SenePlus | La Une | l'actualité, sport, politique et plus au Sénégal
29 juin 2025
VIDEO
GRAND THÉÂTRE- LES DÉCLARATIONS MARQUANTES D'OUSMANE SONKO
Le leader du PASTEF a affirmé avec assurance : « Nous savons où nous allons. Il nous a fallu 10 ans pour construire ce projet. Ce n’est pas maintenant que nous allons nous tromper de combat. »
Le leader du parti Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité (PASTEF), Ousmane Sonko, a tenu une conférence publique le 9 juin 2024 à l'esplanade du Grand Théâtre de Dakar.
Lors de cet événement, il a exprimé son soutien au président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, en soulignant que ce choix était réfléchi et qu'il estimait préférable qu'il occupe ce poste plutôt que lui-même. Sonko a également noté que les Sénégalais ne connaissent pas suffisamment Faye et qu'ils le soutiendraient davantage s'ils le comprenaient mieux.
Au cours de la conférence, des critiques ont été formulées à l'encontre des médias. Sonko a affirmé qu'à l'avenir, aucune tolérance ne sera accordée aux journalistes ou militants qui effectuent des attaques injustifiées contre des personnes.
Sonko a également abordé divers sujets tels que la réduction du coût de la vie ainsi que les enquêtes sur les manifestations mortelles et les disparitions de Fulbert Sambou et Didier Badji.
L’ANACIM ANNONCE UNE PAUSE PLUVIOMETRIQUE AVANT LA REPRISE DES ACTIVITES PLUVIALES
Cette pause est prévue pour durer jusqu’aux 17, 18 et 19 juin. L'ANACIM a expliqué qu'à la fin de ce mois, "nous prévoyons une recombinaison des activités pluvieuses dans le Sud et une installation progressive des pluies dans le centre".
Les dernières prévisions météorologiques de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) indiquent une interruption provisoire des pluies sur l’ensemble du Sénégal. Après un week-end marqué par des précipitations dans plusieurs régions, une pause est attendue avant la reprise des activités pluviales.
Diabel Ndiaye, chef du service climatologie de l’ANACIM, a déclaré sur les ondes d’iRadio que « les régions de Kédougou et Tambacounda ont connu de fines pluies ce week-end, marquant les premières précipitations notables dans ces zones. Quelques jours auparavant, des averses avaient été enregistrées dans les régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor, avec des pluies particulièrement significatives dans la région de Kédougou. »
Cette pause pluviométrique est prévue pour durer jusqu’aux 17, 18 et 19 juin. Diabel Ndiaye a expliqué que « à la fin de ce mois, nous prévoyons une recombinaison des activités pluvieuses dans le Sud et une installation progressive des pluies dans le centre du pays. »
Les autorités météorologiques continueront de surveiller de près l’évolution des conditions climatiques et fourniront des mises à jour régulières. Cette pause offre une opportunité aux agriculteurs et aux habitants des régions concernées de se préparer à la reprise des pluies, prévue pour la fin du mois de juin.
Les dernières prévisions météorologiques de l’Agence nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) indiquent une interruption provisoire des pluies sur l’ensemble du Sénégal. Après un week-end marqué par des précipitations dans plusieurs régions, une pause est attendue avant la reprise des activités pluviales.
Diabel Ndiaye, chef du service climatologie de l’ANACIM, a déclaré sur les ondes d’iRadio que « les régions de Kédougou et Tambacounda ont connu de fines pluies ce week-end, marquant les premières précipitations notables dans ces zones. Quelques jours auparavant, des averses avaient été enregistrées dans les régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor, avec des pluies particulièrement significatives dans la région de Kédougou. »
Cette pause pluviométrique est prévue pour durer jusqu’aux 17, 18 et 19 juin. Diabel Ndiaye a expliqué que « à la fin de ce mois, nous prévoyons une recombinaison des activités pluvieuses dans le Sud et une installation progressive des pluies dans le centre du pays. »
Les autorités météorologiques continueront de surveiller de près l’évolution des conditions climatiques et fourniront des mises à jour régulières. Cette pause offre une opportunité aux agriculteurs et aux habitants des régions concernées de se préparer à la reprise des pluies, prévue pour la fin du mois de juin.
MULTIPLE PHOTOS
LE DÉVELOPPEMENT PASSE PAR L’EXPLOITATION DES TALENTS ET L’INNOVATION
Selon M. Diop, l’Afrique peut augmenter sa croissance économique si les États créent des opportunités pour tous, pour profiter pleinement des dividendes démographiques, avec des investissements adéquats dans le capital humain...
L’économiste Mouhamadou Bamba Diop, conseiller technique au ministère sénégalais de l’Économie, du Plan et de la Coopération, a évoqué l’obligation pour les États africains, lundi, à Dakar, d’‘’exploiter les talents’’ de leur jeune population pour ‘’stimuler l’innovation et la croissance économique’’.
‘’L’Afrique reste le continent le plus jeune du monde. Par conséquent, les États africains bénéficiant d’une population jeune devraient exploiter les talents et les ressources [des jeunes] pour stimuler l’innovation et la croissance économique’’, a dit M. Diop.
Il intervenait à la célébration de la Journée africaine de la macroéconomie, à l’Institut africain de développement économique et de planification (IDEP), une institution panafricaine créée par les Nations unies.
Mouhamadou Bamba Diop juge nécessaire en même temps d’instaurer ‘’une gouvernance des ressources naturelles favorable à la création d’emplois, à l’innovation notamment, au réinvestissement des bénéfices dans l’éducation, à la formation et à la recherche-développement’’.
‘’Promouvoir la stabilité macroéconomique et la croissance en Afrique’’ est le thème de la célébration de la Journée africaine de la macroéconomie, qui en est à sa première édition.
Selon M. Diop, l’Afrique peut augmenter sa croissance économique si les États créent des opportunités pour tous, pour profiter pleinement des dividendes démographiques, avec des investissements adéquats dans le capital humain, l’accès à l’éducation notamment, des soins de santé de qualité, etc.
Le fonctionnaire sénégalais est d’avis, par ailleurs, que l’Afrique peut bien profiter de ses ressources naturelles, ‘’si des politiques encourageant leur exploitation responsable et durable […] sont adoptées’’.
L’intégration régionale est ‘’fondamentale’’ pour exploiter pleinement le vaste marché africain, stimuler la croissance des entreprises et la création d’emplois, réduire la pauvreté et les inégalités, a-t-il dit.
Profiter de ces opportunités ‘’nécessite une bonne coordination et une bonne coopération des pays africains, dans le but d’harmoniser certaines mesures fiscales et de réduire la volatilité des prix’’, a souligné le conseiller technique du ministère sénégalais de l’Économie, du Plan et de la Coopération.
Il estime que les progrès économiques du continent ne peuvent se réaliser sans la zone de libre-échange continentale africaine, ‘’un catalyseur du développement industriel du continent’’, avec lequel on peut améliorer les exportations intra-africaines.
La directrice de l’IDEP, Karima Bounemra Ben Soltane, précise que la conférence inaugurale de la Journée africaine de la macroéconomie a été organisée pour ‘’tirer parti de l’expertise et de l’expérience collectives des décideurs politiques, des praticiens, des universitaires, des groupes de réflexion’’, dans le but de ‘’relever les défis macroéconomiques complexes auxquels le continent est confronté’’.
VIDEO
LA FRANCE D'EXTRÊME DROITE FACE À L'AFRIQUE
Toute la géopolitique franco-africain vacille dans la perspective d'une majorité RN aux prochaines législatives françaises. Dans ce climat inédit, le politologue Moussa Diaw alerte sur les remous à venir en cas de changement de cap de Paris
(SenePlus) - Dans une décision fracassante, le président français Emmanuel Macron a annoncé dimanche soir la dissolution de l'Assemblée nationale, suite à la percée de l'extrême droite aux élections européennes. Cette décision ouvre la voie à des élections législatives anticipées le 30 juin prochain. Moussa Diaw, professeur émérite en sciences politiques à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis au Sénégal, a réagi à cette annonce dans une interview accordée à RFI.
Pour ce dernier, cette dissolution constitue "un événement politique majeur qui va bouleverser la configuration politique en France et qui aura également un impact considérable dans les rapports entre la France et l'Afrique." Interrogé sur l'opportunité de cette décision, il a estimé qu'Emmanuel Macron "n'était pas obligé de dissoudre" l'Assemblée après les élections européennes, qualifiant ce geste d'"aveu d'échec" et d'acceptation de "la percée de l'extrême droite."
Si le Rassemblement National, parti d'extrême droite dirigé par Marine Le Pen, venait à remporter ces élections législatives, Diaw prévoit des changements majeurs dans les relations franco-africaines. Selon lui, "il y aura beaucoup plus de respect de la souveraineté des États africains" et "moins d'interférence dans les politiques intérieures africaines."
"Certaines revendications d'ailleurs, qui sont maintenant posées par un certain nombre d'Africains par rapport à la souveraineté, vont avoir un écho favorable," a-t-il ajouté, faisant référence aux critiques récurrentes sur l'immixtion française dans les affaires des pays africains.
Cependant, Diaw a également mis en garde contre l'idéologie du Rassemblement National, "basée sur un discours de haine, un discours radical avec un certain nombre de lois qui limitent l'immigration." Dans une déclaration citée, Marine Le Pen a réaffirmé sa volonté de "mettre fin à cette immigration de masse" si son parti accède au pouvoir.
Pour le politologue, l'arrivée au pouvoir du RN compliquerait inévitablement les relations avec le Sénégal, en raison de l'importante diaspora sénégalaise en France. "Ça pourrait distendre les relations," a-t-il prévenu.
La visite controversée de Marine Le Pen à Dakar en 2022 et l'audience que lui avait accordée le président Macky Sall ont d'ailleurs été "diversement appréciées" selon Diaw. Certains l'ont critiquée pour son "discours porteur d'intolérance" envers les immigrés.
Quant aux relations entre un éventuel Premier ministre issu du RN et l'actuel Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko, le professeur ne les voit pas d'un bon œil : "Je ne vois pas comment ils peuvent se rapprocher," a-t-il tranché, évoquant des divergences idéologiques profondes.
Moussa Diaw a en revanche souligné la proximité d'Ousmane Sonko avec Jean-Luc Mélenchon, leader de la France Insoumise, qui a récemment effectué une visite à Dakar. Selon le politologue, les "préférences politiques" de Sonko vont "plutôt" vers Mélenchon et "l'ensemble de la gauche" française, incarnant des "idées de tolérance" envers les étrangers, par opposition aux positions du RN.
Au final, l'avenir des relations franco-africaines, en particulier avec un pays comme le Sénégal, semble suspendu au résultat de ces élections législatives décisives pour la France. La victoire du RN bouleverserait un statu quo vieux de plusieurs décennies et imposerait une redéfinition en profondeur des liens bilatéraux, selon l'analyse de Moussa Diaw.
LE NIGER VEUT RAFFINER SON PÉTROLE SUR PLACE
Les autorités nigériennes ont annoncé la construction d’une nouvelle raffinerie à Zinder avec un complexe pétrochimique dans la région de Dosso.
Les autorités nigériennes ont annoncé la construction d’une nouvelle raffinerie à Zinder avec un complexe pétrochimique dans la région de Dosso.
Cette nouvelle raffinerie va permettre au Niger de traiter son pétrole sur place et de réduire l’exportation du brut.
Selon le ministre du Pétrole, le démarrage des activités de cette raffinerie prend effet dans 18 mois .
«Nous avons un planning qui nous amène à un démarrage des activités de cette raffinerie à la dernière semaine du mois de décembre 2025, c’est-à-dire que nous sommes aujourd’hui pratiquement à 18 mois du démarrage du projet», a révélé le ministre nigérien du pétrole Barké Bako Maman Moustapha.
Il a par ailleurs fait savoir que les préliminaires ont été effectués déjà.
«Ce qui reste à faire aujourd’hui, ce sont la sélection des partenaires stratégiques et le démarrage des travaux», a expliqué le ministre.
Cette raffinerie va générer, selon les analyses des autorités, au minimum 100.000 barils par jour «mais elle sera mise en place d’une façon modulaire pour nous permettre d’accélérer le processus et pour cela une étude de préfaisabilité a été faite par nos services» a conclu Barké Bako Maman Moustapha.
LE SÉNÉGALAIS HAMIDOU DIOP RÉÉLU POUR 3 ANS AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DU BIT
M. Diop a été réélu au Conseil d’administration du BIT par ‘’les 150 organisations patronales les plus représentatives du monde et membres de l’Organisation internationale des employeurs (OIE) lui ont ainsi renouvelé leur confiance’’.
Dakar, 10 juin (APS) – Le Secrétaire général du Conseil national du patronat (CNP), Hamidou Diop, a été réélu, membre titulaire du Conseil d’administration du Bureau international du travail (BIT), pour un mandat de trois ans, a t-on appris auprès de l’organisation patronale sénégalaise.
‘’Hamidou Diop a été réélu dès le 1er tour, avec 75% des voix et au scrutin secret, pour un mandat de 3 ans comme membre-titulaire du Conseil d’administration du Bureau international du travail (BIT)’’, indique notamment le CNP dans un communiqué parvenu à l’APS.
Il a été réélu au Conseil d’administration du BIT pour un troisième mandat de trois ans par ‘’les 150 organisations patronales les plus représentatives du monde et membres de l’Organisation internationale des employeurs (OIE) lui ont ainsi renouvelé leur confiance’’, ajoute la même source.
Elle ajoute que ”sa candidature a été présentée et très fortement soutenue par le président du CNP, Baïdy Agne (…)”.
L’élection des membres du Conseil d’administration du BIT se tient à l’occasion de la 112ème session de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) prévue jusqu’au 14 juin, à Genève, en Suisse.
Le communiqué rappelle qu’en 2000, Youssoupha Wade, ancien président du CNP, avait également siégé au Conseil d’administration du BIT.
KHADIM DIAW PRÉSENTE SES EXCUSES SUITE À UN TACLE VIOLENT SUR HABIB DIARRA
Dans son message, le joueur sénégalais naturalisé mauritanien s’est adressé directement à Habib Diarra et aux supporters, expliquant la nature non intentionnelle de son geste et exprimant son regret pour la douleur infligée.
Le derby entre le Sénégal et la Mauritanie, disputé, dimanche, dans le cadre de la 4e journée des éliminatoires pour la Coupe du Monde, a été marqué par un incident qui a suscité de vives réactions parmi les supporters et les observateurs du football africain. Khadim Diaw, joueur sénégalais naturalisé mauritanien, a effectué un tacle violent sur le joueur sénégalais Habib Diarra, provoquant une entorse à la cheville et obligeant ce dernier à quitter le terrain prématurément, muni d’une béquille.
Ce geste a immédiatement engendré des réactions d’indignation, notamment sur les réseaux sociaux. Diaw, conscient de la gravité de son acte, n’a pas tardé à publier un message d’excuses sur sa page Facebook, dans lequel il a exprimé son profond regret et a reconnu la violence involontaire de son tacle.
Dans son message, Khadim Diaw s’est adressé directement à Habib Diarra et aux supporters, expliquant la nature non intentionnelle de son geste et exprimant son regret pour la douleur infligée :
« Cher Habib, Le football est joli de ses gestes techniques, ses dribbles, ses buts et ses tacles. Mais celui que tu as subi hier de ma part n’en fais pas partie, je le reconnais. Après avoir vu et revu l’action, je me suis rendu compte de sa gravité et pour cela je te présente mes plus sincères excuses. À chaud je n’en mesurais pas l’impact certes mais je puis t’assurer, mon frère, que cela n’a été NULLEMENT INTENTIONNEL. Pour ce qui lie les deux pays dont on défend les couleurs, pour mon parcours de footballeur, pour le nom que je porte et qui en dit beaucoup au Sénégal en termes de patience et de générosité, et pour respect à ta carrière et ton talent, jamais je n’aurai agi ainsi dans l’intention de blesser. »
Diaw a également reconnu l’émotion et les réactions négatives suscitées par son acte, non seulement auprès des supporters sénégalais mais aussi de la communauté du football en général.
« Aux supporters sénégalais et aux férus de football en général, je sais que ce geste vous a indisposés. J’oublie les insultes reçues sur mes différents supports, je comprends votre amertume et accepte humblement les critiques et conseils précieux. Ceux qui me connaissent bien savent que la cruauté du geste ne définit en aucune façon ma personnalité et mon mental. »
Khadim Diaw a terminé son message en adressant ses vœux de prompt rétablissement à Habib Diarra, tout en reconnaissant que cette blessure est une épreuve pour son collègue :
« Mais tu es un Lion, cette blessure ne t’empêchera pas de rugir, j’en suis convaincu. Il faut voir l’émotion et les réactions que ce geste a suscitées pour savoir que ta nation compte sur toi pour son avenir. Remets-toi vite pour le bien de tous. »
JOAL-LATMINGUE, DEUX DEALERS ARRÊTÉS PAR L’OCRTIS AVEC 326 KG DE DROGUE
Ce coup de filet résulte de vastes investigations menées par cette unité spécialisée de la police dans la lutte contre le trafic de stupéfiants.
Les unités de l’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS) de Thiès et de Kaolack ont réalisé une saisie impressionnante de 326 kg de chanvre indien. Ce coup de filet résulte de vastes investigations menées par cette unité spécialisée de la police dans la lutte contre le trafic de stupéfiants.
Ce week-end, les éléments de l’OCRTIS ont effectué deux opérations majeures. À Ngousse, près de Palmarin Joal, la brigade régionale des stupéfiants de Thiès a arrêté un dealer en possession de 41 kg de drogue. Parallèlement, à Latmingué, les agents de l’OCRTIS de Kaolack ont appréhendé un trafiquant avec 285 kg de chanvre indien dans la forêt du village de Hanene.
Ces arrestations marquent un succès significatif dans la lutte contre le trafic de drogue, démontrant l’efficacité et la vigilance des forces de l’ordre.
VIDEO
ASSISES DE LA JUSTICE, LE DÉCRYPTAGE COMPLET DE DAOUDA MINE
Diomaye Faye avait réuni les forces vives de la nation pour des Assises sur la justice. Objectif : échanger pour engager des réformes dans ce secteur. M. Mine, qui était au cœur de l’événement, nous explique en détail les conclusions.
Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, avait réuni les forces vives de la nation pour des Assises sur la justice. Objectif : échanger pour engager des réformes afin de redorer le blason de la Justice. Daouda Mine, qui était au cœur de l’événement, nous explique en détail les conclusions de ces assises.
VIDEO
BIRAHIM SECK RAPPELLE AU PREMIER MINISTRE SONKO SON RÔLE
Le jeu de ping-pong se poursuit de plus belle entre le Premier ministre Ousmane Sonko et la presse sénégalaise. Ce jeu ne laisse point indifférent le Coordonnateur du Forum civil.
Le jeu de ping-pong se poursuit de plus belle entre le Premier ministre Ousmane Sonko et la presse sénégalaise.
Ce jeu ne laisse point indifférent le Coordonnateur du Forum civil, Birahim Seck. « M. le PM Ousmane Sonko, votre rôle est d’apporter des solutions durables pour fortifier la presse et la consolider. Elle ne doit pas être, ni se sentir menacée », rappelle M. Seck au PM. Avant d’ajouter : « Vous n’êtes plus dans l’opposition, mais dans la position d´apporter des réponses rassurantes et démocratiques ».