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MACKY RAVALE SA COPIE

A son arrivée au pouvoir, le président voulait réduire le nombre et la taille des agences d’exécution héritées de Wade. 7 ans après, il en est encore à poursuivre le même objectif, pour réduire celles qu’il a lui-même ajoutées sans doute

Mohamed GUEYE  |   Publication 20/06/2019

A son arrivée au pouvoir, Macky Sall voulait réduire le nombre et la taille des agences d’exécution héritées de Wade. 7 ans après, il en est encore à poursuivre le même objectif, pour réduire celles qu’il a lui-même ajoutées sans doute.

Le président de la République a dû, une fois de plus, faire encore le constat de l’échec de l’un de ses programmes phare. En effet, le communiqué du Conseil des ministres nous a appris hier que Macky Sall a exprimé «sa volonté d’engager la rationalisation des agences d’exécution et entités assimilées soit par fusion, soit par mutation juridique en société anonyme ou en établissement public». Le président de la République, d’après le communiqué du conseil, «a, à cet effet, donné des instructions au ministre Secrétaire général du gouvernement, et le ministre des Finances et du budget de lui dresser dans les meilleurs délais, le plan de rationalisation de ces entités et, subséquemment, d’envisager un plan de redéploiement des personnels de ces entités ou un plan social, selon le cas».

On sait que cette «rationalisation» ou dégraissement, a pendant longtemps, été l’une des demandes insistantes des partenaires économiques et financiers du Sénégal, qui les jugeaient pléthoriques et budgétivores. Dès son arrivée au pouvoir, Macky Sall a voulu s’attaquer à ce dossier, en faisant passer certaines d’entre elles à la trappe. On a ainsi constaté la disparition du Fnpj, de l’Anej, de l’Ofejban, de l’Anpt ou de l’Agence chargée des marchands ambulants. Néanmoins, il a fallu aussi relever que l’Anpt a très rapidement fait la place à l’Aspt, à la demande des opérateurs économiques du secteur du tourisme. De même, l’Anpej, qui devait synthétiser le travail des 4 agences chargées de l’emploi des jeunes, s’est aussi retrouvée doublée par la Der, dotée d’un budget très conséquent. A se demander si le chef de l’Etat croit encore à l’utilité de cette structure née de sa propre volonté. De plus, il a créé d’autres agences également, comme celle encadrant les Agents de sécurité de proximité (Asp).

Si, comme noté dans le communiqué du Conseil des ministres, un plan social devait intervenir pour certaines des structures à dégraisser ou à supprimer, on se demande s’il va concerner en priorité tous ces parents et alliés politiques entrés dans ces agences pour servir les intérêts du Dg de la structure. Dans beaucoup de ces structures, les recrutements ne se font plus sur appel à candidatures, a tenu à signaler un agent de l’une desdites agences, qui se rappelait le parcours du combattant qu’avait été son recrutement il y a une dizaine d’années. «Main tenant, notre agence est devenue le déversoir de la commune de…», dit-il en citant le village de son chef. Une manière de dire que le seul critère de recrutement est devenu l’appartenance à ce terroir.

Il reste à espérer que Macky Sall ne fasse pas intervenir, dans un avenir plus ou moins proche, une nouvelle rationalisation de la rationalisation des agences d’exécution. mgueye@lequotidien.sn AGENCES Après une première «rationalisation en 2012» A son arrivée au pouvoir, Macky Sall voulait réduire le nombre et la taille des agences d’exécution héritées de Wade. 7 ans après, il en est encore à poursuivre le même objectif, pour réduire celles qu’il a lui-même ajoutées sans doute. Macky ravale sa copie Par Justin GOMIS La crise n’est pas encore terminée au Syndicat des travailleurs de la justice (Sytjust). La réélection de Me El Hadj Ayé Boun Malick Diop à la tête de la structure, après des mois de tension, n’a pas apaisé les rancœurs de certains de ses camarades, qui contestent sa reconduction. La partie dissidente, qui a boudé le congrès tenu le week-end dernier à Saly, ne le reconnait pas comme Secrétaire général du Sytjust. Selon ces  travailleurs de la justice, sa réélection ne s’est pas faite en conformité avec les textes qui régissent le syndicat. D’après eux, elle a été actée en violation flagrante des textes statutaires. Lesquels stipulent que seuls les délégués sont éligibles et électeurs. Mais, à leur grande surprise, le «Secrétaire général a fait fi de ce principe en remplissant la salle de personnes acquises à sa cause dont certains ont voté pour lui alors qu’ils ne sont pas des délégués».  Ces contestations irritent Me Ayé Boun Malick Diop, qui «s’est autoproclamé Secrétaire général» du Sytjust.  «Mieux au moment où le vote se déroulait, le modérateur principal, Me Ousmane Ba, administrateur de greffe du Tribunal de Commerce de Dakar, s’est abstenu du vote et Me Ayé Boun s’est même permis de l’insulter ainsi que d’autres membres du présidium», dénonce la partie dissidente, qui conteste énergiquement cette élection. En écho à ces accusations, Me Ayé Boun Malick Diop a organisé un point de presse pour «démonter» ces allégations, qui noircissent  sa réélection.  «Nous sommes là pour la manifestation de la vérité. Il faut savoir que l’élection s’est déroulée sous la supervision d’un représentant du Secrétaire général de notre centrale, il faut recueillir sa version des faits. Nous avons pris la peine d’avoir filmé tout le congrès, et nous comptons le diffuser. L’affaire ne s’est pas terminée en queue de poisson, certainement que mon amie la journaliste dira que c’est un vidéo-montage», a-t-il pesté en répondant à une question posée par une consœur. Démarche défensive, ton élevé, Me Ayé Boun Malick Diop affirme que ses détracteurs «ont choisi d’adopter la politique de la chaise vide au moment du vote». Selon ses accusations, ils avaient «demandé un consensus pour l’obtention de postes dans le nouveau bureau. Ce qu’il leur a été refusé parce qu’on ne peut pas cohabiter avec des saboteurs dans un groupe». Il informe aussi que dans ce groupe «de saboteurs», seule une femme s’acquitte de ses cotisations et dispose d’une carte de membre. «Je ne veux pas d’eux dans ce bureau. Je ne «deale» pas avec eux.

De toute façon, ils savent que s’ils avaient proposé un candidat, je l’aurais battu à plate couture», entonne Me Diop. Malgré le bruit et les contestations, qui s’élèvent, le Secrétaire général du Sytjust estime «que le bureau exécutif est bien légitime et élu selon les textes du syndicat et en présence d’un observateur de la centrale syndicale. Cette confiance qui m’a été renouvelée n’est rien d’autre que le fruit d’un bilan satisfaisant. Cela ne pourrait être que ma reconduction à la tête du bureau exécutif et ça serait illogique qu’autre chose se passe». Il peut savourer sa victoire et rester attentif aux agitations des dissidents, qui n’excluent pas la tenue d’une autre élection, qu’il rejette déjà. «Le faire, c’est s’insulter», dit-il justin@lequotidien.sn JUTSICE La réélection de Me El Hadji Boun Malick Diop contestée Le Sytjust toujours englué dans la crise C’est une alerte du Collectif des médecins en spécialisation (Comes). «Le système de santé national risque d’être privé de 130 futurs spécialistes (gynécologues, pédiatres, cardiologues etc.) faute de bourses de spécialisation», alerte dans un communiqué le président du Comes. Comment en est-on arrivé là  ? Dans sa note, les médecins en spécialisation rappellent que «le président de la République a eu la clairvoyance salutaire de miser sur la spécialisation des médecins via l’augmentation des taux des bourses de spécialisation allouées par le ministère de la Santé». C’était en 2018. Et l’objectif poursuivi était de «réduire l’important taux de mortalité lié à une prise en charge suboptimale de la population sénégalaise par un personnel de santé peu qualifié». Plus d’un an après, ils ont déchanté en constatant que les instructions du chef de l’Etat «n’ont pas été respectées. En effet, le ministre de la Formation Professionnelle, via le Fonds de financement à la formation professionnelle et technique (3Fpt), avait la responsabilité d’exécuter ce mot d’ordre en prenant en charge ce paiement».

Selon Dr Hassim Bachir Diop, Président du Comes, «plus de 130 médecins, après avoir abandonné leur contrat de travail pour répondre à l’appel du chef de l’Etat, se sont vu refuser cette bourse de spécialisation. Ce revirement les place non seulement dans une situation de précarité financière mais aussi dans l’impossibilité d’honorer leur frais d’inscription et de poursuivre leur cursus». Cela risque d’avoir des «répercussions dé - sas treuses sur la santé publique» impactant évidemment la «population soufrant quotidiennement du manque criard de personnel de santé qualifié»

Las que la situation n’évolue pas après plusieurs mois de «négociations infructueuses», le Comes envisage «sous peu le dépôt d’un préavis de grève». Et les revendications sont simples : l’octroi de la bourse de spécialisation à tous les inscrits, la rédaction du statut du médecin en spécialisation, le recrutement des médecins en spécialisation en tant qu’agents du ministère de la Santé via des postes conventionnés, affectés au niveau des Chu, l’accès à une Pec médicale pour le Des et sa famille, l’affiliation à l’Institution de prévoyance retraite du Sénégal, le droit au congé de maternité avec traitement d’une durée égale à celle prévue par la législation sur le code du travail et le paiement des émoluments hospitaliers (motivations, astreintes, gardes) en conformité avec la grille salariale des praticiens hospitaliers.

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