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5 juin 2025
COUPE DU MONDE DE FOOTBALL DES MALENTENDANTS, LE SÉNÉGAL RELOGÉ
Les 4es championnats du monde de football des malentendants qui débutent le 23 septembre prochain à Kuala Lumpur (Malaisie) ont connu un petit chamboulement dans la composition des poules.
Les 4es championnats du monde de football des malentendants qui débutent le 23 septembre prochain à Kuala Lumpur (Malaisie) ont connu un petit chamboulement dans la composition des poules. Alors que les pays participants s’apprêtaient à rallier la capitale malaisienne, l’information est tombée sur la nouvelle configuration des groupes.
Ils ont reçu récemment le drapeau national des mains du Premier ministre et ministre des Sports, Amadou Ba, et s’apprêtaient à s’envoler pour Kuala Lumpur (Malaisie) pour disputer les championnats du monde de football des malentendants (23 septembre – 7 octobre 2023). Mais, à la dernière minute, les « Lions » malentendants du Sénégal ont été informés des changements intervenus dans la composition de leur poule pour ces mondiaux. Le Sénégal ne sera plus dans la poule D avec la France, l’Australie et le Koweït, a informé l’entraîneur national Souleymane Bara Fomba.
Les « Lions » malentendants devaient quitter Dakar, aujourd’hui, pour la Malaisie, mais, au dernier moment, ils ont été informés du léger réaménagement intervenu au niveau des poules de ces mondiaux. Ainsi, le Sénégal sera dans la poule B avec l’Argentine, l’Ukraine et la Thaïlande. En somme, un pays européen, un sud-américain et un asiatique. Ce chamboulement est la conséquence du désistement de certains pays qui ont renoncé à la compétition, selon M. Fomba.
« On vient de nous informer qu’on a changé la poule du Sénégal à la suite de forfaits de certains pays. On est maintenant dans la poule B avec l’Argentine qu’on ne connaît pas, l’Ukraine, qui est championne olympique, et la Thaïlande. Je pense que c’est une poule abordable dans laquelle on peut jouer nos chances. On est dans une compétition et il faut tout préparer », a déclaré le technicien sénégalais.
Ce chamboulement ne concerne pas que la poule du Sénégal, puisqu’à la suite du forfait du Mali, du Chili, de la Grèce et de la Chine presque toutes les poules ont connu des changements dans leur composition. Avec le désistement de ces 4 pays, cette compétition se retrouve maintenant avec 4 poules au lieu de 5 initialement (4 poules de 4 et 1 poule de 3). Ainsi, le Sénégal jouera son premier match le 23 septembre face à l’Argentine, ensuite ce sera face à l’Ukraine le 25 et enfin devant la Thaïlande le 27 septembre.
Après 5 mois de préparation ponctués par des matches amicaux, Bara Fomba et ses joueurs sont prêts pour la grande compétition où ils auront à confirmer leur statut de champions d’Afrique en titre lors de la Coupe d’Afrique des nations au Kenya et des 5es Jo des malentendants au Brésil.
PAR Boun Abdallah Dionne
JE SUIS CANDIDAT À LA PRÉSIDENTIELLE
Je m'engage pour une refondation et un réajustement des règles de la vie économique, politique et sociale sénégalaise sur des standards élevés à définir, à partir d’une vision commune de l’avenir
L'ancien Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne sera bien candidat à l’élection présidentielle de 2024. Il l’a fait savoir dans une déclaration que nous publions in extenso.
"Mes chers compatriotes,
Je m'engage.
Comme vous le constaterez, je vous avais entretenu de la candidature de progrès et de développement que j'ai eu à porter dans le cadre de la Coalition Benno Bokk Yaakaar.
Mon engagement politique et mon parcours personnel auprès du président Macky Sall, depuis fort longtemps, m'inclinaient naturellement à la poursuite d'un tel combat au sein de la majorité présidentielle. Toutefois, comme lui-même l'a maintes fois réitéré, « nous sommes parce que le Sénégal est ». Ainsi, les intérêts supérieurs de notre pays devront toujours déterminer notre attitude, primant sur tout le reste. C’est pourquoi je m'engage.
Je m'engage pour une refondation et un réajustement des règles de la vie économique, politique et sociale sénégalaise sur des standards élevés à définir, à partir d’une vision commune de l’avenir. En tant que sénégalais, que voulons-nous devenir, ensemble ? Telle demeure la question fondamentale à laquelle nous avons encore à apporter la meilleure des réponses.
Je m'engage parce que la situation de tensions politique et sociale que nous vivons présentement au Sénégal, exige un processus sincère d’apaisement et de réconciliation nationale.
Je m'engage pour un pacte nouveau, qui réconcilie la République avec sa jeunesse, dont le malaise nécessite l'adoption urgente d'une nouvelle politique nationale de Jeunesse. Désormais, donner un métier à chaque jeune sénégalais et l’accompagner dans son aspiration légitime d’une vie meilleure dans le pays qui est le sien, doit être la sur-priorité des pouvoirs publics sénégalais.
Je m'engage parce qu'il nous faut de nouveaux moteurs de promotion d’une véritable souveraineté économique qui place, au cœur du processus national de création de richesses, les principales forces vives du pays : la femme sénégalaise, la jeunesse dans son ensemble, le secteur privé national, le monde du travail, la société civile et le monde rural.
Je m'engage enfin pour réconcilier davantage la République avec les corps sociaux intermédiaires de notre société afin de mieux soutenir la cohésion sociale de notre nation.
Nous atteindrons ces objectifs de rattrapage économique et social sur une période de cinq ans.
Notre ambition pour le Sénégal s’exprimera à travers une série de réformes et de projets nouveaux qui se déclineront en marqueurs forts dans le programme du gouvernement que je mettrais en place au lendemain de notre victoire, en février 2024.
Ces marqueurs concernent :
· une gouvernance institutionnelle plus déconcentrée et plus équilibrée qui garantit l'efficacité d'une coopération, dans le respect et l’indépendance, des différents pouvoirs de notre République ;
· une meilleure protection des libertés individuelles et publiques par une justice indépendante, gage de la réalisation de notre idéal démocratique et véritable gardienne de la légalité pour tous ;
· une plus grande souveraineté économique renforçant en même temps notre souveraineté politique et protégeant le peuple sénégalais contre la flambée des prix internationaux des denrées qui nous sont essentielles ;
· la rénovation du service public grâce à une administration résolument orientée vers les services à l'entreprise et des réformes qui facilitent l’entreprenariat en général, celui des jeunes en particulier ; l'objectif recherché étant de positionner le Sénégal comme le pays le plus attractif en Afrique subsaharienne au plan de la promotion d'un environnement favorable aux affaires ;
· une stratégie d’appropriation par le peuple de nos ressources naturelles, en particulier en ce qui concerne l'atout pétrolier et gazier du pays, grâce à la transformation locale des ressources et la montée en puissance de l’Etat dans le capital des consortia d’exploitation ;
· des politiques publiques encore plus efficientes dans les secteurs de la santé, de la recherche, de l'innovation, de l'éducation, de la formation, de l'insertion professionnelle, de l’artisanat, de la petite et moyenne industrie, de la technologie, de l’habitat et du cadre de vie ;
· la promotion de chaînes de valeur agroindustrielles compétitives, base de la souveraineté alimentaire nationale.
C'est bien comme cela, avec tous les amis, les coalitions et les partis politiques ainsi que les mouvements citoyens qui se sont manifestés à nous, que nous poursuivrons le rêve d'un Sénégal souverain, industrialisé, inclusif et émergent, maître de son économie et de son destin politique : le Sénégal que nous voulons, le Sénégal que nous partageons.
Oui je suis candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024. Oui je m'engage.
Vive le Sénégal uni et indivisible !
LA « FOLIE » ABANDONNEE DU BARON ROGER A RICHARD-TOLL
À 100 km de Saint-Louis, au cœur de Richard-Toll, département de Dagana, Jean-François Roger, ancien Gouverneur du Sénégal, avait construit un château en pleine forêt, communément appelé « Folie du Baron Roger ».
À 100 km de Saint-Louis, au cœur de Richard-Toll, département de Dagana, Jean-François Roger, ancien Gouverneur du Sénégal, avait construit un château en pleine forêt, communément appelé « Folie du Baron Roger ». Après plus de deux siècles, le site est au bord de l’effondrement et sa mémoire risque de disparaître dans le temps à cause d’un défaut d’entretien. Si des populations du Walo réclament son érection en musée botanique, la «Folie du Baron Roger», debout dans le quartier de Khouma, ne sait pas encore si elle fait partie du patrimoine du ministère de la Culture ou de celui du ministère de l’Environnement. Un potentiel bijou touristique non exploité.
Il aurait pu constituer l’un des bijoux touristiques du Walo, un lieu fréquenté pour marquer la présence de l’autorité coloniale. Mais, il ne se passe pas un jour sans que la «Folie du Baron Roger» ne se rapproche de la disparition de la mémoire collective avec le temps. Aujourd’hui, son existence, jadis vantée, est chahutée par un abandon qui risque de l’engloutir dans les abysses de l’oubli, dans les profondeurs de l’effacement pur et simple. Il s’agit d’un manque de considération pour un des derniers symboles de la colonisation dans cette partie du département de Dagana.
On est à 100 km de Saint-Louis, à Richard-Toll, précisément à Khouma, un des 7 quartiers de la commune avec Escale, Ndiaw, Ndiangué, Gallo-Malick, Tahouey et Thiabakh. Dans cette zone ou les plantations de la Compagnie sucrière sénégalaise (Css) et les champs rizicoles demeurent presque la quasi-totalité des activités des Walo-Walo, la «Folie du Baron Roger» passe presque inaperçue. Il y a plus de deux siècles, ce temple était un endroit jalousé, un espace royal, un lieu où le Gouverneur du Sénégal montrait sa super puissance.
Il y a cette forêt dense qui donne à l’endroit une dimension hautement paradisiaque, ensuite ces arbres et ces gazouillements d’oiseaux qui donnent un peu d’ombre face au diktat des rayons solaires. À droite de la route qui mène à la ville de Dagana, trône un monument aux formes de château, à l’allure d’un monument qui se distingue par sa stature imposante. Il porte fièrement les vestiges du passé colonial dans cette commune dirigée par le maire Amadou Mame Diop, actuel Président de l’Assemblée nationale. Ensuite, se dresse une zone aux atours de savane où quelques animaux passent du bon temps. Faute d’investissements, l’édifice, inauguré au début des années 1820, lors de l’occupation française, tombe lentement en décrépitude. L’usure du temps a eu raison de l’endroit qui menace ruines. «Je lance un appel pour la restauration du Baron Roger pour qu’il y ait un partenariat public-privé autour du projet. Ce partenariat devrait intéresser la responsabilité d’entreprise de la Compagnie sucrière sénégalaise et Sen India. Elles ont les moyens de réhabiliter le bâtiment, en partenariat avec la commune de Richard Toll et le Conseil départemental de Dagana. Ainsi, on va y réaliser un musée botanique. L’ensemble des documents écrits sur le Walo pendant 4 siècles seront numérisés et déposés là-bas», plaide Amadou Bakhaw Diaw, historien traditionaliste qui se bat pour la restauration de l’édifice.
L’érection d’un musée botanique réclamée
Le château perché, et qui jouxte la rivière du Tahouey, fige un chantier emblématique de l’implantation des Français dans cette partie du Nord de Saint-Louis où le Brack du Walo régnait sans partage. À force de subir les assauts et les caprices de la météo, la peinture a volé en éclats. C’est un lieu décati où l’on peut apercevoir les anciennes pratiques, disons « les folies du Baron Roger » dans la brousse: expositions de photos, installations d’art contemporain, spectacles de danse, salle d’écoute des concerts de piano. La «Folie du Baron Roger» fascine autant par son atmosphère fantomatique que pour la programmation de sa mort. Dans les chambres, des pans de mur en brique ont lâché et dialoguent avec une décoration d’une sobriété contemporaine, portée par des teintes en ocre et blanches typiques de la France. En effet, au début du 19ème siècle, après les guerres napoléoniennes, lorsque la France a été battue, il y a eu le Traité de Vienne.
Pour marquer la fin des hostilités, les Anglais qui occupaient Gorée et Saint-Louis ont décidé de rendre ces comptoirs à la France, mais à condition qu’il y ait une abolition de la traite des esclaves. «L’Angleterre n’était pas devenue abolitionniste par philanthropie, mais surtout pour des calculs économiques. Elle avait découvert la machine à vapeur qui devait concurrencer le travail des esclaves. Donc, ce pays devait écouler sa nouvelle machine. Ils ont dit aux Français qu’ils allaient leur céder Gorée et Saint-Louis, mais à condition d’en finir avec le commerce triangulaire. Le Ministre des Colonies Portal a demandé à ses hommes de retourner au Sénégal, de récupérer la colonie de Saint-Louis mais avec comme mission d’acquérir des terres pour qu’au lieu d’exporter des Nègres vers les Amériques, qu’ils implantent des plantations dans les lieux et les cultiver. Donc, cultivons avec les Nègres sur les terres des Nègres», restitue M. Diaw.
Durant son règne, comme Gouverneur du Sénégal, de 1822-1827, Jean-François Roger, dit Baron Roger, premier civil à occuper cette fonction, décide d’adopter une approche pas raciste mais d’insertion. D’aucuns considèrent qu’il aurait construit ce château pour les beaux yeux d’une belle femme sénégalaise, Yacine Yérim Diaw, qu’il épousera plus tard. Ainsi, le baron venait passer ses week-ends avec sa femme dans cette résidence rappelant les «folies», petits châteaux au XVIIIe siècle. «Il a voulu être dans la couleur locale. Il avait épousé une femme dans le royaume et parlait couramment le Wolof au milieu de l’exploitation. Au milieu de la forêt, il a créé une folie, c’est-à-dire un bâtiment. Il avait épousé la femme de l’un des signataires du traité de Ndiaw Diogomaye Ndiack Arame Kilar Diaw qui s’appelait Yacine Yérim Diaw et ils ont eu un enfant Marie Roger dont la descendance est assez nombreuse à Richard Toll», précise l’historien traditionaliste.
À l’origine du nom Richard-Toll
Pour mettre en valeur le champ qui entoure sa résidence, le Baron Roger a amené 3 botanistes et ingénieurs dont Claude Richard, qui a créé un jardin d’essai. «C’est à Richard Toll où on a essayé l’indigo, la canne à sucre, le coton et l’arachide. Donc, il y avait des jardins d’essai. Ce sont les jardins d’essais que les wolofs des villages environnants appelaient ‘‘Tollou Richard’’. C’est de là d’où est venu le nom Richard-Toll. Pendant 3 ans, le Baron Roger a été là-bas. Le château a été construit entre 1821 et 1822 », ajoute Amadou Bakhaw Diaw.
Plus de 200 ans après, le monument est proche de s’affaisser à cause des stigmates de la nature qui a été sans pitié. Selon Bakhaw Diaw, il urge de connaître, entre le ministère de l’Environnement et le ministère de la Culture, celui qui gère le site. «Le vrai problème, c’est au niveau de la tutelle administrative. Le château se trouve dans une forêt classée. Est-ce sous la tutelle du ministère de l’Environnement ? Ou bien le château appartient au patrimoine historique, c’est-à-dire le ministère de la Culture ? Il faut qu’il y ait une certaine harmonisation », préconise-t-il. En attendant, le site agonise. Et ce potentiel bijou touristique semble programmé à mourir à petit feu.
QUARTIER DE KHOUMA
Des Bracks enterrés debout
Les tombes sont superposées les unes après les autres. Dans le cimetière du quartier de Khouma, dans la commune de Richard-Toll, des anciens chefs du royaume du Walo ont été mis sous terre en position debout. C’est le cas du Brack Coly Baba Diop. «Ce que les gens ne savent pas, c’est que les anciens chefs n’étaient pas enterrés selon la tradition musulmane, de peur qu’on prélève un de leurs squelettes. Donc, il y avait de fausses tombes parce que les gens avaient peur que l’orteil ne soit utilisé comme gris-gris. Par conséquent, il y avait 3 ou 4 fausses tombes. Ce qui fait qu’ils étaient enterrés debout. Pour profaner la tombe, il fallait beaucoup creuser et c’était plus facile pour les populations de mettre la main sur ces gens. Beaucoup de Bracks ont été enterrés de la sorte», révèle Amadou Bakhaw Diaw, historien traditionaliste du Waalo.
UN JOUEUR RECLAME UN GAIN DE 30 MILLIONS CFA AU CASINO SEA-PLAZA
Après avoir remporté un tournoi international de poker à Dakar, Une autre partie de poker qui risque de se jouer devant les tribunaux.
Cette affaire d’arnaque et d’abus de confiance risque d’éclabousser l’univers fermé des casinos de Dakar. Courant février 2023, un réputé et talentueux joueur de poker du nom de Salif Dia a remporté le tournoi international dénommé « Wsop Circuit Dakar » organisé par le Casino Sea-Plaza. Face à des champions de diverses nationalités, Salif Dia a raflé le jackot de 30 millions CFA qu’il n’arrive pas à percevoir. Une autre partie de poker qui risque de se jouer devant les tribunaux.
Le milieu des salles de jeux et des casinos est assez particulier. Ce n’est pas pour rien que, dans tous les pays du monde, il fait l’objet d’une surveillance particulière de la part des autorités, et notamment de la police. Mais bon, nous n’allons pas faire ici un développement sur l’univers fermé des casinos car ce n’est pas le but de ce papier ! Il est plutôt question du tournoi international de Poker organisé dans la plus grande discrétion au Casino Sea-Plaza sis Corniche Ouest à Dakar. C’était du 03 au 12 février 2023. Un tournoi qui a regroupé de nombreux champions et joueurs de poker en provenance de divers pays du monde. Parmi eux, notre compatriote Salif Dia, un talentueux joueur très connu dans l’univers des casinos. Pour prendre part au tournoi international de poker de table dénommé « Wsop Circuit Dakar » organisé par Casino Sea-Plaza, chaque joueur donne une participation d’un million CFA pour une mise fixée à 30 millions CFA. N’est-ce pas Salif Dia ? « Oui ! Comme chaque joueur, j’ai donné un million cfa comme participation. Un tournoi que j’ai remporté avec un gain de 30 millions cfa. Les images vidéos du tournoi que j’ai remises au journal « Le Témoin » attestent ce que j’ai dit. Ce jour-là, c’était la délivrance dans la salle où tous les responsables du casino sont venus me féliciter. De même que d’autres joueurs de diverses nationalités à savoir des Chinois, Français, Espagnols etc. D’ailleurs c’est un Espagnol du nom de Xavier qui s’est adjugé la deuxième place avec un gain de 21 millions CFA. Depuis lors, les responsables du Casino refusent de me payer mes 30 millions CFA sans aucune explication convaincante. A chaque fois que j’interpelle la direction générale de Casino Sea-Plaza, on me répond que c’est un soi-disant organisateur français en voyage qui devait me payer. C’est faux ! Casino Sea-Plaza était le principal organisateur. Donc en tant qu’établissement organiseur, il cherche à me divertir » se plaint-il.
En delà du jackpot, Salif Dia s’est qualifié au tournoi mondial des champions de poker à Las Végas aux Etats Unis d’Amérique (Usa) où il a représenté le Sénégal. « Effectivement, je suis bel et bien allé aux Usa pour participer à ce tournoi international de poker. D’ailleurs, je suis rentré des Usa il y a quelques semaines. Malheureusement, je suis allé à Las Vegas avec mes propres moyens à défaut d’être payé par casino Sea-Plaza » déplore notre champion de poker.
L’huissier de justice éconduit…
« Le Témoin » quotidien a appris que toutes les tentatives de règlement à l’amiable entreprises par Salif Dia pour se faire payer sont restées vaines. Même la sommation interpellative valant commandement de payer servie au Casino Sea-Plaza n’a pas servi à grand chose. « Pour preuve, même l’huissier de justice qui est allé leur servir la sommation a été éconduit par la direction générale du Casino Sea-Plaza. Finalement, l’huissier a dû laisser la sommation à la préfecture de Dakar » se désole notre interlocuteur.
Après l’huissier, « Le Témoin » est confronté aux mêmes difficultés pour avoir la version de la direction générale du Casino Sea-Plaza. Depuis une semaine, nous avons tenté à plusieurs reprises de joindre un responsable de l’établissement pour le confronter aux accusations de Salif Dia. Un certain Dominique considéré comme l’un des cadres de la boite tient à préciser « Je ne suis pas le seul Dominique au Casino SeaPlaza. Il y en a un autre ! » esquive-t-il. De même qu’un autre responsable nommé Seydina, ensuite Ameth Nguirane. « Je vais transmettre votre message à la direction générale de la Salle de jeux. Moi je ne suis pas habilité à parler avec la presse… » ont tour à tour déclaré Seydina et Ameth, tous employés au Casino Sea-Plaza.
Bref, et si cette affaire de gain de 30 millions de francs remporté par Salif Dia n’était qu’un…coup de poker de Casino Sea-Plaza ? Faites vos jeux, rien ne va plus !
MULTIPLE PHOTOS
LA COOPERATION AVEC LA FIFA AU MENU DES ECHANGES ENTRE INFANTINO ET MACKY
Le président de la FIFA, Gianni Infantino déclare avoir discuté avec le président de la République, Macky Sall, de ‘’la coopération’’ entre le Sénégal et l’instance dirigeante du football mondial.
Dakar, 20 sept (APS) – Le président de la FIFA, Gianni Infantino déclare avoir discuté avec le président de la République, Macky Sall, de ‘’la coopération’’ entre le Sénégal et l’instance dirigeante du football mondial.
‘’J’ai été ravi de rencontrer le président du Sénégal, M. Macky Sall, pour discuter de la collaboration entre la FIFA et son beau pays, qui consiste à utiliser la popularité du football pour améliorer les conditions de vie et promouvoir la prise de conscience sociale’’, a-t-il écrit sur son compte Instagram.
Gianni Infantino précise que leurs discussions ont eu lieu à New York, où le président Sall prend part à la 78e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies.
Il dit avoir pris la mesure de la passion des Sénégalais pour le football à l’occasion de sa visite au Sénégal lors de l’inauguration, le 22 février 2022, du stade Abdoulaye Wade de Diamniadio.
‘’J’ai été témoin de la passion pour le football au Sénégal lorsque j’ai assisté à l’inauguration officielle du Stade du Sénégal à Diamniadio l’année dernière et j’espère que davantage des filles et des garçons auront la chance de vivre leurs rêves grâce au football dans un avenir proche’’, a-t-il dit.
Il a adressé ses remerciements au président Sall et à tous les membres de la Fédération sénégalaise de football pour leur ‘’engagement actif dans le programme Forward de la FIFA’’.
Forward de la FIFA est un nouveau programme d’investissement lancé par la FIFA, pour ‘’permettre aux associations nationales de bénéficier de ses investissements sous forme de coûts opérationnels et sous forme d’investissements’’.
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RENFORCEMENT DE CAPACITE A LA COUR DES COMPTES
La Cour des comptes du Sénégal, dans le cadre d’un jumelage noué depuis trois ans avec son homologue française, a réussi à renforcer les capacités techniques et professionnelles de ses agents en vue d’améliorer la transparence et la reddition des comptes
Dakar, 20 sept (APS) – La Cour des comptes du Sénégal, dans le cadre d’un jumelage noué depuis trois ans avec son homologue française, a réussi à renforcer les capacités techniques et professionnelles de ses agents en vue d’améliorer la transparence et la reddition des comptes, a appris l’APS de la juridiction sénégalaise.
La cérémonie de clôture de ce jumelage financé par l’Union européenne et noué le 11 novembre 2021, s’est tenue mercredi, en présence d’experts et de magistrats des cours des comptes des deux pays.
‘’La Cour des comptes a inscrit depuis bientôt une quinzaine d’années la planification stratégique dans le management de l’institution’’, a rappelé le président de la chambre des entreprises publiques de la Cour des comptes sénégalaise, Abdoul Majib Guèye.
Présidant la cérémonie de clôture, il a exprimé sa ‘’satisfaction’’ pour la ‘’qualité de la coopération’’ entre les deux institutions.
Il a expliqué que c’est dans cette optique que le plan stratégique 2020-2024 a été élaboré comme cadre de référence, pour la mise en œuvre des activités de l’institution, afin de ‘’relever’’ les défis ‘’stratégiques’’ à l’horizon 2024.
‘’Pour atteindre ces objectifs, la cour a choisi, avec l’appui de l’Union européenne, d’être jumelée à la Cour des comptes de France, qui constitue une référence dans le domaine du contrôle externe des finances publiques’’, a souligné M. Guèye.
Il a ajouté que le jumelage participe à la mise en œuvre du plan stratégique et prend en charge des activités fondamentales portant sur la formation, la production et la communication.
Intense activité de coopération et d’échange d’expériences
‘’Au cours de ces trois années de mise en œuvre, ce programme a permis de soutenir une intense activité de coopération et d’échange d’expériences entre les deux institutions homologues’’, a quant à lui signalé Amaury Hoste, chef de la coopération de l’Union européenne.
Il a souligné que 90 magistrats et membres du personnel de la Cour des comptes sénégalaise ont pu profiter d’un accompagnement, à travers de nombreuses réunions et missions.
Selon lui, ce programme au cours duquel 212 journées d’expertise ont été mises en œuvre peut être considéré comme un »succès » pour les deux institutions ainsi que pour l’Union européenne.
‘’Ce jumelage a également été associé à la production du rapport tant attendu de contrôle sur la gestion du fonds Force Covid’’, a-t-il déclaré.
‘’Acte majeur de transparence et de reddition des comptes’’
‘’La publication de ce rapport a constitué un acte majeur de transparence et de reddition des comptes qui a suscité un important débat public au Sénégal et marqué un moment fort dans la gouvernance publique ’’, a souligné M. Hoste.
Il a indiqué cependant que les ‘’attentes’’ des citoyens et des partenaires sont encore ‘’fortes’’ pour les suites administratives et judiciaires qui doivent être données aux conclusions de ce rapport sur la gestion du fonds Force-Covid.
‘’Ce jumelage a aussi été une aventure humaine, et tout au long des trois années, il a été marqué par la confiance mutuelle, le sérieux des échanges et la rigueur des analyses’’, a déclaré le chef de projet de la Cour des comptes française, Dominique Pannier.
Il a signalé que la Cour des comptes française fait appel, tous les cinq ans, à une Cour étrangère pour effectuer une revue par les pairs et un examen approfondi de ses pratiques et procédures au regard des normes professionnelles. Il a précisé que les recommandations qui sont formulées dans ce cadre ont toujours été considérées avec intérêt.
‘’Mon souhait est que dans quelques années, votre Cour des comptes vienne réaliser cette revue par les pairs à la Cour des comptes française’’, a lancé Dominique Pannier.
COUPE DU MAIRE DE DAKAR, L’ASDV DE DAKAR ET LE DUC EN FINALE
L’ASC ville de Dakar (ASCVD) et le Dakar Université Club disputeront la finale féminine de la Coupe du maire de Dakar. Les deux équipes se sont qualifiées mercredi en battant, respectivement, Guédiawaye Basket Club et la Jeanne d’Arc de Dakar.
Dakar, 20 sept (APS) – L’ASC ville de Dakar (ASCVD) et le Dakar Université Club disputeront la finale féminine de la Coupe du maire de Dakar.
Les deux équipes se sont qualifiées mercredi en battant, respectivement, Guédiawaye Basket Club et la Jeanne d’Arc de Dakar.
Les filles de l’ASC ville de Dakar ont largement dominé, 79-27, celles de Guédiawaye Basket Club, lors de la première demi-finale de l’édition 2023 de la Coupe du maire de Dakar, au stadium Marius Ndiaye. Dans l’autre demi-finale, le DUC a battu, 76-51, la JA.
L’ASCVD et le DUC vont se retrouver en finale de la Coupe du maire de Dakar, quelques jours seulement après avoir disputé la finale de la Coupe de la ligue. Les filles de l’ASC ville de Dakar s’étaient imposé, 41-34.
L’ASC ville de Dakar, championne en titre, va tenter de décrocher son troisième trophée de la saison.
LA REALISATION D’INFRASTRUCTURES AU MENU DES DISCUSSIONS
A New York pour la 78e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies, le président de la République Macky Sall a reçu hier en audience le président de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA), Gianni Infantino
Actuellement à new York, (Etats-Unis) le chef de l’etat Macky Sall a reçu hier en audience le président de la fédération internationale de football Association (FIFA), Gianni infantino. cette rencontre a été l’occasion d’échanger sur de nombreux sujets. L’instance prévoit d’ailleurs d’accompagner le Sénégal dans la réalisation d’infrastructures sportives modernes.
A New York pour la 78e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies, le président de la République Macky Sall a reçu hier en audience le président de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA), Gianni Infantino. Le président de l’instance du football mondial était en compagnie du champion du monde français Youri Djorkaeff.
A l’issue de cette rencontre, l’instance internationale prévoit « d’accompagner le Sénégal dans la réalisation d’infrastructures sportives modernes et se dit particulièrement séduite par les performances récentes de nos différentes équipes nationales. Le développement du Football africain était aussi au cœur des discussions », a fait savoir la présidence de la République sur sa page Facebook.
Pour sa part, le président de la Fifa s'est félicité de sa rencontre avec le Chef de l’Etat du Sénégal. « J'ai été ravi de rencontrer le Président du Sénégal, M. Macky Sall, pour discuter de la collaboration entre la FIFA et son beau pays, qui consiste à utiliser la popularité du football pour améliorer les conditions de vie et promouvoir la prise de conscience sociale », s’est félicité le président de la Fifa. Avec les Coupes d’Afrique remportées dernièrement, Gianni Infantino se dit satisfait des performances récentes des différentes équipes nationales du Sénégal. «J'ai été témoin de la passion pour le football au Sénégal lorsque j'ai assisté à l'inauguration officielle du Stade du Sénégal à Diamniadio l'année dernière, et j'espère que davantage des filles et des garçons auront la chance de vivre leurs rêves grâce au football dans un avenir proche », dit-il.
D’ailleurs, il a tenu à féliciter l’équipe de Me Augustin Senghor. « Un grand merci à M. Sall et à tous les membres de la Fédération sénégalaise de football (Fsf officielle) pour leur engagement actif dans le programme Forward de la FIFA pour leur soutien constant du développement à travers notre beau jeu », a-t-il conclu. À l’issue de la rencontre, Gianni Infantino a remis un ballon officiel de la coupe du monde Qatar 2022 au chef de l’État.
LA COTE D’ALERTE DU FLEUVE GAMBIE DÉPASSÉE A KEDOUGOU
Le niveau du fleuve Gambie à la station de Kédougou s’est hissé à 7, 02, dépassant la cote d’alerte de cette station, qui est de 7 mètres
Le niveau du fleuve Gambie à la station de Kédougou s’est hissé à 7, 02, dépassant la cote d’alerte de cette station, qui est de 7 mètres
Cette situation engendre des risques de crues élevés, a prévenu le chef de la brigade des ressources en eau des régions de Tambacounda et Kédougou, Mamadou Diop.
‘’A la station de Kédougou sur le fleuve Gambie, l’évolution du plan d’eau a été rapide durant ces dernières 48 heures’’, a indiqué M. Diop.
Il a relevé que le niveau d’eau est passé de 4,59 mètres le 18 septembre à 5,59 mètres le 19 septembre, à 18 heures, avant de grimper à 6,84 mètres, ce mercredi 20 septembre à 8 heures.
Il prévient que ‘’si les conditions météorologiques et la situation actuelle se poursuivent ou se maintiennent, la cote d’alerte de la station hydrométrique de Mako sera atteinte dans les prochaines 24 heures’’.
Il estime que l’axe Kédougou-Mako-Gouloumbou doit être particulièrement surveillé. ‘’Le temps de propagation de l’onde de crue est de 72 heures entre Kédougou et Gouloumbou. La montée importante notée à Diaguiri et à Niokolo Koba peut accélérer des débordements à Mako’’, a-t-il averti.
‘’Les bananeraies qui bordent les rives du fleuve aux environs de Gouloumbou sont particulièrement exposées aux débordements du fleuve’’, a mis en garde Mamadou Diop.
LES CHIFFRES EFFARANTS DE L’HYPERTENSION ARTERIELLE
Un adulte sur trois touché dans le monde, multiplication par 2 du nombre de malades, risque d’enregistrer 76 millions de décès d’ici a 2050…
L’OMS vient de publier son premier rapport détaillé sur les conséquences désastreuses de l’hypertension artérielle et les moyens d’en venir à bout. Le document a été présenté au cours de la soixante-dix-huitième session de l’Assemblée générale des nations unies. il est d’ailleurs établi que toutes les heures, plus de 1 000 personnes meurent d’accidents vasculaires cérébraux et d’infarctus du myocarde dont la plupart sont dus à l’hypertension artérielle.
L’hypertension artérielle continue de faire des ravages dans le monde. Dans le tout premier rapport produit par l’OMS en ce sens, il a été révélé qu’un adulte sur trois est touché et qu’environ quatre personnes sur cinq souffrant d’hypertension artérielle ne sont pas traitées correctement. L’étude indique d’ailleurs que 76 millions de décès pourraient être évités entre 2023 et 2050 si les pays peuvent étendre la couverture des traitements.
Le rapport de l’agence spécialisée des Nations unies pour la santé soutient d’ailleurs que l’hypertension, trouble courant et potentiellement mortel, est à l’origine d’accidents vasculaires cérébraux, d’infarctus du myocarde, d’insuffisance cardiaque, de lésions rénales et de nombreux autres problèmes de santé
Il révèle que le nombre de personnes hypertendues (dont la tension artérielle est égale ou supérieure à 140/90 mmHg ou qui prennent des médicaments antihypertenseurs) a doublé entre 1990 et 2019, passant de 650 millions à 1,3 milliard. Et que près de la moitié des personnes hypertendues dans le monde ignorent actuellement qu’elles le sont. Plus des trois quarts des adultes hypertendus vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire, lit-on dans le document qui précise que l’âge et certaines prédispositions génétiques peuvent accroître le risque d’hypertension artérielle, mais ce risque peut aussi augmenter en raison de facteurs modifiables tels qu’une alimentation riche en sel, l’absence d’activité physique et la consommation excessive d’alcool
Revenant sur les moyens de précautions contre cette maladie, il est indiqué que les changements de mode de vie, comme l’adoption d’une alimentation plus saine, l’arrêt du tabac et une plus grande activité physique peuvent contribuer à faire baisser la tension artérielle.
Certaines personnes peuvent avoir besoin de médicaments pour maîtriser efficacement l’hypertension et prévenir les complications, note-t-on. Malgré tout, souligne le rapport, la prévention, la détection précoce et la prise en charge efficace de l’hypertension sont parmi les interventions les plus rentables et devraient être privilégiées par les pays dans le cadre de l’ensemble national de prestations de santé proposées au niveau des soins primaires.
UN BON TRAITEMENT PERMETTRAIT DE PREVENIR 76 MILLIONS DE DECES
Le rapport indique en outre qu’une augmentation du nombre de patients hypertendus traités efficacement pour atteindre les niveaux observés dans les pays très performants à cet égard permettrait de prévenir 76 millions de décès, 120 millions d’accidents vasculaires cérébraux, 79 millions d’infarctus du myocarde et 17 millions de cas d’insuffisance cardiaque d’ici à 2050.
Lors de la présentation du document au cours de la soixante dix-huitième session de l’Assemblée générale des Nations unies, le Directeur général de l’OMS, Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a fait savoir que des traitements simples et peu coûteux permettent de maîtriser efficacement l’hypertension, et pourtant celle-ci n’est maîtrisée que chez environ une personne hypertendue sur cinq. A l’en croire, les programmes de lutte contre l’hypertension restent négligés, peu prioritaires et très insuffisamment financés. Selon monsieur Ghebreyesus, pour parvenir à la couverture sanitaire universelle fondée sur des systèmes de santé efficaces, équitables et résilients et axés sur les soins de santé primaires, chaque pays doit renforcer la lutte contre l’hypertension.
Prenant la parole, l’ambassadeur mondial de l’OMS pour les maladies non transmissibles et les traumatismes, Michael R. Bloomberg, a soutenu qu’aujourd’hui, des médicaments abordables, sûrs et accessibles et d’autres interventions telles que la réduction de l’apport en sodium, permettent de prévenir la plupart des infarctus du myocarde et des accidents vasculaires cérébraux dans le monde. Monsieur Bloomberg estime dans la foulée que le traitement de l’hypertension dans le cadre des soins de santé primaires permettra de sauver des vies et d’économiser des milliards de dollars chaque année.
En définitive, le Président-Directeur général de l’organisation «Resolve to Save Lives», Dr Tom Frieden a donné une information capitale en déclarant que toutes les heures, plus de 1000 personnes meurent d’accidents vasculaires cérébraux et d’infarctus du myocarde. « La plupart de ces décès sont dus à l’hypertension artérielle et auraient pu être évités. Il est possible de bien prendre en charge l’hypertension pour un coût abordable et ainsi renforcer les soins de santé primaires. Le défi consiste maintenant à passer de ‘’il est possible’’ à ‘’c’est fait’’. À cet égard, l’engagement des gouvernements du monde entier est nécessaire , conclut-il à ce propos.