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25 août 2025
VERS UNE MECANISATION EFFECTIVE DE L'AGRICULTURE
L’équipement rural, un des volets essentiels de l’objectif d’atteinte de la souveraineté alimentaire par le biais de la mécanisation de l’agriculture connaîtra un important bond avec la réception le 30 janvier 2023, d’un premier lot de matériels agricoles
Sangalkam, 16 jan (APS) – L’équipement rural, un des volets essentiels de l’objectif d’atteinte de la souveraineté alimentaire par le biais de la mécanisation de l’agriculture, connaîtra ''un important bond'' avec la réception, le 30 janvier 2023, d’un premier lot de matériels agricoles, a indiqué le ministre de l’Agriculture, de l’Equipement rural et de la Souveraineté alimentaire.
Ce lot de matériels est composé, entre autres, de centaines de tracteurs, de moissonneuses batteuses et de motoculteurs, a précisé Aly Ngouille Ndiaye, dans un entretien accordé à l’APS.
Il a indiqué que son acquisition s’inscrit dans le cadre d’un programme global lancé récemment par le président de la République, Macky Sall. Le coût global de ce programme étalé sur trois ans (2022-2024) et destiné à équiper les producteurs est de 83 milliards de francs CFA, a-t-il ajouté.
‘’La mécanisation et la modernisation de l’agriculture pour une productivité de qualité et en quantité dans l’optique d’assurer la souveraineté alimentaire sont dans une dynamique d’évolution irréversible’’, a-t-il assuré, dans cet entretien réalisé dans le périmètre maraîcher de l’Institut sénégalais de recherches agricoles (ISRA) sis à Sangalkam.
Il a souligné qu’un ‘’investissement important’’ a été déjà consenti par le gouvernement pour l’acquisition de matériels, notamment de tracteurs équipés, de moissonneuses batteuses et de machines agricoles, subventionnés à hauteur de 40, 50 pour cent et parfois même 70 pour cent, selon le type d’équipement.
Il a déclaré que cette politique a permis aujourd’hui à beaucoup de producteurs de disposer d’un équipement agricole, ‘’facteur important pour un plus grand rendement’’.
Outre ce matériel agricole, l’Etat compte également élargir la disponibilité des infrastructures avec la construction de 20 nouveaux entrepôts frigorifiques et d’une centaine de magasins de stockage répartis dans les principales zones de production pour pallier les pertes post-récoltes.
Il a expliqué que c’est pour cette raison que l’équipement rural occupera une ‘’place significative’’ dans la stratégie nationale de souveraineté alimentaire (SAS) élaborée par son département et dont un extrait sera présenté lors du Sommet de Dakar sur la souveraineté alimentaire (Dakar II).
La deuxième édition de ce sommet co-organisé avec la Banque africaine de développement (BAD) est axée sur le thème ‘’Nourrir l’Afrique : Souveraineté alimentaire et résilience’’. La rencontre se tiendra du 25 au 27 janvier.
L'ACCIDENT MEURTRIER DE SAKAL AU MENU DE LA REVUE DE PRESSE DE L'APS CE MARDI
Les quotidiens reçus mardi à l’Agence de presse sénégalaise (APS) traitent de l'accident mortel survenu dans la région de Louga
Dakar, 17 jan (APS) – L’accident mortel survenu dans la région de Louga, une semaine après un drame similaire à Kaffrine, est au menu des quotidiens reçus mardi à l’Agence de presse sénégalaise (APS).
‘’Le Sénégal à nouveau endeuillé’’ après une collision entre un car de voyageurs et un camion entre Louga et Saint-Louis, selon Le Soleil. ‘’22 morts et 23 blessés enregistrés dont 7 dans un état grave. Les 7 blessés graves évacués à Dakar par un hélicoptère affrété par le président de la République’’, indique la publication.
‘’L’accident a impliqué un car Ndiaga Ndiaye et un camion de transport de type Renault. Le car, communément appelé Horaire, transportait 42 personnes et venait du village de Ndiock Fall (commune de Sakal). Le drame s’est produit dans la nuit de dimanche à lundi à 5 h du matin, à hauteur de Sakal. Et le pire dans cet accident, c’est que les victimes sont du même village, selon le maire de Ngueun Sarr.
En effet, les victimes de l’accident qui habitent Deungoul, dans l’arrondissement de Sakal revenaient d’une cérémonie familiale au village de Thiambène’’, rapporte le journal Bës Bi soulignant que le chauffeur du minicar qui voulait éviter un âne en divagation s’est ainsi retrouvé nez à nez avec le camion, souligne le journal.
‘’Après Sikilo, voilà Sakal’’, titre Sud Quotidien en faisant un parallèle avec un autre accident survenu une semaine avant dans les faubourgs de Kaffrine, une localité du centre du Sénégal, située à quelque 250 kilomètres de Dakar, la capitale. 42 morts et une centaine de blessés avaient été dénombrés.
Selon la publication du groupe Sud communication, le Premier ministre, Amadou Ba, et le ministre de l’Intérieur, Antoine Felix Abdoulaye Diome, qui étaient sur les lieux de l’accident ‘’constatent les dégâts et rappellent à l’ordre’’.
‘’Les Sénégalais n’ont pas encore séché leurs larmes sur l’accident de Kaffrine qu’un nouvel accident très meurtrier les invite encore à la méditation’’, ironise WalfQuotidien en relevant que ce n'est pas demain la veille que le flot de critiques contre les autorités sur leur incapacité à faire respecter les règles de conduite, mais aussi la réglementation sur l’état des véhicules, va s’arrêter’’..
‘’Après les 41 morts de Sikilo, 22 décès à Sakal’’, met en exergue Vox Populi, tandis que L’As déplore une ‘’énième hécatombe’’ sur les routes.
‘’Le carnage continue sur les routes du Sénégal’’, dit Libération, qui déplore 65 morts en une semaine.
‘’Après la tragédie de Sikilo (42 morts), 22 personnes sont décédées hier à hauteur de Ngeune Sarr dans un accident impliquant un car de transport en commun et un camion’’, écrit Libération, relevant que ‘’presque toutes les victimes, qui revenaient d’une cérémonie, sont des parents habitant dans la localité de Deungoul (…)’’.
‘’La série noire sur nos routes et la liste des victimes s’allongent. Une semaine après la tragédie de Sikilo dans le département de Kaffrine, avec son lot de 42 morts, voilà que le ville de Ngeune Sarr entre tristement dans l’histoire par un meurtrier accident routier ayant enregistré un lourd bilan d’une vingtaine de morts et d’une quarantaine de blessés’’, écrit EnQuête qui affiche à la Une : ‘’Les routes de l’enfer’’.
Selon Le Témoin, ‘’l’hécatombe continue’’. ‘’La spirale macabre se poursuit’’, titre Les Echos, relevant que 47 personnes étaient dans le car alors que la carte grise n’en autorise que 32.
‘’Le sort s’acharne sur le Sénégal’’, affiche à la Une L’Info. ‘’De Sikilo à Sakal, une semaine de sang’’, selon Le Quotidien, notant que les autorités insistent sur l’application des mesures sur la sécurité routière.
Le ministre des Transports, Mansour Faye, ‘’’va-t-il survivre à ce nouvel accident à hauteur de Sakal ayant fait 22 morts ?’’, s’interroge le quotidien Bës Bi.
‘’Il a survécu, en tout cas, à d’autres situations pour le moins rocambolesques et intenables. C’est le cas de la gestion de l’acquisition du riz en plein covid et, récemment du rapport de la Cour des comptes qui réclame des poursuites judiciaires contre son Dage. Il n’est peut-être pas le responsable direct de l’accident meurtrier de Sikilo et ses 42 morts finalement. Mais le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement est un cas qui ne laisse pas indifférent. La comparaison a été faite avec Abdoulaye Diouf Sarr d’ailleurs qui a perdu en mai 2022 son poste après la mort des 11 bébés au service de néonatalogie de l’hôpital de Tivaouane’’, écrit le journal.
KEEMTAAN GI - DEFILES SUR DES TAPIS ROUGE-SANG !
42 morts il y a une semaine à Sikilo devenue tristement célèbre, et 22 morts à Sakal. La liste macabre pourrait bien se poursuivre et s’allonger sur nos routes si l’Etat ne montre passa toute-puissance face à des transporteurs qui semblent lui dicter leurs lois. Et dans un pays où le Chef refuse de se prononcer sur une éventuelle candidature pour ne pas perdre de son autorité, celle-ci est bien en train d’être chahutée par le syndicat des chauffeurs et transporteurs qui s’oppose à des mesures censées rendre nos routes moins mortelles. Un pays où l’autorité est justement en vacances. Tous ces gens qui veulent jouir aussi longtemps que possible de privilèges qu’ils ne veulent pas laisser à des aventuriers, tous ces messieurs et dames donc sont en campagne pour faire valider un troisième mandat ¬ — pardon, un deuxième quinquennat ! — qui n’existe que dans leurs têtes de pyromanes. Plutôt que de travailler, ils sont tous mobilisés pour forcer la main à leur Champion qui n’est nullement sourd à leur invitation. Le beau-frère, oubliant les casseroles qu’il traine et sa série macabre qui le poursuit, livre sa science et soutient que ce n’est plus « ni oui ni non », mais « oui-oui ». Etant dans le secret de la famille, ce qu’il dit à propos du troisième mandat est parole d’Evangile ! Lui et les gens de son camp, personne ne pourra se dresser sur leur chemin. Quitte à marcher sur des cadavres, leur champion sera candidat à la présidentielle de 2024. Le week-end dernier, tous ces séditieux étaient dans une indécente campagne, déroulant meeting sur meeting, initiant des marches sans que ça importune le moins du monde ces messieurs de l’administration territoriale qui ne sortent leurs arrêtés d’interdiction que lorsqu’il s’agit de manifestations de l’opposition. A Louga, un ministre a mobilisé joyeusement oubliant la douleur des familles des victimes de l’accident de Sikilo dont certaines n’avaient pas fini d’enterrer leurs morts. Un ministre il est vrai épinglé dans le rapport de la Cour des comptes et qui a donc beaucoup à se faire pardonner ! Une indécente mobilisation parrainée par le Chef en route vers un foyer religieux. Et c’est dans cet air de campagne que le pays continuera à vivre tout le long de l’année 2023. Du moins tant que le Chef n’aura pas sifflé la fin de la récréation… KACCOOR BI - LE TEMOIN
FRANCE-SENEGAL: MACKY SALL NE RECEVRA PAS MARINE LE PEN EN VISITE A DAKAR
La cheffe de file du Rassemblement National (RN), Marine Le Pen, séjourne depuis hier à Dakar pour une durée de trois jours. Cette visite a été annoncée par la député française comme procédant de sa volonté de soigner sa stature internationale et de présenter sa vision d’un « co-développement euro-africain » qu’elle tente de tisser depuis plusieurs années. Marine Le Pen veut faire de la France et du Sénégal « les deux moteurs d’une relation de confiance retrouvée entre l’Europe et l’Afrique ». Un projet ambitieux, préparé de longue date, qui vise notamment à entretenir sa stature présidentielle. A travers une tribune publiée ce lundi dans L’Opinion concernant les contours de sa visite au Sénégal, Marine Le Pen détaille ses ambitions : redorer une relation parfois tumultueuse entre le Sénégal et la France, afin de «peser ensemble, à l’OMC comme dans les négociations de bloc à bloc, pour réussir cette conciliation complexe de l’équilibre des sociétés avec les exigences d’une croissance soutenable ». À ce titre, la responsable politique évoquera la sécurité alimentaire, la santé, et surtout l’industrialisation de l’Afrique. Pour ce faire, le choix du Sénégal n’a rien d’un hasard. Alors qu’elle avait recueilli 6,09 % des suffrages des ressortissants français au Sénégal, à l’occasion du premier tour de la présidentielle de 2022, Marine Le Pen entend bien s’inscrire dans la continuité de la «conquête» de ce pays pour lequel elle avait appelé, entre les deux tours, à ce qu’un siège permanent au Conseil de sécurité des Nations unies lui soit attribué. Seulement Marine Le Pen qui a calé une possibilité de rencontrer le président du Sénégal, Macky Sall, pour son tout premier périple en Afrique de l’Ouest va déchanter. Des sources au Palais démentent toute audience entre le président Macky Sall et Marine Le Pen. Elles n’ont pas cependant avancé les motifs de cette position du président de la République. Certainement au niveau du Palais, on sait qu’une audience accordée à Marine Le Pen qui défend des positions nationalistes et racistes contre les émigrés pourrait déboucher sur un scandale dont le président pourrait vraiment se passer. Marine Le Pen repartira de Dakar sans voir le président Macky Sall.
RECITAL CORAN
En hommage à Cheikh Ngaido Ba, un récital du Coran sera fait ce mardi matin à partir de 09 heures à la mosquée khadrya sise à la rue Félix Faure angle avenue Lamine Guèye, en face de l’Office des Anciens combattants. Le récital est organisé à l’initiative de Soudiata Abass Ba, fils de Ngaido, et aussi de plusieurs amis du défunt cinéaste.
DRAME DE SAKAL:L’INDIGNATION DU PRESIDENT DE L’ASSEMBLEE NATIONALE, DR AMADOU MAME DIOP
Le président de l’Assemblée nationale, Dr Amadou Mame Diop, n’a pas caché sa tristesse suite à l’accident mortel de Sakal qui a fait 22 morts ce lundi. « C’est avec une énorme tristesse que j’apprends la nouvelle tragédie de la route survenue vers Sakal ce matin. Au nom de l’Assemblée nationale et en mon nom propre, j’exprime ma compassion aux familles endeuillées. Je prie pour le repos de l’âme des disparus et le prompt rétablissement des blessés » a écrit la deuxième personnalité de l’Etat. Dr Amadou Mame Diop d’ajouter que « le décès d’une vingtaine de personnes et les nombreux blessés que cet accident a causés, à peine une semaine après le drame de Sikilo, nous interpelle tous. Nous devons, aux côtés des autorités publiques, jouer tous notre partition dans la sauvegarde de la sécurité des citoyens sur nos routes ».
KEDOUGOU : UN MORT ENREGISTRE APRES L’ACCIDENT DE SILING
Une des dix victimes de l’accident de la route survenu dimanche dans la soirée, à Siling, un village de la commune de Bandafassi (Kédougou, Est), est décédée après son évacuation à l’hôpital régional de Tambacounda, a appris l’APS, de source sécuritaire. Elle faisait partie de trois des victimes ayant été grièvement blessées dans cet accident qui a impliqué deux véhicules sur un axe menant vers la République de Guinée, a expliqué un responsable de la brigade régionale des sapeurs-pompiers de Kédougou, informe l’Aps. Le drame est survenu après que l’un des véhicules en provenance de Bandafassi, roulant à toute vitesse, a heurté une voiture stationnée au bord de la chaussée. Les dix victimes ont été évacuées vers les centres hospitaliers de Kédougou et de Tambacounda.
PALAIS DE JUSTICE : OUTHMAN DIAGNE, PAPITO KARA DE LA ‘ ’MAFIA KACC KACC’’ ET FADILOU KEITA DE PASTEF SONT LIBRES
Le dégel au niveau de la justice continue. Après les libérations de Pape Alé Niang, Karim Xrum Xaxx et Cheikh Oumar Diagne, deux autres activistes et un responsable de Pastef ont recouvré hier la liberté. Ibra Guèye, Papito Kara, Outhman Diagne et Fadilou Keita ont bénéficié, ce lundi, d’une liberté provisoire assortie d’un contrôle judiciaire allégé. L’information émane de l’avocat des deux activistes. Me Koureyssi Bâ l’a fait savoir à travers un post sur sa page Facebook. « Le juge du 2ème cabinet Mamadou Seck vient de signer la mainlevée des mandats de dépôt de Ibra Guèye, Papito Kara et Outhman Diagne, placés sous contrôle judiciaire allégé (émargements seulement)», a écrit le conseil. Sous mandat de dépôt depuis plus de 5 mois, ces derniers, membres de la «mafia Kacc Kacc» ont été arrêtés pour «diffusion de fausses nouvelles, effacement, modification, fabrication et introduction de données informatiques». Il leur est reproché d’avoir détourné des unes de journaux dont L’Observateur. Fadilou Keïta, membre de Pastef et non moins coordonnateur du Nemmeeku Tour du leader de ce parti, est libre. Il a été arrêté le mercredi 7 décembre 2022 sur ordre du procureur. Membre du cabinet du leader de Pastef et fils de l’ancienne présidente de l’Office national de lutte contre la corruption (Ofnac), Nafy Ngom Keita, Fadilou Keïta était poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles. On lui reprochait d’avoir accusé sans preuve à travers une publication sur sa page Facebook l’Etat dans la disparition du gendarme Didier Badji et son ami membre du renseignement militaire, le sergent Fulbert Sambou dont le corps sans vie a été repêché près des falaises du Cap Manuel.
GREVE DES TRANSPORTEURS : L’AFTU ET DAKAR DEM DIKK NE SERONT PAS PARTANTS
La grève illimitée à laquelle appellent les transporteurs à partir de ce mardi pourrait ne pas connaître le succès attendu. Pour cause, deux gros acteurs notamment la société publique Dakar Dem Dikk et surtout l’Association de financement du transport urbain (AFTU) se démarquent du mot d’ordre lancé samedi par les syndicats contrôlés par Gora Khouma, SG de l’Union des transporteurs routiers du Sénégal, et Alassane Ndoye, SG du Syndicat national des travailleurs du transport routier du Sénégal (SNTTRS). « Nous nous sommes réunis ce samedi pour annoncer ensemble une grève illimitée à partir de ce 17 janvier à minuit. A partir de cette date, nous voulons qu’aucune voiture de transport de marchandises ou de transport en commun ne se mette en route » disait Alassane Ndoye. Il ne pourra pas compter sur Dakar Dem Dikk dont les travailleurs ont indiqué clairement hier au cours d’une rencontre avec la presse qu’ils vont rouler ce mardi. Ils exigent néanmoins que l’Etat prenne les mesures de sécurité idoines pour éviter le saccage de leurs véhicules. L’AFTU, le premier réseau de transport en commun par minibus appelés Tata, ne prendra pas part non plus à cette grève. « Nous sommes une fédération nationale qui couvre tout le territoire national. C’est nous les opérateurs qui avons financé et recruté des chauffeurs. Nous vous informons que l’AFTU ne va pas en grève. Nous sommes ouverts au dialogue » a indiqué le premier vice-président de l’AFTU, Ndongo Fall, hier au cours d’un point de presse organisé par la Fédération nationale des transporteurs du Sénégal (FNTS). Selon Ndongo Fall, les transporteurs doivent prendre leurs responsabilités car un « syndicat ne peut pas parler et décider à la place d’AFTU. Surtout que le premier vice-président de l’AFTU s’est réjoui du fait que le Premier ministre et le ministre des Transports ont manifesté leur volonté de négocier sur les 22 mesures prises lors du conseil interministériel du 09 janvier suite à l’accident de Sikilo. Ndongo Fall a assuré que les négociations vont se poursuivre avec les autorités pour trouver des solutions aux points de désaccord. Ce qui a poussé les transporteurs de Alassane Ndoye et Gora Khouma à se radicaliser, c’est la décision des autorités d’interdire le transport interurbain des voyageurs entre 23h et 5h, et aussi les porte-bagages, la limitation à dix ans de la durée d’exploitation des véhicules de transport de personnes et à quinze ans de celle des véhicules de transport de marchandises.
SALY : UN PERE DE FAMILLE SE PEND A CAUSE DE SA FEMME.
C’est une histoire rocambolesque qui secoue la ville touristique de Saly Portudal. Un couple vivant au quartier Diacksao est désormais sous les projecteurs. Selon des sources de Dakaractu, A. S s’est donné la mort parce qu’il ne pouvait plus supporter les agissements de sa femme. Celle-ci, d’après les mêmes sources, passait son temps à dire à qui voulait l’entendre qu’elle n’aimait pas son mari et ne considérait même pas qu’elle était en couple. Ayant subi un tel affront pendant 3 ans, son amour propre complètement bafoué, A. S fini par se pendre sur le chemin de la mosquée après la prière du Fadiar (l’aube)...