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8 juin 2025
par Ibrahima Anne
ON N’Y ENTRE PAS COMME DANS LES ORDRES
Il est loin, très loin le temps où on adhérait en politique comme on entre en religion. A cet alimentaire, parlez-lui de Cheikh Anta Diop, il vous dira que le «Pharaon noir» ne savait pas ce qu’il voulait...
La politique, pense-t-on, est plus affaire d’intérêts immédiats que de convictions fortes. La preuve, ils sont nombreux des compatriotes à avoir milité dans beaucoup de partis, l’essentiel étant que ceux-ci soient au pouvoir, procèdent aux nominations, distribuent les privilèges et les prébendes, permettent les passe-droits… Chez ces alimentaires, le but recherché justifie les postures. Et les impostures. Le sobriquet de caméléon va comme un gant à ces spécimens qui n’en a cure qu’on puise dans le vocabulaire animal pour qualifier sa reptation : la transhumance. Parce que c’est leur pointure. Et ils n’en ont cure de ces railleries, ces politiciens d’un genre si particulier. Au diable les idéologies. Chez eux, tout se conjugue en espèces sonnantes, trébuchantes, ronflantes et immédiatement disponibles.
Il est loin, très loin le temps où on adhérait en politique comme on entre en religion. A cet alimentaire, parlez-lui de Cheikh Anta Diop, il vous dira que le «Pharaon noir» ne savait pas ce qu’il voulait. Dans la petite cervelle du commensal, savoir ce que l’on veut, c’est savoir monnayer ses convictions, peu importe le coût moral. D’ailleurs, si vous vous hasardez à lui parler de morale, vous avez une forte chance de vous voir répliquer que «politique ak morale andoul». Autrement dit, politique et morale ne font pas bon ménage, selon ce disciple lointain de Machiavel. Malheureusement, c’est cette classe de rapaces qui ont pris en otage le jeu politique, faussé le libre choix démocratique en passant allègrement du camp des vaincus à celui des vainqueurs. Au grand dam de l’électeur qui se sent floué voire escroqué dans son vote.
Il est loin, trop loin le temps où les formations politiques étaient un véritable creuset de formation de l’homme tout court : dans sa tenue et sa retenue. A cette époque, on était communiste et en mourait ; socialiste un jour, socialiste pour toujours, libéral, un jour, libéral pour l’éternité. Le débat politique était de haute facture parce que ceux qui avaient droit à la parole dans l’espace public ne parlaient pas la bouche pleine mais la tête remplie d’idées. Etre libéral, socialiste ou communiste avait un sens chez ce type de Sénégalais en voie de disparition s’ils n’ont déjà quitté la scène pour l’Au-delà. Aujourd’hui, être politicien, c’est savoir ruser, enjamber allègrement les frontières idéologiques et se servir à la petite cuillère de la misère des plébéiens pour son profit personnel.
Hélas, ce saltimbanque chez qui les acrobaties politiques n’ont guère de secret a de beaux jours devant lui en ce qu’il trouve toujours justification dans notre substrat socio-culturel qui veut que le pouvoir étant de l’ordre du divin, ce serait un sacrilège que de s’opposer à son dépositaire du moment. Toute chose ayant une fin, il faudra bien que, un jour, ce cinéma cesse pour laisser la place à un jeu politique lisible où la morale est restaurée. A défaut, ce sera l’éternel recommencement : déshabillé, Madou change de veste et devient Douma. Au grand malheur du citoyen-électeur dont le choix, aussi éclairé soit-il, compte, finalement, pour du beurre.
PARRAINAGES, BOUN ABDALLAH DIONNE CRITIQUE LA PROCÉDURE
«L’exigence d’un nouvel examen du système de parrainages par le Conseil Constitutionnel nous parait ainsi incontournable si nous voulons réellement renforcer l’intégrité et la sincérité de l’élection présidentielle à venir».
Lors de la première partie du contrôle des parrainages par la commission, beaucoup de têtes sont tombées car plus de 60 candidats à la présidentielle ont été recalés. D’où la nécessité de revoir le système, selon l’ancien premier ministre Boun Abdallah Dionne. Dans un document rendu public, il interpelle le président de la République dans ce sens.
Le système du parrainage est le moyen le plus rapide et le plus efficace plus filtrer les candidats pour les élections présidentielles de février 2024, cela s’est surtout matérialisé lors du dernier exercice du Conseil Constitutionnel. Le candidat Boun Abdallah Dionne, s’offusque. «Bon an mal, le Sénégal avance vers la tenue de l’élection présidentielle du 25 février 2024, nonobstant la mise hors course de certaines identités remarquables se situant dans le haut du palmarès de l’opposition politique. C’est donc constater que les pratiques actuelles du système de parrainage balafrent hideusement notre démocratie», soutient l’ancien Premier ministre.
L’ex lieutenant de Macky Sall, l’interpelle directement par rapport au système de parrainage. «Je demande au Chef de l’Etat, gardien de la constitution, de permettre à la classe politique nationale de tenir une discussion encadrée, immédiate et imminente pour pister les incohérences et trouver des solutions idoines et durables d’une élection libre, apaisée, transparente et régulière », propose-t-il avant de renchérir : «L’exigence d’un nouvel examen du système de parrainages par le Conseil Constitutionnel nous parait ainsi incontournable si nous voulons réellement renforcer l’intégrité et la sincérité de l’élection présidentielle à venir».
Beaucoup de surprises ont été notées durant les parrainages vu que des politiciens (Idrissa Seck, Souleymane Ndéné Ndiaye, Mimi Touré…) qui ont blanchi sous le harnais pour ne pas dire des ténors de la politique sénégalaise ont eu toutes les difficultés du monde à passer haut la main cette barrière des parrainages. Ce qui intrigue l’ancien directeur de campagne de Macky Sall. «Sinon comment expliquer que même des anciens membres du gouvernement arrivés il y a moins de 5 ans, dans la quintette majeure de l’élection présidentielle, se retrouvent aujourd’hui avec les contraintes aberrantes de parrainages que nous connaissons en termes de doublons externes», affirme monsieur Dionne.
Pour rappel, Boun Abdallah Dionne, doit régulariser son parrainage au second tour car il validé 36414 parrains sur un minimum de 44231 à valider.
UN EX-MINISTRE DE JAMMEH JUGÉ EN SUISSE POUR CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ
Le procès de l’ancien ministre gambien de l’Intérieur sous Yahya Jammeh, Ousman Sonko, débute ce lundi 08 janvier. Son jugement devrait durer environ trois semaines.
Le procès de l’ancien ministre gambien de l’Intérieur sous Yahya Jammeh, Ousman Sonko, débute ce lundi 08 janvier. Son jugement devrait durer environ trois semaines. Il est poursuivi pour crimes contre l’humanité liés à des actes de torture, d’enlèvements, de violences sexuelles et d’exécution extrajudiciaire entre 2000 et 2016. L’ancien ministre conteste les charges retenues contre lui. Son sort est ainsi entre les mains de la justice helvétique car le droit suisse reconnaît la compétence universelle pour certains crimes internationaux graves. Cela, quel que soit l’endroit où ils ont été commis, la nationalité des suspects ou celle des victimes.
Pour rappel, Ousman Sonkoa été arrêté à Berne, en Suisse où il a demandé l’asile, le 26 janvier 2017, au lendemain de la plainte déposée au pénal contre lui par TRIAL International, une ONG suisse. En 2021, le rapport final de la Commission Vérité, réconciliation et réparations a conclu que Jammeh et 69 de ses collaborateurs, dont l’ex-ministre en question, ont commis des crimes contre l’humanité au préjudice des populations civiles gambiennes.
LE COLLECTIF DES CANDIDATS SPOLIÉS VA BIENTÔT DÉVOILER SON PLAN D’ACTION
Selon Aminata Touré, représentante du collectif des candidats spoliés, dans les jours à venir, le collectif «va dévoiler son plan d’action qui sera à la hauteur de la forfaiture»
Comme indiqué, le collectif des 28 candidats recalés s’est présenté devant le Conseil Constitutionnel pour déposer un recours. Cependant, la présidente de la coalition MIMI 2024 a été bloquée nette par les gendarmes à la porte du Conseil Constitutionnel. Les limiers l’ont empêché d’entrer et l’ont enjoint de se déplacer vers l’autre rue.
Finalement après moult conciliabules, la gendarmerie leur a permis d’entrer pour déposer leur requête en compagnie de Aly Ngouille Ndiaye, Cheikh Abdou Mbacké Bara Dolly et Assome Diatta.
A sa sortie, la délégation a fait savoir qu’elle a déjà déposé son recours et ne compte pas s’arrêter là. Selon Aminata Touré représentante du collectif des candidats spoliés, dans les jours à venir, le collectif «va dévoiler son plan d’action qui sera à la hauteur de la forfaiture» et plaide pour l’arrêt du processus qui est en cours qui présage une tentative de saboter l’élection présidentielle.
Par ailleurs, Aminata Touré demande au Conseil Constitutionnel de restituer les parrains de candidats qui sont fichés personnes non identifiées.
IL Y A DES ERREURS SUR LE FICHIER ÉLECTORAL SELON ALY NGOUILLE NDIAYE
Les candidats qui doivent compléter leurs dossiers commencent à défiler dans les locaux du Conseil constitutionnel. C’est le cas de l’ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye qui vient, à l’instant, de tenir une déclaration de presse.
Les candidats qui doivent compléter leurs dossiers commencent à défiler dans les locaux du Conseil constitutionnel. C’est le cas de l’ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye qui vient, à l’instant, de tenir une déclaration de presse.
«Nous avons fait tout ce qu’il fallait. Maintenant, nous attendons leurs réactions (Ndlr : les 7 Sages). Aujourd’hui, nous avons la preuve qu’il y a des erreurs sur le fichier électoral. Si par exemple, le Pr Ben Diop candidat avait voté en 2022 avec tant d’autres personnes et qu’en retour on leur dise que leurs noms ne figurent pas sur ledit fichier, cela veut dire qu’il y a problème», a laissé entendre le chef de file de la coalition «Aly Ngouille 2024».
«Nous ne sommes pas les auteurs de ce désagrément. C’est vendredi dernier qu’on nous a notifiés ce qu’il en est. Ils peuvent reprendre la procédure à tout moment. Ils ont jusqu’au 20 janvier pour donner la liste», a-t-il ajouté. Pour rappel, Aly Ngouille avait validé 43137 parrains.
LE STAFF DE YOUSSOU NDOUR ANNONCE UN REMAKE DU GRAND BAL
L’information vient de tomber. Le roi du mbalax Youssou Ndour va organiser un autre Grand Bal ce 20 janvier au Grand Théâtre national avant d’enchainer avec celui de Mbour la semaine suivante.
L’information vient de tomber. Le roi du mbalax Youssou Ndour va organiser un autre Grand Bal ce 20 janvier au Grand Théâtre national avant d’enchainer avec celui de Mbour la semaine suivante. Cette décision fait suite à une réunion d'évaluation de la soirée d'hier, tenue par le comité d’organisation qui affirme avoir apprécié les désagréments divers subis par une frange du public. Youssou Ndour et son staff ont également exprimé leur désolation dans un communiqué reçu à iGFM.
«Le comité d'organisation du Grand Bal s'est réuni pour une évaluation de la soirée du 06 Janvier 2024. Le comité d'organisation remercie le public qui s'est déplacé en masse pour suivre la performance de Youssou Ndour et du Super Etoile.
Vu la très grande affluence, le comité d'organisation se désole vivement des désagréments divers subis par une frange du public. A cet effet, il est d'ailleurs prévu d'organiser un autre Grand bal le 20 Janvier 2024 au Grand Théâtre et un Grand Bal à Mbour le 27 Janvier 2024», lit-on dans le communiqué rendu public par le comité d’organisation du Grand Bal.
ÉLIGIBILITE DE SONKO, LA PRÉCISION DU COORDONNATEUR DE SON POOL D'AVOCATS
Me Ciré Clédor Ly a tenu à faire la mise au point sur la question de l'éligibilité de son client. Ce, au moment où un des conseils du leader des "patriotes", soutient la thèse de l'inéligibilité.
iGFM - (Dakar) Me Ciré Clédor Ly, coordonnateur du pool d’avocats de Ousmane Sonko, a tenu à faire la mise au point sur la question de l'éligibilité de son client. Ce, au moment où un des conseils du leader des "patriotes", soutient la thèse de l'inéligibilité.
«En ma qualité de mandataire, je précise que mon mandant garde toujours ses droits civiques, reste électeur et éligible», a déclaré Me Ciré Clédor Ly, avocat de Ousmane Sonko, dans un communiqué de presse.
Et pour argument, il déclare : «La condamnation dans l’affaire Adji Sarr est tombée dans la trappe, et celle dans l’affaire Mame Mbaye Niang ne le prive d’aucun droit.»
Une sortie qui interveint, suite aux déclarations de son confrère Me Khoureychi Bâ, qui avait dit et réitéré que «les adversaires de Ousmane Sonko, qu'on le veuille ou pas, qu'on le leur concède ou non, ont réussi dans les faits à le rendre inéligible».
MIMI A DÉPOSÉ LE DOSSIER DE LA DERNIÈRE CHANCE
Les candidats qui devaient compléter leur dossier de parrainages commencent à défiler au niveau du Conseil constitutionnel. Le mandataire de Aminata Touré est déjà passé devant la commission de contrôle.
Les candidats qui devaient compléter leur dossier de parrainages commencent à défiler au niveau du Conseil constitutionnel. Le mandataire de Aminata Touré est déjà passé devant la commission de contrôle.
«On nous avait demandé de régulariser des parrainages, ce que nous avons fait en amenant des fiches pour compléter le dossier de madame Aminata Touré. Nous devions compléter 19 800 parrains ce que nous avons fait», a déclaré M. Sidy Bara Fall. Le mandataire de Aminata Touré déclare qu’ils ont encore une fois déposé un dossier béton et espèrent «que cette fois ci sera la bonne».
SIKILO, UN AN APRÈS L’ACCIDENT TRAGIQUE, RETOUR SUR LES LIEUX DU CRIME
Des rats palmistes qui circulent par moments, des bourrasques qui perturbent la quiétude des sinistres lieux… Rien ne rappelle, à priori, cette journée tragique où deux bus de transport en commun sont entrés en collision.
Sikilo, 8 janvier 2023… Un an après ce tragique accident de la route entre deux bus qui a fait plus de 40 morts et une centaine de blessés, Bés bi retourne sur les lieux du «crime».
Des rats palmistes qui circulent par moments, des bourrasques qui perturbent la quiétude des sinistres lieux… Rien ne rappelle, à priori, cette journée tragique où deux bus de transport en commun sont entrés en collision. Les lieux «bruissent» d’un silence de cimetière… sans clôture. Sans sépultures. À Sikilo, les carcasses des bus ont été déplacées. Mais les quelque débris de verre à peine visibles refusent d’effacer les traces de ce «massacre». Le souvenir demeure vivace et ça cogite encore dans la tête de ceux qui ont été sur place pour apporter assistance aux personnels de santé et pompiers débordés. Parmi eux, Zakaria Sow, chauffeur et président de la gare routière de Kaffrine. «Un jour dont je me souviendrai toute ma vie. L’accident a eu lieu vers 3h du matin et nous avons été informés très tôt. Je fais partie des premières personnes à se déplacer sur les lieux. L’ambiance était insoutenable, des cris stridents, des pleurs, des appels à l’aide de personnes coincées entre les véhicules… C’était horrible !», rembobine-t-il. Si certains réclament des ralentisseurs, M. Sow, lui, pense que la solution c’est plutôt d’élargir la route nationale. Il dit : «La RN1 est là depuis 1960. C’est une route étroite et la circulation est devenue très dense. À mon avis, la seule solution pour éviter les accidents récurrents, c’est de faire deux fois deux voies.»
«J’ai dépensé le million que j’ai reçu dans des ordonnances… je ne travaille plus»
L’accident de Sikilo, le plus tragique de l’histoire du Sénégal avec 42 morts officiellement, a également fait plusieurs blessés dont Kadia Diallo habitant Kaffrine. Les larmes aux yeux, elle se rappelle bien cette nuit du samedi 7 au dimanche 8 janvier 2023. «J’étais dans le bus qui venait de Tambacounda. Beaucoup de passagers dormaient quand, soudain, nous avons entendu un pneu éclater. Tout est parti si vite. Notre bus est entré en collision avec le bus qui venait de Mbour. Je ne me rappelle plus grand-chose à partir de ce moment avant de me retrouver à l’hôpital régional Thierno Birahim Ndao de Kaffrine», raconte-t-elle. À la question, comment vous sentez-vous actuellement elle s’empresse de répondre : «Mal.» Avant d’ajouter : «Je ressens toujours des douleurs et je continue de suivre des soins à l’hôpital. Le million que j’ai reçu, je l’ai dépensé dans des ordonnances que je continue d’acheter difficilement puisque je ne travaille plus.»
UNE MAISON DE L’ÉTUDIANT MBOUROIS RÉCEPTIONNÉ À L’UADB
Le maire de Mbour, Cheikh Issa Sall, a réceptionné, dimanche, un bâtiment destiné à héberger les étudiants ressortissants de la commune inscrits à l’Université Alioune Diop de Bambey (UADB).
Bambey, 7 jan (APS) – Le maire de Mbour, Cheikh Issa Sall, a réceptionné, dimanche, un bâtiment destiné à héberger les étudiants ressortissants de la commune inscrits à l’Université Alioune Diop de Bambey (UADB).
Baptisé « la Maison de l’étudiant mbourois », ce bâtiment d’un coût global de 64 millions de francs CFA, est logé au sein du campus 2 de l’Université Alioune Diop de Bambey.
Il a été réalisé pour le compte du volet accès aux services sociaux de base, secteur de l’éducation et de la formation du Programme de modernisation de Mbour, selon Cheikh Issa Sall, par ailleurs directeur de l’Agence de développement municipal (ADM).
Ce programme consistant à mettre à la disposition des estudiantins de Mbour des logements dans les villes universitaires, vise à »résoudre le problème si crucial de l’hébergement […] » pour les bénéficiaires établis hors de leur commune d’origine, a expliqué l’édile, lors de la cérémonie d’inauguration de « la Maison de l’étudiant mbourois » à Bambey.
»Après Bambey, nos étudiants de Saint-Louis, Ziguinchor, Kaolack, Thiès, et toutes les cités universitaires de l’intérieur du pays seront dotées d’infrastructures semblables afin de soulager durablement les étudiants », a promis Cheikh Issa Sall.
Il a demandé aux bénéficiaires de « bien prendre soin de ce joyau afin d’en faire un lieu de vie agréable et durable pour la communauté mbouroise. »
L’édile a annoncé, à ce sujet, qu’une équipe « sera dépêchée dans les jours à venir pour travailler avec les étudiants sur le projet de règlement de la maison, lequel règlement régira également l’ensemble des futurs édifices qui seront construits ».