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25 mai 2025
ÉCONOMIE MONDIALE, L’ALLEMAGNE PREND LA PLACE DU JAPON
Le Japon a perdu en 2023 son titre symbolique de troisième puissance économique mondiale au profit de l’Allemagne, sous l’effet notamment de la chute du yen, selon des données préliminaires du produit intérieur brut (PIB) nippon publiées jeudi.
Le Japon a perdu en 2023 son titre symbolique de troisième puissance économique mondiale au profit de l’Allemagne, sous l’effet notamment de la chute du yen, selon des données préliminaires du produit intérieur brut (PIB) nippon publiées jeudi.
Le PIB nominal (c’est-à-dire sans correction en fonction de l’inflation) du Japon en 2023 s’est élevé à quelque 4200 milliards de dollars, contre environ 4500 milliards de dollars pour l’Allemagne, dont le PIB nominal a été dopé par l’inflation, restée forte l’an dernier dans le pays. Mais en termes réels, c’est-à-dire sans le biais de l’inflation, le PIB nippon a accéléré l’an dernier (+1,9%, contre 1% en 2022), alors que l’économie allemande s’est elle contractée de 0,3% selon des données officielles publiées en janvier.
Puissance exportatrice, l’Allemagne souffre de la faible demande extérieure, des coûts de l’énergie pour son important secteur manufacturier et des taux d’intérêts relevés par la Banque centrale européenne (BCE) dans le but de vaincre l’inflation. La dégradation de la conjoncture en Allemagne fait que son nouveau titre de troisième puissance économique mondiale, qui lui était promis depuis octobre dernier par les prévisions du Fonds monétaire international (FMI), est perçu comme un trompe-l’oeil outre-Rhin.
D’autant que l’Inde pourrait dépasser à la fois le Japon et l’Allemagne d’ici quelques années, toujours en PIB nominal libellé en dollar. L’économie bouillonnante du nouveau pays le plus peuplé de la planète pourrait arriver à leur hauteur dès 2025, selon Brian Coulton, économiste chez Fitch Ratings interrogé par l’AFP. Mais « évidemment, le PIB indien par habitant restera bien inférieur à ceux de l’Allemagne et du Japon », a-t-il précisé.
Au Japon, les médias locaux ont abondamment commenté la perte de son troisième rang économique mondial, rappelant qu’au-delà de l’impact exceptionnel de la chute du yen, de puissants facteurs fondamentaux négatifs sont à l’oeuvre, comme le déclin démographique accéléré de l’archipel et la faiblesse chronique de sa productivité. « Après avoir cédé à la Chine la deuxième place derrière les États-Unis en 2010, à présent le Japon abandonne aussi le troisième rang » s’est lamenté le grand quotidien économique japonais Nikkei dans un éditorial publié samedi dernier. « Le Japon n’a pas fait de progrès pour augmenter son propre potentiel de croissance. Cette situation doit être un signal d’alarme pour accélérer des réformes économiques qui ont été négligées », a ajouté le Nikkei.
Le Japon entré en récession
Comme l’Allemagne, le Japon est une puissance industrielle et exportatrice, mais ce statut est en perte de vitesse depuis longtemps et sa consommation intérieure est actuellement minée par l’inflation et la chute du yen. La déliquescence de la monnaie japonaise a perduré l’an dernier (-7% par rapport au dollar). Elle provient principalement du décalage entre les resserrements monétaires drastiques opérés aux États-Unis et en Europe depuis 2022 et le maintien par la Banque du Japon (BoJ) de son cap ultra-accommodant.
Au quatrième trimestre, le PIB nippon s’est de nouveau contracté (-0,1% sur un trimestre en données réelles ajustées des variations saisonnières), soit un deuxième repli d’affilée après un déclin plus marqué sur la période juillet-septembre (-0,8% selon un chiffre révisé jeudi à la baisse). Le Japon connaît ainsi une récession technique, une petite surprise étant donné que le consensus d’économistes de l’agence Bloomberg avait prédit un léger rebond de 0,2% au quatrième trimestre. La consommation des ménages nippons a reculé de 0,2% sur le trimestre écoulé, et les investissements non résidentiels des entreprises privées de 0,1%. Seule éclaircie, la contribution nette au PIB des exportations de biens et services a été légèrement positive, avec une hausse de 2,6% des exportations pour une augmentation de 1,7% des importations.
La conjoncture nippone plus morose que prévu pourrait compliquer la tâche de la Banque du Japon d’enclencher cette année le début de la fin de sa politique monétaire ultra-accommodante.Mais ce processus s’annonce extrêmement graduel, la BoJ étant très soucieuse de ne pas déstabiliser l’économie de l’archipel et les marchés financiers. Le FMI prédit au Japon une croissance économique modérée cette année (+0,9%).
2 SOLDATS SUD-AFRICAINS DE LA SADC TUÉS PAR UN TIR AU MORTIER EN RDC
Deux soldats sud-africains ont été tués et trois autres blessés lorsqu’un mortier a atterri sur leur base dans l’est de la République démocratique du Congo, dans un contexte de troubles croissants dans la région, ont annoncé jeudi les forces armées sud-af
Deux soldats sud-africains ont été tués et trois autres blessés lorsqu’un mortier a atterri sur leur base dans l’est de la République démocratique du Congo, dans un contexte de troubles croissants dans la région, ont annoncé jeudi les forces armées sud-africaines.
La South African National Defense Force, qui supervise l’ensemble des forces armées du pays, a déclaré qu’elle pensait que l’explosion du mortier mercredi était le résultat d’un « tir indirect » et qu’une enquête était en cours pour déterminer les responsables.
L’Afrique du Sud a envoyé des soldats au Congo dans le cadre de la mission de la Communauté de développement de l’Afrique australe visant à lutter contre les groupes rebelles armés dans l’est du pays.
L’Afrique du Sud a annoncé cette semaine l’envoi d’un nouveau contingent de 2 900 soldats dans l’est du Congo. Il n’a pas été possible de déterminer immédiatement si les personnes tuées ou blessées faisaient partie de ce nouveau déploiement.
La base touchée se trouvait dans la province du Nord-Kivu, a déclaré Siphiwe Dlamini, porte-parole de la Force de défense nationale sud-africaine. Les blessés ont été transportés dans un hôpital de la ville de Goma.
La violence dans la région touchée par le conflit s’est accrue ces dernières semaines, de nombreuses personnes attribuant les attaques au groupe rebelle M23 qui combat les soldats congolais dans la région depuis des années.
Le gouvernement congolais affirme que le M23 reçoit un soutien militaire du Rwanda voisin, ce que le Rwanda nie.
Mais le M23 a indiqué dans des déclarations récentes qu’il était en train de réaliser une nouvelle avancée dans l’est du Congo, ce qui fait craindre que le groupe ne vise à nouveau Goma, dont il s’est emparé il y a dix ans.
Selon les organisations humanitaires, plus d’un million de personnes ont été déplacées par le conflit depuis novembre. Ce chiffre s’ajoute aux 6,9 millions de personnes qui ont déjà fui leur foyer dans le cadre de l’une des plus graves crises humanitaires au monde.
Jeudi, le Conseil norvégien pour les réfugiés a déclaré que la récente avancée des groupes armés vers la ville clé de Sake, près de Goma, « constitue une menace imminente pour l’ensemble du système d’aide » dans l’est de la RDC.
« L’isolement de Goma, où vivent plus de 2 millions de personnes et qui accueille des centaines de milliers de personnes déplacées ayant fui les affrontements avec les groupes armés, aurait des conséquences désastreuses pour la région », a déclaré le Conseil norvégien pour les réfugiés (NRC).
PLUS DE 5600 TONNES D’ARACHIDE COLLECTÉES A DOURBEL
La direction générale du développement rural, lors de son dernier rapport hebdomadaire du suivi de la campagne agricole 2023-2024, affirme avoir collecté 5667 tonnes de graines d’arachide depuis le début de la campagne de commercialisation à Diourbel
La direction générale du développement rural (DRDR), lors de son dernier rapport hebdomadaire du suivi de la campagne agricole 2023-2024, affirme avoir collecté 5667 tonnes de graines d’arachide depuis le début de la campagne de commercialisation dans la région de Diourbel.
Depuis le début de la campagne, “5105,1 tonnes d’arachide d’huilerie sont collectées dans les trois départements de la région de Diourbel qui compte six points de collecte officiels: un à Bambey, trois à Diourbel, deux à Mbacké et dix-huit opérateurs dans le cadre du dispositif arrêté par les différents acteurs pour la collecte de graines d’arachides pour un chiffre d’affaires d’un milliard 429 millions 425 mille 480 francs CFA”, selon un document cité par l’APS. Ainsi, le rapport hebdomadaire a révélé que Mbacké et Diourbel arrivent largement en tête devant le département de Bambey.
Concernant les semences à certifier, “562,1 tonnes sont déjà collectées pour un chiffre d’affaires de 175 millions 654 mille 815 francs CFA”, ce qui fait un total de 5667,2 tonnes de graines d’arachides collectées depuis le démarrage de la campagne.
Sur les 5667,2 tonnes collectés, “la Société nationale de commercialisation des oléagineux du Sénégal (Sonacos) de Diourbel a réceptionné à l’usine près de deux mille tonnes”, a précisé la source.
ECLAIRAGE CATHOLIQUE
Les évêques de la Conférence épiscopale du Sénégal, de la Mauritanie, du Cap-Vert et de la Guinée Bissau ont publié une Lettre pastorale engageant les fidèles laïcs dans la vie de l’église et dans la vie sociale, économique, politique et environnementale.
Dakar 15 fév (APS) – Les évêques de la Conférence épiscopale du Sénégal, de la Mauritanie, du Cap-Vert et de la Guinée Bissau ont publié une ‘’Lettre pastorale’’ engageant les fidèles laïcs dans la vie de l’église et dans la vie sociale, économique, politique et environnementale.
Intitulé ‘’Sur l’engagement des laïcs dans l’Eglise et dans la société’’, ce document a été rendu public, ce jeudi, au lendemain du ‘’mercredi des cendres’’ marquant le démarrage du carême, lors d’une conférence de presse organisée à la cathédrale de Dakar.
Entre autres étaient présents, le secrétaire de la Conférence épiscopale du Sénégal, de la Mauritanie, du Cap-Vert et de la Guinée-Bissau, Abbé Augustin Thiaw, le président du Conseil national du laïcat, Philippe Abraham Birane Tine.
Selon l’Abbé Thiaw, cette lettre pastorale est destinée aux fidèles laïcs des différentes églises locales.
En publiant ce document, les évêques de la Conférence épiscopale du Sénégal, de la Mauritanie, du Cap-Vert et de la Guinée-Bissau veulent l’engagement des fidèles laïcs dans l’église et dans la vie sociale, économique et politique, a-t-il dit.
Abbé Augustin Thiaw a expliqué que ce choix des évêques est motivé par la décision du pape François d’élever ‘’le service de la catéchise à la divinité du ministère (…)’’.
Le document de 32 pages s’ouvre d’abord sur des ‘’propos liminaires’’, définit ensuite ‘’le rôle et la mission du fidèle laïc dans l’église’’, ‘’le rôle et la place des fidèles laïcs dans la société’’ en abordant ‘’l’engagement social, l’engagement politique, l’engagement économique et l’engagement environnemental’’.
La Lettre propose enfin quelques champs d’actions pour ‘’faire face aux nombreux défis qui nous interpellent aujourd’hui. Ces actions passent par la formation, les engagements dans l’église et les engagements dans la société’’.
LIBERTÉ PROVISOIRE POUR DE NOMBREUX ACTIVISTES ET ACTEURS POLITIQUES
Un nombre important d’activistes détenus depuis plusieurs mois pour divers chefs d’accusation en lien avec des activités politiques ont bénéficié, jeudi, d’une liberté provisoire, a confirmé à l’APS un de leurs avocats.
Dakar, 15 fév (APS) – Un nombre important d’activistes détenus depuis plusieurs mois pour divers chefs d’accusation en lien avec des activités politiques ont bénéficié, jeudi, d’une liberté provisoire, a confirmé à l’APS un de leurs avocats.
Ils ont été remis en liberté sur initiative du procureur qui avait requis leur placement sous mandat de dépôt, a expliqué Me Moussa Sarr lors d’un entretien téléphonique avec l’APS.
Me Sarr représente vingt-cinq des détenus ayant bénéficié de cette mesure, dont des membres du parti dissous Pastef et des activistes bien connus dans l’espace public.
Le chef de l’État, Macky Sall, s’était engagé récemment à mettre en œuvre “un processus pragmatique d’apaisement et de réconciliation pour préserver la paix et consolider la stabilité de la nation”.
Il a fait cette annonce au lendemain de troubles engendrés par le report annoncé de l’élection présidentielle initialement prévue le 25 février.
Macky Sall a annoncé, le 3 février dernier, avoir annulé le décret convoquant les Sénégalais aux urnes le 25 février prochain pour l’élection d’un nouveau président de la République.
En prenant cette décision, il a invoqué des soupçons de corruption concernant des magistrats parmi ceux qui ont procédé à l’examen des 93 dossiers de candidature et jugé recevables 20 d’entre eux.
S’adressant à la nation, le chef de l’État a appelé à “un dialogue national ouvert, afin de réunir les conditions d’une élection libre, transparente et inclusive dans un Sénégal apaisé et réconcilié”.
L’Assemblée nationale a voté, deux jours plus tard, une proposition parlementaire reportant l’élection présidentielle au 15 décembre prochain.
Lors du vote, des députés protestant contre cette proposition et le report du scrutin ont été expulsés de l’hémicycle par la Gendarmerie nationale.
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AUCUN BONUS N’EST TOLÉRABLE APRÈS LE 02 AVRIL
Macky Sall est invité à renoncer à son projet de s’octroyer un bonus inconstitutionnel sur son mandat présidentiel. En tout cas le 2 avril, il doit s’inscrire dans le passé. La société civile n'entend pas le laisser dérouler son plan
Figure de la société civile sénégalaise, le Pr Babacar Gueye fait partie des acteurs qui essaient de mobiliser le peuple pour résister contre la violation de la Constitution sénégalaise par le président Macky Sall. Lequel a décidé de reporter presque unilatéralement la Présidentielle du 25 février au 15 décembre 2024 avec ses députés à l’Assemblée nationale.
La société civile n’a nullement l’intention de le laisser faire étant entendu que cette décision est anticonstitutionnelle et anti démocratique. Même si la mobilisation de mardi a été interdite, le collectif de la société civile compte organiser sa marche pacifique samedi, promet le Pr Babacar Gueye interrogée par AfricaGlobe Tv.
Dans cette interview exclusive, Babacar Gueye expose sa déception de l’interdiction de la manifestation que lui et ses camarades ont voulu organiser ce mardi. Il précise toutefois que ce samedi, cette manifestation pacifique sera tenue à Dakar.
Constitutionnaliste connu et reconnu et agrégé en droit public, cet enseignant de droit pointe l’inconstitutionnalité de l’abrogation du décret convoquant le corps électoral le 25 février par le président Sall.
Selon lui une fois que le président a signé le décret convoquant le corps électoral, il n’a plus aucun pouvoir juridiquement de l'abroger. À cette étape, seul le Conseil constitutionnel peut agir. En conséquence, le président de la République viole en toute flagrance la constitution qu’il est censé protéger lui-même s'il s'obstinait a reporter le scrutin jusqu'en decembre.
LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL DIT NON AU REPORT
Selon les sages, "la durée du mandat du président de la République ne peut être réduite ou allongée au gré des circonstances politiques" et "le mandat du président de la République ne peut être prorogé"
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 15/02/2024
Le Conseil constitutionnel du Sénégal a rendu, ce 15 février 2024, une importante décision concernant le report de l'élection présidentielle initialement prévue le 25 février. Saisi par plusieurs députés de l'opposition et candidats à la présidentielle, le juge constitutionnel a invalidé la loi et le décret ayant entériné ce report.
Dans sa décision n°1/C/2024, le Conseil constitutionnel rappelle d'abord le contexte des saisines. Plusieurs requêtes avaient été déposées, contestant d'une part la loi n°4/2024 adoptée par l'Assemblée nationale le 5 février et portant dérogation à l'article 31 de la Constitution sur la durée du mandat présidentiel, et d'autre part le décret n°2024-106 du 3 février abrogeant le décret de convocation des électeurs.
S'agissant de la loi, le Conseil constitutionnel cite différents attendus de sa jurisprudence. Il rappelle notamment que "la durée du mandat du Président de la République ne peut être réduite ou allongée au gré des circonstances politiques" et que "le mandat du Président de la République ne peut être prorogé". Or, selon l'article premier de la loi attaquée, "le scrutin pour l'élection présidentielle (...) est décalé au 15 décembre 2024".
De même, l'article 2 dispose que "le Président de la République en exercice poursuit ses fonctions jusqu'à l'installation de son successeur", ce qui a pour effet de "proroger la durée du mandat du Président de la République au-delà des 5 ans" fixés aux articles 27 et 103 de la Constitution. La loi est donc contraire à la norme suprême.
S'agissant du décret, le Conseil relève qu'il est fondé sur la proposition de loi déclarée inconstitutionnelle. Il en découle que le décret "manque de base légale" et doit être annulé.
Par cette décision très motivée, citant abondamment les textes en cause et sa propre jurisprudence, le Conseil constitutionnel invalide fermement le report de l'élection présidentielle et confirme son statut de garant du respect de la Constitution.
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UCAD, QUAND LE TEMPLE CHAVIRE
« Ucad, quand le temple chavire » est le nom d’une Série de trois épisodes que Emedia.sn vous propose. Dans cette première épisode, il est question d’un étudiant sénégalais, habitant de Karang qui, face au désespoir, a choisi l’émigration irrégulière.
« Ucad, quand le temple chavire » est le nom d’une Série de trois épisodes que Emedia.sn vous propose. Dans cette première épisode, il est question d’un jeune étudiant sénégalais, habitant la localité de Karang qui, face au désespoir, a choisi l’émigration par la pirogue.
APAISEMENT, PLUSIEURS DÉTENUS DONT CHEIKH OUMAR DIAGNE RECOUVRENT LA LIBERTÉ
Des militants de l’ex-Pastef et des activistes viennent de bénéficier d’une liberté provisoire. Il s’agit, entre autres, de Toussaint Manga, Pape Abdoulaye Touré, Abdou Karim Guèye Khrum Khakh, Cheikh Oumar Diagne...
Des militants de l’ex-Pastef et des activistes viennent de bénéficier d’une liberté provisoire. Il s’agit, entre autres, d'Abdou Karim Guèye Khrum Khakh, Cheikh Oumar Diagne, Ouztas Assane Seck et le Dr Seydou Diallo, Alioune Sané, Nit Dof, Djamil Sané.
Toussaint Manga qui a été inculpé le 3 août dernier par le juge Mamadou Seck pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste et Pape Abdoulaye Touré, inculpé le 9 juin dernier pour participation à un mouvement insurrectionnel et actions diverses sont également libres.
PSG, MBAPPÉ ANNONCE SON DÉPART AUX DIRIGEANTS
Le feuilleton est (enfin) terminé. Après de longs mois d'incertitudes, Kylian Mbappé a annoncé aux dirigeants du PSG qu'il avait décidé de quitter le club cet été. L'attaquant a communiqué sa décision mardi au centre d'entraînement de Poissy.
iGFM - Kylian Mbappé a annoncé à ses dirigeants qu'il avait choisi de quitter le PSG cet été.
Le feuilleton est (enfin) terminé. Après de longs mois d'incertitudes, Kylian Mbappé a annoncé aux dirigeants du PSG qu'il avait décidé de quitter le club cet été. L'attaquant a communiqué sa décision mardi au centre d'entraînement de Poissy. Le joueur aurait souhaité annoncer la nouvelle plus tôt à son président, mais celui-ci n'était pas disponible avant.
Le champion du monde 2018 a fait part de l'assurance de son choix en demandant à Nasser al-Khelaïfi de ne pas faire de surenchère. La star n'a pas annoncé de destination future à Paris. Plusieurs clubs sont sur les rangs, même si le Real Madrid fait figure de grand favori.
Les détails du départ de Kylian Mbappé restent à affiner. Certaines sources évoquent encore une chance infime de voir le Français accepter une solution pour que le Paris Saint-Germain puisse s'y retrouver financièrement.