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13 septembre 2025
DJIBRIL SONKO, L'HÉRITIER DISCRET
"L'autre Sonko" prend les rênes de Ziguinchor avec la lourde tâche de perpétuer l'héritage d'Ousmane Sonko. Face aux défis qui l'attendent, cet ancien inspecteur du Trésor devra prouver que la confiance placée en lui n'était pas usurpée
(SenePlus) - Dans un portrait publié récemment, Jeune Afrique (JA) dévoile le parcours atypique de Djibril Sonko, l'homme qui a pris les rênes de la mairie de Ziguinchor après la nomination d'Ousmane Sonko au poste de Premier ministre. Cette succession s'inscrit dans une dynamique politique marquée par l'ascension fulgurante du parti Pastef dans la région.
Selon le magazine panafricain, rien ne prédestinait ce cadre chevronné à une carrière politique. Inspecteur du Trésor depuis 2009, Djibril Sonko avoue n'avoir jamais vraiment milité avant sa rencontre avec le Pastef : "Les partis traditionnels ne m'intéressaient pas, mais j'étais persuadé que je finirai par faire de la politique un jour ou l'autre", confie-t-il à JA. Son seul contact antérieur avec la politique se limitait à une unique réunion du Parti socialiste dans sa jeunesse, influencé par sa mère qui soutenait alors Robert Sagna, figure historique de Ziguinchor.
Le magazine retrace les premiers pas laborieux du parti dans la région. Nommé responsable des affaires économiques dès la première assemblée générale, Djibril Sonko se heurte initialement à l'indifférence : "La première réunion que j'ai convoquée, j'ai attendu des heures et personne n'est venu", se remémore-t-il. Une période compliquée où le parti peine à s'imposer dans le débat public, comme l'explique Djamil Sané, cité par Jeune Afrique : "Notre volonté, c'était d'apporter quelque chose de nouveau dans le débat public, ce qui comportait le risque d'être très techniques, voire trop."
Un parcours semé d'obstacles
Le portrait révèle également les défis personnels auxquels Djibril Sonko a dû faire face. Muté à Kebemer, à plus de 150 kilomètres de Dakar, il traverse une période d'éloignement de six ans qui aurait pu freiner son engagement politique. Cette mutation, selon le magazine, avait même provoqué l'intervention d'Ousmane Sonko auprès d'Amadou Ba, alors directeur des Impôts et Domaines, pour dénoncer une tentative de "casser la dynamique du bureau du parti."
Jeune Afrique souligne un tournant majeur dans sa carrière lors des élections locales de janvier 2022. Intégrant l'équipe qui porte Ousmane Sonko à la mairie, Djibril Sonko devient membre du cabinet du nouveau maire, chargé du programme présidentiel. Une confiance qui se manifeste concrètement par la délégation de la signature des contrats de marchés publics.
Aujourd'hui maire de Ziguinchor, Djibril Sonko fait face à des attentes considérables. JA rappelle qu'aucun des "douze grands chantiers" initialement prévus par Ousmane Sonko n'a encore été réalisé. Pourtant, la popularité du Pastef reste intacte, comme en témoigne son score impressionnant de 76,6% aux dernières législatives dans le département.
Une légitimité à construire
Le portrait dressé par Jeune Afrique met en lumière les qualités de l'homme : "C'est un garçon dégourdi, engagé, très dynamique", témoigne Djamil Sané. Des atouts qui seront précieux pour relever le défi qui l'attend. Car comme le souligne le site d'information, Ziguinchor, symbole de la popularité d'Ousmane Sonko et de l'efficacité politique du Pastef, représente un rouage essentiel dans la stratégie nationale du parti.
À l'heure où le Pastef s'impose comme une force politique majeure au Sénégal, la réussite de Djibril Sonko à Ziguinchor pourrait devenir un modèle de gouvernance locale pour le parti. Comme le conclut Jeune Afrique, "l'autre Sonko" n'a pas droit à l'erreur dans cette mission cruciale pour l'avenir de sa formation politique.
LES ASP RAPPELÉS À L’ORDRE
Après des signalements de comportements inappropriés, l'Agence d'Assistance à la Sécurité de Proximité a insisté, à travers une note de service, sur le respect des règles déontologiques et annoncé des sanctions contre les dérives constatées.
Dans une note de service datée du 11 décembre 2024, l'Agence d'Assistance à la Sécurité de Proximité (ASP) a réaffirmé son engagement en faveur de l'éthique, de la déontologie et de la discipline dans l'exercice des missions de ses agents. Cette communication intervient à la suite de multiples signalements concernant des comportements inappropriés observés chez certains Assistants à la Sécurité de Proximité (ASP).
La note pointe des pratiques inadmissibles telles que le port illégal de tenues ou d’accessoires appartenant aux Forces de Défense et de Sécurité, des écarts de langage, ou encore des actes pouvant porter atteinte à l'intégrité des citoyens. Certains ASP affectés à l'assistance de la police de la circulation auraient outrepassé leurs fonctions en réclamant des documents routiers aux usagers, un "comportement assimilé à une usurpation de fonction, strictement prohibée par la réglementation".
Une réponse ferme pour restaurer l’image de l’Agence
Face à ces dérives, la Direction générale de l'Agence appelle les Chefs de Pôles et d'Unités départementales à prendre des mesures immédiates pour y mettre fin. Les agents sont rappelés à leurs obligations : porter correctement l'uniforme règlementaire fourni par l'Agence et respecter strictement les consignes fixées par leur administration d’affectation.
Conformément au décret n°2013-1063 du 5 août 2013 et à l’arrêté n°2014-17877 du 27 novembre 2014, les ASP doivent s’en tenir à leur mission d’assistance, sans empiéter sur les prérogatives des forces de sécurité. Tout manquement expose les contrevenants à des sanctions disciplinaires sévères, conformément à la réglementation en vigueur.
ADHA ALERTE SUR LE SORT DES MIGRANTS SÉNÉGALAIS BLOQUÉS AU NIGER
L’organisation appelle les autorités sénégalaises à organiser un rapatriement d’urgence et exhorte à des mesures durables pour prévenir de telles crises.
Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA) est préoccupé par le sort de migrants sénégalais bloqués au Niger. L’organisation a donc décidé de publier un communiqué ce mercredi 11 décembre pour alerter les autorités sénégalaises et demander un rapatriement en urgence.
Selon ADHA, ces migrants sont bloqués dans le désert du Niger, notamment dans les camps de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). « Ces compatriotes, ayant directement sollicité notre organisation pour alerter sur leur détresse, subissent les conséquences d’expulsions brutales et sont confrontés à un quotidien dégradant. Leur appel désespéré ne peut être ignoré et nécessite une intervention rapide et décisive des autorités compétentes », lit-on dans le communiqué.
ADHA déplore également que ce problème persiste depuis plusieurs années. L’organisation renseigne ainsi qu’en 2022, 173 sénégalais qui étaient bloqués au Niger dans les mêmes conditions, ont été rapatriés grâce à elle. ADHA souligne par ailleurs qu’il faudrait prendre certaines mesures pour régler définitivement la situation.
« Face à cette crise humanitaire, ADHA exhorte le nouveau gouvernement sénégalais à s’activer immédiatement pour organiser, en concertation avec les autorités nigériennes, le rapatriement de ces compatriotes dans les meilleurs délais ; Renforcer les mécanismes de protection consulaire, afin d’assurer une assistance rapide et efficace aux Sénégalais en difficulté à l’étranger ». En outre, les partenaires internationaux sont appelés à apporter leur contribution dans la résolution de ce problème.
ASSEMBLÉE NATIONALE, THIERNO ALY SY ANNONCE SA DÉMISSION
Cette démission intervient alors que des rapports font état d’une condamnation contre le concerné en 2021 par la Cour d’appel de Dakar à trois mois de prison avec sursis pour « abus de confiance »...
Thierno Aly Sy n’aura passé que quelques jours avec le statut de député. Celui qui avait été appelé à remplacer Abass Fall a annoncé sa démission de la 15ème législature dans une missive envoyée au président El Malick Ndiaye. « Monsieur le Président, je vous informe par cette lettre de ma décision de démissionner de mon mandat à l’Assemblée nationale. Je vous prie, Monsieur le Président, d’agréer l’expression de ma haute considération ».
Cette démission intervient alors que des rapports font état d’une condamnation contre Thierno Aly Sy en 2021 par la Cour d’appel de Dakar à trois mois de prison avec sursis pour « abus de confiance », une décision confirmée par la Cour suprême le 17 novembre 2022.
Il était donc inéligible à l’Hémicycle selon les articles 29 et 30 du Code électoral sénégalais. Selon l’article 29 : « Les personnes condamnées à une peine supérieure à un mois, même avec sursis, pour des délits tels que l’abus de confiance, ne peuvent figurer sur les listes électorales », alors que celui numéro 30 dit que : « Cette interdiction reste valable pendant cinq ans suivant la condamnation ».
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VIOLENCES AU STADE, LE DG DE LA SOGIP PRÉSENTE UNE FACTURE SALÉE À LA FSF
Dame Mbodj qui dirige la Société de gestion des infrastructures publiques, des pôles urbains de Diamniadio et du Lac Rose, réclame des compensations suite aux violences du match Jaraaf-USM Alger comptant pour la coupe de la Confédération de la CAF.
La Sogip réclame des compensations suite aux violences du match Jaraaf-USM Alger comptant pour la coupe de la Confédération de la CAF.
Le Directeur général de la Société de gestion des infrastructures publiques, des pôles urbains de Diamniadio et du Lac Rose (Sogip), Dame Mbodji, a dénoncé dans Libération « le comportement des supporters algériens », les accusant de « ne pas avoir respecté les consignes de sécurité interdisant, entre autres, les fumigènes et de se tenir debout sur les sièges du stade ». Il a estimé le préjudice de ces incidents à « 5 millions de francs CFA », une somme qu’il réclame à la Fédération sénégalaise de football (FSF).
« Nous avons fait constater les dégâts par un huissier avant de rédiger notre rapport. Les supporters de l’USM Alger ont allumé des fumigènes, fumé des cigarettes et cassé des écrans de télévision. C’est inacceptable. Nous allons envoyer la facture à la FSF, à qui nous avons loué le stade », a-t-il déclaré.
5 millions, la FSF doit passer à la caisse
Le responsable de la Sogip a aussi annoncé des mesures futures, précisant qu’une « assurance sera désormais exigée avant la location du stade Abdoulaye Wade ». Des instructions ont été données en ce sens au directeur d’exploitation. « C’est ce que nous faisons avec toutes nos autres infrastructures, comme le Dakar Arena, le centre des expositions, etc. La FSF avait pris l’engagement de souscrire à une police d’assurance, mais nous constatons que cela n’a pas été respecté », a regretté Dame Mbodji.
Le match entre le Jaraaf et l’USM Alger, comptant pour la 2e journée de la Coupe CAF, a dégénéré en violents affrontements après le coup de sifflet final de l’arbitre (0-0). Une bagarre a éclaté entre les supporters du Jaraaf et ceux de l’USM Alger. N’eût été l’intervention rapide des forces de sécurité, la situation aurait pu être bien pire.
Par ailleurs, la Confédération africaine de football, réagissant aux incidents, a indiqué que « l’affaire a été transmise aux instances compétentes pour un examen approfondi et des investigations complémentaires ».
VERS UNE MAIN-LEVÉE PARTIELLE DES PERMIS DE CONSTRUCTION SUSPENDUS
Le Secrétaire général du gouvernement annonce la possibilité de restituer des parcelles dans certaines zones sous condition. Les titulaires concernés sont invités à soumettre leurs dossiers pour examen, tandis que les travaux se poursuivent pour d'autres
Le Secrétaire général du gouvernement s’est fendu d’une note pour se prononcer sur l’évolution de la décision des autorités sénégalaises portant suspension des permis de construction des zones «’BOA’, ‘HANGARS DES PELERINS’, ‘RECASEMENT 2’, ‘EOGEN 1’et ‘EOGEN-Extension’, des Plans d’Urbanisme de Détail (PUD) suivant : Mbour 4, Nouvelle Ville de Thiès, Bande nord des filaos de Guédiawaye, Yeumbeul-Malika-Tivaouane-Peulh, des Pôles urbains de Diacksao-Bambilor, Déni Birame Ndao, Yenne et Daga-Kholpa, EGBOS, Pointe Sarène et Ndiebène Gandiole ».
Selon le document, une main-levée est très probable dans certaines zones citées suivant des conditions. «Les titulaires de droits sur les PUD ou lotissements au niveau de BOA, Hangar des Pèlerins, Recasement 2, EOGEN 1 et EOGEN-extension, Zone Nord de la Bande des Filaos de Guédiawaye, Yeumbeul-Malika-Tivaouane Peulh, Pointe Sarène, Mbour 4, sont priés de renseigner un formulaire d’identification de lots et de le déposer au siège de la Direction Générale de la Surveillance et du Contrôle de l’Occupation du Sol (DGSCOS), sis à la VDN à côté de l’Hypermarché Exclusive, ou à la Brigade zonale de la DGSCOS de Mbour ou de l’envoyer à l’adresse email : courrier@dscos.gouv.sn. Ceux-là pourront après étude de conformité de leur dossier, recouvrer leurs parcelles suite à l’octroi «d’un quitus tenant lieu de main-levée qui sera délivré, au cas par cas ».
En ce qui concerne le plan d’Aménagement de la Nouvelle Ville de Thiès et l’Aménagement de Ndiébène Gandiole, les décisions relatives au traitement des attributions seront notifiées ultérieurement aux personnes concernées, souligne le communiqué.
Et pour ce qui est du lotissement de EGBOS, des Pôles urbains de Diacksao, Bambilor, Déni Birame Ndao, Yenne et de Daga Kholpa, le secrétaire général du Gouvernement affirme que les travaux du Comité se poursuivent.
PAR PAPE MADE DIOUF
NE REPRODUISEZ PAS LES ERREURS DU PASSÉ
"Les inquiétudes sont nombreuses. Certains perçoivent, à tort ou à raison, une volonté déguisée de déloger Barthélémy Dias avant les Jeux Olympiques de la Jeunesse (JOJ) pour s’approprier la gestion de Dakar."
iGFM - (Dakar) Dans le Sénégal d’aujourd’hui, où les citoyens aspirent à une démocratie exemplaire, les dirigeants doivent impérativement se hisser au-dessus des erreurs et des bassesses qui ont marqué les décennies passées.
Il serait regrettable de voir les pratiques injustes qui ont autrefois terni l’image de notre nation se perpétuer. Le cas de Khalifa Sall, privé de ses droits politiques dans des conditions controversées, demeure une plaie encore vive dans la mémoire collective. Réitérer une telle injustice, cette fois à l’encontre du Maire Barthélémy Dias, ne ferait qu’aggraver la défiance populaire envers nos institutions.
Une Nouvelle Gouvernance pour une Nouvelle Espérance
Aujourd’hui, l’heure est à l’équité et au respect des institutions. Les Sénégalais espèrent que leurs dirigeants incarnent une nouvelle vision politique, libérée des calculs partisans et des velléités de contrôle absolu. Les inquiétudes sont nombreuses. Certains perçoivent, à tort ou à raison, une volonté déguisée de déloger Barthélémy Dias avant les Jeux Olympiques de la Jeunesse (JOJ) pour s’approprier la gestion de Dakar. Il est primordial que ces soupçons soient dissipés par des actes clairs, prouvant que l’intérêt général prime sur les ambitions personnelles.
Gouverner avec Vision, Non avec Envie
Le budget de la mairie de Dakar ne devrait pas être une source de convoitise. Un État fort se distingue par une vision globale, visant à garantir le développement équitable de toutes les régions, et non par une concentration des efforts sur la capitale. Comme le rappelle un sage, « L’envie des envieux n’ajoute rien à votre grandeur. » Une gouvernance éclairée consiste à se concentrer sur ses responsabilités nationales et à laisser les élus locaux assumer pleinement leurs missions.
Tourner la Page des Pratiques Obsolètes
Le Sénégal ne peut plus se permettre de revivre les méthodes du passé, où des postes électifs étaient arbitrairement retirés à des opposants, comme ce fut le cas pour Aïda Mbodj à Bambey sous le régime précédent. Ces pratiques doivent appartenir à un passé révolu, balayé par une jeunesse consciente des enjeux actuels et déterminée à bâtir un avenir différent. L’intérêt général doit l’emporter sur les querelles partisanes, car le Sénégal mérite une classe politique à la hauteur de ses attentes et de ses aspirations.
Une Opportunité de Faire Différence
Ce moment est crucial. Le gouvernement actuel a une occasion en or de démontrer qu’il incarne un nouveau départ, en élevant le débat et en gouvernant avec justice et intégrité. Il est temps de montrer que la démocratie sénégalaise peut briller non pas par ses luttes intestines, mais par sa capacité à respecter les institutions et à promouvoir une véritable unité nationale.
Ainsi, au lieu de reproduire les erreurs du passé, élevez-vous. Gouvernez pour tous, sans exclusive, et montrez que le Sénégal est prêt à écrire un nouveau chapitre de son histoire politique.
ASSEMBLÉE, LE REMPLAÇANT D'ABASS FALL RISQUE LA RADIATION
Selon Libération, un arrêt a confirmé la condamnation de Thierno Aly Sy à une peine de 3 mois assortie du sursis pour abus de confiance et le paiement à la partie civile de la somme de 12 millions de Fcfa.
Barthelemy Dias pourrait ne pas être le seul député radié de la 15ème législature. Le remplaçant de Abass Fall aussi semble être dans le même cas de figure.
Abass Fall, nommé ministre, son poste de député revenait à son suppléant Thierno Aly Sy, comptable de formation et responsable de Pastef à Mermoz. Mais, informe Libération, logique pour logique, après la révocation de Barthélémy Dias, des diligences devraient être mises en œuvre pour faire sauter Thierno Aly Sy et pour cause.
Par arrêt numéro 46 en date du 17 novembre 2022, la Chambre pénale de la Cour suprême avait rejeté le pouvoir formé par Thierno Aly Sy contre l'arrêt numéro 319 du 24 août 2021 de la Cour d'appel. Ledit arrêt confirmait la condamnation de Thierno Aly Sy à une peine de 3 mois assortie du sursis pour abus de confiance et le paiement à la partie civile, notamment Patrice Calas Lopes Da Sylva représentant la société Tai, de la somme de 12 millions de Fcfa.
Thierno Aly Sy tombe ainsi sous le coup des articles 29 et 30 du Code électoral, ajoute le journal. En effet, l'article 29 stipule que ceux condamnés à une peine sans sursis ou avec sursis d'une durée supérieure à un mois pour des délits comme l'abus de confiance ne doivent pas être inscrits sur les listes électorales. L'article 30 fixe la durée de cette exclusion des listes à cinq ans, c'est-à-dire jusqu'en 2027 concernant Thierno Aly Sy.
CARLOU D CÉLÈBRE 20 ANS DE CARRIÈRE MUSICALE AVEC UNE TOURNÉE FESTIVE
« Les leçons tirées de ces 20 années sont celles de la maturité. Il aurait été difficile pour moi d’atteindre ce stade sans le soutien des autres », a-t-il déclaré.
Lors de son passage dans la matinale « Salam Sénégal » de la RSI, le rappeur Ibrahima Loucard, connu sous le nom de Carlou D, a exprimé sa profonde gratitude envers tous ceux qui ont contribué à ses 20 années de carrière musicale.
Pour lui, ces deux décennies représentent une véritable période de maturité dans sa vie artistiques. « Les leçons tirées de ces 20 années sont celles de la maturité. Il aurait été difficile pour moi d’atteindre ce stade sans le soutien des autres », a-t-il déclaré.
Carlou D a également évoqué sa carrière solo, qualifiant son parcours d’histoire personnelle : « Je ne pouvais pas partager mon style de musique avec quiconque, car c’est une expression qui m’appartient en propre. » La reconnaissance qu’il a reçue au fil des ans demeure l’un des aspects les plus marquants de son parcours.
Pour célébrer cet anniversaire important, Carlou D a annoncé plusieurs collaborations avec des artistes tels que Duggy Tee. Les festivités commenceront à l’Institut français et se poursuivront au terrain Acapes des Parcelles Assainies. Le point culminant de cette célébration se tiendra le 28 décembre au Grand Théâtre, suivi d’un événement festif le 31 décembre à l’hotel Terrou B.
CAF AWARDS 2024: MARRAKECH VA CELEBRER LES STARS DU FOOT AFRICAIN
Le compte à rebours est lancé pour les CAF Awards 2024, qui se tiendront le lundi 16 décembre au Palais des Congrès de Marrakech, à partir de 19h00 (heure locale), a indiqué mardi l’organisation sur son site internet.
Le compte à rebours est lancé pour les CAF Awards 2024, qui se tiendront le lundi 16 décembre au Palais des Congrès de Marrakech, à partir de 19h00 (heure locale), a indiqué mardi l’organisation sur son site internet.
Le Maroc encore à l’honneur pour abriter les CAF Awards 2024. En droite ligne avec une tradition de la Confédération Africaine de Football qui, depuis la création, a confié l’organisation de ses compétitions à divers pays africains, mettant en valeur leur capacité logistique et leurs infrastructures sportives.
L’Égypte et le Ghana figurent parmi les hôtes les plus récurrents de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), tandis que des pays comme le Maroc et l’Afrique du Sud ont accueilli des éditions majeures.
La cérémonie à Marrakech mettra en lumière les figures majeures du football africain, avec des distinctions pour les meilleurs joueurs, entraîneurs et équipes du continent.
Parmi les prix attendus figurent notamment “Joueur de l’année”, “Entraîneur de l’année” et “Gardien de but de l’année”.
Les trophées consacreront aussi les meilleurs clubs etcsélections nationales, et le plus beau but de l’année voté par les supporters.
Des figures emblématiques comme Samuel Eto’o, Yaya Touré et Asisat Oshoala figurent parmi les grands noms ayant marqué l’histoire des CAF Awards.
Marrakech, ville au riche patrimoine culturel, offrira un cadre exceptionnel pour cette célébration du football africain.