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16 juin 2025
par Thierno Alassane Sall
LE LUXE CHOQUANT DE MACKY SALL
Le Sénégal, classé parmi les pays les plus pauvres, peut-il rester indifférent face au faste insolent et ostentatoire de son ancien président, installé royalement à Marrakech et à qui l’on prête la propriété d’un Falcon 7X ?
L’ancien président Macky Sall, désormais VRP de la France, aurait effectué un déplacement de 3 jours à Abidjan à bord d’un jet privé.
Il m’est arrivé à plusieurs reprises de croiser d’anciens chefs d’État africains voyageant sur des lignes commerciales, comme Thabo Mbeki ou Pierre Buyoya.
À une époque où les anciens chefs d’État de grandes puissances mondiales comme la France, le Royaume-Uni ou l’Allemagne privilégient les vols commerciaux, cette extravagance soulève des questions. Le Sénégal, classé parmi les pays les plus pauvres, peut-il rester indifférent face au faste insolent et ostentatoire de son ancien président, installé royalement à Marrakech et à qui l’on prête la propriété d’un Falcon 7X ?
Ce déménagement au Maroc, réalisé sans inventaire et qui n’aurait pas concerné uniquement les albums photos de ses deux mandats, serait-il conforme aux termes du Protocole du Cap Manuel ?
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LE FAUEFAO MISE SUR LE DIGITAL POUR LA BONNE CAUSE
Le Forum pour l’autonomisation économique des femmes en Afrique de l’Ouest s’est trouvé des alliés idéaux que sont les journalistes, les jeunes chercheurs et les étudiants, tous formés au blogging afin d’accompagner la mission du Forum.
Le Forum pour l'autonomisation économique des femmes en Afrique de l'Ouest (FAUEFAO) s'est trouvé ses alliés et les met à niveau pour accompagner sa vision de l'autonomisation économique des femmes dans la sous-région ouest africaine. Il s'agit des blogueurs, des journalistes et des jeunes chercheurs pour soutenir cette cause juste.
L'autonomisation économique des femmes est un des aspects du point 5 des Objectifs de développement durable des Nations Unies qui prône «l'égalité des sexes ». Ce concept consistant dans une certaine mesure a un rééquilibrage des genres correspond très précisément au point 5. 5 des ODD qui recommande de : «Garantir la participation entière et effective des femmes et leur accès en toute égalité aux fonctions de direction à tous les niveaux de décision, dans la vie politique, économique et publique ».
Sans une bonne communication, l'objectif risque de ne pas être atteint au grand dam de ceux qui se mobilisent pour cette cause. Le Forum pour l'autonomisation économique des femmes en Afrique de l'Ouest (FAUEFAO) s'inscrit sans doute dans cette perspective et à juste titre.
En effet, les femmes dans différentes parties du globe, celles du milieu rural en l’occurrence, sont victimes de nombreuses injustices sur tous les plans.
Qu'elles soient du milieu rural ou urbain, sur le plan économique, elles n’ont pas toujours accès et le contrôle des ressources.
Accablées par des travaux domestiques non rémunérés, sur le plan social, leur accès au marché de l’emploi reste hypothéqué. Et même lorsque elles y accèdent, elles croisent un vilain démon qui se nomme inégalité salariale quand bien même elles seraient d’égales compétences et qualifications égales que leurs collègues masculins. Pourtant, elles demeurent la cheville ouvrière de l’entretien du foyer du bien-être de toute la cellule familiale au quotidien.
De toute évidence, si les femmes sont économiquement autonomes, théoriquement, c’est la maisonnée qui sera socialement épanouie. C’est en cela que le concept de l’autonomisation économique des femmes est d’une pertinence évidente et mérite adhésion et soutien de tous.
Le forum pour l’autonomisation économique des femmes en Afrique de l’Ouest est, de ce point de vue, sur la bonne voie de réparation de cette injustice.
Si la femme n’est pas l’égal de l’homme du point de vue physiologique certes, elle devrait l’être en termes de droit, d’égalité de genres.
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LA FRACTURE INVISIBLE
Alioune Tine dénonce une dangereuse "ligne de partage" qui s'installe dans le pays. Son diagnostic est sans appel : le nouveau pouvoir s'isole, laissant une grande partie de la population sur le bord de la route
Ce dimanche 25 août 2024, lors de l'émission "Grand Jury" sur TFM, Alioune Tine, fondateur d'Africajom Center et figure respectée de la société civile, a dressé un tableau préoccupant de la situation politique du pays.
Au cœur de son analyse, l'émergence d'une inquiétante "ligne de partage" au sein de la société sénégalaise. "Il y a une espèce de ligne de partage, une espèce de discrimination dont souffrent beaucoup de Sénégalais", alerte-t-il. Cette fracture, selon lui, découle directement de l'attitude du nouveau pouvoir.
"Nous sommes à la croisée des chemins", insiste Alioune Tine, appelant à un "dialogue rénové" et à une gouvernance plus inclusive. Il exhorte le pouvoir à "mettre en mouvement la société" plutôt que de se replier sur ses partisans.
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L'OUEST AFRICAIN À LA DÉRIVE
Ibrahima Kane met en garde contre les risques d'une désintégration de la CEDEAO et appelle à une refonte en profondeur de la gouvernance. Il indique que l'heure n'est plus aux demi-mesures mais à une action décisive pour sauver l'unité
Ce dimanche 25 août 2024, l'émission "Objection" de Sud FM a reçu Ibrahima Kane, éminent spécialiste des relations internationales. Dans une intervention percutante, il a dressé un tableau sans concession de la situation actuelle en Afrique de l'Ouest.
"La CEDEAO est en train de payer le prix de ses erreurs", a déclaré Kane, pointant du doigt les sanctions drastiques imposées au Niger sans dialogue préalable. Cette approche, selon lui, a exacerbé les tensions régionales et poussé trois pays - Mali, Burkina Faso et Niger - vers la sortie.
Kane n'a pas mâché ses mots concernant les défis structurels de la région : "Nous sommes face à une pauvreté endémique, une insécurité grandissante et une gouvernance défaillante. Il est temps de repenser notre modèle de développement."
L'expert a également abordé la situation politique au Sénégal, soulignant les défis auxquels fait face le nouveau gouvernement. Il a insisté sur l'urgence de réformer le système judiciaire, proposant une implication accrue des citoyens dans son fonctionnement.
"L'Afrique doit s'unir ou disparaître", conclut Kane, appelant à une plus grande solidarité régionale face aux crises mondiales.
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LA MEILLEURE PLACE POUR SONKO C’ÉTAIT LA PRÉSIDENCE, SELON ALIOUNE TINE
Pour le fondateur d'Afrikajom Center, le chef du gouvernement "a intérêt à ce qu’il gouverne dans un contexte pacifié, où il y a un débat de fond", parce qu’aujourd’hui il n’y en a pas.
Aujourd’hui, Bassirou Diomaye Diakhar Faye est le président de la République. Mais, c’est bien Ousmane Sonko qui gouverne. C’est l’avis d'Alioune Tine qui a relevé certaines insatisfactions.
«Aujourd’hui, qu’on le veuille ou non, Sonko gouverne». Invité du Grand Jury de la Rfm, le président d'Afrikajom center a, cependant, tenu à conseiller l’actuel Premier ministre sur la question.
Pour lui, le chef du gouvernement « a intérêt à ce qu’il gouverne dans un contexte pacifié, où il y a un débat de fond, parce qu’aujourd’hui il n’y a pas de débat de fond.» Il a d'ailleurs encouragé Ousmane Sonko qui s’est dit prêt à débattre avec son opposition.
Mais, ce qui pose problème pour lui, c’est inaccessibilité du chef du gouvernement. «Il gouverne le Sénégal et en même temps il est chef de parti. Beaucoup demandent, personne ne le voit (…)Il faut que Sonko sorte de cette contradiction. C’est extrêmement important», conseille-t-il.
Pour M. Tine, Sonko aurait été mieux dans un autre poste. «Moi je voyais bien Sonko à la présidence. C’aurait été bien, parce que c’aurait été très clair. Directeur de cabinet du président de la République, qu’il cogère. Il n’y aurait pas eu cette espèce de confusion des rôles. La meilleure place pour Sonko c’était la Présidence», dit-il.
RENFORCEMENT DES DISPOSITIFS SANITAIRES CONTRE LE MPOX À L'AIBD ET AU PORT DE DAKAR
Les mesures de surveillance épidémiologique sont pleinement opérationnelles à l’Aéroport international Blaise Diagne et au Port autonome de Dakar, selon le directeur général de la santé publique, Dr Ousmane Cissé, après une visite d’évaluation.
Dakar, 25 août (APS) – Les dispositifs de surveillance épidémiologique mis en place à l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) et au Port autonome de Dakar (PAD) pour renforcer les mesures préventives contre le mpox, détecter et prendre en charge les cas suspects mais aussi parer à toute propagation du virus sont opérationnels, a assuré samedi le directeur général de la santé publique, docteur Ousmane Cissé.
‘‘Nous avons, aussi bien à l’aéroport international Blaise Diagne qu’au Port autonome de Dakar, un personnel bien formé et du matériel nécessaire à leur disposition pour détecter le virus du mpox et prendre en charge les cas suspects si la situation venait à se présenter’’, a-t-il déclaré.
Le docteur Cissé effectuait, samedi, une visite d’évaluation du niveau d’opérationnalité des unités de coordination des dispositifs de surveillance sanitaire du mpox aux frontières aériennes et maritimes, basés à l’AIBD et au port de Dakar, deux points d’entrées importants dans le pays.
Le directeur général de la santé publique s’est dit satisfait et rassuré, au terme de sa visite des dispositifs sanitaires mis en place à l’AIBD et au PAD pour détecter le virus du mpox.
‘’Nous sommes satisfaits du dispositif aéroportuaire et portuaire en place et prochainement nous allons visiter les points d’entrées terrestres’’, a annoncé M. Cissé, assurant qu’’’à ce jour, le Sénégal n’a aucun cas confirmé de la variole du singe’’.
Charles Bernard Sagna, chef du centre de surveillance épidémiologique aux frontières aériennes, basé à l’AIBD, précise que le dispositif de cet aéroport “comprend 35 agents répartis en quatre groupes’’.
‘’Nous avons 35 agents repartis en quatre groupes qui assurent une surveillance permanente. Nous avons également une salle d’isolement des passagers présentant des symptômes du mpox, du matériel de prélèvement et une ambulance pré-positionnée ’’, a indiqué le docteur Sagna.
Du côté du Port autonome de Dakar (PAD), le dispositif de surveillance est ‘’opérationnel et bien effectif’’, a assuré le docteur Serigne Ousmane Sokhna, chef du centre de surveillance épidémiologique aux frontières maritimes.
‘’Notre équipe a subi une formation sur la maladie et dispose d’équipements nécessaires. Elle est prête à intervenir à tout moment’’, assure le docteur Sokhna.
Le mpox, appelé également variole du singe, est une maladie virale qui se propage de l’animal à l’homme par le biais d’un contact physique étroit.
Elle provoque de la fièvre, des douleurs musculaires et des lésions cutanées, au niveau du visage, des mains, des pieds, du corps, de la région périanale ou des organes génitaux.
En Afrique, la maladie connaît une recrudescence en République démocratique du Congo, au Burundi, au Kenya, au Rwanda et en Ouganda. Le Gabon a annoncé, vendredi, avoir détecté un premier cas.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché le 14 août dernier son plus haut niveau d’alerte sanitaire au niveau international face à la résurgence des cas de mpox en Afrique.
DÉBORDEMENT DE LA FALÉMÉ, LA SITUATION REVIENT ‘’PROGRESSIVEMENT À LA NORMALE’’
A la station hydrologique de Kidira, le niveau du plan d’eau a commencé à baisser, depuis samedi à 18 heures, passant de 9,76 mètres à 9,58 mètres ce matin, s’éloignant ainsi de la cote d’alerte qui y est de 10 mètres.
Dakar, 25 août (APS) – La situation revient ‘’progressivement à la normale’’ à Kidira où le débordement de la Falémé, affluent principal du fleuve Sénégal, a occasionné ‘’une perturbation temporaire de la circulation routière et des activités économiques’’, a-t-on appris dimanche, de source officielle.
‘’La situation revient progressivement à la normale à Kidira, après les débordements du fleuve constatés hier (samedi) et qui ont occasionné une perturbation temporaire de la circulation et des activités sur la route nationale (Kidira-Tamba)’’, lit-on dans un communiqué du ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement parvenu dimanche à l’APS.
‘’A la station hydrologique de Kidira, le niveau du plan d’eau a commencé à baisser, depuis hier (samedi) à 18 heures, passant de 9,76 mètres à 9,58 mètres ce matin, s’éloignant ainsi de la cote d’alerte qui y est de 10 mètres’’, informe le texte.
Le communiqué indique également qu’à Bakel, ‘’la tendance haussière du niveau de l’eau se poursuit, la cote d’alerte de 10 mètres est dépassée de 18 centimètres, ce matin’’.
‘’Du côté de Matam, le plan d’eau du fleuve Sénégal est à 06 centimètres du seuil critique de 08 mètres de la cote d’alerte qui pourrait être atteinte dans la journée, avec des risques élevés d’inondation dans cette zone de la vallée du fleuve Sénégal’’, prévient le communiqué.
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MANIFESTANT ET OPPOSANT, MÊME DESTIN RÉPRESSIF?
On ne peut pas prétendre être en démocratie et que le citoyen soit traqué, matraqué, gazé et emprisonné pour avoir manifesté son insatisfaction. Que le pouvoir Diomaye et Sonko qui y ont été victime change cela en mettant en application le Pacte.
Avec la mise en œuvre du Pacte national de bonne gouvernance démocratique, la voix du citoyen devrait être davantage entendue à travers des moyens comme une pétition dans laquelle, il exprime son opinion aux gouvernants ou d'autres canaux, indépendamment des rendez-vous électoraux formels, estime Mamadou Mignane Diouf, le coordonnateur du Forum social au Sénégal.
L'exécutif, selon Mignane Diouf, ne devrait en aucun cas assimiler des manifestations d’insatisfaction des citoyens à l'expression d'opposant comme ce fut le cas dans un passé récent avec le régime de Macky Sall, qui fit arrêter et emprisonner à tour de bras des citoyens dans l'exercice de leur droit constitutionnel, sans compter ses opposants, aujourd’hui aux commandes du pays.
Le Pacte de bonne gouvernance bannit de tels écarts qui sont indignes d’une démocratie. Il met au contraire le citoyen au cœur du jeu démocratique.
Alors que sous d’autres cieux, l’opposant à toute la respectabilité qui sied à son statut, en Afrique, c’est toujours un homme ou une femme à abattre aux yeux des tenants du pouvoir.
Et cela ne concerne pas seulement des pays autoritaires du continent, mais c'est aussi une réalité dans des pays plus ou moins « démocratiques» ou qui ont en tout cas une certaine expérience.
En effet, le sort de l’opposant, surtout quand il est influent et défiant vis-à-vis du pouvoir, c’est la traque, la matraque, la répression, du gaz lacrymogène et en définitive, c’est la cellule. Très malheureusement, même quand le citoyen sur la base de constat d’insatisfaction manifeste son droit en s'exprimant ou en marchant, c’est le sort réservé à l’opposant qu’on lui oppose parce qu’il est vite assimilé tout simplement à un opposant.
Au Sénégal, avec le pacte national de bonne gouvernance, cette tare démocratique devrait disparaître. Reste à savoir si les actuels tenants du pouvoir qui ont été victimes de telles violations de leurs droits de la part du défunt régime vont s’engager pour que plus jamais d’autres après eux ne subissent le même destin.
Pour sûr, ils n’ont pas besoin de réfléchir plus que cela. Le travail a été déjà fait gratuitement pour eux par les acteurs de la société civile. Ils n’ont juste qu’à adopter et à mettre en application cet outil qu’est le Pacte national de bonne gouvernance démocratique.
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GOUVERNER PLUS ET MIEUX SOUS LE CONTROLE DU CITOYEN
Engagement politique, citoyen et moral, avec le Pacte, le citoyen doit être plus actif et ne pas subir les turpitudes et les desideratas des politiques. Il doit prendre conscience de ce qu’il est lui-même un pouvoir qui doit pouvoir arrêter le pouvoir
Membre de la société civile sénégalaise et partie prenante du mouvement altermondialiste, Mamadou Mignane Diouf est le coordonnateur du Forum social sénégalais. Son association travaille sur les questions de gouvernance, de citoyenneté, des droits humains ... Mignane Diouf a participé aux différentes étapes de l'élaboration du Pacte national de bonne gouvernance démocratique.
Dans cette entrevue, M. Diouf nous parle de cet outil de gouvernance que les nouvelles autorités avaient pris l'engagement de mettre en application. Le Pacte devrait s'il est mis en oeuvre améliorer la gouvernance, approfondir la démocartie et renforcer la citoyenneté au Sénégal même si à l'échelle de la planète la gouvernance pose question et invite à l'introspection. Le Sénégal bel et bien se démarquer gâce au Pacte.
Le monde moderne malgré ses avancées technologiques sur tous les plans, demeure un monde mal gouvernée, injuste, violent à tout point de vue. Les inégalités sociales persistent, les conflits et les guerres éclatent par endroits sur la planète, la faim, et même la soif sévissent dans certains endroits du globe. Certains de ces maux dont souffrent la planète auraient dû être évités si la justice sociale, la bonne gouvernance et le respect du citoyen étaient érigés en règle. Mais tel n’est pas le cas. Il est temps de poser les actes afin de solutionner ces problèmes.
Au Sénégal, des citoyens ont pris l’initiative de trouver une solution au mode de gouvernance inefficace, solitaire et exclusif qui depuis les indépendances, écarte le citoyen. C’est tout comme si on pouvait faire démocratie sans citoyens alors même que c’est ce même citoyen qui élit périodiquement les dirigeants. Mais force est de constater que les dirigeants ne se font pas le devoir de lui rendre compte de leur gestion.
Prenant conscience de cette situation et sur la base des conclusions des Assises nationales et du Rapport de la Commission nationale de la réforme des institutions (CNRI), il a été élaboré le pacte national de bonne gouvernance démocratique appelé le Pacte national de bonne gouvernance démocratique.
La finalité ? Renforcer la démocratie, l’Etat de droit, proportionner les super pouvoir du président de la République en faveur du citoyen et d’autres institution comme l’Assemblée nationale.
Cet outil de gouvernance est un engagement politique, moral, citoyen visant à changer le mode gouvernance solitaire et exclusif des gouvernants. Le pacte promeut une gouvernance fondée sur la participation et la reddition des comptes, la distribution équitable des ressources, la méritocratie.
LES LIONNES S’OFFRENT LE RWANDA ET UNE FINALE CONTRE LA HONGRIE
En grande difficulté dans l’entame, les Lionnes ont su canaliser les ardeurs de leurs adversaires rwandaises dans une demi-finale à suspense, samedi (68-65), pour rejoindre la Hongrie en finale de ce tournoi préqualificatif au Mondial 2026
En grande difficulté dans l’entame, les Lionnes ont su canaliser les ardeurs de leurs adversaires rwandaises dans une demi-finale à suspense, samedi (68-65), pour rejoindre la Hongrie en finale de ce tournoi préqualificatif au Mondial 2026. Rendez-vous dimanche ce dimanche (15h00 GMT).
Et si l’air du Rwanda était en train de totalement redonner un nouveau souffle à l’Equipe Nationale féminine du Sénégal. Après une phase de groupes passer sans encombre (Hongrie, Brésil, Philippines), les Lionnes se sont imposées, ce samedi 24 août, dans une demi-finale franchement pas gagnée d’avance contre une équipe du Rwanda poussée par son public. Les filles d’Otis Hughley Jr. l’emportent par 68 à 65 et se hissent en finale de ce tournoi qualificatif pour la prochaine Coupe du Monde, prévue en 2026.
Le Sénégal était pourtant bien mal partie dans ce match avec un premier quart-temps concédé 15-23 contre une Allemagne menée par une excellente Ineza Sifa. Yacine Diop, Ndioma Kane et Cierra Dillard se montrant particulièrement peu adroites au panier. Mais il y avait Néné Awa Ndiaye et Fatou Pouye pour répondre à des Rwandaises diaboliquement efficaces. Mais pour autant, les joueuses de Cheikh Sarr continuaient d’imposer leur propre rythme, alors que les Sénégalais ne profitaient pas de leurs lancers-francs.