Le ministre de l’Intérieur, Me Sidiki Kaba, a effectué, ce vendredi, une visite de travail au camp Abdou Diassé. En effet, ce camp célèbre qui a été érigé depuis 1979 abrite un certain nombre de matériels qui permet à la Police nationale d’agir au niveau de l’intervention, du maintien et du rétablissement de l’ordre.
« J’ai pu vérifier l’état du matériel en place. J’ai pu dire que cela est satisfaisant. Nous avons des chars d’intervention capables, dans des situations difficiles, d’intervenir de manière à rétablir l’ordre. Nous avons pu vérifier la condition de logement des policiers. C’était une des revendications les plus importantes deux grands bâtiments R+8 sont en construction. Et cela permettra de faire loger près de 2000 éléments. Ce qui répond à une des revendications les plus importantes à savoir le logement sur place et leur capacité rapide d’intervention sur les théâtres où il y’a des difficultés. Mais en même temps aussi à côté, il y’a des logements R+2 du personnel féminin. Ce qui répare aussi une certaine injustice et discrimination des femmes qui pourraient être logées elles aussi et participer au moment où le besoin se fait sentir d’agir directement sur le terrain », a dit le ministre de l’Intérieur.
Avant d’enchaîner : « nous avons pu aussi vérifier la condition sanitaire. Une infirmerie qui est bien équipée et qui peut répondre aux besoins d’analyse mais en même temps aussi porter les soins nécessaires aux personnes malades, mais ce qu’il faut retenir c’est qu’elle est ouverte aux populations civiles. 80% des gens qui sont traités ici sont des civils. Ce qui montre que la police est ouverte à la population. Elle participe aussi aux conditions de santé et de bonne santé des populations. Nous avons pu voir aussi une brigade canine d’une très grande efficacité qui peut intervenir dans des situations où il y’a des actes de terrorisme où il faut pourchasser les trafiquants de drogue. Nous avons aussi vu un centre de tir qui est réputé et qui est utilisé par d’autres forces aussi comme la gendarmerie qui montre ainsi que ce centre de tir permet à nos éléments d’avoir des tirs de précision. Nous avons pu voir la brigade d’intervention polyvalente (BIP) unité d’élite de la police qui peut agir dans les moments d’urgence, assurer la protection des personnalités et en même temps capable se déployer sur les frontières ».
Autant de choses qui font dire au ministre que le processus de modernisation de la police que le président Macky Sall a eu à initier est en cours. Et, ils vont continuer à faire en sorte que cela puisse atteindre les objectifs qui sont fixés.
LE CIS PRÉSENTE SES PROJETS AUX AUTORITÉS SAOUDIENNES
La Conférence Économique Arabo-Saoudo-Africaine a réuni un groupe d’opérateurs économiques saoudiens, arabes et africains et des leaders financiers et commerciaux.
La Conférence Économique Arabo-Saoudo-Africaine a débuté le jeudi 9 novembre 2023 à Riyadh. Elle réunit, en marge du sommet Afrique-Arabie Saoudite, des dirigeants et décideurs, ainsi qu’un groupe d’opérateurs économiques saoudiens, arabes et africains, des leaders financiers et commerciaux.
Un communiqué parvenu à Emedia indique que la délégation du Sénégal comprend les membres du Club des Investisseurs Sénégalais (CIS) dirigés par son président Pierre Atepa Goudiaby accompagné de M. Abdoulaye LY Directeur Exécutif, Serigne Mboup (DG Pétro Gaz Africa), Ndiankou Mbengue et Diabel Seck.
Le CIS qui fait partie de la délégation officielle du Gouvernement du Sénégal, dirigée par le ministre des Affaires Etrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, compte soumettre des projets structurants pour une enveloppe de plus de 6000 milliards de FCFA en partenariat avec des investisseurs saoudiens et d’autres pays présents à la rencontre de Ryadh, explique la même source.
LA PLATEFORME « WALLU-ALLO 116 » PRÉSENTÉE À SÉDHIOU
Le Projet d’appui à la stratégie nationale pour l’équité et l’égalité de genre a présenté à Sédhiou, la plateforme « wallu-Allo 116 » qui vise à offrir des services d’écoute et d’orientation aux femmes et jeunes victimes de violences basées sur le genre.
Sédhiou, 10 nov (APS) – Le Projet d’appui à la stratégie nationale pour l’équité et l’égalité de genre (PAPSEENG II) a présenté à Sédhiou, la plateforme »wallu-Allo 116 » qui vise à offrir des services d’écoute et d’orientation aux femmes et jeunes victimes de violences basées sur le genre.
»Pour mieux protéger et assister les femmes et les enfants victimes de violences, le ministère de la femme, de la famille, du genre et de la protection des enfants a décidé de mettre en place cette plateforme pour orienter les victimes de violences basées sur le genre (VBG) afin de faciliter leur prise en charge dans les structures habilitées », a expliqué, jeudi, la coordonnatrice du PASNEEG Awa Nguer Fall.
Selon elle, l’objectif de la plateforme est d’offrir gratuitement des services d’écoute d’orientation et un référencement des victimes vers les structures dédiées notamment judiciaire, médicale et ou psychosociale.
»Ce numéro d’écoute et d’orientation nationale dédié aux femmes et enfants victimes de violence est accessible en wolof, Sérère et poular en plus du français », a-t-elle ajouté indiquant que d’autres langues locales seront bientôt instaurées dans le dispositif de la plateforme pour faciliter l’orientation des victimes des VBG.
Elle a rappelé que la plateforme est »anonyme, gratuite et accessible » via un téléphone fixe ou mobile et disponible 24h/24, 7j/7, avec « un dispositif de codage pour garantir la confidentialité des appelants ».
Depuis sa création en novembre 2022, a-t-elle rappelé, la plateforme »wallu-Allo 116 » a enregistré 2259 appels dont plus de 500 cas de violences traités et référés dans les structures de prise en charge.
»Cette plateforme est un outil important pour améliorer la prise en charge des violences dont les femmes et les enfants sont souvent victimes notamment dans la région de Sédhiou », a pour sa part soutenu l’adjoint au gouverneur de la région chargé des Affaires administratives, Modou Gueye.
Il a invité les acteurs concernés à s’approprier la plateforme pour faciliter l’orientation des victimes de violences tout en poursuivant le travail de sensibilisation.
PLUS DE 10 MILLE BAGUETTES DE PAIN SAISIES A DAKAR
Plus de 10 000 baguettes de pain, ainsi que des motos et chariots servant à les transporter ont été saisis par la direction du service régional de commerce de Dakar, entre jeudi et vendredi.
Dakar, 10 nov (APS) – Plus de 10 000 baguettes de pain, ainsi que des motos et chariots servant à les transporter ont été saisis par la direction du service régional de commerce de Dakar, entre jeudi et vendredi, dans le but de réglementer et d’assainir le circuit de distribution du pain.
‘’Le pain doit être distribué dans les règles de l’art telles que prévues par la réglementation et le but de cette opération, c’est véritablement d’assainir le secteur, d’assainir les circuits de distribution du pain (…)’’, a expliqué Amadou Touba Niane, commissaire aux enquêtes économiques et chef du service régional de commerce de Dakar.
Il s’agit, précise-t-il, de les délester ‘’des impuretés, des présences nuisibles, en faisant en sorte que les multiples relais qui sont au détriment du consommateur puissent cesser’’, a-t-il ajouté.
Il faisait face à la presse dans les locaux du service régional du commerce, après une tournée entamée vendredi matin dans la ville de Dakar.
‘’Nous avons passé en revue Médina 1, Médina 2, Médina 3, Gueule-Tapée, Gibraltar, Niary Tally et Grand-Dakar pour Dakar département. Les mêmes choix ont été opérés au niveau des départements de Rufisque, Pikine, Keur Massar et Guédiawaye’’, a-t-il signalé.
Selon lui, ‘’l’administration du commerce, sur instruction du directeur du commerce intérieur, le service régional, à l’échelle régionale avec ses services départementaux, s’est engagé dans cette lutte, à travers ces opérations qui sont en cours’’.
Il informe que ‘’plus de 10 mille baguettes’’ de pain ont été ‘’retirées au niveau régional’’ et ‘’plus d’une vingtaine de motos-Jakarta, autant de chariots et ‘’une soixantaine de vélos saisis’’.
Depuis la mise en œuvre de la nouvelle réglementation, surtout à travers le décret 2019-2277 réglementant les activités de boulangerie et de pâtisserie au Sénégal, il y a eu une ‘’forte activité autour du pain’’, menée par ses services à l’échelle régionale et au niveau départemental.
Il existe d’autres arrêtés organisant ce secteur, a-t-il indiqué, soulignant que l’opération n’est pas ‘’nouvelle’’.
‘’Il y a eu un petit relâchement depuis un certain temps et nous avons jugé nécessaire de remettre sur orbite toute la réglementation concernant ce secteur’’, a-t-il concédé.
Il a déclaré que l’Etat souhaite une ‘’rationalisation de l’investissement’’ dans ce secteur, en donnant un coup de pouce à ceux qui s’acquittent de leurs obligations fiscales de façon régulière, qui ont consenti des »investissements lourds » et qui, selon lui, doivent aussi être protégés par l’Etat.
Mais, l’Etat veut également protéger le consommateur contre ‘’des manipulations du pain’’ qui, dit-il, ‘’atterrissent dans le ventre du consommateur avec tous les dangers que cela représente’’.
‘’Mais, pour ce qui est de l’implantation des kiosques, il appartient aux boulangers d’occuper l’espace et de faire en sorte que ce pain-là puisse être accessible au consommateur (…)’’, a-t-il dit. Il estime que ‘’la balle est dans le camp’’ des boulangers.
‘’Il faut lever l’équivoque. La vente de pain n’est pas strictement interdite dans les boutiques, mais les conditions posées par le texte sont tellement difficiles qu’elles ne sont pas d’accès facile au boutiquier, car il faut un espace spécialement aménagé à cet effet et un personnel dédié’’, a-t-il précisé.
Le chef du service régional de commerce de Dakar informe que ces opérations se font avec l’appui des volontaires de la consommation.
‘’Ils ont été présents hier et aujourd’hui et ont été d’un grand apport. Et à la date d’aujourd’hui, le département de Dakar en a à sa disposition autour de 400. Les 105 sont déjà avec nous, mais dans la semaine, je recevrai le reste’’, a-t-il souligné.
‘’Le service régional est déterminé à sortir le pain du circuit irrégulier de distribution. Il y aura un suivi, je m’engage pour ça et rien ne sera plus jamais comme avant’’, a-t-il martelé.
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EMMANUEL MACRON SALUE L'EXEMPLARITÉ DE MACKY SALL EN AFRIQUE
Le chef de l'État sénégalais récolte à la fin de son mandat les louanges de la France, qui le présente comme le modèle du dirigeant africain éclairé. Lors du Forum pour la paix à Paris vendredi, son homologue de l'Élysée n'a pas tari d'éloges à son égard
Alors que Macky Sall arrive au terme de son deuxième mandat à la tête du Sénégal, la France salue par la voix d'Emmanuel Macron le courage et l'exemplarité du président sénégalais. Contre toute attente, il a décidé de jouer le jeu démocratique en acceptant des challengers pour sa succession.
Un signe fort qui démontre selon Emmanuel Macron qu'il n'y a pas de fatalité en Afrique lorsque des hommes d'État courageux comme Macky Sall sont au pouvoir. En refusant de s'accrocher coûte que coûte au pouvoir, il protège son pays de troubles inutiles et ouvre la voie à une alternance apaisée, estime le chef de l'État français ce vendredi en marge du Forum pour la paix à Paris.
La France se félicite par ailleurs que Macky Sall ait accepté, au terme de son mandat, de devenir envoyé spécial du G5 Sahel. Son engagement en première ligne contre le terrorisme démontre son sens du devoir envers la région. Sa stature d'homme d'État respecté lui donnera un rôle moteur pour coordonner la riposte face à cette menace selon Paris.
Pour Emmanuel Macron, l'action de Macky Sall, à la fois au Sahel et au Sénégal, est porteuse d'espoir pour l'avenir démocratique du continent africain. La France salue ce modèle de dirigeant visionnaire, qui place l'intérêt général avant les intérêts particuliers.
ALY NGOUILLE NDIAYE DÉNONCE DES ÉVICTIONS POLITIQUES D'AGENTS TERRITORIAUX
L'ancien ministre, candidat à la présidentielle, dénonce avec véhémence des évictions politiques dans l'administration territoriale du Djoloff, qu'il impute à des manœuvres du régime de Macky Sall cherchant à affaiblir sa base électorale
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 10/11/2023
L'ancien ministre de Macky Sall, Aly Ngouille Ndiaye, candidat déclaré à l'élection présidentielle de 2024, a dénoncé ce jeudi 9 novembre des "évictions politiques" d'agents territoriaux par l'administration.
Dans un message publié sur les réseaux sociaux, Aly Ngouille Ndiaye exprime sa "surprise" après avoir pris connaissance du dernier Conseil des ministres où "des agents de l'administration territoriale en l'occurrence des Préfets et Sous-Préfets, à qui on pourrait reprocher une prétendue parenté avec moi ont été éjectés de leurs postes".
Or, précise-t-il, "je les ai tous trouvés dans l'administration territoriale lorsque je suis arrivé au ministère de l'Intérieur en 2017". Et ces agents "ont comme points communs d'être des originaires du Djolof, et ont capitalisé entre dix et vingt ans de service au sein du commandement territorial, ponctué d'une brillante carrière".
Pour Aly Ngouille Ndiaye, cette décision "regrettable" prise à leur encontre ne fait que "démontrer davantage le caractère politique et partisan de ces évictions". Selon le maire de Linguère, "il s'agit simplement d'une manœuvre politicienne visant à m'affaiblir dans mon fief".
Aly Ngouille Ndiaye, qui avait démissionné en septembre dernier de ses fonctions gouvernementales en guise de protestation contre le choix du Premier ministre Amadou Ba comme candidat du camp présidentiel, entend ainsi dénoncer ces "manœuvres politiciennes" en amont de la présidentielle.
RECRUDESCENCE DE L’ÉMIGRATION IRRÉGULIÈRE, LA RÉACTION DE KHALIFA SALL
Sur les pages de ses réseaux sociaux, le leader de Taxawu Sénégal, Khalifa Ababacar Sall, a, une fois encore, reconnu la responsabilité des uns et des autres, face à l’émigration irrégulière.
Sur les pages de ses réseaux sociaux, le leader de Taxawu Sénégal, Khalifa Ababacar Sall, a, une fois encore, reconnu la responsabilité des uns et des autres, face à l’émigration irrégulière.
‘’La recrudescence de l'émigration clandestine par voie maritime, ces dernières semaines, est source de profonde inquiétude. Il est essentiel de reconnaître notre responsabilité collective, celle de l'État en particulier. Il est difficile de trouver le qualificatif adéquat, pour exprimer ce que je ressens, face aux images qui montrent de jeunes Sénégalais qui empruntent des embarcations de fortune, bravant les fureurs océanes, dans l’espoir d'un meilleur avenir’’, a-t-il écrit.
Pour lui, ‘’il nous faut penser une société plus ouverte qui avantage l’accès aux emplois décents. Et des solutions existent. Le Sénégal regorge de potentialités. Le développement du secteur primaire, pris dans son ensemble (agriculture, pêche, mines…) peut constituer une réponse adéquate apportée au chômage des jeunes’’.
Il pense qu'une ‘’agriculture étalée dans le temps et accompagnée d’une bonne commercialisation des produits permettra, assurément, d’atténuer l’exode. L’autre levier sur lequel nous devons agir est l’éducation. Nombre de diplômés du public et du privé peinent à trouver un simple stage dans les entreprises. Il faut procéder à des réformes hardies du secteur de l’éducation et de la formation technique et professionnelle’’.
Mais, fait-il savoir, ‘’il est par-dessus tout essentiel de promouvoir un environnement propice au développement d’activités liées aux technologies de l’information et de la communication (Tic). L’évolution du numérique a déjà apporté un grand nombre d’indicateurs sur les nouvelles orientations à prendre. Entendons les jeunes. Répondons à leurs appels, car c’est à l’aune du profil de sa population que l’on mesure le dynamisme et les capacités d’un pays à affronter l’avenir. Chère jeunesse, je le répète : naître, grandir et réussir chez soi est possible’’.
MATCH À HUIS CLOS, LA RÉPONSE FERME DE CISSÉ À LA FIFA
Le sélectionneur des Lions est monté au créneau suite à la sanction que la FIFA a infligée au Sénégal, pour le match (huis clos) contre le Soudan du Sud, comptant pour la première journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.
iGFM (Dakar) Le sélectionneur des Lions, Aliou Cissé, est monté au créneau suite à la sanction que la FIFA a infligée au Sénégal, pour le match (huis clos) contre le Soudan du Sud, comptant pour la première journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026. Le technicien sénégalais n'a pas mâché ses mots en conférence de presse.
"C’est difficile. On n’arrive pas à digérer ce huis clos. Je crois que le Sénégal a toujours été en exemple en termes d’éducation et de fair-play. On avait gagné le titre de meilleure équipe fair-play et de meilleurs supporters lors de la Coupe du Monde de 2018. On a montré à la CAN 2022 à quel point nos supporters sont disciplinés et collés à leur équipe nationale. On ne peut qu’être malheureux de cette situation. On est chez nous et on a besoin de nos supporters à côté de nous. Je trouve inadmissible de priver nos supporters de venir voir leur équipe nationale.
"On n’est pas d’accord de cette sanction"
"Ce n’est pas normal. J’espère que ce sera la dernière fois. On est un exemple sur le terrain et sur le Continent africain, et il est important de parler de la discipline qui est dans notre équipe, notre discipline en tant que Sénégalais. Devoir se passer de nos supporters pour un match aussi important, ça ne nous va pas, ça nous rend triste. Mais ils peuvent savoir qu’on jouera pour eux. Loin des yeux, près du cœur. On ne nous a jamais reproché quoi que ce soit. On n’est pas d’accord de cette sanction."
"Nos supporters n’ont pas fait ce que les autres supporters ne font pas"
"Nos supporters n’ont pas fait ce que les autres supporters ne font pas. Il ne faut pas oublier qu’avant le match retour contre l’Egypte, il y a eu quelque chose qui s’est passé au match aller, en Egypte. Je ne cautionne rien du tout, mais la suspension et lourde par rapport à ce qui s’est passé. Je n’ai pas vu un joueur qui était un danger sur le terrain. Donc je ne vois pas pourquoi on nous sanctionne pour ce match", a-t-il réagi lors de la publication de la liste des Lions, pour les deux premières journées des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.
Pour rappel, c'est en application de la décision de la commission de discipline de la FIFA rendue le 27 avril 2022 après les incidents survenus au stade Abdoulaye WADE lors du match de barrage Sénégal-Égypte du 29 mars 2022, que le match Sénégal-Soudan du Sud comptant pour la première journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2026 se jouera à huis-clos, le 18 novembre 2023.
La présidente du mouvement Alternative pour une Relève Citoyenne (Arc) a dénoncé «une potentielle dérive autoritaire» avec les nominations à la Commission électorale nationale autonome (Cena).
Anta Babacar Ngom se déploie dans la banlieue de Dakar. La candidate déclarée à la Présidentielle était, ce jeudi, à Pikine, qu’elle considère comme son fief. Native de ce département, elle y a inauguré la permanence de son mouvement Alternative pour une Relève Citoyenne (Arc), après celle de Mbacké il y a quelques jours. Dans sa déclaration, elle ambitionne «d’implanter ces permanences sur tout le territoire pour être au plus près des besoins de la société». Anta Babacar Ngom a, par ailleurs, dénoncé «une potentielle dérive autoritaire» avec les nominations à la Commission électorale nationale autonome (Cena). «Un coup de balai visant l’ensemble des membres de la Cena, alors même que l’organe est censé garantir en toute autonomie la transparence et la régularité des élections», a fulminé la président de l’Arc.
LE SÉNÉGAL LAURÉAT DU PRIX « COUNTRY ACHIEVING AWARD »
Le Sénégal a été honoré, jeudi 09 novembre 2023, du prix « Country Achieving Award ». Ce prix lui a été décerné par le Conseil des ministres africains en charge de l’Eau (AMCOW).
Le Sénégal a été honoré, jeudi 09 novembre 2023, du prix « Country Achieving Award ». Ce prix lui a été décerné par le Conseil des ministres africains en charge de l’Eau (AMCOW), lors de la septième Conférence africaine sur l’Assainissement et l’Hygiène (AFRICASAN 7), qui se tient du 04 au 11 novembre à Swakopmund, en République de Namibie, note un communiqué parvenu à Emedia.
« Cette distinction fait suite à la publication du Rapport africain sur l’état de la mise en œuvre de la « Déclaration de Ngor sur l’assainissement et l’hygiène », qui classe le Sénégal à la première place en Afrique de l’ouest et dans le peloton de tête continental », explique la même source.
Pour rappel AfricaSan est la plus grande rencontre intergouvernementale panafricaine regroupant les pays, les partenaires internationaux et les parties prenantes de l’assainissement en Afrique.