A Dakar dans le cadre de la cérémonie des Caf Awards, prévue mardi 8 janvier 2019, Samuel Eto’o a dit toute son admiration au président sénégalais à qui il souhaite un nouveau mandat
A Dakar dans le cadre de la cérémonie des Caf Awards, prévue mardi 8 janvier 2019, Samuel Eto’o, a affirmé qu’il est un « pro » du président de la République du Sénégal, Macky Sall. Une déclaration faite, dimanche soir, dans un hôtel de la place, lors de la conférence de presse des légendes du football africain.
« Je lui souhaite un deuxième mandat afin qu’il puisse permettre au Sénégal d’abriter une Coupe d’Afrique des Nations », a-t-il glissé avec le sourire.
Toujours en activité, l ‘ancien attaquant de l’équipe nationale du Cameroun doit également prendre part au match de Gala qui va opposer, ce lundi 19h, son équipe composée pratiquement que d’anciens ballons d’or CAF, à la sélection du Sénégal qui a joué la Coupe du monde 2002.
Nwankwo Kanu (Nigeria), Geremi Njitap (Cameroun), Nonda (RDC), Mark Fish (Afrique du Sud), Anthony Baffoe (Ghana)…sont présentement dans la capitale sénégalaise.
"JE RECOIS UNE FORTE PRESSION DE MARABOUTS POUR REJOINDRE MACKY"
La maire de Podor, Aïssata Tall Sall, a révélé sur le plateau de Jury du dimanche d’iRadio, qu’elle reçoit tous les jours des pressions venant de personnalités maraboutiques lui demandant de rejoindre le camp présidentiel
La maire de Podor, Aïssata Tall Sall, a révélé sur le plateau de Jury du dimanche d’iRadio, ce matin, qu’elle reçoit « tous les jours une forte pression venant de personnalités maraboutiques qui lui demandent de rejoindre le camp présidentiel ». Mais c’est peine perdue. « Cela ne m’a pas empêché de tracer mon chemin », a-t-elle poursuivi.
« Je suis sûr qu’un homme, à ma place, subissant cette pression, aurait cédé, a-t-elle pronostiqué. Mais, je ne cède pas à la pression aujourd’hui que ma candidature est invalidée beaucoup plus qu’auparavant, a martelé le leader d’Osez l’avenir. Je ne fais pas de la politique une affaire familiale, d’ethnie encore moins une affaire de religion. (…) Ce débat-là, on doit le tuer. »
Aujourd’hui que sa candidature est rejetée, Aïssata Tall Sall va apporter son soutien à quel candidat ? « Nous n’excluons aucune hypothèse, mais comme je l’ai dit, ce n’est pas moi qui choisis, dégage-t-elle en touche. C’est plutôt ma base, ces gens avec qui je travaille dans mon parti, qui choisit quel candidat soutenir. »