Déthié Fall, élu député de la 15e législature, a annoncé officiellement sa démission, respectant ainsi un engagement pris envers le peuple sénégalais après sa rupture avec la coalition Sam Sa Kaddu et son ralliement à Pastef, à la veille de la campagne électorale.
Dans un communiqué, l’ancien parlementaire a expliqué que sa décision fait suite à la radiation de la tête de liste Sam Sa Kaddu. « J’avais pris l’engagement que j’allais remettre ce poste s’il me revenait du fait de ma démission de cette coalition et de mon soutien à la liste Pastef dirigée par le Président Ousmane Sonko. Je tiens donc à respecter la parole donnée qui m’est très chère », a-t-il déclaré.
Déthié Fall a également profité de cette occasion pour féliciter le Président de l’Assemblée nationale et les nouveaux parlementaires pour leur mandat. Il a renouvelé son soutien indéfectible à Ousmane Sonko, qu’il décrit comme un compagnon de lutte pour la démocratie et les libertés, et à Bassirou Diomaye Faye, président de la République issu des rangs de Pastef.
« Avec Ousmane Sonko, j’ai partagé tous les combats politiques de ces trois dernières années pour la démocratie et les libertés, avec tous les sacrifices possibles », a-t-il souligné, réaffirmant son attachement aux idéaux de son parti.
DES AVANCÉES DANS L’APPLICATION DE LA LOI SUR LE CONTENU LOCAL
‘’La loi a été adoptée en 2019 et a commencé à être appliquée dans le secteur des hydrocarbures vers 2021, et dans le secteur des mines, en début 2024’’, a noté Mor Bakhoum.
Thiès, 5 déc (APS) – Le secrétaire technique du Comité national de suivi du contenu local, Mor Bakhoum, a affirmé, jeudi à Thiès, que des avancées ont été enregistrées dans l’application de la loi sur le contenu local dans le secteur des hydrocarbures.
« Des avancées ont été notées dans la mise en œuvre de la loi, spécialement dans le secteur des hydrocarbures, [coïncidant] avec la phase de production du pétrole au niveau de Sangomar, avec les attentes du first gaz au niveau du projet GTA », a notamment indiqué Mor Bakhoum, qui représentait le ministre en charge du secteur à la journée du contenu local dans le secteur extractif à Thiès.
La rencontre était organisée par l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (ANSTS).
‘’La loi a été adoptée en 2019 et a commencé à être appliquée dans le secteur des hydrocarbures vers 2021, et dans le secteur des mines, en début 2024’’, a noté Mor Bakhoum.
Il a souligné que le secrétariat technique s’est attelé à mettre en place un « dispositif de contrôle pour faire de sorte que les entreprises locales qui sont les destinataires premières de cette législation sur le contenu local, puissent capter toutes les opportunités sur la chaîne de valeur dans l’industrie extractive et le secteur du pétrole et du gaz ».
Selon lui, dans le secteur des mines où la législation est relativement nouvelle, des efforts sont en train d’être faits pour sensibiliser sur le potentiel du contenu local.
« Depuis janvier 2004, nous avons vu une évolution positive de l’acceptation de la législation sur le contenu local, à travers les inscriptions sur la plateforme de mise en relation », a soutenu le représentant du ministre des Mines.
Le secrétariat technique a mis en place une plateforme où toutes les opportunités de marché sont publiées, a poursuivi Mor Bakhoum.
‘’L’ANSTS a initié depuis le mois de juin une enquête globale intitulée : +Le secteur extractif, état des lieux et perspectives’’, a, pour sa part, annoncé le Professeur Mouhamed Bachir Diop, membre de l’ANSTS.
‘’Dans le premier trimestre de 2025, l’Académie se rendra à Kédougou pour tenir des journées de réflexion sur le contenu local, lié à l’industrie minière’’, a encore annoncé le Professeur Diop.
LA CAISSE DES DÉPOTS ET CONSIGNATIONS REMPLACE LA CGIS AU PROFIT DE CDC-HABITAT
La Compagnie générale immobilière du Sahel (CGIS SA) n’aura pas survécu aux errements dont elle est comptable dans ses missions de bras armé de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), sa maison-mère, depuis sa création sous l’ancien régime.
La Compagnie générale immobilière du Sahel (CGIS SA) n’aura pas survécu aux errements dont elle est comptable dans ses missions de bras armé de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), sa maison-mère, depuis sa création sous l’ancien régime. En lieu et place, la CDC-Habitat « devient le bras opérationnel de la CDC pour la gestion des actifs immobiliers », annonce le directeur général de la CDC, Fadilou Keïta, dans un communique de presse en date du 3 décembre 2024.
Dans un « nouveau positionnement stratégique » dicté en partie par le souci d’être en phase avec les orientations de la « Sénégal Vision 2050 », CDC-Habitat a pour « mission principale » de « contribuer à la construction et à la commercialisation de logements accessibles et de standing, en phase avec les besoins du marché sénégalais », explique la même source.
L’objectif de CDC-Habitat est de « favoriser la réalisation de logements décents, adaptés et dédiés notamment aux coopératives d’habitat ». A cet effet, la nouvelle compagnie pourra s’appuyer « sur une offre diversifiée de produits et de services à forte valeur ajoutée ».
La construction de logements est l’une des priorités déclinées par le gouvernement sénégalais. En raison d’une forte demande, notamment de type social, la CDC-Habitat entend « accompagner tous les acteurs du secteur » sur toute la chaine de valeur immobilière afin de combler un gap estimé à environ 300 000 logements.
L'ATTIEKE INSCRIT AU PATRIMOINE DE L'UNESCO
Après le thiéboudiène sénégalais, c’est au tour de l’attiéké ivoirien de faire son entrée au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco. L’annonce a été faite cet après-midi du 5 décembre 2024 lors de la 19e session du Comité intergouvernemental...
Après le thiéboudiène sénégalais, c’est au tour de l’attiéké ivoirien de faire son entrée au patrimoine culturel immatériel de l’Unesco. L’annonce a été faite cet après-midi du 5 décembre 2024 lors de la 19e session du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel, qui se tient au Paraguay.
Une consécration qui suscite non seulement la fierté des ivoiriennes qui perpétuent ce savoir-faire au quotidien, mais aussi celle des acteurs qui l’exportent hors de la Côte d'Ivoire.
L'attiéké, semoule de manioc légèrement aigre qui accompagne les poissons et les viandes en sauce, est un pilier de l'alimentation quotidienne en Côte d'Ivoire et dans de nombreux pays d'Afrique de l'Ouest...
En plus de son inscription au patrimoine immatériel de l’Unesco, l’attiéké bénéficie également du statut de « marque collective ». Concrètement, seule la semoule de manioc fermentée produite en Côte d’Ivoire peut être commercialisée sous le nom d’« attiéké ».
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PAPE DJIBRIL FALL OU DETHIE FALL, CELUI QUI DOIT REMPLACER BARTHELEMEY DIAS
À l’Assemblée nationale, Barthélémy Dias a été officiellement révoqué. À présent, qui pour le remplacer ?
À l’Assemblée nationale, Barthélémy Dias a été officiellement révoqué. À présent, qui pour le remplacer ?
Radié de la liste des députés sur demande du ministre de la Justice, Barthélémy Dias n’est plus député. Conformément à la loi, la coalition «Sam Sa Kaddu» qui avait remporté trois sièges (Barthélémy Dias, Anta Babacar Ngom et Cheikh Tidiane Youm) lors des élections du 17 novembre 2024, devra attribuer le siège vacant au suivant sur la liste.
Et donc, en principe, Déthié Fall, classé cinquième, devrait être le remplaçant. Cependant, avant l'ouverture de la campagne électorale, ce dernier avait quitté la coalition pour soutenir la liste de Pastef et avait publiquement promis de ne pas siéger sous la bannière de Sam Sa Kaddu. Si Déthié Fall maintient sa position, le poste reviendrait alors à Papa Djibril Fall, investi en septième position sur la liste.
Leader des Serviteurs, Papa Djibril Fall signerait ainsi son retour à l'Assemblée nationale, après son premier mandat durant In 14e Législature.
LA DIFFICILE LUTTE CONTRE LE TRAVAIL DES ENFANTS AU SÉNÉGAL
Le Sénégal manque encore de données spécifiques sur le travail des enfants, un obstacle majeur pour élaborer des politiques et actions adaptées à ce fléau.
Le Sénégal manque encore de données spécifiques sur le travail des enfants, un obstacle majeur pour élaborer des politiques et actions adaptées à ce fléau. C’est ce qu’a affirmé Mame Coumba Thiaw, coordinatrice nationale de la lutte contre le travail des enfants au ministère du Travail et de l’Emploi, lors d’un atelier organisé à Tambacounda.
« Aujourd’hui, nous ne disposons pas d’enquêtes spécifiques sur le travail des enfants au Sénégal. Pourtant, l’idéal serait de disposer de données précises par région, tenant compte de l’âge des enfants et de la nature des travaux effectués », a souligné Mme Thiaw, également inspectrice du travail et de la sécurité sociale.
Elle a rappelé que la dernière enquête exhaustive remonte à 2005, réalisée par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD). Cette étude, bien que globale, avait permis d’extraire quelques données sur le travail des enfants. Depuis, aucune étude spécifique n’a été menée pour combler ce déficit d’informations.
L’atelier tenu à Tambacounda visait à vulgariser le Plan cadre national d’élimination et de prévention du travail des enfants, élaboré par le ministère du Travail. L’événement, organisé en partenariat avec la coopération allemande (GIZ), a réuni des représentants des pouvoirs publics, notamment le préfet du département de Tambacounda, Alioune Badara Mbengue, ainsi que des acteurs de la société civile.
Ce plan cadre ambitionne d’éradiquer le travail des enfants en tenant compte des réalités locales. « Il est crucial de disposer d’outils fiables pour guider les actions et adapter les politiques aux spécificités régionales », a insisté Mme Thiaw.
Selon la coordinatrice, le manque de données entrave les efforts des pouvoirs publics et des organisations de défense des droits de l’enfant. Elle estime que des enquêtes actualisées sont nécessaires pour mieux cerner l’ampleur et les formes du travail des enfants, notamment dans les zones rurales où la pauvreté et l’insécurité alimentaire exacerbent la vulnérabilité des jeunes.
Le partenariat avec des organisations internationales, telles que la GIZ, illustre l’importance d’une approche collective pour lutter contre le travail des enfants. Ces collaborations permettent d’apporter une expertise technique et des ressources pour renforcer les capacités des acteurs locaux.
Pour garantir une meilleure protection des enfants, le ministère du Travail et ses partenaires envisagent de lancer de nouvelles études pour collecter des données actualisées. Ces informations serviront de base à l’élaboration de stratégies adaptées et ciblées, dans le cadre d’un engagement global pour éradiquer le travail des enfants au Sénégal.
En attendant, le plaidoyer pour la mise en œuvre effective du plan cadre national reste une priorité, afin de protéger les enfants et leur offrir des alternatives favorisant leur éducation et leur bien-être.
LE PROCESSUS DE RADIATION DE BARTHÉLEMY DIAS ENCLENCHÉ !
Barthélémy Dias pourrait officiellement perdre son poste de député dans les prochaines heures. Le processus de sa radiation a été enclenché par le ministre de la Justice.
Barthélémy Dias pourrait officiellement perdre son poste de député dans les prochaines heures. Le processus de sa radiation a été enclenché par le ministre de la Justice.
Barthélémy Dias vit-il ses derniers moments en tant que député ? En effet, la tête de liste de "Samm Sa kaddu" aux législatives est aujourd’hui sur siège éjectable. En cause : le principe juridique qui veut que tout élu ayant fait l’objet d'une condamnation pénale définitive perde son mandat. Pour un député, cette initiative revient au Garde des Sceaux, et dans le cas de Barthélémy Dias, c'est sa condamnation définitive dans l'affaire Ndiaga Diouf qui a été visée par le ministre de la Justice, Ousmane Diagne.
Selon L’observateur, le ministre de la Justice a adressé une correspondance au président de l'Assemblée nationale, Malick Ndiaye, pour l'informer de l'éviction de Barthélémy Dias de son mandat de député. Les membres du bureau de l'Assemblée nationale, récemment élus et réunis hier jeudi à l'Hémicycle, ont été mis au courant de cette décision.
Après cette communication, la notification officielle devait être transmise à Barthélémy Dias avant la fin de la soirée, sauf changement de dernière minute. Aujourd’hui, vendredi, les autres députés de la 15e Législature, installés lundi dernier, seront informés, à leur tour, de la révocation de leur désormais ex-collègue. L'annonce est prévue lors de la plénière consacrée à la ratification des commissions.
DES AVANCÉES NOTÉES DANS LES HYDROCARBURES
Le secrétaire technique du Comité national de suivi du contenu local, Mor Bakhoum, a affirmé, jeudi à Thiès, que des avancées ont été enregistrées dans l’application de la loi sur le contenu local dans le secteur des hydrocarbures.
Le secrétaire technique du Comité national de suivi du contenu local, Mor Bakhoum, a affirmé, jeudi à Thiès, que des avancées ont été enregistrées dans l’application de la loi sur le contenu local dans le secteur des hydrocarbures.
« Des avancées ont été notées dans la mise en œuvre de la loi, spécialement dans le secteur des hydrocarbures, [coïncidant] avec la phase de production du pétrole au niveau de Sangomar, avec les attentes du first gaz au niveau du projet GTA », a notamment indiqué Mor Bakhoum, qui représentait le ministre en charge du secteur à la journée du contenu local dans le secteur extractif à Thiès.
La rencontre était organisée par l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (ANSTS).
‘’La loi a été adoptée en 2019 et a commencé à être appliquée dans le secteur des hydrocarbures vers 2021, et dans le secteur des mines, en début 2024’’, a noté Mor Bakhoum.
Il a souligné que le secrétariat technique s’est attelé à mettre en place un « dispositif de contrôle pour faire de sorte que les entreprises locales qui sont les destinataires premières de cette législation sur le contenu local, puissent capter toutes les opportunités sur la chaîne de valeur dans l’industrie extractive et le secteur du pétrole et du gaz ».
Selon lui, dans le secteur des mines où la législation est relativement nouvelle, des efforts sont en train d’être faits pour sensibiliser sur le potentiel du contenu local.
« Depuis janvier 2004, nous avons vu une évolution positive de l’acceptation de la législation sur le contenu local, à travers les inscriptions sur la plateforme de mise en relation », a soutenu le représentant du ministre des Mines.
Le secrétariat technique a mis en place une plateforme où toutes les opportunités de marché sont publiées, a poursuivi Mor Bakhoum.
‘’L’ANSTS a initié depuis le mois de juin une enquête globale intitulée : +Le secteur extractif, état des lieux et perspectives’’, a, pour sa part, annoncé le Professeur Mouhamed Bachir Diop, membre de l’ANSTS.
‘’Dans le premier trimestre de 2025, l’Académie se rendra à Kédougou pour tenir des journées de réflexion sur le contenu local, lié à l’industrie minière’’, a encore annoncé le Professeur Diop.
Le secrétaire technique du Comité national de suivi du contenu local, Mor Bakhoum, a affirmé, jeudi à Thiès, que des avancées ont été enregistrées dans l’application de la loi sur le contenu local dans le secteur des hydrocarbures.
« Des avancées ont été notées dans la mise en œuvre de la loi, spécialement dans le secteur des hydrocarbures, [coïncidant] avec la phase de production du pétrole au niveau de Sangomar, avec les attentes du first gaz au niveau du projet GTA », a notamment indiqué Mor Bakhoum, qui représentait le ministre en charge du secteur à la journée du contenu local dans le secteur extractif à Thiès.
La rencontre était organisée par l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (ANSTS).
‘’La loi a été adoptée en 2019 et a commencé à être appliquée dans le secteur des hydrocarbures vers 2021, et dans le secteur des mines, en début 2024’’, a noté Mor Bakhoum.
Il a souligné que le secrétariat technique s’est attelé à mettre en place un « dispositif de contrôle pour faire de sorte que les entreprises locales qui sont les destinataires premières de cette législation sur le contenu local, puissent capter toutes les opportunités sur la chaîne de valeur dans l’industrie extractive et le secteur du pétrole et du gaz ».
Selon lui, dans le secteur des mines où la législation est relativement nouvelle, des efforts sont en train d’être faits pour sensibiliser sur le potentiel du contenu local.
« Depuis janvier 2004, nous avons vu une évolution positive de l’acceptation de la législation sur le contenu local, à travers les inscriptions sur la plateforme de mise en relation », a soutenu le représentant du ministre des Mines.
Le secrétariat technique a mis en place une plateforme où toutes les opportunités de marché sont publiées, a poursuivi Mor Bakhoum.
‘’L’ANSTS a initié depuis le mois de juin une enquête globale intitulée : +Le secteur extractif, état des lieux et perspectives’’, a, pour sa part, annoncé le Professeur Mouhamed Bachir Diop, membre de l’ANSTS.
‘’Dans le premier trimestre de 2025, l’Académie se rendra à Kédougou pour tenir des journées de réflexion sur le contenu local, lié à l’industrie minière’’, a encore annoncé le Professeur Diop.
« Des avancées ont été notées dans la mise en œuvre de la loi, spécialement dans le secteur des hydrocarbures, [coïncidant] avec la phase de production du pétrole au niveau de Sangomar, avec les attentes du first gaz au niveau du projet GTA », a notamment indiqué Mor Bakhoum, qui représentait le ministre en charge du secteur à la journée du contenu local dans le secteur extractif à Thiès.
La rencontre était organisée par l’Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal (ANSTS).
‘’La loi a été adoptée en 2019 et a commencé à être appliquée dans le secteur des hydrocarbures vers 2021, et dans le secteur des mines, en début 2024’’, a noté Mor Bakhoum.
Il a souligné que le secrétariat technique s’est attelé à mettre en place un « dispositif de contrôle pour faire de sorte que les entreprises locales qui sont les destinataires premières de cette législation sur le contenu local, puissent capter toutes les opportunités sur la chaîne de valeur dans l’industrie extractive et le secteur du pétrole et du gaz ».
Selon lui, dans le secteur des mines où la législation est relativement nouvelle, des efforts sont en train d’être faits pour sensibiliser sur le potentiel du contenu local.
« Depuis janvier 2004, nous avons vu une évolution positive de l’acceptation de la législation sur le contenu local, à travers les inscriptions sur la plateforme de mise en relation », a soutenu le représentant du ministre des Mines.
Le secrétariat technique a mis en place une plateforme où toutes les opportunités de marché sont publiées, a poursuivi Mor Bakhoum.
‘’L’ANSTS a initié depuis le mois de juin une enquête globale intitulée : +Le secteur extractif, état des lieux et perspectives’’, a, pour sa part, annoncé le Professeur Mouhamed Bachir Diop, membre de l’ANSTS.
‘’Dans le premier trimestre de 2025, l’Académie se rendra à Kédougou pour tenir des journées de réflexion sur le contenu local, lié à l’industrie minière’’, a encore annoncé le Professeur Diop.
MONDIAL DES CLUBS DE FOOTBALL, LES EQUIPES AFRICAINES FIXÉES SUR LEURS SORTS
Les quatre représentants de l’Afrique à la première Coupe du monde des clubs à 32 équipes connaissent leurs adversaires pour la phase des groupes, le tirage au sort, a eu lieu ce jeudi à Miami, aux États-Unis...
Les quatre représentants de l’Afrique à la première Coupe du monde des clubs à 32 équipes connaissent leurs adversaires pour la phase des groupes, le tirage au sort, qui a eu lieu ce jeudi à Miami, aux États-Unis, mettant Al Ahli (Égypte), la Palmeiras (Brésil), le FC Porto (Portugal) et l’Inter Miami (États-Unis) dans le groupe A.
Le club égyptien, les Marocains du Wydad de Casablanca, les Tunisiens de l’ES Tunis et les Sud-Africains de Mamelodi Sundowns sont les représentants de l’Afrique à la Coupe du monde des clubs 2025.
La compétition aura lieu dans plusieurs villes américaines, dont Miami, du 15 juin au 13 juillet. Pour la première fois, 32 équipes vont y prendre part.
Les Égyptiens, vainqueurs de trois (2021, 2023 et 2024) des quatre dernières éditions de la Ligue des champions de la Confédération africaine de football (CAF), sont dans la poule A.
Les Marocains, qui ont remporté la Ligue des champions en 2022, sont logés dans le groupe G, avec les Anglais de Manchester City, les Émiratis d’Al-Aïn et les Italiens de la Juventus.
Les Tunisiens, deuxièmes dans le classement des clubs africains de la CAF, vont rencontrer les Brésiliens du Flamengo, les Anglais de Chelsea et les Mexicains du Club Léon, dans le groupe D.
Quatrièmes au classement des clubs africains établi par la CAF, les Sud-Africains vont partager le groupe F avec les Brésiliens de Fluminense, les Allemands de Borussia Dortmund et les Sud-Coréens d’Ulsan HD.
Le tirage au sort complet :
groupe A : Palmeiras (Brésil), FC Porto (Portugal), Al-Ahly (Égypte), Inter Miami (États-Unis) ;
groupe B : Paris Saint-Germain (France), Atlético de Madrid (Espagne), Botafogo (Brésil), Seattle Sounders (États-Unis) ;
groupe C : Bayern Munich (Allemagne), Auckland City (Nouvelle-Zélande), Boca Juniors (Argentine), Benfica (Portugal) ;
groupe D : Flamengo (Brésil), Espérance de Tunis (Tunisie), Chelsea (Angleterre), Club León (Mexique) ;
groupe E : River Plate (Argentine), Urawa Red Diamonds (Japon), Rayados Monterrey (Mexique), Inter Milan (Italie) ;
groupe F : Fluminense (Brésil), Borussia Dortmund (Allemagne), Ulsan HD (Corée du Sud), Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud) ;
groupe G : Manchester City (Angleterre), Wydad Casablanca (Maroc), Al-Aïn (Émirats arabes unis), Juventus (Italie) ;
groupe H : Real Madrid (Espagne), Al-Hilal (Arabie Saoudite), Pachuca (Mexique), RB Salzbourg (Autriche).
LES GHANEENS AUX URNES SAMEDI POUR ÉLIRE UN NOUVEAU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
Près de 19 millions de Ghanéens, inscrits sur les listes électorales, se rendent aux urnes samedi pour élire un nouveau président de la République parmi douze candidats et renouveler les 275 sièges du Parlement.
Près de 19 millions de Ghanéens, inscrits sur les listes électorales, se rendent aux urnes samedi pour élire un nouveau président de la République parmi douze candidats et renouveler les 275 sièges du Parlement.
Deux parmi les douze candidats en lice pour la présidentielle sont présentés comme les favoris du scrutin. Il s’agit du candidat du parti au pouvoir le NPP (New Patriotic Party (NPP), l’actuel vice-président Mahamudu Bawumia (61 ans) dont la victoire consacrerait l’accession inédite d’un musulman à la magistrature suprême dans ce pays d’Afrique de l’ouest.
Le candidat du NDCC (National Democratic Congress), l’ancien président du Ghana John Mahama (65 ans), défait en 2016 après avoir effectué un seul mandat, est également un sérieux prétendant à la succession de Nana Akufo-Addo qui arrive au terme de son deuxième et dernier mandat de quatre ans à la tête du Ghana.
S’agissant des élections législatives les électeurs ghanéens vont élire les députés des 275 circonscriptions électorales réparties à travers le pays à travers un scrutin uninominal à un tour.
Pour remporter la présidentielle un candidat doit obtenir plus de 50 % des suffrages valablement exprimés. A défaut, un second tour est organisé. En ce qui concerne les élections législatives, tout candidat arrivé premier dans une circonscription remporte le siège en jeu.