UN HOMMAGE NATIONAL A MAHTAR MBOW
Hier, en Conseil des ministres, le Président de la République s’est incliné devant la mémoire du Pr Amadou Mahtar MBOW. Le Président Bassirou Diomaye Faye a rendu un hommage à l’Enseignant hors pair, à l’ancien Ministre de l’Education, de la Culture et de la Jeunesse, à l’ancien Député et, surtout, à l’ancien Directeur général de l’UNESCO. Il a salué le parcours exceptionnel de ce grand commis de l’Etat qui a brillamment servi son pays et fortement contribué au développement du système éducatif national, à la promotion du vivre ensemble et au rayonnement international du Sénégal. Dans cet élan, le Chef de l’Etat a demandé aux Ministres en charge de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Culture de préparer un hommage national à cet illustre compatriote dont les écrits et l’engagement patriotique et panafricain doivent être vulgarisés auprès des jeunes générations d’élèves et d’étudiants à travers l’expression culturelle et les contenus d’enseignement.
FINANCES PUBLIQUES DIOMAYE SOUTIENT SON PM…
Revenant sur la situation des finances publiques, le Chef de l’Etat a félicité le Premier Ministre et l’ensemble du Gouvernement pour la présentation de l’état des lieux exhaustif des finances publiques. Parlant du lourd héritage du régime précédent, des constats d’écarts remarquables sur les statistiques des finances publiques et leurs conséquences directes sur la gouvernance publique et les engagements présents et futurs de l’Etat, le Président de la République a invité le Premier Ministre à prendre, sans délai, les mesures impératives de redressement pour accélérer le retour rapide à l’orthodoxie budgétaire, financière et comptable conformément à la Constitution et aux textes législatifs et réglementaires en la matière.
…QUI INTERPELLE SON MINISTRE DU BUDGET
Le Premier Ministre est d’ailleurs revenu sur la situation de référence des finances publiques dévoilée lors du point de presse qu’il a tenu le jeudi 26 septembre 2024. Selon lui, cet exercice illustre la détermination de Monsieur le Président de la République pour la transparence dans la gestion des affaires publiques. Ousmane Sonko s’est appesanti sur la priorité que représente, pour le Gouvernement, le rétablissement, dans des délais raisonnables, d’une saine gestion des finances publiques, au regard de l’étendue des dérives ressorties de l’état des lieux de la gestion du régime sortant. A cet égard, il a demandé au Ministre des Finances et du Budget et au Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, de prendre les dispositions appropriées à cet effet, en relation notamment avec le Fonds monétaire international (FMI).
LE DOCUMENT DE POLITIQUE NATIONALE DE DEVELOPPEMENT PRESENTE LE 14 OCTOBRE AU CICAD
Restons au Conseil des ministres pour dire que, selon le président de la République, le document national de présentation et de planification des axes de notre politique économique et sociale va révéler et refléter les choix stratégiques et opérationnels devant asseoir la transformation systémique du Sénégal sur la période 2025-2050. Le Chef de l’Etat a félicité le Premier Ministre pour le pilotage abouti de la finalisation du nouveau référentiel de politique économique et sociale basé sur le Projet pour un Sénégal souverain, juste et prospère. Il s’est réjoui de la réussite de cet exercice délicat, inclusif et prospectif de refondation endogène de notre modèle de développement fondé sur les principes de patriotisme économique, de progrès social, de responsabilité et de redevabilité. Le président de la République a informé le Conseil qu’il présidera, le lundi 14 octobre 2024 au CICAD, la cérémonie de présentation et de vulgarisation du Document de Politique nationale de Développement, en présence du Gouvernement, du monde socio-économique et de l’ensemble des partenaires du Sénégal.
MEDIAS M. OUMAR NDIAYE AU CNRA, MOMAR DIONGUE A L’APS
Le fondateur et directeur de publication du Témoin, Mamadou Oumar Ndiaye, a été nommé président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA) en remplacement de Babacar Diagne qui vient de terminer un mandat unique de 6 ans. Un autre journaliste, notre confrère Momar Diongue en l’occurrence, a été nommé hier nouveau directeur général de l’Agence de presse sénégalaise. Le président Bassirou Diomaye Faye a bien pioché des hommes respectés par leurs pairs dans la profession journalistique.
INNOCENCE NTAP NDIAYE REMPLACEE PAR MAMADOU LAMINE DIANTE
Autre départ remarqué, c’est celui de la Présidente du Haut Conseil du dialogue social (HCDS), Mme Innocence Ntap Ndiaye. Figure de proue du régime du président Macky Sall, elle avait gardé encore son fauteuil après les départs de Amadou Mame Diop, Abdoulaye Daouda Diallo, Aminata Mbengue Ndiaye des têtes des institutions comme l’Assemblée nationale, le CESE et le HCCT. Mme Innocence Ntap Ndiaye est remplacée par le syndicaliste Mamadou Lamine Dianté qui s’est beaucoup singularisé dans le combat politique de Pastef.
SAER NIANG QUITTE L’ARCOP
Un autre départ qui fera date, c’est celui de Saer Niang de la tête de l’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP). Le maintien de Saer Niang à la tête de l’ARCOP continuait à faire débat. L’homme trônait à cette « station » depuis 2011 lorsqu’il avait remplacé l’ancien ministre de l’Equipement Youssoupha Sakho. Malgré la controverse, Saer Niang a toujours réussi à se maintenir à ce poste. Et même quand l’ARMP est devenue ARCOP, il est resté. D’ailleurs dans certains milieux d’affaires, on récusait les décisions prises par l’ARMP ou l’ARCOP car estimant que le maintien de Saer Niang violait la loi. Maintenant tout cela est de l’histoire ancienne puisque, après 13 à la tête de l’ARMP, puis de l’ARCOP, Saer Niang va céder son fauteuil à Monsieur Moustapha DJITTE, Magistrat.
NOMINATION DE M.O.N DES ANCIENS LAUREATS S’EN FELICITENT AUSSI !
C’est avec un immense plaisir que les membres de la rédaction du « Témoin » ont appris la nomination de leur directeur de publication Mamadou Oumar Ndiaye à la tête du Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel (Cnra). Il succède ainsi à Babacar Diagne qui a occupé cette fonction pendant six ans et dont le mandat a déjà pris fin. La décision a été prise, hier, en Conseil des ministres par le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye. A l’annonce de cette décision, tout le monde s’accorde à reconnaitre que le Chef de l’Etat a choisi l’homme qu’il faut à la place qu’il faut ! Ancien président de la commission communication du Sommet de l’Organisation de la coopération islamique (Oci) à Dakar en 2008, un événement couvert par plus de 600 journalistes venus du Sénégal et du monde entier, Mamadou Oumar, comme on l’appelle, capitalise des décennies d’expérience et de professionnalisme dans la presse où il n’a plus rien à prouver. Sauf d’aller, cette fois ci, régulariser l’audiovisuel. A cet effet, il a toutes les capacités professionnelles pour accomplir cette mission. « Le Témoin » souhaite plein succès à M.O.N dans ses nouvelles fonctions.
NOMINATION DE M.O.N DES ANCIENS LAUREATS S’EN FELICITENT AUSSI ! (BIS)
Dès l’annonce de la nomination de Mamadou Oumar Ndiaye comme Président du Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel (Cnra), le standard du quotidien « Le Témoin » a failli disjoncter. Les amis, fidèles lecteurs et annonceurs appelaient de partout pour féliciter M.O.N. Evidemment pour cette nomination qui sanctionne le mérite et l’abnégation. Dans le lot des félicitations et témoignages, des membres de l’Association des anciens lauréats du Concours général. « C’est toujours une fierté de voir un ancien lauréat comme Mamadou Oumar Ndiaye nommé à des postes de responsabilités étatiques » se réjouissent-ils.
AFFAIRE CHEIKH YÉRIM SECK LA CAP DENONCE UNE ATTEINTE A LA LIBERTE DE PRESSE ET APPELLE A LA LIBERATION DU JOURNALISTE
La Coordination des Associations de Presse (CAP) dit avoir appris, ce mardi, la convocation, l’audition puis la mise en position de garde à vue du journaliste Cheikh Yérim Seck qui est poursuivi, selon plusieurs médias, pour diffusion de fausses nouvelles et diffamation. L’audition du mis en cause a porté sur sa dernière émission à la 7 TV au cours de laquelle il a affirmé ne pas croire aux chiffres énoncés par le Gouvernement concernant la situation économique héritée de l’ancienne gestion. Le journaliste a confirmé ses propos étayés par les chiffres publiés sur le site du ministère des Finances et par le fait que, selon lui, si le Sénégal a pu lever des fonds sur le marché de l’Uemoa c’est parce qu’il respecte les critères de convergence, sur la dette et le déficit budgétaire. La CAP, après en avoir délibéré, rappelle que le Sénégal est un Etat de droit et qu’en conséquence les Libertés de presse et d’expression y sont consacrées par sa Charte Fondamentale. Elle appelle à la libération du journaliste Cheikh Yerim Seck qui est libre d’user de son doit à une libre expression.
LES 30 CORPS DE MIGRANTS ENTERRES HIER A YOFF
Les 30 corps de migrants retrouvés au large de Yoff par des pêcheurs ont été enterrés hier au cimentière de Yoff. Le 23 septembre dernier des pêcheurs du village de Yoff avaient découvert dans une pirogue à la dérive des migrants morts. Le décompte faisait état de 30 corps de migrants. La Marine nationale avait fait le déplacement pour ramener sur la terre ferme les corps des 30 migrants qui avaient ensuite été gardés à l’hôpital de Grand Yoff. Plusieurs sources s’accordent à dire que ces migrants venaient de Mbour où on avait signalé la disparition en mer d’une pirogue de 200 migrants.
L’AGENCE SENELEC DE OUAKAM EN FEU
Un incendie s’est déclaré hier matin, vers 11h30, dans les locaux de l’Agence Principale Commerciale de Ouakam, a rappelé la Senelec dans un communiqué. Selon l’entreprise, « l’incendie a été rapidement maîtrisé par les soldats du feu », ce qui, selon l’électricien national, a permis de limiter l’ampleur des dégâts, qui sont uniquement matériels. La Senelec a tenu à rassurer ses clients quant à la continuité de ses services et a annoncé que les opérations commerciales ne seront pas affectées par cet incident. « Senelec tient à rassurer la clientèle de la continuité du service notamment des opérations commerciales », peut-on lire dans la note reçue par la Rédaction.
UNE RENTREE, MILLE DEFIS
Les enseignants retrouveront le chemin de l’école ce jeudi 3 octobre tandis que les élèves s’y mettront le lundi 7 octobre prochain pour la rentrée scolaire 2024-2025. L’heure est aux préparatifs de l’ouverture.
Depuis des années, le système éducatif sénégalais souffre de plusieurs maux. Conscient de cela, le nouveau gouvernement veut une réforme profonde de l’école pour offrir un enseignement de qualité aux élèves et un cadre de travail adéquat pour les enseignants. Et pour la rentrée scolaire 2024-2025, des mesures allant dans ce sens ne manquent pas.
Les enseignants retrouveront le chemin de l’école ce jeudi 3 octobre tandis que les élèves s’y mettront le lundi 7 octobre prochain pour la rentrée scolaire 2024-2025. L’heure est aux préparatifs de l’ouverture. D’un côté, élèves et parents s’activent pour les inscriptions et autres fournitures, pendant que le personnel administratif mettra les bouchées doubles pour accueillir les élèves dans les meilleures conditions. Déficit d’enseignants, de salles de classe, de tables bancs, taux d’échec élevé, grèves syndicales, classes pléthoriques, abris provisoires, décrochage scolaire, programmes en « inadéquation avec les réalités nationales » : tel est le décor de l’école publique depuis quelques années. Parmi les causes, il y a aussi les crises socio-politiques. Celles qui ont secoué le Sénégal ces trois ou quatre dernières années, ont gravement perturbé les cours avec les fermetures d’établissements scolaires.
Comme conséquences de cette situation, les contre-performances s’enchainent. Des milliards investis dans le secteur de l’éducation n’ont toujours pas les résultats escomptés. 7145 abris provisoires recensés à travers le pays, un déficit de 48 696 salles de classe, un déficit de 207 103 tables bancs, 2 409 écoles sans latrines, un besoin de 4 527 enseignants, taux d’échec de 34% au CFEE, 26% au Bfem et 49% au Bac : tels sont les chiffres révélés lors de la réunion interministérielle sur la rentrée, tenue le 19 septembre dernier. Face à ces difficultés, rebâtir une nouvelle école est l’un des engagements phares du gouvernement. Il y a quelques semaines, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye a exprimé, lors d’un Conseil des ministres, sa volonté de rénover l’école sénégalaise pour mieux aligner le système éducatif avec les réalités et ambitions du pays.
Ce début d’année scolaire se déroule ainsi dans un contexte de défis importants pour les autorités qui ont engagé une transformation systémique de l’éducation nationale basée sur une nouvelle vision. C’est pourquoi des mesures sont prises pour offrir un enseignement de qualité aux élèves et un cadre de travail adéquat pour les enseignants. L’un des défis est aussi la résorption du déficit d’enseignants. Vendredi dernier, 28 septembre, le « ministère de l’Education nationale a remis les ordres de service de tous les enseignants sortants, aux Inspecteurs d’académie, en présence des Inspecteurs de l’Education et de la Formation, ce vendredi 28 septembre 2024 », informe un communiqué. Il s’agit de « 1500 maîtres pour les écoles préscolaires, élémentaires et daaras modernes et de 501 professeurs pour les lycées et collèges ». La même source de préciser que « le personnel était mis en place plusieurs semaines après la rentrée, ce qui empêchait la reprise effective des enseignements apprentissages, surtout dans les zones affectées par les nombreux départs occasionnés par le mouvement national de mutation des enseignants ». Selon le Men, « cette année, pour la première fois, les académies et les inspections de l’Education et de la Formation ont toutes reçu autant d’arrivées d’enseignants que de départs et parfois même plus ».
Cette rentrée va également marquer un tournant significatif avec l’introduction de l’anglais à l’élémentaire dès la rentrée scolaire. Même si cette décision est saluée par des acteurs de l’éducation, certains estiment qu’il faut des préalables pour y aller notamment en renforçant d’abord la formation des enseignants. D’autres défis sont aussi à relever pour une année scolaire apaisée. Même si le « MEN a réussi à traiter un passif significatif concernant leur carrière, y compris les arrêtés relatifs aux examens professionnels, les décisions de nominations, et les arrêtés de catégorisation », d’autres points sont à satisfaire pour les enseignants.
17 SITES D’ORPAILLAGE CLANDESTINS ET 6 ENTREPRISES DEMANTELES
La zone militaire N°4, a mené avec la Gendarmerie nationale et les parcs nationaux, une opération dénommée Nawetaan du 14 au 30 septembre 2024.
La zone militaire N°4, a mené avec la Gendarmerie nationale et les parcs nationaux, une opération dénommée Nawetaan du 14 au 30 septembre 2024.
La Direction de l’information et des relations publiques des armées (Dirpa) faisant le bilan de cette opération informe que dix-sept (17) sites d'orpaillage clandestins démantelés, six (6) entreprises d'exploitation minière suspendues pour non respects du décret interdisant les activités le long de la Falémé.
Des sites d’orpaillage clandestins ont été même démantelés dans le parc Niokolo-Kaba. Les Armées promettent de poursuivre et d’intensifier ces opérations qui visent à renforcer la sécurité aux frontières et soutenir les populations dans ces zones difficiles d'accès.
Pour rappel du 5 au 9 décembre, le Forum Civil, accompagné de journalistes, s’est déplacé dans la région de Kédougou pour vérifier l’effectivité du décret d’interdiction de l’orpaillage le long de la Falémé. Le constat sur le terrain était que les orpailleurs avait fait fi de la mesure étatique et continuant leurs activités.
Le 31 juillet 2024, le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, avait pris un décret interdisant les activités minières dans la zone de la Falémé. Ainsi, il est suspendu jusqu’au 30 juin, toute opération minière ou délivrance de titre minier autour du rive gauche de la Falémé sur un rayon de cinq cent (500) m.
DIOMAYE ANNONCE LA CREATION D’UN CONSEIL SUPERIEUR DE L’EDUCATION ET DE LA FORMATION
Afin d’assurer un meilleur pilotage et une coordination optimale des activités scolaires et universitaires, le Président de la République a décidé de la création d’un Conseil supérieur de l’Education et de la Formation
En Conseil des ministres hier, mercredi 2 octobre, le Président de la République Bassirou Diomaye Faye a annoncé la création d’un Conseil supérieur de l’Education et de la Formation. « Afin d’assurer un meilleur pilotage et une coordination optimale des activités scolaires et universitaires, le Président de la République a décidé de la création d’un Conseil supérieur de l’Education et de la Formation, organe de supervision logé à la Primature qui va assurer, avec la participation des acteurs impliqués, le suivi et l’évaluation systématique du Programme national de l’Education et de la Formation », lit-on dans le communiqué du Conseil des ministres.
En effet, les élèves reprennent le chemin de l’école ce lundi 7 octobre, ce après le personnel enseignant et administratif ce jeudi. Dans ce cadre, Bassirou Diomaye Faye a demandé au « gouvernement de prendre toutes les dispositions nécessaires, en relation avec les parties prenantes, pour, d’une part, accélérer la transformation consensuelle du système éducatif national et, d’autre part, garantir le bon déroulement de l’année scolaire et universitaire 2024-2025 ». Selon le communiqué, « il a souligné la nécessité de veiller au renforcement du dialogue social dans le système éducatif mais également à l’amélioration du cadre de vie dans les écoles ». Toujours au sujet de l’éducation,
Bassirou Diomaye Faye a invité le Gouvernement à « procéder au lancement, sans délai, d’un vaste programme de résorption des abris provisoires, de réhabilitation et de construction aux normes d’établissements scolaires ». Mieux, « il a indiqué l’impératif de finaliser le nouveau Programme national de l’Education et de la Formation en adéquation avec les valeurs historiques et culturelles de la Nation ».
Le Chef de l’Etat est aussi revenu sur l’importance de l’ouverture aux langues étrangères. « Au regard de la jeunesse de notre population, le Président de la République a insisté sur l’urgence de rebâtir notre modèle d’école publique autour du civisme, de la citoyenneté, de nos langues nationales et de l’ouverture aux langues étrangères universelles mais également à la préparation aux aptitudes scientifiques, techniques, technologiques et professionnelles de nos élèves face aux évolutions du monde contemporain », rapporte le communiqué.
Par Babacar MBAYE
SOMMET DE LA FRANCOPHONIE : RETOUR AUX SOURCES DE L’ESPERANCE
Les vendredi 4 et samedi 5 octobre prochains, le Président Bassirou Diomaye Faye se rendra en France pour prendre part au XIXe Sommet de la Francophonie que le pays de Marianne accueille pour la première fois depuis 1991.
Les vendredi 4 et samedi 5 octobre prochains, le Président Bassirou Diomaye Faye se rendra en France pour prendre part au XIXe Sommet de la Francophonie que le pays de Marianne accueille pour la première fois depuis 1991. En se retrouvant sur deux lieux, Paris et ensuite la commune de Villers-Cotterêts, les dirigeants francophones vont passer en revue l’état de la langue française et les enjeux actuels du monde.
Le choix de Villers-Cotterêts est symbolique car dans le château de la commune, est érigée la Cité internationale de la langue française, site culturel dédié à la révélation de « la langue française comme source de créativité et d'échanges, d’épanouissement intellectuel et esthétique, de plaisir et comme un levier d’insertion sociale, économique et citoyenne ».
Dans le château de Villers-Cotterêts, ancien palais de François 1er, le roi a signé en 1539 l’ordonnance érigeant l'usage du français dans les actes administratifs et judiciaires en France.
L’histoire devrait alors ériger les leaders qui s’y retrouveront pour penser l’avenir de l’humanité, en proie à des crises protéiformes et à des mouvements et dynamiques, notamment au sein de la jeunesse des pays membres.
Pour ce sommet des chefs d’État et de gouvernement, les dirigeants vont plancher sur le thème suivant : « Cŕeer, innover et entreprendre en français pour l’emploi des jeunes », et ils auront certainement ̀a cœur d’apprécier les opportunités qu’offre l’espace francophone, notamment au bénéfice de la jeunesse. Cette jeunesse dont le réservoir se trouve en Afrique fait face à des défis colossaux en termes d’emploi, d’inclusion sociale, de mobilité et d’accès aux opportunités du numérique et de l’intelligence artificielle.
Il est indéniable que l’avenir de la jeunesse francophone se situe en Afrique. La croissance démographique est un indicateur important pour mesurer le poids du continent dans les prochaines décennies et dans le cycle des échanges économiques et sociaux. La population francophone africaine va passer de 321 millions d’habitants aujourd’huì a 715 millions d’habitants d’ici 2050. Cette population qui sera en majorité jeune inspire aux décideurs qui se retrouveront en France de vrais défis générationnels, liés notamment au climat, au numérique, à l’IA et à la paix et la sécurité.
L’OIF est un cadre important pour la diplomatie multilatérale. Elle a un rôle majeur à jouer pour relever les défis de la paix, la sécurité, les migrations et l’urgence climatique. Le continent africain, qui accueille la plus forte densité de populations francophones, fait face à des défis démocratiques et sécuritaires importants. Au Sahel, les juntes qui ont pris le pouvoir virent vers un autoritarisme sans précédent et ferment tous les espaces de respiration démocratique. Elles se maintiennent au pouvoir, refusent d’organiser des élections et emprisonnent et harcèlent journalistes et membres de la société civile.
Ces juntes n’arrivent pas non plus à annihiler les groupes armés qui sévissent dans la région et provoquent des milliers de morts civils et militaires. En RDC, grand pays francophone, la guerre civile est persistante, et aucune solution proche n’est envisagée. C’est dans ce cadre qu'un huis clos des chefs d’État et de gouvernement est prévu sur le thème : « Pour un multilatéralisme renouvelé ». Depuis la Déclaration de Bamako de 2003, l’OIF s’est dotée d’un cadre normatif sur la démocratie, les droits et les libertés dans l’espace francophone.
Sur la base des valeurs de notre langue en partage, les chefs de délégation échangeront aussi sur le climat et le numérique. Deux leviers essentiels de croissance et de survie d’une jeunesse dynamique mais en proie au doute. Ce sommet devrait être l’occasion de minimiser le doute et de fouetterle potentiel créatif d’une jeunesse ingénieuse et porteuse de projets allant dans le sens de transformer le présent et l’avenir. Seront présents à Paris, au Grand Palais, et à Villers-Cotterêts, des jeunes issus d’Hanoï, de Dakar, de Kinshasa et de Québec pour se mobiliser et penser une francophonie moderne, ambitieuse et au cœur des enjeux actuels. Car selon les organisateurs du Sommet de 2024, « les chefs d’État et de gouvernement pourront pour la première fois ́echanger avec de jeunes cŕeateurs, innovateurs et entrepreneurs qui ́evoqueront leurs ŕeussites mais également les défis qu’ils rencontrent ».
Il faut espérer du Sommet de Villers-Cotterêts qu'il soit un moment pour tordre le bras aux idées reçues sur une francophonie vieillotte et poussiéreuse. A l’heure où le multilatéralisme est largement éprouvé à Gaza, en RDC, au Soudan, en Ukraine et au Liban, des engagements forts sont attendus pour remettre l’OIF au cœur de la géopolitique des crises. Ce sera aussi l’occasion de montrer que la francophonie est attractive car en plus de porter les belles valeurs de la langue française, elle charrie des solutions aux crises du monde.
A Villers-Cotter̂ets, la francophonie retourne aux sources de sa mère-patrie. Mais elle revient enrichie des ajouts, des inventions, des innovations issues des maquis d’Abidjan, des cafés dakarois, des salons libanais et des jardins genevois.
Au moment où le Président sénégalais s’apprête à participer à son premier Sommet de la Francophonie en France, il faut avoir une pensée pour le père-fondateur de cette organisation, Léopold Sédar Senghor, sénégalais et français. Homme-lien, trait d’union, dont l’esprit de synthèse devrait habiter la relation saine et fertile entre les deux pays. Ce retour aux sources devrait fertiliser l’espérance.
MULTIPLE PHOTOS
LES UNES DE LA PRESSE DE CE JEUDI 3 OCTOBRE 2024
EnQuête, Sud Quotidien, Le Témoin Quotidien, Walf Quotidien, Le Soleil, L'As, Le Quotidien, Révélation Quotidien, Observateur, Yoor-Yoor Bi, Bes Bi le jour
EnQuête, Sud Quotidien, Le Témoin Quotidien, Walf Quotidien, Le Soleil, L'As, Le Quotidien, Révélation Quotidien, Observateur, Yoor-Yoor Bi, Bes Bi le jour
Baadoolo - Gacce ngaalaama Aliou
Tiey sudul woon yow… Merci Aliou de nous avoir fait goûter le bonheur de la Can. Coach, tu n’as pas raté le coche. Tu as coché la meilleure des cases. Il était quand même temps de partir. Du Aliou namm naala, on était passé à Aliou namm tumala. Wax deugg nak, Cissé avait perdu la main depuis cette élimination de la campagne ivoirienne. Foofu rek nga waroon baayi. Parce que Baadoolo Sénégal la fekk baax. On aurait préféré Aliou a démissionné que Cissé a été viré. Mais bon, fin temps lawoon. Match day jeex aussi. Gacce ngaalaama !
Nominations en Conseil des ministres MON prend le Cnra, Momar Diongue l’Aps, Saër Niang quitte l’Arcop
C’est un Conseil des ministres avec beaucoup de nominations. Babacar Diagne dont le mandat à la présidence du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra) a expiré le 30 septembre a été remplacé par Mamadou Oumar Ndiaye, patron du journal Le Témoin. Et à l’Agence de presse sénégalaise (Aps), la seule direction des médias publics qui n’avait pas changé de tête, c’est le journaliste Momar Diongue qui remplace Thierno Amadou Sy. Parmi les alliés de Pastef, Mamadou Lamine Dianté, enseignant, ancien syndicaliste, va désormais présider le Haut conseil du dialogue social –Hcds) à la place de Innocence Ntap Ndiaye. Et voilà un «roc» dont le mandat a expiré depuis des années mais qui s’est arc-bouté sur l’Autorité de régulation de la commande publique (Arcop), anciennement Armp. Il s’agit de Saër Niang qui cède la place à Moustapha Djitté, magistrat. Enfin, Séga Guèye hérite de la Direction générale de l’Agence sénégalaise de la couverture sanitaire universelle, (SenCsu) en remplacement de Cheikh Tacko Diop qui avait l’objet de vives critiques.
Auditionné jusque tard dans la soirée Bougane Guèye placé en garde à vue
Cuisiné depuis hier par les enquêteurs de la Division spéciale de cybersécurité (Dsc), Bougane Guèye a été placé en position de garde à vue. Le leader du mouvement Gueum Sa Bopp, est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles, selon Me El Hadj Amadou Sall. Comme Cheikh Yérim Seck, lui aussi, a été interrogé, entre autres, sur ses propos contestant les chiffres du Premier ministre sur le déficit budgétaire et la dette. Cheikh Yérim Seck a fait l’objet d’un retour de parquet.
Guy Marius promet de retourner au Togo en cas de session de la Cedeao - «Soit on m’assassine, soit mon État ne m’envoie pas au parlement»
Il retrouve la forme, malgré son agression sauvage à Lomé. Guy Marius Sagna a fait face à la presse, hier, accusant le régime de Faure Gnassingbé. Avant de passer à la Cedeao. «Si une session du parlement se tient la prochaine fois au Togo, je referai la même chose. Ils n’ont que 2 choses à faire : soit m’assassiner, soit mon État ne m’envoie pas au parlement», a dit le député. Sur le fait qu’il continue de siéger au Parlement de la Cedeao, alors que l’Assemblée nationale sénégalaise est dissoute, il répond que les textes disposent que «le député reste en fonction jusqu’à son remplacement par un nouveau député issu de son pays. La preuve, nous étions 5 députés sénégalais sur 6 à être présents au Togo».
Tambacounda À bord d’une moto, 2 frères mortellement fauchés par un véhicule
Deux jeunes ouvriers de même père et de même mère ont péri dans un accident de la route ce mercredi 2 octobre à la sortie de Missirah. À bord d’une moto, ils ont été mortellement fauchés par un véhicule particulier. Les corps sans vie de ces deux jeunes sont acheminés au centre hospitalier régional de Tambacounda. Une enquête est ouverte par la gendarmerie.
Chavirement d’une pirogue à Bignona Un quatrième corps repêché ce mercredi
Du nouveau dans l’affaire du chavirement de la pirogue à Dianki, dans le département de Bignona. La quatrième victime a été repêchée ce matin. Il s’agit du papa des 3 enfants retrouvés hier. Le bilan fait donc 4 morts. Le maire de Karthiack, interrogé par iRadio, parle d’un drame et appelle les populations qui ont l’habitude de pêcher avec des enfants à plus de prudence.
VIDEO
ATTAQUÉ AU TOGO, GUY MARIUS SAGNA DÉNONCE UN COMPLOT CONTRE LA CEDEAO DES PEUPLES
Le député sénégalais révèle que le parlement de la CEDEAO l'a abandonné à son sort, allant jusqu'à déclarer ne plus pouvoir assurer sa sécurité. Il pointe le double-jeu de la police togolaise qui, selon lui, a refusé de prendre sa plainte après l'incident
Ce mercredi 2 octobre 2024, le député Guy Marius Sagna a fait des révélations fracassantes sur les événements survenus quelques jours plus tôt au Togo. Lors d'une conférence de presse, le parlementaire de la CEDEAO a détaillé les circonstances de l'agression violente dont il a été victime, ainsi que plus de 20 citoyens togolais, lors d'une réunion publique à Lomé.
Sagna pointe du doigt les autorités togolaises, accusant le parti au pouvoir d'avoir "planifié une torture" contre des Ouest-Africains. Il dénonce également le double-jeu de la police togolaise qui, selon lui, a refusé de prendre sa plainte après l'incident. "Tout a été planifié, c'était clair comme de l'eau de roche", a-t-il déclaré.
Le député sénégalais n'a pas épargné le Parlement de la CEDEAO dans ses critiques. Il révèle que l'institution l'a abandonné à son sort, allant jusqu'à déclarer ne plus pouvoir assurer sa sécurité et lui acquérir un billet d'avion pour quitter le pays. "Vous vous rendez compte, c'est une honte", s'est-il indigné.
Sagna va plus loin en dénonçant ce qu'il appelle une "CEDEAO des chefs d'État" opposée à une "CEDEAO des peuples". Il affirme que sa volonté de transparence, notamment concernant les rapports d'audit des institutions de la CEDEAO, est à l'origine des menaces qui pèsent sur lui.
L'élu sénégalais appelle les citoyens ouest-africains à se mobiliser pour une CEDEAO plus démocratique et transparente. "Allez-vous continuer à accepter que des députés qui veulent sortir de la CEDEAO des États et du syndicat des chefs d'État et veulent entrer dans la CEDEAO des peuples soient bastonnés, qu'ils soient assassinés ?", a-t-il lancé.
Cette sortie médiatique de Guy Marius Sagna soulève de nombreuses questions sur le fonctionnement de la CEDEAO et la sécurité des élus qui osent remettre en question le statu quo.
LES NOMINATIONS AU CONSEIL DES MINISTRES DU 2 OCTOBRE
SenePlus publie ci-dessous, les nominations prononcées au Conseil des ministres du mercredi 2 octobre 2024.
"AU TITRE DES MESURES INDIVIDUELLES,
Le Président de la République a pris les décisions suivantes :
Au titre de la Présidence de la République :
Monsieur Mamadou Oumar NDIAYE, Journaliste, est nommé Président du Conseil
national de Régulation de l’Audiovisuel, Poste Vacant ;
Monsieur Mamadou Lamine DIANTE, est nommé Président du Haut Conseil du
Dialogue social en remplacement de Madame Innocence NTAP NDIAYE ;
Monsieur Moustapha DJITTE, Magistrat, matricule de solde n°602 388/E est
nommé Directeur général de l’Autorité de Régulation de la Commande publique
(ARCOP), en remplacement de Monsieur Saer NIANG.
Au titre de la Primature :
Monsieur Hatab SANE est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence
nationale de relance des activités économiques et sociales en Casamance (ANRAC)
Au titre du Ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens :
Monsieur Souleymane GUEYE, Expert en Transport aérien est nommé Directeur des
Transports aériens en remplacement de Monsieur Oumar Xassimou Dia ;
Monsieur Badara DIOP, Ingénieur d’exploitation de l’aviation civile est nommé
Directeur des Infrastructures aéroportuaires en remplacement de Monsieur Cheikh
DIOUF ;
5
Monsieur Mandiaye FAYE, Ingénieur des transports est nommé Directeur de la
circulation routière et de la mobilité en remplacement de Monsieur Mouhamadou
Moustapha NIANG ;
Monsieur Abdoul Siléye Fatah BA, Ingénieur des transports, matricule n°627472/L
précédemment Chef de la Division du Centre de Contrôle Technique au Ministère des
Infrastructures et des Transports terrestres et Aériens, est nommé Directeur des
transports Routiers en remplacement de Monsieur Yaya Samba NIANG ;
Monsieur Yancoba Ben Alfousseyni SONKO, Master QHSE est nommé Président
du Conseil d’Orientation du Fonds de Développement des Transports terrestres.
Au titre du Ministère de l’Industrie et du Commerce :
Monsieur Babacar SEMBENE, Commissaire aux Enquêtes économiques principal,
est nommé Directeur général de l’Agence de Régulation des Marchés au Ministère de
l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Ansoumana SANE ;
Madame Françoise FAYE, Commissaire aux Enquêtes économiques principal, est
nommé Directeur général de l’Agence sénégalaise pour la Propriété industrielle et
l’Innovation technologique au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en
remplacement de Monsieur Makhtar DIA.
Monsieur Ahmed Tidiane DIA, Commissaire aux Enquêtes économiques principal,
est nommé Directeur du Commerce extérieur au Ministère de l’Industrie et du
Commerce, en remplacement de Monsieur Ansou BADJI.
Monsieur Henri Fall CARVALHO, Ingénieur en Industries agricoles et alimentaires,
matricule de solde n° 618 880/M, est nommé Directeur des Petites et Moyennes
Entreprises au Ministère de l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur
Seydina Aboubacar Sadikh NDIAYE.
Monsieur Issa WADE, Commissaire aux Enquêtes économiques, est nommé Directeur
général de l’Organe de Régulation du Système de Récépissé d’Entrepôt au Ministère de
l’Industrie et du Commerce, en remplacement de Monsieur Driss Junior DIALLO.
Ali Fourou BA est nommé PCA du CICES
Au titre du Ministère du Travail, de l’Emploi et des Relations avec les Institutions :
Monsieur Babacar SY, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale, est nommé
Directeur de l’Emploi au Ministère du Travail, en remplacement de Modou Fall, appelé
à d’autres fonctions.
Au titre du Ministère de la Fonction publique et de la Réforme du Service public :
Monsieur Salif COLY, Professeur de l’Enseignement secondaire, matricule de solde
n° 551.277/Z, est nommé Directeur du Centre national de Formation et d’Action, en
remplacement de Monsieur Kalidou SOKOMA, appelé à d’autres fonctions ;
Monsieur Ibrahima DIENG, Inspecteur du Travail et de la Sécurité sociale,
matricule de solde n° 515.700/B, précédemment Directeur des Ressources humaines au
Ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération, est nommé Directeur général de
la Fonction publique, en remplacement de Monsieur Amadou Matar CISSE, appelé à
d’autres fonctions ;
Au titre du Ministère du Tourisme et de l’Artisanat :
Monsieur Gora GAYE, titulaire d’un Diplôme d’Etudes approfondies en Géographie,
est nommé Secrétaire général de l’Agence pour la Promotion et le Développement de
l’Artisanat (APDA), en remplacement de Monsieur Youssoupha BA, appelé à d’autres
fonctions.
ANSOUMANA SANE, Promoteur touristique est nommé Président du Conseil de
surveillance de l’Agence sénégalaise de Promotion touristique
Au titre du Ministère de la Communication, des Télécommunications et du Numérique :
Monsieur Momar Diongue, Journaliste, titulaire d’une maitrise en Lettres Modernes
est nommé Directeur de l’Agence de Presse Sénégalaise, en remplacement de Monsieur
Thierno Amadou SY ;
Cheikhouna BEYE, Enseignant-chercheur, Maître de Conférences en Sciences de
l’Information et de la Communication, est nommé Président du Conseil
d’Administration de la RTS.
Au titre du Ministère de la Santé :
Monsieur SEGA GUEYE, titulaire d’un Doctorat en Sociologie, est nommé Directeur
général de l’Agence sénégalaise de la Couverture Maladie universelle en remplacement
de Monsieur Cheikh Tacko DIOP.
Au titre du Ministère de la Justice :
Monsieur Mbossé SOW, Greffier, est nommé PCA de l’Office national de
Recouvrement des Avoirs criminels (ONRAC).
Au titre du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique :
Monsieur Abdou Salam KANTE, Conducteur de travaux, retraité des armées, est
nommé PCS de l’Agence d’assistance à la sécurité de proximité (ASP) en remplacement
de Monsieur Hamidou Mbow ;
Monsieur Cheikh NIANG, Magistrat matricule de solde 600 667/A est nommé
Secrétaire général du Ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique en remplacement
de Monsieur Alioune Aïdara NIANG admis à faire valoir ses droits à une pension de
retraite.
Au titre du Ministère de l’Environnement et de la Transition écologique :
Monsieur Sadibou DJIBA, Professeur d’Enseignement secondaire en Sciences
naturelles est nommé PCA de l’Agence nationale de la Reforestation et de la Grande
muraille verte.
Au titre du Ministère de la Pêche et des Infrastructures maritimes et portuaires :
Madame Sokhna Benga, Administrateur des Affaires maritimes, matricule de solde n°
618 080/U, est nommée Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale des
Affaires maritimes (ANAM) au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et
portuaires, en remplacement de Monsieur Ibrahima CAMARA ;
Monsieur Bécaye Diop, titulaire d’un MBA en Management, est nommé Directeur
général de l’Agence nationale des Affaires maritimes (ANAM) au Ministère des Pêches,
des Infrastructures maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Massamba
Achille Edouard GUEYE ;
Madame Mbeugué GAYE, Biologiste, est nommée Directeur général de l’Agence
nationale des Affaires maritimes (ANAM) au Ministère des Pêches, des Infrastructures
maritimes et portuaires, en remplacement de Monsieur Massamba Achille Edouard
GUEYE ;
Monsieur Aliou Ba, Economiste des Ressources naturelles, Expert en Pêche et
Aquaculture, est nommé Président du Conseil de surveillance de l’Agence nationale de
l’Aquaculture au Ministère des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, en
remplacement de Monsieur Killé SAKHO.
Au titre du Ministère des Finances et du Budget :
Monsieur Idrissa SAMB, Inspecteur principal des Impôts est nommé Administrateur
du Fonds de Garantie Automobile."