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LES PIQUES DE L'AS DE CE MARDI

SenePlus  |   Publication 05/03/2019

L’APR se tape un siège en un temps record

Si beaucoup se plaignent de la conjoncture, ce n’est sans doute pas le cas des apristes. En effet, le parti du Président s’est construit en moins d’un an un siège chic. C’est en janvier 2018 que la construction du siège de l’Alliance pour la République (APR) avait débuté. Il a été bâti sur un terrain de 2000 m2, situé sur l’avenue Cheikh Anta Diop, qui appartenait à Dakar Dem Dikk et acquis par le parti. Un an après, jour pour jour, il a été réceptionné par le président de la République pour servir de Quartier général à Benno Bokk Yakaar lors de la présidentielle du 24 février 2019. Une telle célérité dans la réalisation d’un immeuble de cette taille a été rarement vue au Sénégal. Selon des sources sûres, la construction du siège de l’APR aura coûté la rondelette somme de 1 milliard de francs CFA, entre les travaux et l’équipement. Audelà de la polémique sur la cession du terrain estimée à 1 milliard, le président de l’APR avait fait un appel volontaire aux dons des militants. En un temps record, des bonnes volontés avaient mobilisé la somme nécessaire.

Procès de jeunes de l’opposition

Les jeunes de l’opposition arrêtés après le scrutin du dimanche 24 février seront à la barre du tribunal des fragrants délits ce matin. Ils vont répondre des chefs d’accusations de trouble à l’ordre public et rassemblements non autorisé. Il s’agit de neuf jeunes et adultes dont trois femmes, selon leur avocate Me Fatou Ndiaye Touré. Ils sont plus chanceux que leurs deux autres camarades qui manifestaient devant les locaux de la Rts. Ces derniers sont toujours  en garde-à-vue à la Sureté urbaine et seront déferrés incessamment. Tout indique qu’ils seront présentés à un juge d’instruction qui les placera sous mandat de dépôt et ouvrira une information judiciaire.

Les leaders de l’opposition au tribunal aujourd’hui

Le Palais de justice de Dakar va renouer avec les grandes affluences de jeunes et responsables politiques. Pour cause, les leaders de l’opposition dont les jeunes militants sont arrêtés, ont battu le rappel des troupes pour soutenir ces derniers. Après une réunion de coordination entre leaders, Malick Gakou et Cie vont assister au procès pour réconforter leurs militants. La sécurité du Palais de justice a du pain sur la planche.

Ultimatum à Macky

Courroucés par l’arrestation de leurs camarades, les jeunes de l’opposition donnent un ultimatum au Président Macky Sall. Face à la presse hier, Bassirou Samb et Cie préviennent le régime en place qu’ils ne resteront pas les bras croisés si leurs camarades sont maintenus dans les liens de détentions. La jeunesse de l’opposition prend à témoin l’opinion publique que dans les prochains jours, si Macky Sall ne libère pas leurs camarades retenus arbitrairement, elle appellera à un grand rassemblement pacifique à la Place de la Nation et elle y restera jusqu’à ce que justice soit rendue. Face à l’intimidation, dit le responsable des jeunes proches de Khalifa Sall, «nous résisterons».

Un ultimatum à Macky (bis)

Le paradoxe, selon Bassirou Samb, c’est qu’au lieu de travailler pour la paix et la stabilité du pays, le pouvoir met le feu aux poudres. «Il est dangereux de constater qu’en cette période post-électorale, paradoxalement c’est l’opposition qui cherche à préserver la paix là où le régime attise sans cesse les tensions qui peuvent embraser le pays», a soutenu hier ce jeune responsable de l’opposition qui interpelle, par ailleurs, les organisations de défense des droits humains. Les jeunes de l’opposition défient le pouvoir en place en soutenant que l’intimidation par des arrestations arbitraires ne passera pas. Selon Bassirou Samb, ils continueront de rejeter les résultats de la présidentielle qui «est un coup d’Etat électoral». Il dénonce les provocations faites par le régime de Macky Sall contre les populations pour instaurer un climat de peur et museler l’opposition. Pour lui, les contestations des résultats de l’élection présidentielle sont une manifestation de la liberté d’expression qui est garantie par la Constitution.

Le responsable départemental de ADK Dakar libre

Restons avec les arrestations d’opposants, depuis un certain moment. Pour dire qu’à la suite des affrontements entre la caravane Idy2019 et celle de responsables l’Alliance pour la République (Apr) à la Médina, que le khalifiste El hadj Baba Thiam a fait face au juge hier au tribunal des flagrants délits. Mis sous mandat de dépôt et écroué à la prison de Rebeuss, le responsable départemental de ADK de Dakar n’a pas accompli son devoir civique. El hadji Baba Thiam a été condamné à 6 mois avec sursis. Il a humé l’air de la liberté à l’issue du procès.

Précision de Me Ndèye Fatou Touré

Nous avons écrit hier par inattention dans nos colonnes que le Colonel à la retraite, Abdourahim Kébé est assisté par l’avocate Me Ndèye Fouta Touré. En réalité, il s’agit de Me Fatou Ndiaye Touré. D’ailleurs, l’ancienne députée Me Ndèye Fatou Touré a câblé «L’As» pour apporter la précision. Toutes nos excuses aux deux robes noires et aux lecteurs.

Vers la dissolution de l’Assemblée Nationale

L’idée de dissoudre l’Assemblée nationale et d’harmoniser le mandat des députés avec celui du Président Macky Sall fait son petit bonhomme de chemin. Théorisée par Me Aïssata Tall Sall sur Rfm, l’idée trouve un écho favorable auprès du président du groupe Benno Bokk Yakaar, Aymérou Gningue. Joint au téléphone par nos confrères de «iRadio», le président du groupe parlementaire de la majorité dit ne pas être contre cette éventualité. Le maire de Mérina Dakhar pense que le changement de la durée du mandat présidentiel devrait amener à une telle réflexion. «Quand le Sénégal passe d’un septennat à un quinquennat, il est plus judicieux que la Présidentielle et les législatives se déroulent la même année», a-til indiqué. Parce que, estime le député de l’Apr, «un président de la République nouvellement élu a besoin d’une majorité confortable». Toutefois, M.Gningue trouve que l’idée de Me Aïssata Tall Sall est à approfondir pour dégager un large consensus. Pour ce faire deux hypothèses s’imposent : soit le Président prolonge le mandat des députés de deux ans ou alors il dissout l’Assemblée et organise des législatives anticipées. Ce qui l’amènerait à coupler les élections.

Les sauvageons de l’Apr..

Après la proclamation des résultats provisoires par la Commission Nationale de Recensement des Votes donnant comme vainqueur le Président Macky Sall, les jeunes de la mouvance présidentielle sont montés au créneau pour expliquer que 2.554.605 Sénégalais soit un taux de 58,7% ont plébiscité la politique de leur candidat. Ce qui montre à suffisance que les Sénégalais ont choisi la continuité, grâce aux transformations positives faites, notamment avec le Pse.

…tirent sur l’opposition

En outre, il dénonce vigoureusement l’attitude et la posture irresponsable -des candidats de- l’opposition, qui, à travers un communiqué ont décidé de faire fi de tous les instruments et voies de recours légaux en démocratie. «Ils devraient accepter la victoire du Président Macky Sall. En plus, au Sénégal, un holdup électoral n’est plus possible parce que les candidats ont leurs mandataires qui siègent dans les bureaux de vote. Nous n’avons pas besoin de leaders politiques qui appellent à l’insurrection», dit-il. Par la même occasion, Les jeunes de la mouvance présidentielle de Dakar demandent à l’État de prendre toutes ses responsabilités pour faire face à  toute tentative de déstabilisation du pays et de remise en cause de l’ordre public. «Par rapport aux arrestations, nous ne sommes pas dans un marché où tout le monde peut se permettre de faire du n’importe quoi. Nous sommes dans un Etat de droit où il y a des règles et des lois qu’il faut respecter», soutient le coordonnateur des jeunes de la mouvance présidentielle. «Il est inadmissible dans un Etat de droit que l’on permette à des gens de sortir pour appeler à une insurrection. Ce n’est pas acceptable et force restera à la loi. Ceux qui leur demandent de porter ce combat, leurs fils ne le font pas».

Les avocats de l’Etat saluent le revers de Karim Wade

Contrairement aux avocats de Karim Wade qui ont décidé de saisir le comité des droits de l’homme des Nations-Unies pour tenter de rétablir le droit fondamental de leur client à participer librement à la direction des affaires publique de son pays, après qu’il a été débouté par la Cour de justice de la CEDEAO, les avocats de l’Etat du Sénégal, par contre, crient à la victoire. Mieux, ils se félicitent de cette décision de la Cour de justice de la CEDEAO qui, avec celle rendue par ladite juridiction dans l’affaire Etat du Sénégal contre Khalifa Sall le 21 février dernier, sont «d’excellentes décisions qui consacrent la victoire du Droit sur les accusations sans fondement contre la Justice sénégalaise  », commente le pools d’avocats qui défend les intérêts de l’Etat du Sénégal dans ces différents dossiers politico-judiciaires. En effet, dans un communiqué parvenu à l’As, les confrères de Me Baboucar Cissé informent que la Cour de justice de la CEDEAO a déclaré «mal fondées » les demandes de Karim Wade, avant de le débouter «purement et simplement». Revenant sur la requête, les robes noires rappellent les différents points qui ont motivé la saisine. «Karim Wade avait notamment demandé à la Cour : d’ordonner à l’Etat du Sénégal de rétablir son nom sur les listes électorales et de lui délivrer une carte d’électeur ; d’être éligible ; de dire que le code électoral du Sénégal tel que modifié en son article L57 est une violation du droit de libre participation aux élections », rappelle le communiqué des avocats de l’Etat qui informe que sur tous ces points, la Cour de justice de la CEDEAO a considéré que l’Etat du Sénégal « n’a violé aucun des droits » de Karim Meissa Wade. Par conséquent, il a été tout simplement débouté de ses demandes comme mal fondées. Cette décision, de l’avis des conseils de l’Etat, témoignent de l’Etat de droit de notre pays Le bureau de la Poste Gabou cambriolé, 6 millions emportés Les zones frontières présentent beaucoup de risques pour les institutions financières. Hier, le bureau de la Poste de Gabou, une localité du département de Bakel qui a été cambriolé par des malfaiteurs lourdement armés. Ils ont emporté 6 millions de francs Cfa.

Grève des travailleurs de l’hôpital régional de Thiès

Les travailleurs de l’hôpital régional, Amadou Sakhir Ndiéguène de Thiès décrètent la fin de la campagne électorale. Les blouses blanches ont observé une grève de 24h en guise d’avertissement aux autorités, notamment le Directeur de l’hôpital. Selon ces derniers, la  structure hospitalière fait face à d’énormes problèmes. Les travailleurs réclament une répartition équitable de la motivation interne, le paiement des heures supplémentaires 201-18, le relèvement de l’indemnité de transport, le paiement du reliquat de l’indemnité de risque, le recrutement des pré-embauches dont les contrats sont arrivés à termes depuis le 30 décembre 2018, le reclassement des ex-agents de nettoiement et la régularisation avec les institutions sociales

Ibrahima Khalil Wade quitte le journal Enquêtes

L’enquêteur en chef a rendu le tablier. Le Directeur de Publication du quotidien «Enquêtes» a démissionné hier de son poste pour convenance personnelle. Ibrahima Khalil Wade va marquer une pause dans sa carrière journalistique. Le Journal a organisé le pot de départ du désormais ex-dirpub hier en présence de tout le personnel.

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