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8 juin 2025
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POUR UNE GOUVERNANCE CONFORME AUX ASSISES
Pour renforcer l'État de droit et les institutions, 12 candidats à la présidentielle ont solennellement paraphé mardi un Pacte de mise en œuvre des conclusions des Assises et des recommandations de la CNRI. Un engagement historique pour un Sénégal nouveau
Ce mardi après-midi s'est tenue à Dakar une cérémonie majeure : la signature solennelle d'un Pacte national pour une bonne gouvernance démocratique par les principaux candidats à l'élection présidentielle de février 2024. Organisé par la Coalition de la société civile pour l'application des conclusions des Assises Nationales et des recommandations de la CNRI, cet événement a réuni une douzaine de prétendants à la magistrature suprême, dont Mamadou Lamine Diallo, Cheikh Tidiane Dieye, Mahammed Boun Abdallah Dionne, Bassirou Diomaye Faye, Serigne Mboup, Khalifa Ababacar Sall, Thierno Alassane Sall et Rose Wardini, Malick Gackou entre autres.
L'objectif de ce Pacte est d'engager formellement les candidats sur les principales conclusions issues des Assises Nationales de 2008 et de la Commission nationale de réforme des institutions, concernant la construction d'un Etat de droit, la sauvegarde des institutions et le renforcement de la cohésion sociale. "Ces thématiques correspondent directement à ce sur quoi nous nous étions mis d'accord et qui devait placer notre pays sur une belle rampe", a déclaré Khalifa Ababacar Sall.
Lors de la cérémonie, les candidats ont pris des engagements forts. Thierno Alassane Sall s'est ainsi engagé à "mettre en place une équipe pluridisciplinaire" chargée de rédiger "les meilleurs textes pour le Sénégal" dans un délai maximal de 24 mois. Il a également promis un "mécanisme de suivi évaluation" trimestriel des avancées. De son côté, Mamadou Lamine Diallo a insisté sur le fait que "l'appliquer est une nécessité pour ce pays", qualifiant cet événement "d'historique".
Dior Sow Fall, membre de plateforme de la plateforme de la société civile iniatrice de l'initiative et présidente de séance s'est réjouie de cette "belle cérémonie" durant laquelle "déjà 12 candidats ont signé le pacte." Soit plus de la moitié des 20 candiats en lice pour le scrutin présidentiel. Elle a néanmoins rappelé l'importance du "respect des engagements" et la nécessité "d'assurer le suivi". Cette initiative inédite pourrait marquer un tournant dans le débat public en amont de l'élection présidentielle.
Reste à voir si ces engagements pour une "bonne gouvernance démocratique" se concrétiseront une fois l'un de ces candidats investi à la tête de l'État.
DAKAR DÉMENT LES CAS DE DÉCÈS OU DE VIOLENCE VISANT LA COMMUNAUTÉ IVOIRIENNE AU SÉNÉGAL
Après le match remporté, lundi, par la Côté d’Ivoire, une rumeur folle s’est très vite propagée dans les réseaux sociaux faisant état d’un ivoirien qui serait tué à Dakar.
Dakar, 30 jan (APS) – Aucun cas de décès ou de violence visant la communauté ivoirienne n’a été constaté dans le département de Dakar, suite au match opposant les équipes nationales des deux pays pour les huitièmes de finale de la Coupe d’Afrique des nations qui se déroule en Côte d’Ivoire, a appris l’APS de sources préfectorale et diplomatique.
Après le match remporté, lundi, par la Côté d’Ivoire, une rumeur folle s’est très vite propagée dans les réseaux sociaux faisant état d’un ivoirien qui serait tué à Dakar.
»L’autorité chargée de veiller à la sécurité publique informe qu’aucun cas de décès en lien avec cet évènement sportif ou de violence visant la communauté ivoirienne n’a été constaté dans le département de Dakar », indique le préfet de Dakar, Chérif Mouhamadou M. Blondin Ndiaye.
Dans un communiqué rendu public ce mardi, l’autorité administrative a relevé »qu’aucun individu victime de violences n’a été reçu dans les services hospitaliers après le matche », ajoutant qu’aucune »déclaration de violence sur des étrangères n’a été enregistrée par les services de police ».
Jointe par la télévision ivoirienne, la première conseillère à l’ambassade de Côte d’Ivoire à Dakar, Abouya Kokola Marie-Célile a tenu à rassurer que cette rumeur, après vérification, s’est révélée »totalement fausse ».
Une délégation de l’ambassade s’était déplacée à la morgue de l’hôpital du CHU de FANN, où le corps de la victime aurait été transféré, a-t-elle poursuivi. Elle rappelle que sur place, aucun n’ivoirien n’a été signalé dans les registres de l’hôpital après le match remporté par l’équipe de la Côte d’Ivoire lors des séances de tirs au but.
La diplomate a toutefois parlé de »mécontentements isolés » après le match et qui ont été »ciblés et contenus par les forces de l’ordre », appelant ses concitoyens d’ici et de la Côte d’Ivoire »au calme et à la retenue ».
LE RPD/DEFKO SOUTIENT LE CANDIDAT QUI SERA DÉSIGNÉ PAR LE LACOS
Le candidat qui sera désigné par la coalition LACOS nous semble être l'une des rares forces politiques capables de réaliser la troisième alternance tant attendue par la majorité des Sénégalais
Dans un communiqué, le Président Rassemblement Populaire pour le Développement /DEFKO de M. Doudou Sidibé a décidé de soutenir le le candidat qui sera désigné par le LACOS.
"L'immobilisme et la neutralité ne sont nullement des options pour notre parti Rassemblement Populaire pour le développement (RPD/DEFKO). Après de larges consultations au sein du parti et des discussions avec des représentants du LACOS (Leaders alliés à Ousmane Sonko), notre parti RPD/DEFKO a décidé de soutenir le candidat qui sera désigné par la coalition LACOS, car il nous semble être l'une des rares forces politiques capables de réaliser la troisième alternance tant attendue par la majorité des Sénégalais.
Notre soutien n'est soumis à aucune condition. Nous souhaitons juste le changement pour un Sénégal stable et prospère. Le progrès démocratique, économique, social et technologique est inéluctable. Nous avons bon espoir que le Projet économique et social commun que propose le LACOS et son application au lendemain de la victoire permettra au Sénégal de prendre définitivement son envol" indique le communiqué.
Par Mamadou Ndiaye
COUPS, CHOCS ET CHAOS
L’horizon s’assombrit à l’ouest de l’Afrique. Des régimes kaki dictent leur loi à des populations prises pour chair à canon dans une indescriptible poudrière à l’abri des regards.
L’horizon s’assombrit à l’ouest de l’Afrique. Des régimes kaki dictent leur loi à des populations prises pour chair à canon dans une indescriptible poudrière à l’abri des regards.
Sous l’emprise de ces forces, l’ambiguïté le dispute à l’embrouille, la parole maquille des faiblesses qui ont cours dans des casernes que la raison a désertées en cédant le mirador à des esprits primesautiers.
La récente décision des juntes malienne, nigérienne et burkinabè de quitter la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) cache mal le désarroi des militaires face à une conjonction de facteurs qu’aucun d’eux n’envisageait ou n’avait initialement prévu.
Ils invoquent le « manque d’assistance » de la Cedeao pour justifier leur départ que rien ne motive en réalité.
Ils relèvent également son manque de spontanéité dans le soutien à « l’effort de guerre » alors qu’elle a été prompte à brandir des sanctions contre les putschistes.
Nos vaillants soldats, une fois au pouvoir, se sont aperçus des dures réalités de l’exercice qui est loin d’être une comédie de boulevard.
N’avaient- ils pas reproché aux civils leur mollesse et leur indifférence au sort des troupes au front ?
De guerre lasse, ils ont fini par confisquer les pouvoirs écartant du coup des dirigeants élus qu’ils empêchaient même, fusil à la tempe, d’appliquer les programmes pour lesquels leurs peuples respectifs leur ont fait confiance en les portant à la tête des États du Niger, du Faso et du Mali. Un président est détenu contre son gré dans une prison à ciel ouvert, un autre écarté manu militari.
L’interruption des processus démocratiques a de quoi inquiéter riverains et voisins surtout avec l’arrivée en force de troupes russes, notamment Wagner présent sur le sol malien au moment même où les troupes Barkane de l’armée française quittent le pays.
Concordance ? Concomitance ? Coïncidence ? Toujours est-il que ce « jeu de chaises musicales » dénote un renversement de perspective et le surgissement d’une situation inédite gouvernée par un télescopage d’incertitudes.
Dans des figures de styles qui se ressemblent, les trois régimes militaires ont achevé leur mue en montant une Alliance des États du Sahel incapables de se projeter parce que dépourvu de moyens et par conséquent obligés de substituer un parapluie (français) par un autre, russe cette foi, dont les dérives et les travers ne sont pas méconnus en Afrique Centrale et australe.
Les questions de sécurité sont si récentes qu’elles ne figurent pas proprement dans les textes fondateurs de la Cedeao.
Ceux qui se sont empressés de court-circuiter les pouvoirs en place avaient-ils conscience de la difficulté de la tâche et de son immensité ?
Ils n’ignorent pas que le culte des héros est passé de mode depuis l’effacement d’une certaine incarnation : Thomas Sankara, en l’occurrence.
Or en s’accrochant au concept suranné de la gloire, ils se trompent d’époque et mobilisent les populations pour de fausses causes adossées à de fausses lectures de conjoncture qui nous valent ces errements intempestifs.
A quelle logique obéit le retrait des trois pays de l’AES ? Est-il censé de quitter une économie ouverte pour replonger dans une économie fermée ?
L’un des tout premiers acquis de l’intégration régionale est la libre circulation des hommes et des biens sans aucune entrave dans l’espace ouest africain avec plus de 300 millions d’habitants.
Pourquoi se recroqueviller dans des réduits, étouffants, sans épaisseur, sans consistance et surtout sans lendemain quand l’heure est aux grands ensembles beaucoup plus viables en termes de projections ?
Les ressortissants de ces pays se retrouvent dans toute la zone économique. Les économies sont si imbriquées que tenter de les démêler ressemblerait au tonneau des Danaïdes.
Tâche absurde. Coup d’épée dans…le sable mouvant des territoires de l’hinterland. Ils ont autant besoin des pays à façade maritime que ceux-ci consomment les productions animales venant du nord.
Que veulent les dirigeants militaires à travers ce retentissant coup de force qui relève plus de la Communication politique que d’une stratégie réfléchie pour inverser l’encours de l’histoire ?
Les trois lectures de la déclaration commune dans les chaînes de télévision d’État, résument l’état d’esprit qui prévaut dans les palais bunkérisés.
Les moyens de communication utilisés dénotent chez les militaires en question un goût immodéré de la jouissance cathodique. Convaincus de la puissance et de la portée des médias, ils en usent à satiété au point d’en abuser.
D’ordinaire, les médias consacraient la gloire.
Désormais, ils la fabriquent. Certains hiérarchies militaires l’ont compris. Elles s’évertuent à asseoir une popularité sur cette base.
Ce qui est contre-productif, dès lors que l’objectif affiché demeure de mobiliser les populations pour en faire l’instrument de consolidation des pouvoirs conquis.
En arrière-plan de cette approche se faufile un populisme naissant qui attend son heure pour éclore. Le rayonnement à la gloire des colonels est en marche.
Repos ! Fixe ! Rompez…!
Leur prétentions décuplées étonnent tant par leur manque de réalisme que par leur déphasage vis-à-vis des priorités qui jalonnent le chemin de sortie de crises.
Idéaux du panafricanisme et des pères fondateurs. Manque d’assistance face au terrorisme. Sanctions injustes infligées par la Cedeao. Meurtries par des Années de violence.
Passer à la télévision confère une notoriété dont voudraient jouir les patrons des juntes. Militaires de haut rang qui tentent de ce fait de se convertir en politiques avisés.
En indexant la Cedeao comme le vivant noyau de leur malheur, ils trouvent assez facilement un bouc-émissaire choisi pour endosser la responsabilité ou pour expier la faute.
Pour éviter toute polémique découlant d’une réaction immédiate, la Cedeao s’emmure dans un épais silence qui en dit long sur les facéties des régimes issus de coups d’Etat ou qui en sont l’excroissance ou l’émanation. Gare à la célébrité enfuie…!
Ils avaient écarté du pouvoir des régimes qu’ils considéraient comme faibles et inféodés face à la progression du terrorisme.
En prenant le pouvoir, ils promettaient de rétablir l’ordre et les valeurs, de repousser les ennemis, et de surveiller les frontières.
Qu’ont-ils fait de leur pouvoir ? Les incursions meurtrières se multiplient. L’insécurité règne toujours. Par milliers, les populations se déplacent à pied.
Pire, elles s’entassent dans des bidonvilles où la promiscuité et la violence se télescopent. Plus d’écoles, de préfectures ou de symboles d’Etat dans diverses zones sous contrôles de milices
En outre, il faudra s’émouvoir du tissu de complicités reliant des générations de militaires qui observent, ébaubis, le comportement des gradés au pouvoir dans une demi-douzaine de pays d’Afrique.
Par ailleurs, les trois États de l’Alliance au Sahel totalisent une population de moins de 70 millions d’habitants, soit deux fois moins que l’ensemble du Nigéria, géant de l’Afrique à côté de l’Afrique du sud.
Les militaires dont la conduite est en conflit avec les valeurs de démocratie s’érigent en sentinelles de vertus que seul le temps va éprouver.
Car certains d’entre eux souffrent d’un déficit de légitimité qu’ils tentent de combler par un populisme de mauvais aloi.
Or les accointances avec ces prototypes de régimes d’exception traduisent un net penchant autoritaire qui finira par s’exercer au grand jour.
Le retrait s’apparente à une réaction d’orgueil mal placé et sans lendemain. Convenons-en. En d’autres termes, disposent-t-ils de légitimité bien assise pour remettre en cause un acte fondateur.
A moins de parler en leur nom propre en méconnaissance des trajectoires historiques des différents États ayant concouru à l’expression d’une volonté unitaire à l’échelle régionale ou continentale.
Ce dessein est sauver. Il est à mettre à l’abri des tentations solitaires, par essence suicidaires.
C’est faire peu de cas de l’importante contribution des fondateurs à l’émergence, soixante ans plus tard, des embryons d’Etats qui songent à des abandons de souveraineté pour construire de grands ensembles.
En clair, le retour à de micros-Etats sonne comme un faux-nez qui avance encagoulé de surcroît.
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PRÉSIDENTIELLE 2024, IDY RENFORCE SA COALITION
A quelques jours de l’ouverture de la Campagne électorale, Idrissa Seck renforce sa coalition. Lundi il a signé un protocole d’accord avec plusieurs coalitions qui ont décidé de le soutenir.
A quelques jours de l’ouverture de la Campagne électorale, Idrissa Seck renforce sa coalition. Lundi il a signé un protocole d’accord avec plusieurs coalitions qui ont décidé de le soutenir en Direction de la prochaine présidentielle.
LA LECTURE DE HENRI CAMARA SUR L’ÉLIMINATION DES LIONS
Ancien goleador des Lions, Henri Camara a analysé le match perdu par les lions du Sénégal hier, face à la Côte d’Ivoire. Il a pointé du doigt un aspect qui a fait défaut aux tenants du titre.
iGFM - (Dakar) Ancien goleador des Lions, Henri Camara a analysé le match perdu par les lions du Sénégal hier, face à la Côte d’Ivoire. Il a pointé du doigt un aspect qui a fait défaut aux tenants du titre.
«Je ne m'attendais pas à cette réaction du Sénégal. Après l'ouverture du score, il fallait chercher à tuer le match. Malheureusement, on a arrêté de jouer pour chercher à conserver un résultat. La Côte d'Ivoire qui devait être dans le doute, continuait à jouer tranquillement sans aucune pression.
Pis, en plus de reculer, on se contentait de balancer les ballons devant sans chercher à produire du jeu. Dès la fin de la première période, on sentait que cette équipe de la Côte d'Ivoire allait avoir l'occasion de revenir dans le match. Ça allait être difficile de battre cette équipe sur le terrain. On a eu des opportunités, on ne les a pas mises au fond. A ce stade de la compétition, cela ne pardonne pas. Sadio a eu une belle opportunité, elle n'a pas été concrétisée. C'est après cette occasion que les Ivoiriens ont eu ce penalty.
Après l'égalisation, c'était une mission quasi impossible pour les Lions de s'imposer sur le terrain. La Côte d'Ivoire était dans son match et avait l'apport de son public. On devait s'attendre à jouer un match aussi compliqué parce que l'adversaire, éliminé puis ressuscité, n'avait rien à perdre. Ils n'avaient pas la pression du favori. Ils ont joué sans pression. Dans cette position, la Côte d'Ivoire est dangereuse. C'est une grande équipe.
Le sort est cruel. Il faut l'accepter et encourager les joueurs qui, à mon sens, ont perdu au mental. Si l'on était mentalement fort, on n'allait pas accepter cette domination, alors qu'on menait au score. Ce n'est ni physique ni tactique, c'est au mental. Je pense aussi que Aliou Cissé a tardé à faire ses changements au milieu de terrain, il fallait apporter des joueurs d'expérience parce qu'on a été inexistant dans l'entrejeu. Devant, les attaquants ont connu des fortunes diverses. Ismaila a créé des occasions, je dirais même un penalty. Habib Diallo a marqué, Sadio a été passeur décisif. Mais Nicolas Jackson n'a rien ápporté quand il a fait son entrée. Ce qui est dommage. Il faut maintenant encourager l'équipe et tout le staff qui nous ont aussi donné des moments de plaisir.»
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LE CNRA FIXE LES RÈGLES DU JEU AVEC UN TEMPS D’ANTENNE DE 3 MINUTES PAR CANDIDAT
Cette démarche vise à assurer une équité et une transparence dans le processus électoral, permettant ainsi à chaque candidat de présenter ses idées de manière égale devant le public.
En anticipation de la campagne présidentielle du 4 février, le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) a organisé une réunion de coordination. Les représentants des partis politiques et les responsables de la RTS ont participé à cette rencontre stratégique.
L’ordre de passage des candidats a été soigneusement établi, avec un temps d’antenne fixé à 3 minutes pour chaque postulant.
Cette démarche vise à assurer une équité et une transparence dans le processus électoral, permettant ainsi à chaque candidat de présenter ses idées de manière égale devant le public.
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LA DEUXIÈME ÉTOILE DES LIONS VA DEVOIR ATTENDRE
Le Sénégal a donc perdu son titre tant envier de champion d’Afrique. Les Lions ont joué leur match le plus difficile avec des faits de jeu dont on reparlera. La deuxième étoile des Lions va devoir attendre
Le Sénégal a donc perdu son titre tant envier de champion d’Afrique. Les Lions ont joué leur match le plus difficile avec des faits de jeu dont on reparlera. La deuxième étoile des Lions va devoir attendre.
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CE QUE KRÉPIN DIATTA A RÉELLEMENT DIT EN ZONE MIXTE
La déception était immense côté sénégalais après l’élimination prématurée au 1er tour de cette Can. Une pilule difficile à avaler surtout que le sort de cette rencontre aurait pu être différent si l’arbitre gabonais avait fait preuve d’impartialité.
La déception était immense côté sénégalais après l’élimination prématurée au premier tour de cette Can 2023. Une pilule difficile à avaler surtout que le sort de cette rencontre aurait pu être différent si l’arbitre gabonais de cette rencontre avait fait preuve d’impartialité. En effet, le Gabonais, Pierre Ghislain Atcho, a fermé les yeux sur cette faute d’Odilon Kossounou sur Ismaïla Sarr dans la surface de réparation à la 55e minute. Ce dernier ne s’est pas privé plusieurs minutes plus à aller visionner la Var pour finalement accorder le penalty égalisateur à la Côte d’Ivoire sur une faute d’Edouard Mendy sur Nicolas Pepe (86e).
Un jugement qui a mis en colère Krépin Diatta qui n’a pas mâché ses mots en zone mixte même s’il n’a pas sorti de sa bouche les mots qui lui sont prêtés par plusieurs médias. « Tout le monde a vu. Tu ne peux pas décider du sort de tout un pays comme ça. C’est incompréhensible. Tu vas voir la VAR pour leur donner un pénalty, un gars (Ismaïla Sarr) qui prend le ballon 40 mètres et fait une chevauchée, rentre dans la surface, et tu ne veux pas aller regarder la VAR ? Je suis désolé mais là c’est abusé. Je suis vraiment désolé mais là ils ont tué notre compétition », a fulminé un Krépin Diatta en colère.
LE PERSONNEL DE L’HÔPITAL ROI BAUDOUIN EN GRÈVE POUR 72H
Les travailleurs de l’hôpital Roi Baudouin de Guédiawaye sont dans une colère noire. Après les médecins, les travailleurs sont en grève, pour 72 heures.
Les travailleurs de l’hôpital Roi Baudouin de Guédiawaye sont dans une colère noire. Après les médecins, les travailleurs toutes branches de la médecine confondues, sont en grève, pour 72 heures. Dénonçant une mauvaise gestion des dirigeants, ils se sont mis en rouge.
Selon eux, beaucoup de choses ne marchent plus au sein de cet hôpital, contribuant à augmenter la souffrance des populations. Si l’on en croit au personnel médical, la crise que traverse la structure est essentiellement due à sa gestion. «Il faut dire qu’on privilégie un budget d’investissement avec des constructions alors que le plan technique prend en charge le matériel et les intrants et à notre niveau, on manque de tout», a dénoncé le délégué de personnel, Khady Samaké Sarr. Elle met le curseur sur le manque d’infrastructures de l’hôpital qui pose d’énormes problèmes. «Depuis deux mois, nous ne disposons pas de radio, tous les malades sont référés ailleurs. Une situation qui augmente la charge de travail des autres structures hospitalières», laisse-t-elle entendre.
En plus du service radiologique qui serait en panne, les travailleurs dénoncent aussi l’arrêt de celui de la chirurgie oculaire et de l’urologie faute d’intrants. «Les médecins sont en grève depuis un certain temps et malgré tout cela, la direction persiste et signe et dit publiquement qu’elle ne prendra aucune mesure pour régler cette situation», informent les travailleurs avant de renchérir : «le budget de l’hôpital n’est toujours pas voté, du fait du refus de convoquer une réunion».
Face à cette situation, les travailleurs de l’hôpital Roi Baudouin de niveau 1 lancent un appel au ministère de la Santé et de l’Action sociale afin de trouver des solutions. Ces derniers qui ne comptent pas baisser les bras, ont décidé de tenir un point de presse, ce mercredi avec tous les représentants des travailleurs de cette structure.