L’ESPAGNE VEUT INTERDIRE L’EMBARQUEMENT VERS MADRID DES SÉNÉGALAIS SANS VISA
L’Espagne a sollicité l’aide du Maroc pour interdire aux Sénégalais l’embarquement à partir de Casablanca sur les vols transitant ensuite par son territoire. C’est une mesure inédite
L’Espagne a sollicité l’aide du Maroc pour interdire aux Sénégalais l’embarquement à partir de Casablanca sur les vols transitant ensuite par son territoire. C’est une mesure inédite ! Le gouvernement de Pedro Sanchez a en effet sollicité l’intervention des autorités marocaines pour freiner les arrivées, à son aéroport international Madrid-Barajas, des voyageurs en provenance de pays subsahariens, selon le site marocain h24info.ma.
Ainsi donc Madrid a envoyé lundi 29 janvier aux autorités marocaines une note dite verbale, à travers sa chancellerie à Rabat, afin que les autorités marocaines empêchent l’embarquement des voyageurs sénégalais ne disposant pas d’un visa Schengen sur les vols en transit par l’Espagne, selon une information révélée par la radio espagnole Cadena Ser.
Avec cette mesure, l’Exécutif espagnol croit pouvoir contrôler les arrivées de potentiels migrants irréguliers sénégalais, ayant comme destination finale un pays tiers en dehors de l’espace Schengen, mais qui grâce à un vol avec correspondance en Espagne, ils peuvent accéder au territoire européen. Le gouvernement de Sanchez souhaite arrêter cette hémorragie au moins jusqu’à l’entrée en vigueur de l’obligation du visa de transit aéroportuaire pour les citoyens sénégalais, prévue pour le 19 février prochain.
SOUTIEN AUX PME, LE FONSIS LANCE OYASS CAPITAL
Ce fonds créé avec le truchement de la Banque mondiale et la banque allemande KFW, est un levier innovant d'une taille cible de 50 milliards de francs CFA pour soutenir les petites et moyennes entreprises.
Le Fonds souverain d'investissements stratégiques (Fonsis) a procédé, ce mardi, au lancement d’Oyass Capital. Ce fonds créé avec le truchement de la Banque mondiale et la banque allemande KFW, est un levier innovant d'une taille cible de 50 milliards de francs CFA pour soutenir les petites et moyennes entreprises.
Le Fonsis met en place un tout nouveau fonds, cette fois-ci destiné exclusivement aux petites et moyennes entreprises. À travers cette innovation, d'un montant de 50 milliards de francs CFA, la structure dirigée par l'ancien ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, entend accélérer l'essor des PME afin qu'elles puissent mieux réussir leur mission de création de richesses. “Oyass Capital est un fonds de financement hybride public et privé géré par un gestionnaire de fonds indépendant de classe mondiale recruté par appel d'offres. Cette nouveauté investit dans deux profils de petites et moyennes entreprises. Les PME qui ont démontré un fort potentiel de croissance vont absorber 80 % des investissements. Celles qui s'apparentent à des start-up, qui disposent de contrats gouvernementaux et d'un concept à très forte valeur ajoutée vont bénéficier des 20 % restants” a présenté le directeur général du Fonsis.
Abdoulaye Diouf Sarr a ajouté qu’’’avec une taille initiale de 35 milliards F CFA au premier closing, Oyass Capital atteindra une taille cible de 50 milliards F CFA au second closing. Les tickets d’investissement varient de 200 millions à 2,6 milliards F CFA pour permettre de répondre aux besoins des PME en pleine croissance avec un capital patient et une plus grande appétence risque”.
Rappelons que ce nouveau fonds a été présenté au cours d’une cérémonie présidée par le secrétaire général du ministère de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Allé Nar Diop. Ce dernier a aussi bien voulu y aller de son commentaire. “Aujourd’hui, grâce aux apports de la KFW (coopération allemande), de la Banque mondiale et de l’État du Sénégal, le Fonsis a pu mobiliser un financement cumulé de près de 35 milliards F CFA, soit 55 millions d’euros, pour le démarrage d’Oyass Capital. Cet instrument va faciliter l’accès au financement en capital pour les PME sénégalaises, à stimuler la croissance économique pour impacter durablement la croissance”.
Le représentant du ministre Doudou Ka d'ajouter : “L’objectif d'Oyass Capital est de créer des champions nationaux parmi les PME démontrant un fort potentiel de croissance et de création de valeur. Ce nouveau fonds est aussi attendu pour contribuer au renforcement de capacités des PME financées à travers une facilité d’assistance technique d’un montant fixé à 5 % de la taille du fonds.”
LE FORUM CIVIL SENSIBILISE SUR LE RETRAIT DES CARTES D’ÉLECTEUR
La section départementale du Forum civil de Bambey, une organisation de la société civile sénégalaise, a entamé, à travers des spots radiophoniques, une campagne de sensibilisation sur l’importance pour les citoyens de retirer leurs cartes d'électeurs.
Bambey, 31 Jan (APS) – La section départementale du Forum civil de Bambey (Diourbel centre), une organisation de la société civile sénégalaise, a entamé, à travers des spots radiophoniques, une campagne de sensibilisation sur l’importance pour les citoyens de retirer leurs cartes d’électeurs, particulièrement les jeunes appelés à voter pour la première fois l’occasion de l’élection présidentielle du 25 février.
« Ce qu’il faut noter avec regret à quelques encablures de l’élection présidentielle, c’est que beaucoup de citoyens n’ont pas encore récupéré leurs cartes d’électeur » a déploré le coordonnateur départemental du forum civil, Babacar Diouf lors d’un entretien accordé à l’APS à l’issue de l’enregistrement d’une émission de sensibilisation dans les studios de Thiapy FM, une radio communautaire.
Il n’a pas manqué de signaler que 3961 cartes ont été à ce jour retirées sur les 9376 reçues par les commissions de distribution.
« Si nous faisons le calcul, il y a 4896 cartes en souffrance dans les douze commissions réparties dans le département » a-t-il ajouté.
Fort de ce constat, M. Diouf invite les citoyens notamment les primo-votants à faire un tour dans les commissions afin de récupérer leurs cartes d’électeurs pour participer massivement à la prochaine élection présidentielle.
LA CENA AU SECOURS DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL
La Commission électorale nationale autonome (CENA) a apporté mardi son soutien au Conseil constitutionnel dont certains font l’objet d’accusations de corruption présumée, en lien avec l’invalidation de la candidature de Karim Wade à la présidentielle.
Dakar, 31 jan (APS) – La Commission électorale nationale autonome (CENA) a apporté mardi son soutien au Conseil constitutionnel dont certains font l’objet d’accusations de corruption présumée, en lien avec l’invalidation de la candidature de Karim Wade à la présidentielle du 25 février prochain.
« La Commission électorale nationale autonome a travaillé sur la base du fichier général des électeurs transmis au Conseil constitutionnel par le ministère de l’Intérieur le 24 novembre 2023, et intégré, en l’état, dans le dispositif informatique de contrôle », a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Il y a ensuite que « le tirage au sort déterminant l’ordre des dossiers de parrainages a été effectué en toute transparence en présence d’huissier et accepté sans réserve par tous les candidats ou représentants de candidats présents ».
Sur cette base, la CENA affirme que « les dossiers de parrainage de tous les candidats ont fait l’objet de traitement égal, effectué dans le calme et la courtoisie, sous la direction du président du Conseil constitutionnel, président de la Commission ».
« Aucune clé USB n’a fait l’objet de manipulations au détriment d’un candidat », assure la CENA, expliquant que le président du Conseil constitutionnel « a fait procéder à des corrections dans l’intérêt du candidat concerné avec l’accord de celui-ci ou de son représentant chaque fois qu’il était possible de le faire dans le respect de la loi électorale ».
La Commission électorale nationale autonome note par ailleurs un « même logiciel de contrôle [a été utilisé en sa présence] pour tous les candidats », avant de prodiguer des conseils visant à améliorer le système de contrôle et de vérification des parrainages.
Elle insiste, à ce sujet, sur la nécessité de mettre en place un service de communication au Conseil constitutionnel « pour renforcer l’information destinée au public et portant sur les aspects du processus électoral relevant de sa compétence ».
Elle suggère par ailleurs que soient précisés davantage, dans le code électoral, « le sens et la portée de certaines notions ».
De même souhaite-t-elle « la réglementation » de la question des fichiers inexploitables du fait de la modification du format initial rendant impossible le contrôle des parrainages.
Le groupe parlementaire « Liberté, démocratie et changement » a initié une procédure de saisine de l’Assemblée nationale pour la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire visant deux membres du Conseil constitutionnel pour « corruption supposée ».
Cette initiative vise à éclaircir, selon ce groupe parlementaire, « les circonstances troubles entourant la mise à l’écart » de Karim Wade suite à l’invalidation de sa candidature à la présidentielle du 25 février 2024.
MACKY SALL EXPRIME SES CONDOLÉANCES SUITE À L’EFFONDREMENT D’UN BATIMENT À XAAR YALLA
Le chef de l’État a exprimé ses condoléances suite à l’effondrement d’un bâtiment à Xaar Yalla, qui a causé 7 décès et de graves blessures.
Le chef de l’État a exprimé ses condoléances suite à l’effondrement d’un bâtiment à Xaar Yalla, qui a causé 7 décès et de graves blessures.
Profondément attristé par cet accident tragique, Macky Sall a présenté ses sincères condoléances aux familles des victimes sur son compte Twitter.
Il souhaite également un prompt rétablissement aux blessés.
OUVERTURE À PARIS DU PROCÈS DE PASCALINE BONGO SOUPÇONNÉE DE CORRUPTION AU GABON
Directrice de cabinet de son père puis collaboratrice de son frère Ali, elle est soupçonnée d'avoir accepté d'intervenir en faveur de la société française Egis Route dans l'attribution de marchés publics contre la promesse de huit millions d’euros.
Le procès de Pascaline Bongo, fille aînée du défunt président gabonais Omar Bongo et sœur du président déchu Ali Bongo, s'est ouvert lundi devant le tribunal correctionnel de Paris.
La tête recouverte d'un foulard bleu, en long manteau marron, Mme Bongo, 67 ans, est jugée pour des soupçons de corruption passive au Gabon en 2010 et 2011. Dès le début de l'audience, son avocate Corinne Dreyfus-Schmidt a plaidé pour la "nullité complète" de la procédure saluant au passage "une femme courageuse" qui n'a pas hésité "à faire plus de 6.000 km pour comparaitre devant un tribunal français".
Directrice de cabinet de son père jusqu'à sa mort en 2009 puis collaboratrice de son frère Ali, renversé par un coup d'Etat en août dernier, Mme Bongo est soupçonnée d'avoir accepté d'intervenir en faveur de la société française Egis Route dans l'attribution de marchés publics contre la promesse de huit millions d’euros.
"Pascaline Bongo n'est pas le Gabon. C'est une femme seule", a soutenu son avocate contestant la compétence de la justice française pour "juger des faits qui datent de 14 ans, au Gabon et par une personne de nationalité gabonaise". A l'époque des faits, a souligné Me Dreyfus-Schmidt, Mme Bongo "n'est plus rien, elle n'est pas à la tête de l'Etat".
Selon le quotidien Libération qui a dévoilé l'affaire, Mme Bongo aurait accepté un "partenariat fictif" pour qu'Egis participe à la création de l'Agence nationale des grands travaux du Gabon via un marché public de consulting. Cette structure, créée par Ali Bongo après son arrivée à la tête du Gabon, supervisait les chantiers d'infrastructures (routes, stades) et les projets immobiliers publics.
Sur le banc des prévenus aux côtés de Pascaline Bongo, comparaissent Egis Route, représenté par son directeur général, deux de ses anciens cadres et son directeur commercial, Christian Laugier, anciennement chargé des activités Afrique et ex-directeur général du groupe. Ces quatre prévenus poursuivis pour corruption active sont soupçonnés d'avoir proposé à Mme Bongo une rétrocommission de huit millions d'euros en échange d'un contrat.
Une avocate française, Danyèle Palazo-Gauthier, et l'homme d'affaires gabonais Franck Ping, fils de l'ancien ministre et ex-président de la commission de l'Union africaine (2008-2012) Jean Ping, comparaissent également pour complicité de corruption passive d'agent public étranger.
ALIOUNE TINE SUR LES ATTAQUES CONTRE LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL
Selon le fondateur d’Afrikajom Center, elles menacent dangereusement le bon déroulement du processus électoral en cours et risquent de déstabiliser la République et les institutions
Dans un contexte politique tendu, marqué par des tensions croissantes, Alioune Tine lance un appel poignant pour mettre fin aux attaques dirigées contre le Conseil Constitutionnel en cette période cruciale du processus électoral.
« Les attaques contre le Conseil Constitutionnel à cette étape cruciale du processus électoral doivent immédiatement cesser », demande Alioune Tine.
Selon le fondateur d’Afrikajom Center, elles menacent dangereusement le bon déroulement du processus électoral en cours et risquent de déstabiliser la République et les institutions, rapporte Senego.
SON DEPART RECLAMÉ, ALIOU CISSÉ BÉNÉFICIE DU SOUTIEN DE LAT DIOP ET D’AUGUSTIN SENGHOR
Après l’élimination du Sénégal à la CAN en 8e de finale, ses détracteurs réclament son départ. Mais l’ancien Capitaine des « lions » peut compter sur le soutien des autorités du football sénégalais.
En poste depuis 2015, Aliou Cissé avait, avant la coupe du monde Qatar 2022, bénéficié d’une prolongation de contrat jusqu’en 2024, avec une revalorisation salariale de 50%. Atteindre les quarts de finale de la Coupe du monde 2022 et de conserver le titre de champion d’Afrique lui avait été fixé comme objectifs. Après l’élimination du Sénégal à la CAN en 8e de finale, ses détracteurs réclament son départ. Mais l’ancien Capitaine des « lions » peut compter sur le soutien des autorités du football sénégalais.
Classée parmi les grands favoris de la CAN 2023, l’équipe nationale du Sénégal n’a pas pu franchir la phase des 8e de finale. Après cette grosse déception, l’avenir du sélectionneur Aliou Cissé à la tête de la sélection suscite un débat. Après bon nombre de supporters, des membres de la Fédération sénégalaise de football (FSF) réclameraient le limogeage de l’actuel entraineur des « Lions », qu’ils accusent d’être responsable de la déroute à Yamoussoukoro. Toutefois, les détracteurs de coach CISSE vont devoir prendre leur mal en patience, car ce dernier a obtenu le soutien de la Fédération sénégalaise de football et du ministère des Sports.
A en croire le quotidien « Source A » dans sa parution de ce mercredi, le président de la FSF, Augustin Senghor et le ministre des Sports Lat Diop, ont montré leur satisfaction à l’endroit d’Aliou Cissé, dans les vestiaires, après la défaite des « Lions » face aux Éléphants de la Côte-d’Ivoire.
Selon Source A, Augustin Senghor n’a pas tari d’éloges à l’égard du sélectionneur, et s’est dit «très satisfait du travail qui a été abattu par l’entraîneur Aliou CISSE». Des mots qui seraient réconfortés et appuyés par ceux du ministre du Sport.
Soulignons que les pourfendeurs du coach avaient commencé à réclamer la démission du technicien sénégalais après son élimination au mondial Qatar 2022. Le journal Les Échos, dans sa livraison du 21 décembre 2022, annonçait qu’au sein de la Fédération, il y a ceux qui voulaient le départ de Cissé au motif qu’il a atteint ses limites.
Précisons également qu’au sortir de la CAN en Egypte en 2019, des fédéraux avaient réclamé le départ du sélectionneur qui avait eu à l’époque le soutien du président de l’instance, Augustin Senghor.
ÉCOSYSTEME FORESTIER, UNE RÉGRESSION DE MOINS DE 5 TONNES PAR HA DU POTENTIEL CARBONE SÉQUESTRÉ EN 16 ANS
Le directeur des Eaux et forêts, a par ailleurs, salué ‘’l’évolution positive de la densité de la végétation marquée par une bonne régénération des arbres notamment en haute Casamance où l’inventaire fait état d’une évolution positive’’.
Dakar, 31 jan (APS) – Le potentiel carbone séquestré par l’écosystème forestier du Sénégal a connu une régression de moins de 5 tonnes par ha entre 2007 et 20023 dans les différentes zones éco-géographiques du pays, a révélé, mercredi, à Dakar, le colonel Babacar Dione, directeur des eaux et forêts, chasses et de la conservation des sols.
‘’Entre le denier inventaire mené en 2007 et celui de 2023, il y a eu une régression du potentiel carbone séquestré par l’écosystème forestier du Sénégal de moins de cinq tonnes par ha et de manières différentes suivant les zones éco-géographiques du pays’’, a-t-il-dit.
Le colonel Babacar Dione intervenait lors de la cérémonie de présentation des résultats de l’Inventaire forestier national (IFN) mené entre mai et juin 20023 sur 208 placettes permanentes à travers les différentes zones éco-géographiques du Sénégal.
L’objectif de cet inventaire réalisé par la Direction des eaux et forêts avec l’appui de certains partenaires “est de connaitre la diversité et la dynamique de plus de 8 millions d’hectares de forêts dont dispose le Sénégal a-t-il expliqué.
Selon lui, les 208 placettes permanentes sont des unités échantillonnage permettent d’établir et d’évaluer le potentiel forestier.
Il a indiqué que l’inventaire fait état ‘’d’une évolution positive par endroit et des évolutions négatives dans d’autres avec notamment des facteurs de dégradation causés par les coupes abusives de bois et aux déficits pluviométriques’’.
‘’Nous avons constaté des arbres morts, des arbres repères morts, une diminution de la densité ou de la diversité floristique au niveau de ces unités d’échantillonnage’’, a-t-il signalé.
Concernant la zone des Niayes et celle du Walo, l’inventaire a montré une évolution régressive du potentiel forestier, a-t-il précisé.
‘’Ça peut se comprendre parce qu’il y a un changement d’utilisation et d’affectation des terres pour des aménagements hydro-agricoles, pour des activités agricoles ou des usages à habitation’’, a-t-il expliqué. ‘’Donc, ce qui fait qu’on a 24 placettes permanentes qui ont été reconverties par ces cultures ou en maisons d’habitation’’, a-t-il ajouté.
Le directeur des Eaux et forêts, a par ailleurs, salué ‘’l’évolution positive de la densité de la végétation marquée par une bonne régénération des arbres notamment en haute Casamance où l’inventaire fait état d’une évolution positive’’.
‘’Néanmoins parmi les 208 placettes, nous avons 163 qui ont conservé la diversité floristique. Plus de 80% du potentiel forestier que nous avons est compris dans les classes à faible diamètre pour dire que nous avons une bonne dynamique qui donne l’espoir que la forêt va perdurer’’, a-t-il-encore souligné.
La séquestration du carbone (C) est un processus correspondant à un stockage de carbone dans l’écosystème forestier. Ce mécanisme vise à atténuer les émissions de gaz à effet de serre responsable du changement climatique.