LES PIQUES L'AS DE CE WEEK-END

Le ministre Mamadou Talla
Le ministre de l’Education Nationale a annoncé hier sur la télévision nationale que les enseignants souffrant de maladies chroniques seront épargnés de la reprise des cours prévue le 2 juin prochain. Selon le ministre Mamadou Talla, c’est pour ne pas risquer la vie de ces personnes qui sont devenues très vulnérables au Covid-19, au vu de l’évolution de la maladie dans notre pays. Il en a fait la révélation hier au micro d’Abdoulaye Barry de la «Rts». Si on suit sa logique, les élèves qui souffrent de maladies chroniques devraient bénéficier des mêmes mesures. vivement la fin de cette coronacrise.
5 cas nouveaux cas à Tambacounda dont un agent de santé
La liste d’agents santé infectés par le coronavirus à Tambacounda s’allonge. En fait parmi les 121 nouveaux cas annoncés hier par le ministère de la Santé et de l’Action, Tambacounda compte 5 cas dont un agent de santé. Ce qui porte à 12 le nombre d’agents qui ont chopé le Covid-19. Les quatre autres cas sont des contacts suivis par les autorités sanitaires. A ce jour, le district sanitaire de la capitale du Sénégal Oriental compte 18 cas. Du côté de Goudiry précisément au village Féténiébé d’où sont venus les premiers cas de la région, 14 patients sont guéris du Covid-13 ces deux derniers jours. Le district de Goudiry a enregistré depuis le début de la pandémie 63 cas.
278 cas à Touba et 42 cas à Mbacké
La capitale du mouridisme a renoué hier avec les prières en masse du vendredi. Mais, les fidèles se sont conformés aux recommandations du Khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké à savoir le respect des gestes barrières. Il s’agit de se laver les mains à l’entrée de l’esplanade de la mosquée et prendre du gel à l’entrée de la mosquée en plus de porter un masque. A l’intérieur de la mosquée, la distanciation sociale a été de rigueur. En tout cas, c’est cette attitude qui peut sauver Touba d’un ravage du Covid-19. Déjà que la ville reste le second foyer de la pandémie derrière Dakar. D’ailleurs, hier Touba a enregistré 6 nouveaux cas dont un issu de la transmission communautaire. Ce qui porte à 278 cas confirmés depuis le début de la pandémie. Quant à la commune de Mbacké, elle a registré hier 2 nouveaux cas, ce qui porte à 42 le nombre total de personnes contaminées.
Mort suspecte d’une femme à Kounoune
C’était la consternation hier, dans l’après-midi à Kounoune. Une femme âgée de 69 ans du nom de Khady Diouf, habitant à la Cité Air France de cette localité, a été retrouvée morte dans des conditions suspectes. D’après des sources de «L’As», le drame s’est produit vers 15 heures. Pour le moment, la cause exacte de cette disparition reste inconnue. Mais des indiscrétions font savoir que Khady Diouf retrouvée baignant dans une mare de sang aurait eu une altercation avec sa belle-fille du nom de Saoudou Nd. Cette dernière, d’après nos sources, aurait dans un premier temps chauffé de l’eau pour ébouillanter sa belle-mère. Elle aurait changé de méthode en usant cette fois-ci d’un objet (morceau de robinet) pour s’en prendre violemment à la vieille qui va mourir sur le coup. Alerté par les cris de détresse, le voisinage s’est dépêché sur les lieux pour constater le drame. C’est le moment choisi alors par Saoudou Nd. pour prendre la fuite. Elle n’est pas allée loin, puisqu’elle a été attrapée par les jeunes du quartier qui l’ont livrée aux gendarmes de Sangalkam. Les pandores ont placé la présumée meurtrière Saoudou Nd en garde-à-vue en attendant les résultats de l’autopsie. La dépouille est déposée par les soldats du feu à la morgue de l’hôpital Aristide le Dantec.
Drame à Wakhinane-Nimzaat
Adama Sow, âgé de 57 ans, a été retrouvé mort à WakhinaneNimzaat. Selon des témoignages recueillis par «L’As», le drame s’est produit hier, aux environs de 9 heures. D’après des témoins, Adama Sow qui marchait sur la route sablonneuse menant vers la Cité Asecna est subitement tombé en syncope aux abords du Terminus 41. Les personnes qui se trouvaient sur les lieux sont allées rapidement le secourir. Hélas, c’était trop tard. Adama avait déjà rendu l’âme. Alertés, les sapeurs-pompiers ont fait le déplacement sur les lieux avant d’évacuer le corps sans vie de la victime à l’hôpital Aristide le Dantec pour les besoins de l’autopsie. Ce, suite à une réquisition de la Police de Wakhinane-Nimzaat qui a ouvert une enquête.
Couvre feu à Wakhinane
Restons à Wakhinane-Nimzaat où certains habitants de cette commune administrée par le maire Racine Talla bravent le couvre-feu. Les jeunes s’évertuent souvent à des courses poursuites dans les rues avec les forces de l’ordre. Sous le couvert de l’anonymat, un notable du quartier a joint «L’As» pour dénoncer le comportement des jeunes qui frise l’indiscipline. Ce notable de Wakhinane-Nimzaat, qui salue le travail des policiers pour leur patriotisme, s’est aussi réjoui de leur disponibilité pour faciliter l’évacuation des malades dans la commune malgré les restrictions du Couvre-feu.
Bara Touré qui aurait égorgé ses 2 fils écroué
Inculpé pour meurtre avec acte de barbarie, Bara Touré, qui est accusé d’avoir égorgé ses deux enfants Serigne Mbacké Madina Touré (3 ans) et Mame Daouda Touré (2 ans), a été placé sous mandat de dépôt, hier (vendredi 15 mai), après son face à face avec le juge d’instruction du deuxième cabinet du tribunal de grande instance de Diourbel. Les faits qui se sont produits au quartier Darou Rahmane Touba remontent au 27 septembre 2019. Il était presque 6h du matin lorsque les deux corps des jeunes garçons, Serigne Mbacké Madina Touré (3 ans) et Mame Daouda Touré (2 ans) égorgés, ont été découverts gisant dans une mare de sang. Et comble de barbarie, c’est leur père qui, après avoir découvert les cadavres, a alerté toute la famille avant d’aviser les sapeurs-pompiers etla police. Mais lorsque les soupçons ont commencé à s’orienter vers lui, Bara Touré a tenté de se suicider. Il a eu la vie sauve grâce à son évacuation à l’hôpital Matlaboul Fawzeyni de Touba. Et comme le crime n’est jamais parfait, il sera confronté par les résultats des autopsies et les indices rassemblés par la police scientifique qui ont été envoyés jusqu’en France, à Lyon.
2 femmes mortes dans l’éboulement d’un site d’orpaillage
Des femmes continuent de braver l’interdiction de l’orpaillage depuis le début de la pandémie de coronavirus. Hier, deux dames à la recherche de pépite d’or sont décédées à la suite d’un éboulement à Tenkoto, un village de la commune de Sabadola. Plus chanceuse, la troisième orpailleuse est grièvement blessée d’après la «Rfm». Le corps d’une des victimes qui était dans un état insoutenable, a été a été inhumée sur place.
Le 1er malade de Covid-19 à Louga et 2 autres déférés
Trois individus, dont un homme guéri du Covid-19, ont été arrêtés et déférés au parquet de Louga (nord) pour violation de l’état d’urgence, complicité de transport irrégulier et mise en danger de la vie d’autrui. Les prévenus risquent une peine pouvant aller jusqu’à cinq ans de prison et une amende de 20.000 à 500.000 Fcfa. Agé de 53 ans, le patient guéri du Covid-19 est un habitant de Keur Serigne Bara, un quartier de la ville de Louga. Il avait été testé positif au coronavirus à son retour d’un séjour de plusieurs jours à Dakar. Il avait effectué ce voyage à bord d’un camion frigorifique sans autorisation, violant la mesure interdisant les déplacements entre les régions, instaurée dans le cadre de l’état d’urgence. Il est le premier patient de Covid-19 pris en charge dans le centre de traitement de la région de Louga. Il a été déféré en même temps que deux autres personnes poursuivies pour les mêmes faits. L’une d’entre elles est un commerçant âgé de 39 ans, qui est rentré de Touba mardi, à bord d’un camion de transport de marchandises, se faisant passer pour un apprenti chauffeur. Il est reproché au troisième prévenu, un homme à la retraite, de s’être déplacé de Dakar à Louga, le 28 mars, à bord d’un camion-citerne, au terme d’un séjour de plusieurs jours dans la capitale.
Reprise des audiences
Le bâtonnier Me Pape Leity Ndiaye informe ses confrères de la reprise des audiences dans les cours et tribunaux à partir de lundi prochain. Il pense que le rythme normal des audiences sera retrouvé vers 2 juin prochain, date de la fin de l’état d’urgence. Par conséquent le bâtonnier invite les avocats à porter des masques et s’armer de gels hydro alcooliques pour se protéger du virus du Covid-19.
Encore un cas communautaire à Nioro
Alors qu’on n’a pas encore fini de parler du cas de Diakhao-Sine qui était à Dakar et qui a ramené le virus, Nioro est encore victime de cette mafia. Hier, dans son communiqué du jour, le ministère de la Santé et de l’Action sociale y a annoncé un cas positif issu de la transmission communautaire. D’après «LibérationOnline», le malade a été détecté dans la localité de Thiamène Walo où il est revenu, il y a de cela quelques jours, en provenance de Dakar après avoir clandestinement embarqué dans un camion transportant des vivres. Le département ne comptait plus de cas positifs. En effet, les deux malades identifiés à Darou Salam ont été déclarés guéris, il y a de cela quelques jours.
Le ministre Mamadou Talla
Le ministre de l’Education Nationale a annoncé hier sur la télévision nationale que les enseignants souffrant de maladies chroniques seront épargnés de la reprise des cours prévue le 2 juin prochain. Selon le ministre Mamadou Talla, c’est pour ne pas risquer la vie de ces personnes qui sont devenues très vulnérables au Covid-19, au vu de l’évolution de la maladie dans notre pays. Il en a fait la révélation hier au micro d’Abdoulaye Barry de la «Rts». Si on suit sa logique, les élèves qui souffrent de maladies chroniques devraient bénéficier des mêmes mesures. vivement la fin de cette coronacrise.
5 cas nouveaux cas à Tambacounda dont un agent de santé
La liste d’agents santé infectés par le coronavirus à Tambacounda s’allonge. En fait parmi les 121 nouveaux cas annoncés hier par le ministère de la Santé et de l’Action, Tambacounda compte 5 cas dont un agent de santé. Ce qui porte à 12 le nombre d’agents qui ont chopé le Covid-19. Les quatre autres cas sont des contacts suivis par les autorités sanitaires. A ce jour, le district sanitaire de la capitale du Sénégal Oriental compte 18 cas. Du côté de Goudiry précisément au village Féténiébé d’où sont venus les premiers cas de la région, 14 patients sont guéris du Covid-13 ces deux derniers jours. Le district de Goudiry a enregistré depuis le début de la pandémie 63 cas.
278 cas à Touba et 42 cas à Mbacké
La capitale du mouridisme a renoué hier avec les prières en masse du vendredi. Mais, les fidèles se sont conformés aux recommandations du Khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké à savoir le respect des gestes barrières. Il s’agit de se laver les mains à l’entrée de l’esplanade de la mosquée et prendre du gel à l’entrée de la mosquée en plus de porter un masque. A l’intérieur de la mosquée, la distanciation sociale a été de rigueur. En tout cas, c’est cette attitude qui peut sauver Touba d’un ravage du Covid-19. Déjà que la ville reste le second foyer de la pandémie derrière Dakar. D’ailleurs, hier Touba a enregistré 6 nouveaux cas dont un issu de la transmission communautaire. Ce qui porte à 278 cas confirmés depuis le début de la pandémie. Quant à la commune de Mbacké, elle a registré hier 2 nouveaux cas, ce qui porte à 42 le nombre total de personnes contaminées.
Mort suspecte d’une femme à Kounoune
C’était la consternation hier, dans l’après-midi à Kounoune. Une femme âgée de 69 ans du nom de Khady Diouf, habitant à la Cité Air France de cette localité, a été retrouvée morte dans des conditions suspectes. D’après des sources de «L’As», le drame s’est produit vers 15 heures. Pour le moment, la cause exacte de cette disparition reste inconnue. Mais des indiscrétions font savoir que Khady Diouf retrouvée baignant dans une mare de sang aurait eu une altercation avec sa belle-fille du nom de Saoudou Nd. Cette dernière, d’après nos sources, aurait dans un premier temps chauffé de l’eau pour ébouillanter sa belle-mère. Elle aurait changé de méthode en usant cette fois-ci d’un objet (morceau de robinet) pour s’en prendre violemment à la vieille qui va mourir sur le coup. Alerté par les cris de détresse, le voisinage s’est dépêché sur les lieux pour constater le drame. C’est le moment choisi alors par Saoudou Nd. pour prendre la fuite. Elle n’est pas allée loin, puisqu’elle a été attrapée par les jeunes du quartier qui l’ont livrée aux gendarmes de Sangalkam. Les pandores ont placé la présumée meurtrière Saoudou Nd en garde-à-vue en attendant les résultats de l’autopsie. La dépouille est déposée par les soldats du feu à la morgue de l’hôpital Aristide le Dantec.
Drame à Wakhinane-Nimzaat
Adama Sow, âgé de 57 ans, a été retrouvé mort à WakhinaneNimzaat. Selon des témoignages recueillis par «L’As», le drame s’est produit hier, aux environs de 9 heures. D’après des témoins, Adama Sow qui marchait sur la route sablonneuse menant vers la Cité Asecna est subitement tombé en syncope aux abords du Terminus 41. Les personnes qui se trouvaient sur les lieux sont allées rapidement le secourir. Hélas, c’était trop tard. Adama avait déjà rendu l’âme. Alertés, les sapeurs-pompiers ont fait le déplacement sur les lieux avant d’évacuer le corps sans vie de la victime à l’hôpital Aristide le Dantec pour les besoins de l’autopsie. Ce, suite à une réquisition de la Police de Wakhinane-Nimzaat qui a ouvert une enquête.
Couvre feu à Wakhinane
Restons à Wakhinane-Nimzaat où certains habitants de cette commune administrée par le maire Racine Talla bravent le couvre-feu. Les jeunes s’évertuent souvent à des courses poursuites dans les rues avec les forces de l’ordre. Sous le couvert de l’anonymat, un notable du quartier a joint «L’As» pour dénoncer le comportement des jeunes qui frise l’indiscipline. Ce notable de Wakhinane-Nimzaat, qui salue le travail des policiers pour leur patriotisme, s’est aussi réjoui de leur disponibilité pour faciliter l’évacuation des malades dans la commune malgré les restrictions du Couvre-feu.
Bara Touré qui aurait égorgé ses 2 fils écroué
Inculpé pour meurtre avec acte de barbarie, Bara Touré, qui est accusé d’avoir égorgé ses deux enfants Serigne Mbacké Madina Touré (3 ans) et Mame Daouda Touré (2 ans), a été placé sous mandat de dépôt, hier (vendredi 15 mai), après son face à face avec le juge d’instruction du deuxième cabinet du tribunal de grande instance de Diourbel. Les faits qui se sont produits au quartier Darou Rahmane Touba remontent au 27 septembre 2019. Il était presque 6h du matin lorsque les deux corps des jeunes garçons, Serigne Mbacké Madina Touré (3 ans) et Mame Daouda Touré (2 ans) égorgés, ont été découverts gisant dans une mare de sang. Et comble de barbarie, c’est leur père qui, après avoir découvert les cadavres, a alerté toute la famille avant d’aviser les sapeurs-pompiers etla police. Mais lorsque les soupçons ont commencé à s’orienter vers lui, Bara Touré a tenté de se suicider. Il a eu la vie sauve grâce à son évacuation à l’hôpital Matlaboul Fawzeyni de Touba. Et comme le crime n’est jamais parfait, il sera confronté par les résultats des autopsies et les indices rassemblés par la police scientifique qui ont été envoyés jusqu’en France, à Lyon.
2 femmes mortes dans l’éboulement d’un site d’orpaillage
Des femmes continuent de braver l’interdiction de l’orpaillage depuis le début de la pandémie de coronavirus. Hier, deux dames à la recherche de pépite d’or sont décédées à la suite d’un éboulement à Tenkoto, un village de la commune de Sabadola. Plus chanceuse, la troisième orpailleuse est grièvement blessée d’après la «Rfm». Le corps d’une des victimes qui était dans un état insoutenable, a été a été inhumée sur place.
Le 1er malade de Covid-19 à Louga et 2 autres déférés
Trois individus, dont un homme guéri du Covid-19, ont été arrêtés et déférés au parquet de Louga (nord) pour violation de l’état d’urgence, complicité de transport irrégulier et mise en danger de la vie d’autrui. Les prévenus risquent une peine pouvant aller jusqu’à cinq ans de prison et une amende de 20.000 à 500.000 Fcfa. Agé de 53 ans, le patient guéri du Covid-19 est un habitant de Keur Serigne Bara, un quartier de la ville de Louga. Il avait été testé positif au coronavirus à son retour d’un séjour de plusieurs jours à Dakar. Il avait effectué ce voyage à bord d’un camion frigorifique sans autorisation, violant la mesure interdisant les déplacements entre les régions, instaurée dans le cadre de l’état d’urgence. Il est le premier patient de Covid-19 pris en charge dans le centre de traitement de la région de Louga. Il a été déféré en même temps que deux autres personnes poursuivies pour les mêmes faits. L’une d’entre elles est un commerçant âgé de 39 ans, qui est rentré de Touba mardi, à bord d’un camion de transport de marchandises, se faisant passer pour un apprenti chauffeur. Il est reproché au troisième prévenu, un homme à la retraite, de s’être déplacé de Dakar à Louga, le 28 mars, à bord d’un camion-citerne, au terme d’un séjour de plusieurs jours dans la capitale.
Reprise des audiences
Le bâtonnier Me Pape Leity Ndiaye informe ses confrères de la reprise des audiences dans les cours et tribunaux à partir de lundi prochain. Il pense que le rythme normal des audiences sera retrouvé vers 2 juin prochain, date de la fin de l’état d’urgence. Par conséquent le bâtonnier invite les avocats à porter des masques et s’armer de gels hydro alcooliques pour se protéger du virus du Covid-19.
Encore un cas communautaire à Nioro
Alors qu’on n’a pas encore fini de parler du cas de Diakhao-Sine qui était à Dakar et qui a ramené le virus, Nioro est encore victime de cette mafia. Hier, dans son communiqué du jour, le ministère de la Santé et de l’Action sociale y a annoncé un cas positif issu de la transmission communautaire. D’après «LibérationOnline», le malade a été détecté dans la localité de Thiamène Walo où il est revenu, il y a de cela quelques jours, en provenance de Dakar après avoir clandestinement embarqué dans un camion transportant des vivres. Le département ne comptait plus de cas positifs. En effet, les deux malades identifiés à Darou Salam ont été déclarés guéris, il y a de cela quelques jours.