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21 septembre 2025
CHRONIQUE D’UN GRAND DÉSORDRE
En attendant la réception du BRT et du TER entre autres, les usagers vivent le calvaire à cause des problèmes de mobilité urbaine au niveau du passage incontournable de Keur Massar
Pour améliorer la mobilité urbaine dans le département de Keur Massar, le gouvernement du Sénégal a démarré le projet de réalisation de l’autopont du rond-point de Keur Massar, afin de rendre plus fluide la circulation, voire la mobilité urbaine, et participer grandement à la résolution des embouteillages et bouchons monstres qui caractérisent cette grande intersection. Mais, en attendant la réception de l’ouvrage dont les travaux lancés en mars 2021 peinent encore à prendre forme, les usagers et populations vivent le calvaire à cause des problèmes de mobilité urbaine à niveau de ce passage incontournable à Keur Massar. Un désordre poussant piétons, marchands et automobilistes à se partager la chaussée et les trottoirs.
De longues files de voitures qui s’étendent de la forêt classée au rond-point de la station et même au-delà à celui du marché. Des bouchons infernaux au niveau des intersections et sorties des ruelles qui servent de déviation et qui causent du tournis aux camions, bus et autres véhicules longs. Marcher des kilomètres jusque vers la gare routière pour prendre une voiture de transport en commun, si l’on ne veut arriver en retard à destination, pour le travail et autres rendez-vous à Dakar, à cause des nombreux embouteillages constatés un peu partout pour sortir de Keur Massar notamment sur l’axe menant du Terminus P11 au rond-point. Ou de la forêt classée jusqu’après la station, au risque des agressions récurrentes le soir. Des cantines et magasins longeant la voie principale qui débordent.
Des marchands ambulants, des tabliers, piétons et autres usagers de la route qui se partagent la chaussée et ce qu’il reste des trottoirs avec les automobilistes, charretiers et engins de l’entreprise en charge du chantier de l’autopont en construction. C’est le calvaire quotidien des populations qui entrent et sortent de Keur Massar, résidents comme visiteurs. Cette «misère» est vécue tous les jours et en toutes heures, même tard dans la nuit. Keur Massar ! Nouvellement érigée en département, la localité est en pleine essor de développement.
Pour en faire une ville «moderne», le gouvernement du Sénégal y a lancé, entre autres, le projet de construction d’un autopont, pour abréger les souffrances des usagers au niveau du rondpoint de la commune. Cet autopont est en construction sur les deux voies ralliant Jaxaay à la route des Niayes et Malika. Cela dans le cadre du programme d’amélioration de la mobilité urbaine comprenant la réalisation de 18 ponts et autoponts. En effet, une fois achevé, cet autopont devrait participer à rendre plus fluide la circulation, voire la mobilité interurbaine, à Keur Massar.
PIETONS, MARCHANDS ET AUTOMOBILISTES SE DISPUTENT LA CHAUSSEE ET LES TROTTOIRS
Mais en attendant, depuis le démarrage des travaux de ce grand ouvrage lancés en mars 2021, la circulation et la mobilité urbaine ou interurbaine sont devenues un casse-tête pour les usagers de la localité. Bref, au rond-point de Keur Massar, où circuler librement était alors très difficile aux heures de pointe, la situation l’est encore plus avec les travaux de l’autopont en construction. Toutes les issues sont bloquées notamment les deux voies qui mènent vers Mbeubeuss, Malika et celles de Jaaxay. A cause des travaux, l’entreprise en charge de l’exécution ce projet d’autopont a mis des barrières des deux côtes des voies pour sécuriser les chantiers et laissant une voie au milieu des barrières pour des voitures qui vont vers Tivaouane Peulh, entre autres. Et sur les deux voies des deux côtés cités, c’est de petites ruelles qui sont laissés pour les piétions et que des motocyclistes, commerçants/tabliers, vendeurs d’eau, marchands ambulants partagent avec ces usagers. Par exemple dans ces petites ruelles, difficiles de passer en groupe.
Pour y passer, les gens sont obligés de marcher en alternant les positions de profil et normale, de «céder le passage» ou de se mettre en file indienne. Ce qui permet parfois de circuler sans blocage, d’autant plus que les petits commerces y sont installés. Parce que n’ayant pas où mettre leurs tables, ils occupent les trottoirs et autres espaces dédiés aux piétons pour mener à bien leurs activités. Du coup, les gens, ne sachant par où passer et quelle voie emprunter, sont obligés soit de partager la chaussée ou de se faufiler entre les voitures pour passer, les énormes bouchons aidant. Ce qui n’est pas sans dangereux ces derniers.
LES BONHOMMES DE L’AGEROUTE SOUVENT DEBORDES PAR L’INDISCIPLINE D’AUTOMOBILISTES
Alors que ces travaux de l’autopont étaient censés améliorer la mobilité urbaine dans cette commune nouvellement érigée en département, les bouchons au rond-point de Keur Massar ne font que créer des situations inhabituelles et incommodes. Par ailleurs, certains automobilistes qui ont du mal à stationner, se replient à la station d’essence jouxtant le rond-point pour descendre des passagers ou tourner. Ainsi, ils bloquent les autres automobilistes qui veulent faire le plein (de leur voiture). L’agent de Sécurité de la station tente souvent de les en empêcher, mais sans succès. Quid de l’indiscipline notoire de certains chauffeurs de Tata, minicars et clandos ?
En l’absence d’un gendarme sur place, ils passent outres les consignes des bonhommes de l’Ageroute préposés à aider à réguler la circulation. Surtout au niveau des entrées et sorties des déviations et intersections. Aussi des minicars à destination de Tivaouane Peulh, Niague, Lac Rose, Sangalkam et des clandos qui stationnent en face de la station d’essence et de l’église ne facilitent pas la tâche aux agents de la circulation. Même si la foire érigé sur l’emprise de la route à ce niveau, juste à l’entrée du marché principal, vient de rompre il y a moins d’une semaine. Elle y est créée chaque année souvent en période de Ramadan jusqu’après la Tabaski ou durant Noël et les fête de fin d’année par exemple, par la mairie, au grand dam des commerçants du marché. Pourtant, le but de la réalisation de cette infrastructure, c’est de participer grandement à la résolution des embouteillages et des bouchons monstres qui caractérisent cette grande intersection qu’est le rond-point de Keur Massar.
PRESIDENTIELLE DE LA FSF, SAMBA SARR DECEDE APRES DES ECHAUFFOUREES A PIKINE
Dans le cadre de l’élection à la présidence de la FSF, la visite du candidat sortant, Augustin Senghor, venu à Pikine pour rencontrer les acteurs, a finalement virée à la tragédie.
Dans le cadre de l’élection à la présidence de la FSF, la visite du candidat sortant, Augustin Senghor, venu à Pikine pour rencontrer les acteurs, a finalement virée à la tragédie.
Selon wiwsport.com, le président du district, Samba Sarr, a succombé à la suite des échauffourées. Contre le consensus mis en place par les quatre candidats au départ, Augustin Senghor, Mbaye Diouf Dia, Mady Touré et Saer Dièye Seck, il (Samba Sarr) aurait été interdit l’accès à la salle de réunion.
Un geste qui lui aurait fait piquer une crise cardiaque jusqu’à ce qu’il succombe de sa douleur. Après cette triste nouvelle, Me Augustin Senghor, a réagi en présentant ses condoléances à la famille de Samba Sarr, aux membres de son club de l’ASC Thiossane et au district de Pikine. «C’est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris ce samedi 31 juillet, le rappel à Dieu de Samba Sarr, ancien Président du District de Football de Pikine des suites d’un malaise.
En cette douloureuse circonstance, la Fédération Sénégalaise de Football s’incline devant la mémoire de ce vaillant serviteur du Football Pikinois et sénégalais et présente ses condoléances les plus attristées à sa famille, aux membres de son club de l’ASC Thiossane et au district de Pikine.
Que le Tout Puissant l’accueille dans son Paradis !», a-t-il publié.
Bouyouye (Oussouye), 2 août (APS) – La région de Ziguinchor (sud) a enregistré une hausse de plus de 260 000 plants d’arbres produits en 2020 dans le but de sauver les principaux bastions forestiers de la partie sud du pays, a déclaré dimanche à Bouyouye (Oussouye) colonel Babacar Dione, inspecteur régional des eaux forêts.
’’Nous avons eu en 2020 une production de 590 910 plants toutes espèces confondues qui ont été ont été produits au niveau de 226 pépinières au plan régional. Il y a une hausse de 267 364 plants par rapport en 2019’’, a dit M. Dione.
Il intervenait au cours de la cérémonie de célébration de la Journée nationale de l’arbre à Bouyouye, un village de la commune de Djembéring dans le département d’Oussouye.
Présidée par l’adjointe au gouverneur de Ziguinchor en charge du Développement, cette journée a réuni plusieurs élus territoriaux, des autorités coutumières comme le Roi de Bouyouye, des responsables d’organisation de jeunes et de femmes et des acteurs de l’environnement.
Faisant le bilan des activités de reboisement de l’année écoulée, l’inspecteur régional es eaux et forêts de Ziguinchor, a fait noter que ’’dans les trois départements, des hausses en termes de plants et de pépinières ont été réalisés’’.
’’Il y a un réel engouement des populations dans la production des plants. Nous avons noté que les plantations villageoises, scolaires, les plantations des délimitations de champs et celles conservation comme la mangrove ont été déterminantes cette année’’, a poursuivi Colonel Babacar Dione.
Axée sur le thème ’’La restauration des terres, sources d’emplois et de sécurité alimentaire’’, cette38ème édition de la journée nationale a comme arbre parrain, le Caïlcéderat.
Les autorités ont beaucoup insisté sur les vertus de cette espèce quant à la restauration de la biodiversité.
’’Il y a une régression du couvert végétal entrainé par les feux de brousse, les coupes abusives de bois, le trafic de bois, les défrichissements incontrolés et abusifs, la carbonisation clandestine. C’est pourquoi, nous avons choisi le Caïlcéderat pour contribuer à l’amélioration de la fertilité des sol, la lutte contre l’érosion et la fixation du sol’’, a plaidé l’adjointe au gouverneur Safiétou Josphine Dieng
Dakar, 2 août (APS) – Les quotidiens reçus lundi à l’APS s’inquiètent du nombre de décès liés au nouveau coronavirus sous l’effet du très contagieux variant Delta.
Le quotidien Source A note que ’’la pandémie du coroanvirus continue de dicter sa loi dans le pays avec un bilan macabre qui s’allonge’’.
Le ministère de la Santé et de l’Action sociale a déclaré dimanche un bilan journalier de 712 nouvelles contaminations de Covid-19 et 14 décès liés à l’épidémie.
Depuis le début de l’épidémie sur son territoire, le 2 mars 2020, le Sénégal a officiellement déclaré 63.002 cas positifs au nouveau coronavirus. 47.579 ont depuis recouvré la santé, 1.367 sont décédés et 14.055 sont encore sous traitement.
Kritik signale que ’’Delta fait 34 morts’’ durant le week-end.
C’est ’’l’hécatombe’’ en 48heures, souligne Vox Populi, notant qu’à la date d’hier, dimanche, 76 malades luttaient contre la mort réanimation.
Parlant des ’’ravages du delta’’, Walfadjri s’exclame à la Une : ‘’86 décès en une semaine !’’. Selon le journal, ‘’la courbe des décès liés au coronavirus ne cesse de grimper’’.
’’Delta plus meutrier que jamais’’’, constate également Enquête, soulignant que ‘’l’inquiétude qui se confirme est le dépassement du nombre de personnes testées positives dans la capitale, épicentre de la pandémie, par celui des autres malades confirmés dans les autres régions’’.
Le journal s’intéresse à la prise en charge de la Covid-19 dans les régions et affiche à la Une : ‘’la galère intérieure’’. ‘’Explosion des cas à Matam, les CTE au bord de l’implosion. Malgré ses 29 000 Km2, Matam ne dispose que d’un seul médecin réanimateur. Thiès fait front malgré l’augmentation des cas ; Diourbel à l’épreuve du déni’’, note la publication.
Le Quotidien évoque la vente de matériel des CTE à des privés et titre : ‘’L’autre vague’’. ’’Devant le +jury du dimanche+ d’Iradio, le patron de Suma Assistance, Dr Babacar Niang, a confirmé les informations du journal Le Quotidien relatives au business autour des respirateurs artificiels et des unités de production d’oxygène issus des CTE démantelés à la fin de la deuxième vague de Covid-19’’.
Selon lui, ’’du matériel du public est vendu aux structures sanitaires du privé’’.
Le Soleil s’intéresse à l’hypertension intercranienne, ’’une maladie à haut risque’’. ’’Une affection qui peut évoluer vite des vers complications graves, telles que l’AVC’’, explique le journal.
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DR BABACAR NIANG FAIT DE GRAVES RÉVÉLATIONS
Le Médecin-Chef de Suma Assistance et membre de l’Ordre des médecins est catégorique : "du matériel du public est vendu aux structures sanitaires du privé."
Interpellé sur le démantèlement présumé des Centres de traitement des épidémies (CTE), Dr Babacar Niang a fait de graves révélations, devant le Jury du dimanche (JDD), ce 1 août. Le Médecin-Chef de Suma Assistance et membre de l’Ordre des médecins est catégorique : "du matériel du public est vendu aux structures sanitaires du privé." "La maison Keur Serigne Mboup bi et d’autres revendeurs qui ont pignon sur rue, te sortent tout le matériel que tu veux. Ce n’est pas normal. Tout ministre de la Santé qui vient, la première recommandation qu’on lui fait, c’est de ne pas soulever ce lièvre. On achète par des revendeurs qui sont agréés. Il y a d’autres même qu’on voit, c’est des bricoleurs. Même eux, ils ont le formulaire. (Pour) les gants de protection, actuellement, si vous ne mettez pas 7 000 F CFA, vous n’avez pas une paire."
Conflit d’intérêts d’un médecin officiant dans le public et dans le privé
Poursuivant, il ajoute : "on est les plus grands perdants, nous qui sommes installés que dans le privé. Puisque déjà, ils recrutent à l’hôpital. ’’Je dois vous opérer, je n’ai pas le temps à l’hôpital, venez avec moi dans ma structure’’. C’est des choses qui ont été anormales pendant longtemps. Au ministère de la Santé, quand vous commencez à travailler là-bas, il y a une caisse, et vous recevez votre part tous les mois. Ça part de là-bas : on te fait une commande de deux milliards F CFA, tu amènes 100 appareils, on t’en prend dix, on te rend les 90. Qu’est-ce que vous allez faire de ces 90 appareils ?"
Par rapport aux médecins officiant dans le public et dans le privé, il a reconnu que "c’est encadré légalement. Parce qu’une loi leur permet, à partir de 16 heures, de faire la médecine privée." Mais "dans les faits, il y a des abus, a-t-il relevé pour s’en désoler. Car, "il y a des publics qui font même leur privé dans l’hôpital. Nos amis Français ou Burkinabés, quand ils viennent au Sénégal, c’est tout un tas d’histoires. ’’Professeur, on m’a soigné dans un hôpital, je ne vous paie pas’’. Mais le Sénégalais, lui, il est habitué. Il a toujours l’argent pour le payer", a-t-il appuyé.
"L’oxygène vendu aux malades en détresse"
Du coup, on est loin de la "complémentarité" qui devrait exister entre les établissements publics et le secteur privé : "on a des réunions qu’ils appellent leur secteur privé. Quand on y va, on a plus de public que de privé. Des bailleurs de fonds disent qu’ils ont déjà trop donné à l’État", a, par ailleurs, dévoilé le spécialiste des Urgences. Comment le secteur privé est associé à la stratégie de riposte ? "On a jamais été associé. On n’a même été éloigné. Derrière l’argent, le diable se réveille. Quand cela ne va pas maintenant, on nous dit ’’venez-vous regrouper, on va vous aider’’. Mais nous, on n’a pas besoin d’aide, c’est la population sénégalaise qui en a besoin. Je vous dis qu’il y a des malades qui payaient 900 000 F CFA d’oxygène pendant leur hospitalisation." A l’en croire, c’est quand il a proposé que l’oxygène soit subventionnée par l’État, qu’on lui a dit ’’tu es privé, tais-toi. (D’abord), on n’a pas à te donner de l’oxygène pour tes malades’’. C’est là aussi que j’ai dit si vous baissez l’oxygène, je baisse la facturation. Pendant ce temps-là, vous entendez ce qui se passe actuellement parce qu’il y a un gros débat entre le Pr Seydi et les organisations, on dit que l’oxygène est en tension."
SAINT-LOUIS : LE NOUVEAU GOUVERNEUR OFFICIELLEMENT INSTALLÉ
Saint-Louis, 1er août (APS) - Le ministre de l’Intérieur, Antoine Felix Abdoulaye Diome, a installé, samedi, Alioune Badara Samb, dans ses nouvelles fonctions de gouverneur de la région de Saint-Louis (nord), a constaté l’APS.
Le nouveau gouverneur de Saint-Louis, un ancien du département éponyme, s’est engagé à remplir sa mission en collaboration avec les populations.
En marge de la cérémonie, le ministre de l’Intérieur a pu constater le démarrage des activités de la commission locale chargée de la révison exeptionnelle des listes électorales.
Thiès, 1 er août (APS) - Sidy Koovi Godjo, alias King Mic, rappeur et élève au lycée technique de Thiès, a annoncé à l’APS la sortie officielle, le 7 août, de son premier album de 18 titres intitulé ’’beut ak lamigne’’ ((l’oeil et la langue, en wolof).
Il aborde des thèmes religieux, métaphysiques, éducatifs, sociétaux, comme l’authenticité de la femme noire, la cohésion religieuse, la mort, l’universalisme, le chômage, la débrouille des mères au marché pour peu de gain, etc., a expliqué le rappeur à l’APS.
Parmi ses principaux messages, ’’l’importance de croire en Dieu, de garder ses valeurs’’, mais aussi de ’’croire en ses rêves et d’aller jusqu’au bout’’.
Cet album s’inscrit dans la continuité de huit premiers titres, qu’il avait sortis en 2018, année où il avait obtenu son bac, et qui avaient été, selon lui, ’’appréciés’’ par le public.
’’L’oeil et la langue sont deux choses dont il faut se méfier, parce qu’elles trahissent facilement’’, dit-il, en commentant le titre de sa production. Par eux, ’’on juge la personne sans la connaître’’.
D’abord danseur, le jeune qui réside au quartier Fahu, a piqué le virus du rap, en 2014, alors qu’il était en classe de seconde, auprès de son frère qui était aussi rappeur.
Agé de 26 ans, l’élève inscrit en première année de froid industriel au Lycée technique de Thiès, combine à la fois le rap, le métier de frigoriste auquel son frère aîné l’a initié depuis la classe de CM2, et qui lui permet de financer sa production musicale et les études, qu’il privilégie par dessus tout.
’’Pour l’instant, je me concentre surtout sur les études. Les études avant tout’’, insiste King Mic qui se veut un artiste ’’engagé pour la cause des opprimés’’.
Né à Thiès d’un père béninois et d’une mère malienne, le jeune rappeur qui revendique fièrement sa culture sénégalaise, compte visiter les pays d’origine de ses parents.