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par Mamadou Sène

LES ENTREPRISES AFRICAINES ONT AUSSI UNE HISTOIRE

L’histoire de l’entreprise est objet de recherches, d’enseignements ou d’ouvrages accessibles dans les pays développés. Il m’apparaît souhaitable qu’elle gagne encore plus en importance dans les universités et écoles de gestion africaines

Mamadou Sène  |   Publication 11/06/2024

Mon invite s’adresse d’abord et avant tout aux historiens, enseignants et chercheurs, qui ont pour vocation de nous aider à analyser les traces laissées par le passé et à comprendre les évolutions des sociétés humaines dans le temps. Parmi ces évolutions, celles ayant trait à l’économie, c’est-à-dire à la création, la conservation et la circulation des biens et des services, font partie des évolutions majeures depuis que l’homo sapiens est apparu sur Terre, il y a 300 000 ans. Pendant l’ère moderne que nous vivons, les entreprises font partie des acteurs majeurs de nos sociétés ; comme les armées et peut-être plus que celles-ci de nos jours, elles font la grandeur des nations, mais aussi leur décadence. Si nous étions tentés de l’ignorer, la Chine, champion des champions de l’économie, nous le rappelle tous les jours.

Mon invite s’adresse ensuite aux enseignants et chercheurs en économie et en gestion qui ont vocation à rendre intelligibles les politiques et stratégies industrielles, commerciales et financières des États et de leurs entreprises. Enfin, elle s’adresse aux dirigeants des universités et des grandes écoles qui ont la charge de déterminer et organiser les enseignements et les recherches. Puissent les propriétaires, les dirigeants et les personnels des entreprises apporter leurs concours, sous toutes les formes possibles, à nos enseignants et chercheurs.

L’histoire économique mérite d’être connue. Elle est différente de l’histoire de la science économique, celle-ci étudiant l’évolution dans le temps des savoirs en économie, celle-là analysant l’évolution dans le temps des faits et phénomènes économiques ; dans les deux cas à l’aide des méthodes des sciences historiques. Les historiens africains mènent sans doute des recherches sur l’histoire des faits économiques dans leurs universités et pays respectifs ; peut-être même sur l’histoire des entreprises. Mais, le produit de ces études et recherches ne ruisselle pas suffisamment jusqu’aux praticiens de l’économie qui sont dans les entreprises et les administrations, encore moins jusqu’au grand public. Nos chercheurs devraient tourner un peu plus leurs regards vers ceux qui, en dehors des amphithéâtres et des laboratoires, ont soif de savoir. Ils devraient mettre un peu plus à leur disposition des ouvrages tirés de leurs travaux scientifiques. Cela se fait dans les pays développés.

Pourquoi les connaissances de l’histoire économique doivent-elles ruisseler dans la société ?

Nous devons tous en savoir de l’économie parce que tout simplement elle étudie, explique et détermine nos moyens matériels d’existence, qui sont le préalable à tout. Les anciens ne disait pas autre chose lorsqu’ils disaient "Primum vivere, deinde philosophare[1] ". Mieux, l’économie nous permet de fructifier ces moyens d’existence, d’en distribuer avec équité aux ayants-droit, d’en vivre et d’en transmettre aux générations suivantes, si nous les gérons efficacement et prudemment. C’est pourquoi l’économiste Jacques Mistral dit dans une formule aussi concise que juste que l’économie est la science de la richesse[2].

Nous devons savoir comment et quand cette richesse a été créée, qui l’a créée et comment elle a évolué au fil des années et des siècles. C’est l’histoire économique et celle des entreprises qui nous l’enseignent. De surcroit, la connaissance de l’histoire des faits et phénomènes économiques et de celle des organisations est essentielle pour la réflexion et la prise de décision des autorités et hauts-fonctionnaires en charge de questions économiques ou celles des cadres d’entreprises publiques ou privées. La connaissance des bonnes et mauvaises politiques d’hier éclaire la réflexion, l’action, les décisions et les choix d’aujourd’hui et de demain. Les expériences et évènements d’hier peuvent se révéler d’une grande pertinence pour les analyses d’aujourd’hui, tant pour le chercheur que pour l’homme d’action ; la connaissance du passé, ses difficultés et ses échecs, mais aussi ses succès immunisent le chercheur comme le décideur contre l’arrogance, la superbe et la facilité ; elle fait prendre conscience de l’importance du contexte et des circonstances. Cette connaissance du passé en économie est magnifiée par Stanley Fischer, ancien professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT), ancien économiste en chef de la Banque mondiale et ancien vice-président du conseil de la Réserve Fédérale des États-Unis, lorsqu’il déclare : "je pense que j'ai autant appris en étudiant l’histoire des banques centrales qu’en étudiant les théories de politique monétaire et je conseille à tous ceux qui veulent être banquiers centraux de se plonger dans les livres d'histoire[3]". Avant lui, l’immense Schumpeter (1883-1950), économiste au savoir encyclopédique, un des plus brillants du XXe siècle, nous a enseigné que la science économique se caractérise par la maîtrise, dans le domaine économique, de l'histoire, de la statistique et de la théorie. Il a écrit : "Il serait illusoire d'espérer que l'on comprendra quoi que ce soit aux phénomènes économiques [...] sans maîtriser suffisamment les données historiques. Il est de fait que les erreurs fondamentales qu'on commet aujourd'hui en analyse économique sont plus souvent dues à un manque d'expérience historique qu'à toute autre lacune dans la formation des économistes[4]. " Toutefois, la connaissance du passé ne veut pas dire sa reconduction aveugle, mais elle induit plutôt la capacité à prendre conscience de l’importance du contexte, tout en ayant à l’esprit que les situations, même ressemblantes, ne sont jamais identiques. L’histoire regorge d'exemples d'institutions mises en place pour résoudre les problèmes d'une époque, mais qui se sont révélées inefficaces plus tard pour d’autres problèmes apparemment semblables.

Pourquoi faut-il étudier l’histoire des entreprises, l’enseigner et la faire connaître ?

Il faut étudier l’histoire des entreprises, parce que, si l’économie est la science de la richesse, l’entreprise réunit des hommes et des femmes, qui mêlant leurs ambitions, leurs intelligences, leurs talents et leur ardeur au travail, créent cette richesse, en procurant à leurs clients les biens et services qui répondent à leurs besoins. De la même manière que l’histoire militaire met en lumière les stratégies des armées, victorieuses ou défaites, le caractère et l’intelligence des chefs militaires et des soldats ou leurs erreurs de jugement, l’histoire des secteurs industriels et des entreprises étudie les stratégies des entreprises, leurs innovations technologiques, managériales, comptables, financières et commerciales, les talents de leurs dirigeants et personnel, les synergies avec les autres systèmes, tel le système politique. Dans les pays développés, particulièrement aux États-Unis, cette discipline, l’histoire de l’entreprise, la business history, joue depuis plusieurs décennies un rôle central dans l’enseignement et la recherche en management dans les universités et business schools.

L’histoire de l’entreprise, en tant discipline universitaire, est véritablement née à la Harvard Business School en 1927 avec la mise en place de la première chaire de business history aux États-Unis, deux ans après de la fondation de la Business Historical Society. Son enseignement à Harvard s’adressait au début à de futurs cadres et dirigeants d’entreprises et portait sur l’étude des pratiques managériales et de leurs succès et échecs à travers l’histoire. Il mettait un accent particulier sur la figure de l’entrepreneur, sans doute un effet de l’influence de Schumpeter qui a commencé à donner des cours à Harvard University à partir de 1927 et s’y est installé définitivement en 1932 et y est resté jusqu'à sa mort en 1950.

Après 1960, Alfred D. Chandler Jr. (1918-2007), professeur au MIT (1950-1963), puis à Johns Hopkins University de (1963-1971) et enfin à la Harvard Business School (1971-2007), s’est imposé comme l’universitaire le plus influent parmi les spécialistes de la business history.

Qu’est-ce que pourraient être les sujets de recherche ou thèmes d’ouvrage pour le Sénégal ?

L’histoire de l’entreprise est objet de recherches, d’enseignements ou d’ouvrages accessibles dans les pays développés. Il m’apparaît souhaitable qu’elle gagne encore plus en importance dans les universités et écoles de gestion africaines. Les sujets ne manquent pas. Un sujet majeur et générique me vient à l’esprit : que dans chaque pays les enseignants et chercheurs habilités écrivent l’histoire économique de leur pays de l’indépendance à 2025 ; qu’eux ou d’autres historiens, professionnels ou amateurs, écrivent les histoires des secteurs industriels et des entreprises sur la même période, celles des faits et celles des hommes et des femmes qui en sont les auteurs ! Au Sénégal, comme dans les autres pays, les sujets ne manquent pas. Je m’autorise à en suggérer quelques-uns :

  1. L’histoire des télécommunications au Sénégal de 1960 à nos jours mérite d’être contée, de la création de France Câbles et Radio (FCR) en 1959, à celle de Télésénégal en 1968 et à celle de Sonatel en 1985, avec la fusion de Télésénégal en charge des communications internationales et de la branche télécommunications de l'Office des Postes et Télécommunications.
  2. L’histoire des chemins de fer du Sénégal doit aussi faire l’objet de plus d’études ; on devrait rappeler à tous cette histoire, de la construction par le pouvoir colonial de la ligne de chemin de fer Dakar/Saint – Louis appelée (DSL) en 1885, à l’achèvement de la ligne Dakar-Bamako (le Dakar-Niger) en 1923,  à la fermeture de la ligne Dakar-Saint Louis en 1995 et celle de Dakar-Bamako en 2018 par les autorités sénégalaises et maliennes, privant les deux pays d’une infrastructure essentielle à leur développement. La fermeture de la ligne ferroviaire Dakar-Bamako est un des symboles les plus douloureux de nos échecs postcoloniaux et de notre incapacité à entretenir durablement un acquis.
  3. L’histoire du secteur phosphatier sénégalais aussi, des années 40 à aujourd’hui, vaut la peine d’être sue, particulièrement celle des trois sociétés qui ont marqué le secteur dès les années 60 ou 70 : la Société Sénégalaise des Phosphates de Thiès (SSPT) fondée en 1948 ; La Compagnie Sénégalaise des Phosphates de Taïba (CSPT) créée en 1957 ; la société des Industries Chimiques du Sénégal (ICS) créée en 1976 et entrée en production en 1984, en vue de la transformation des phosphates de Taïba ; l’absorption de la CSPT par les ICS en 1996 est considérée par beaucoup de connaisseurs comme un grand moment de politique industrielle au Sénégal ; elle vaut la peine d’être étudiée et expliquée.
  4. L’histoire de la politique agricole sénégalaise et des organismes d’appui à l’agriculture depuis 1960 est à écrire, à enseigner et à faire connaître, notamment celle des organismes comme l'Office de Commercialisation Agricole (OCA) créé en 1960 et dont les attributions ont été réparties par la suite entre l’Office National de Coopération et d’Assistance pour le Développement (ONCAD) créée en 1966 et l'Office de Commercialisation Agricole du Sénégal (OCAS) institué en 1967 ; l’écriture de cette histoire du secteur agricole ne saurait se faire sans celle de la Société Nationale de Commercialisation des Oléagineux du Sénégal (SONACOS) créée en 1975, celle de sa filiale la SONAGRAINES créée en 1982 et dissoute en 2001 et celle l'Institut Sénégalais de Recherche Agricole (ISRA) créé en 1974 et héritier des anciens instituts français qui intervenaient au Sénégal. La connaissance de l’histoire de la politique agricole sénégalaise des années 60 à nos jours – notamment ses échecs – serait riche d’enseignements pour ceux qui veulent écrire une nouvelle page – cette fois-ci réussie – de l’agriculture du pays.
  5. L’histoire de la monnaie, de la finance et de la banque au Sénégal et en Afrique a déjà fait l’objet de plusieurs ouvrages. Me viennent à l’esprit les suivants : De la vie coloniale au défi international: Banque du Sénégal, BAO, BIAO ; 130 ans de banque en Afrique[5] de Jacques Alibert, ancien Directeur de la BIAO ; La Saga Bank of Africa[6] de Paul Derreumaux, fondateur et président du groupe bancaire Bank of Africa de 1982 à 2010 ; Des francs CFA et des banques : de la Banque du Sénégal à la BIAO-Sénégal[7] de Mohamadou Diop, ancien de la Banque Mondiale et ancien Directeur Général de la BIAO-Sénégal (actuelle CBAO) ; Histoire de l'Union Monétaire Ouest-Africaine - Tomes 1 à 3[8] ouvrage écrit par un collectif d’auteurs à la demande de la BCEAO.

Mérite aussi d’être racontée l’histoire des banques qui étaient contrôlées par l’État, telles la Banque Nationale de Développement du Sénégal (BNDS) et l’ Union Sénégalaise de Banque (USB), qui ont toutes disparu dans les années 80 du fait d’une distribution irresponsable et laxiste des crédits ; celles des banques avec des capitaux privés sénégalais telles la Banque Commerciale du Sénégal (BCS) et Assurbank qui sont mortes à peine nées dans les années 80 ; celles des banques avec des capitaux privés ouest-africains, telles Bank of Africa, Ecobank, Coris Bank, qui ont su en revanche grandir et s’imposer dans un marché concurrentiel ; celle de la BICIS, de l’ouverture à Dakar de l’agence de son ancêtre, la BNCI, en 1939 à sa vente au groupe SUNU en 2023, mettant fin à 84 ans de présence du groupe bancaire français Bnpparibas au Sénégal ; celle des activités boursières au Sénégal et notamment celle de CGF Bourse, première Société de Gestion et d’Intermédiation (SGI) agréée au Sénégal en 1998, d’autant qu’elle a amorcé en 2023 une nouvelle étape de son développement.

  1. L’histoire des entreprises de presse écrite et audiovisuelle vaut la peine d’être étudiée, enseignée et diffusée ; celle la presse écrite, de la création de Paris-Dakar en 1933, à celle de Dakar-Matin en 1961, du Soleil en 1970, de Sud-Hebdo en 1982, de Wal Fadjri en 1984 etc. ; celle de la radio et de la télévision avec la création de Radio Dakar en 1950, de l'Office de Radiodiffusion Télévision du Sénégal (ORTS) en 1973, de la Radiodiffusion Télévision du Sénégal (RTS )en 1992, de Sud FM la première radio privée en 1994, et de 2STV, la première chaine de télévision privée en 2003.

Il convient de rappeler que l’histoire de la presse écrite a fait l’objet d’une thèse de doctorat[9] et d’un ouvrage[10], tous les deux du journaliste Mamadou Koumé. Il a ouvert la voie.

Bien sûr, on pourrait à l’envi parler de mille autres thèmes. Ceci n’est qu’un petit aperçu du vaste champ en friche qu’est en Afrique et particulièrement au Sénégal l’histoire de l’entreprise, même s’il y a trente-cinq ans le Professeur Ibrahima Thioub[11] nous a gratifié d’une thèse sur les entreprises sénégalaises de 1930 à 1973, avant d’être le grand historien connu dans le monde entier pour ses travaux sur l’esclavage et la traite négrière.

Alors, historiens – professionnels ou amateurs –, économistes, essayistes, "que cent projets de recherche s’épanouissent ! que cent ouvrages rivalisent, un peu partout en Afrique ![12] "

Mamadou Sène est un ancien dirigeant de banques, auteur de "La banque expliquée à tous – Focus sur l’Afrique ", RB Edition.

 

[1] Vivre d’abord, philosopher ensuite

[2] Jacques MISTRAL, La science de la richesse, Essai sur la construction de la pensée économique, Gallimard, Parution 31/01/2019

[3] Pourquoi l’histoire économique est essentielle à l’économie : http://annotations.blog.free.fr/index.php?post/2013/07/24/Pourquoi-l%E2%...

[4] Schumpeter, Joseph A, Histoire de l'analyse économique t1, Gallimard, coll. TEL Gallimard, Publié le 27/07/2007

[5] Jacques Alibert, De la vie coloniale au défi international: Banque du Sénégal, BAO, BIAO ; 130 ans de banque en Afrique, chotard & associés éditeurs, 1984

[6] Paul Derreumaux, La Saga Bank of Africa, Gingko Éditeur, 2022

[7] Mohamadou Diop, Des francs CFA et des banques : de la Banque du Sénégal à la BIAO-Sénégal, L’Harmattan, 2018

[8] Collectif d’auteurs, Histoire de l'union monétaire ouest africaine - Tomes 1 à 3, Éditions Georges Israël, 2000

[9] Mamadou Koumé, L' Evolution de la presse quotidienne au Sénégal : "Paris-Dakar" (1937-1961) : "Dakar-Matin" (1961-1970) Mamadou Koume, Thèse soutenue à Paris II en 1991

[10] Mamadou Koumé, Naissance de la presse quotidienne au sénégal : L’épopée de Paris-Dakar et de Dakar-Matin (1937-1970), L’Harmattan Sénégal, 2023

[11] Ibrahima Thioub, Entreprises, entrepreneurs et État dans une économie dépendante : domination étrangère et marginalisation des autochtones (Dakar-Sénégal), 1930-1973, Thèse soutenu à l’Université Paris VII en 1989

[12] Je paraphrase la fameuse formule de Mao Tsé Toung de mai 1956 pour lancer la campagne de libre critique appelée La campagne des cent fleurs : « Que cent fleurs s'épanouissent, que cent écoles rivalisent ! »

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