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LA VIE DE GALERE DES CHEFS DE MENAGES

Face à l’augmentation vertigineuse du coût de la vie, Les pères et mères de familles ne savent plus où donner de la tête face aux hausses des prix de tous les produits et services. Eau, électricité, loyers, produits alimentaires...

Maïmouna FAYE FALL  |   Publication 07/09/2023

Le coût de la vie à Dakar devient de plus en plus intenable pour les ménages. Une preuve parmi d’autres de cette assertion : dans les marchés, les vendeurs sont plus nombreux que les acheteurs ! Les pères et mères de familles ne savent plus où donner de la tête face aux hausses des prix de tous les produits et services. Eau, électricité, loyers, produits alimentaires... les «gorgorlous» n’en peuvent plus. Le paiement de la location et le règlement de factures toutes plus salées les unes que les autres donnent des migraines et une santé très fragile à des populations qui «refusent» quelquefois de se rendre à l’hôpital faute de moyens financiers. Sans compter les enfants déscolarisés car victimes de cette cherté de la vie qui a fini de précariser leurs parents !

«Il n’y a pas d’argent. On se débrouille. La vie est difficile. Mon fils est malade. Il est asthmatique. Mais je n’ai pas d’argent pour payer ses soins à l’hôpital. Je lui ai juste donné des feuilles de corossol en infusion. On dit que c’est efficace. Mais ça ne fait que calmer la crise. Cette période hivernale est défavorable aux asthmatiques. Tout le monde le sait. Parfois, il y a de nonnes sœurs qui me soutiennent un peu. C’est très compliqué, tout est cher et la situation est presque intenable pour nous, pères de famille «. C’est le cri du cœur de Massogui Athie qui porte sur ses frêles épaules la charge de 7 enfants dont 5 filles. Des enfants dont la mère est une femme de ménage. Chez les Athie, on peine à assurer les trois repas au quotidien. Tous les membres de la famille habitent dans une seule pièce. Une vraie vie de... pauvres, dit-il. Notre interlocuteur n’a qu’un maigre salaire de 50 000 francs pour nourrir huit bouches. Sa femme raconte leur situation. «Ce sont de petits enfants. Je ne peux pas les laisser seuls et aller chercher du travail d’autant que leur père ne passe pas la journée à la maison. Je me débrouille tout de même en vendant des arachides grillées ou sucrées». Dans cette famille, les astuces pour survivre et pour faire face à certains besoins ne manquent pas. «Parce que on est obligé de payer la location de la chambre à 35 000 francs, l’eau, l’électricité... On mène une vie très compliquée», confie notre interlocutrice.

C’est clair! Le coût de la vie reste aujourd’hui le principal adversaire des chefs de famille, surtout les «gorgorlou» sénégalais. Tout est devenu cher : la santé, l’éducation, le transport, les denrées alimentaires, l’eau, l’électricité. Tout ! Tout. Il suffit de le suivre Fama jusque chez la vendeuse de légumes du coin pour constater toute la difficulté qu’elle rencontre se procurer le strict minimum pour elle etsa famille. Pour juste avoir un bon plat de riz au bissap avec huile de palme, il faut débourser au moins 1500 francs. En tout cas, c’est la somme qu’a déboursée Fama ce jour-là pour le repas de sa famille à midi. «J’ai acheté un kilo de riz à 500 francs, un tas de tomates à 100 francs, du gombo à 100 francs, un oignon à 50 francs, un sachet de poivre à 25 francs, un bouillon à 50 francs, du piment à 25 francs, du nététou à 100 francs. Ca me fait au total 950 francs, sans compter l’huile de palme. C’est très compliqué au marché»,se lamente la brave dame. Elle a déboursé 1500 francs pour un modeste plat sans poisson, sans huile et sans légumes. Du riz blanc aux feuilles de bissap avec de l’huile de palme pour relever le tout!

La vie est chère au Sénégal surtout à Dakar avec la flambée des prix sur le marché. Nous avons arpenté des marchés, visité des supermarchés et des boutiques, conversé avec des vendeuses tenant des tables au coin des rues pour voir comment font les ménagères pour s’en sortir. C’est au marché à ciel ouvert — du moins sur une grande partie — Gueule Tapée des Parcelles Assainies, que de nombreuses femmes viennent faire leurs provisions de produits vivriers. C’est le cas de Mariétou Diallo qui n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi les prix sont passés subitement du simple au triple. En charge de 5 enfants en l’absence d’un mari qui a pris la tangente depuis bientôt 6 ans, elle est obligée de jouer à la fois le rôle du père et celui de la mère. Comme il est facile de le deviner, cette brave femme n’a pas assez de moyens financiers pour prendre en charge de sa progéniture. Pour le manger, c’est la croix et la bannière. C’est une femme dépitée qui quitte le marché quand elle finit de faire le tour des étals pour s’approvisionner en produits viviers. La plupart des produits ont connu une augmentation.

Pour le poisson par exemple, la situation est compliquée pour beaucoup d’acteurs de la filière. «On ne s’en sort plus comme avant. 15 000 francs, 25 000 francs, 38 000 francs, 50 000, 100 000... ça grimpe de jour en jour», confie Maïssa Ndiaye qui sillonne les rues des différentes unités des Parcelles Assainies pour pouvoir écouler sa marchandise. Un dur labeur pour lui qui se réveille à 4 heures du matin pour pouvoir se ravitailler en clients. Sur son téléphone portable, les appels sont incessants. Les clients l’appellent à longueur de journée pour espérer avoir du poisson à moindre coût. «J’essaie de ne décevoir personne et faire en sorte que mes clientes trouvent ce qu’ils veulent sans se ruiner. Mais parfois, c’est très dur avec le marchandage. Elles refusent de payer les prix fixés par type de poisson». Ce qui, dit-il, retarde un peu ses déplacements d’un endroit à un autre. «Parfois, il y a des femmes qui sont même en colère, parce qu’elles restent des heures à patienter, attendant mon arrivée. Mais à cause de cette cherté, on ne peut même plus travailler correctement». Mais sa semble dire que la cherté du poisson impacte toute la chaine d’approvisionnement allant du fournisseur au consommateur.

Grossistes et détaillants se renvoient la balle

Djeynaba Sow et Alpha Diallo s’activent dans la vente de légumes depuis plus de 30 ans. Ils sont bien connus au marché Gueule Tapée. Des vendeuses au détail viennent s’approvisionner auprès d’eux en légumes (aubergines, piment, tomates, carotte, choux, navets, gombos, patate...) A les en croire, les prix ont augmenté au fil des années passant du simple au double avant de tripler voire quadrupler. Ce qui fait qu’ils sont obligés de répercuter ces augmentations sur leurs prix. A la grande colère des acheteurs. Qui ne manquent pas souvent de les traiter de tous les noms d’oiseaux.

Dans les boutiques, les altercations ne sont pas rares entre boutiquiers et les clients. Le marché est certes bien approvisionné, tous les produits sont disponibles mais ils coûtent trop cher depuis quelque temps. Ndèye est gargotière. Dans la boutique de Boubacar sise à l’unité 16 des Parcelles Assainies, elle explose de colère après avoir additionné les prix des produits qu’elle venait d’acheter. «C’est cher, trop cher, la vie à Dakar. C’est très dur. On se débrouille mais sans faire de bénéfices car la restauration ne nourrit plus son homme. C’est compliqué. Si ça continue comme ça, ce sera la faillite. La situation ne présage rien de bon», confie cette gargotière dépitée. Dans la boutique, la tension ne baisse pas mais, malgré l’énervement des acheteuses, impossible de faire bouger les prix fixés par les grossistes et boutiquiers détaillants. Le litre d’huile qui coûtait entre 800 et 1000 francs, il y a quelques mois, a augmenté jusqu’à 1200 francs et même 1800 francs pour les bouteilles à emporter

La viande... un produit de luxe

D’une table, d’une boutique ou d’un marché à un autre, la réalité est implacable. Tout comme le poisson, la viande n’est plus à la portée des petites bourses. Un sachet contenant un kilogramme de viande à la main, mère Ndoya Guèye chuchote à notre oreille n’avoir pas mangé de la viande depuis plus d’un mois. Le kilogramme de la viande avec os se négocie aujourd’hui entre 3900 et 4000 francs. Sans os, il faut mettre 5000 à 6000 francs sur la table du boucher. «Depuis la tabaski, on n’a pas mangé de la viande à la maison. On ne peut s’en procurer tous les jours. On n’en a pas les moyens. Mon époux est malade, cloué au lit depuis plus de 5 ans. Mes enfants se débrouillent pour pouvoir assurer l’eau et l’électricité qui coûtent très cher. Ce mois-ci, on a reçu une facture d’électricité de plus de 80 000 francs. Pour l’eau, je suis sûre que les agents de la Sen’eau vont venir couper ça parce que 63 000 francs, c’est énorme pour nous. Près de 150 000 francs pour les factures d’eau et d’électricité seulement sans compter le manger. On ne vit presque plus !», explose cette mère de famille qui, parlant toujours de la cherté de la vie, fait remarquer que le mal se situe à tous les niveaux et à tous les secteurs. «Même ceux qui faisaient de bonnes actions n’en font plus comme avant. Ils pensent en priorité à la scolarité, à la santé et aux conditions de vie dans leurs familles, ce qui fait qu’ils n’ont plus les moyens de faire des libéralités».

Selon le sieur Ousseynou Tiombane, si les aliments coûtent aussi cher c’est la faute aux autorités qui n’ont pas su donner la priorité à l’agriculture et concentrant tous leurs efforts sur les infrastructures, notamment routières, qui ne se mangent pas ! Ces infrastructures, confie-t-il, «ça ne se mange pas, même si c’est joli. Nous devons surtout nous concentrer sur les prix de certains produits de base comme l’oignon. Aujourd’hui le sac coûte entre 20 000 et 22 000 francs. C’est une honte quand j’entends dire que le marché va être approvisionné avec de l’oignon importé du Maroc. On ne devrait jamais se glorifier de ces bateaux d’oignons qui viennent de l’étranger et qui nous appauvrissent davantage. On ne valorise pas nos productions locales», a-t-il martelé.

Devant un étal rempli de poissons, Mborika n’en croit pas ses yeux. C’est pourtant un étal bien garni avec différentes variétés et tailles de poissons. Seulement voilà, malgré l’abondance, les prix sont élevés. Il faut débourser au moins 1000 francs pour espérer repartir avec du poisson. Elle demande à « Mère jën », la poissonnière, si elle peut s’en procurer pour 500 francs. Réponse négative de la vendeuse qui lui explique que le poisson est trop cher ces temps-ci! «Nous mêmes, on souffre avant de pouvoir se ravitailler. Encore qu’on ne trouve que des poissons glacés, les produits frais étant hors de portée. Les femmes se plaignent de ne plus trouver du poisson frais au marché. Du coût, on ne mange plus du vrai thiébou Ndar»! Selon «Mère Jën», les poissons qui se vendaient entre 30 000 francs et 75 000 la caisse coûtent aujourd’hui entre 100 000 francs et 250 000 francs. Et encore, il s’agit de caisses de dimensions moyennes. «On fait des tas pour aider certaines familles à accéder aux gros poissons qui coûtent trop cher. Des tas de 2000, 3000... Mais on n’a pas de tas à 1000 francs»! Une estimation faite devant une Mborika qui doit se résigner à ne pas ramener du poisson ce jour là pour sa famille. «Je n’ai que 1000 francs sur moi pour le poisson. Donc, ce n’est pas possible. Les gens chez mois ne vont pas manger du poisson aujourd’hui», commente-t-elle écoeurée.

Malheureusement, Mborika n’est pas un cas isolé. Ce qu’elle vit est le reflet de la situation de beaucoup de familles à Dakar notamment dans la commune des Parcelles Assainies. Ici, comme presque partout d’ailleurs — à part quelques quartiers huppés —, la pauvreté et la souffrance sont visibles à travers ces ventres affamés qui ont oublié la signification de trois repas quotidiens. Les enfants en sont réduits à guetter des «offrandes» faits de biscuits, lait caillé et parfois de thiébou djeune pour se remplir le ventre

Debout sur la route qui mène vers l’école élémentaire de l’unité 15, une dame sert de petits sachets de biscuits à des enfants. «Héy def lenn ndaank»! Oui doucement rek, leur dit-elle ! Chacun veut en effet avoir sa part pour «calmer le ventre». «Waay sama biir di riir rek. Dama khiffonn waay»! lâche cet enfant d’une dizaine d’années qui croque rapidement ses biscuits avant de s’approcher d’un autre de ses camarades qui venait lui aussi d’ouvrir son sachet de biscuits. Des enfants qui ont pour la plupart abandonné les études

Les écoliers des victimes...

Aujourd’hui, dans les quartiers populaires, beaucoup d’enfants ne partent plus à l’école. L’exemple de Sidy Camara, un jeune d’environ 17 ans, donne des frissons. Il vit auprès de sa grand-mère qui «quémande» auprès des bonnes volontés pour la nourriture de ses trois enfants dont une fille malade depuis plus de 10 ans. «Vous voyez, je ne peux pas aller travailler à cause de ma fille malade. Elle ne peut rien faire. Elle ne reconnait personne. Même pour ses besoins et autres, il faut une assistance particulière. Surtout pendant ses périodes de règle. Je souffre avec elle. A cela, s’ajoute le coût de la vie. Parfois je veux lui acheter des fruits mais c’est impossible. Elle en mange rarement. Cette situation a fait que Sidy ne peut plus aller à l’école. En plus du problème des frais d’inscription, et étant donné qu’il mange rarement à sa faim, il a abandonné les études. Il avait commencé à faire l’école buissonnière. Son école m’a convoqué plusieurs fois du fait de ses absences. On a tout fait pour le remettre dans le droit chemin mais en vain. Aujourd’hui, il traine dans la rue à longueur de journée», a-t-elle confie sur un ton de résignation la grand-mère.

Dans les familles c’est le désarroi total. La grogne monte partout, surtout avec la hausse des prix de l’eau, de l’électricité et de certains produits alimentaires de base. Pour les Sénégalais, la vie est devenue beaucoup trop chère. «On est fatigué. On souffre. C’est très, très compliqué. L’Etat nous dit que l’école est obligatoire mais, avec la situation au niveau des familles, c’est presque impossible d’envoyer les enfants à l’école. C’est un fardeau. Beaucoup d’enfants ne vont plus à l’école parce qu’on ne vit plus»! Cette mère de famille se désole surtout du fait que plus personne ne peut plus épargner un seul franc. C’est le cas de Papis Sagna qui, face au coût de la vie, n’arrive plus à mettre de côté une petite somme par mois pour l’école de ses enfants. Justement, à un mois de la rentrée scolaire, il est dans l’inquiétude totale. «Quand j’entends dire que c’est bientôt la rentrée scolaire, ça me donne des maux de tête. Pour la prochaine rentrée scolaire, à moins qu’il y ait un miracle avec une belle rentrée d’argent, je me prépare aux pires éventualités pour mes enfants. Ils vont être renvoyés de l’école. Pas seulement à cause des frais d’inscription mais surtout pour les fournitures. Parce que, franchement, je n’ai pas pu préparer la prochaine rentrée», avoue ce père de famille.

Autre casse-tête que vivent les Sénégalais, la location ! Ibrahima Fall, un chef de ménage, a sommé de quitter son ancien logement pour des raisons de sécurité parce que la dalle menaçait de s’effondrer. Il a trouvé un studio à l’unité 16 des Parcelles Assainies pour un coût mensuel de 120 000 francs alors qu’il ne payait que 75 000 francs à son ancien bailleur. Pour intégrer le nouveau logement, il a dû débourser 300 000 francs représentant la caution de trois mois alors que, nous dit-on, c’est interdit par la nouvelle loi sur les loyers. Mais allez faire comprendre cela à des bailleurs qui tiennent le bon bout la loi de l’offre et de la demande jouant nettement en leur faveur ! Résultat : les locataires sont obligés de se soumettre à leur loi s’ils veulent disposer d’un toit…

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