. Plus de 27000 agents recenseurs seront recrutés pour mener à bien cette opération.
M. Diouf a demandé aux populations de réserver un bon accueil aux agents enquêteurs afin de leur permettre de faire dans la quiétude leur travail destiné à fournir aux autorités, des statistiques fiables en vue de planifier les projets et programmes publics.
‘’Les agents recenseurs devront avoir un niveau d’études égal ou supérieur au Brevet’’, a précisé Samba Ndiaye, directeur des Statistiques et de la supervision à l’ANSD et superviseur du Comité de veille de ces recensements.
L’adjoint au gouverneur Modou Mamoune Diop est revenu sur les différentes étapes du recensement qui nécessite selon lui une certaine préparation pour informer tous les acteurs.
‘’Les agents recenseurs devront avoir un niveau d’études égal ou supérieur au Brevet’’, a précisé Samba Ndiaye, directeur des Statistiques et de la supervision à l’ANSD et superviseur du Comité de veille de ces recensements.
Il est revenu sur l’importance de la sensibilisation des populations qui ‘’devront réserver un bon accueil’’ aux agents recenseurs, avant de souhaiter l’implication des acteurs communautaires comme les Badienou Gox sur ce terrain.
‘’Le recensement est un exercice coûteux, mais nécessaire’’, selon M. Diop. Il rappelle la règlementation instituant ce type d’activité tous les dix ans ainsi que les engagements du Sénégal auprès des Nations Unies.