Baadoolo - Les wagons et les locomotives
Ce samedi lepp dina leer. L’on saura qui prendra le Ter pour le 25 février. Ndeysaan, ce qui est clair, c’est que certains wagons supportés par la locomotive Benno pendant douze ans seront dans le hangar et ne participeront pas (ou plus) à un rallye pour le Palais. Il y a aussi ceux qui rament dans le sens de Sonko, ces recalés qui cherchent la reprise du contrôle du parrainage. Beaucoup de passagers sont déjà descendus du train. Et ils attendent le prochain pour rallier les candidats à bord. Ils ne peuvent pas prendre le Brt parce que dawagoul dé.
Congrès de la Raddho ce week-end Sadikh Niasse face à des candidats dont Senghane Senghor
La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) tient son 6e congrès depuis sa création en 1990. Ils seront 80 délégués à raison de 5 par observatoire régional, plus les 8 membres du Conseil d’administration à rallier Mbour ce week-end. Lors de ce conclave qui va durer deux jours, deux thèmes seront développés : l’indépendance de la justice et la question migratoire. L’enjeu reste le renouvellement des instances avec notamment l’élection du secrétaire général, des membres du Conseil d’administration et du trésorier. Sadikh Niasse remet donc en jeu son mandat du reste très convoité puisque Senghane Senghor, a démissionné du stratégique poste de chargé des affaires juridiques, pour être candidat. Il se susurre qu’un responsable de la Raddho à Kédougou, Mor Khouma veut aussi le poste. Alors que Malick Ciré Sy lorgnerait le Conseil d’administration.
Présidentielle 2024 :Barthélémy Dias, directeur de campagne de Khalifa Sall
Ce n’est pas une grosse surprise au vu de la place qu’occupe le maire de Dakar. Mais aussi de son rôle joué dans le combat pour la réhabilitation de Khalifa Sall. Pour la Présidentielle du 25 février 2024, Barthélémy Dias a donc été choisi comme le directeur de campagne du candidat de la coalition KhalifaPrésident2024, selon Seneweb. Ainsi, il est chargé d’organiser, de veiller et de conduire toute la campagne électorale. Une nouvelle expérience pour Dias-fils qui espère prendre la relève si son candidat ne passe pas.
Pluralité de candidats de l’Apr au détriment du Ps Abdoulaye Diao dénonce une «violation flagrante» des engagements de Macky
Certains membres du Parti socialiste ont le sentiment d’être «trahis» par Macky Sall. Parmi eux, Abdoulaye Gallo Diao qui estime que le leader de l’Apr «n’a pas voulu honorer son engagement politique envers le parti et à son défunt secrétaire général Ousmane Tanor Dieng». D’après un communiqué, ce membre du Bureau politique du Ps, dénonce une «violation flagrante des engagements pris par le Président Macky Sall», qui œuvre pour la pluralité des candidats de son propre parti, à savoir Amadou Ba, Aly Ngouille Ndiaye, Boun Abdallah Dionne et Mame Boye Diao. Le Secrétaire national adjoint chargé des Tic au Ps décrète, en conséquence, «un mot d’ordre selon lequel chaque responsable ou militant socialiste soutient le candidat de son choix à l’élection de février 2024, dans le seul but de garantir au Parti socialiste une situation post-électorale productive et confortable». Pour la «survie» du socialisme après 2024, M. Diao pense qu’il est plus judicieux de «promouvoir la pluralité des candidats socialistes au même titre que l’Apr».
Coopération militaire Le Sénégal et la Gambie unis contre la criminalité transfrontalière
Les armées de terre gambienne et sénégalaise ont signé, mardi dernier, à Ziguinchor, une convention pour la mise en place d’un comité bipartite de défense en vue de lutter contre la criminalité transfrontalière. Selon le général de division Fulgence Ndour, souschef d’état-major des armées sénégalaises, il s’agit d’un cadre officiel de discussions et de prise en compte de tous les spectres de menaces qui sévissent dans les frontières. Il a indiqué également que ce comité bipartite a élaboré un programme de patrouilles mixtes combinées et parallèles et des opérations conjointes pour mieux prendre en compte la sécurité à nos frontières communes.
Proche de Pastef La française Coline Fay libérée et expulsée du Sénégal
Arrêtée à Dakar le 17 novembre dernier devant la Cour suprême, la française Coline Fay, proche du parti Pastef, a été libérée hier puis expulsée dans la foulée vers son pays d’origine. Selon Me Koureyssi Ba, qui a relayé la nouvelle sur ses comptes de réseaux sociaux, cette expulsion de l’activiste découle d’un «arrêté du ministre de l’Intérieur» exécuté «à l’insu de ses avocats». Âgée de 26 ans, Coline Fay était poursuivie pour actes de nature à compromettre la sécurité publique, complot contre l’autorité de l’État et séjour irrégulier au Sénégal. Depuis son placement sous mandat de dépôt, les autorités françaises s’activaient en coulisse pour sa libération. «Les services du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, à Dakar et à Paris, suivent avec attention la situation de Mme Coline Fay, en lien avec sa famille. Comme tous les ressortissants français à l’étranger qui en font la demande, elle bénéficie de la protection consulaire. À ce titre, une visite consulaire lui a été rendue récemment afin de s’assurer de ses conditions de détention, de son état de santé et du respect de ses droits à la défense», avait rassuré le Quai d’Orsay, dans un communiqué.
LES DERNIÈRES NOUVELLES DE LA TANIÈRE AVANT LE CAMEROUN
Youssouf Sabaly et Moussa Niakhaté se sont entraînés seuls, ce jeudi, lors de la séance de veille de match Sénégal-Cameroun.
Blessé avant la Coupe d'Afrique des Nations, l'arrière doit a repris la course, mais ne sera apte pour jouer vendredi lors de la 2e journée. Sorti sur blessure contre la Gambie, Niakhaté était aussi à la disposition du préparateur physique de l'équipe. Il est pour le moment incertain. Le reste du groupe s'est entraîné pendant les 15 minutes accordées aux journalistes.
MACKY SALL REÇOIT LA VISITE DU PRÉSIDENT DE TRANSITION GABONAIS
Le dirigeant gabonais, ancien attaché de défense à l’ambassade de son pays au Sénégal, s’est entretenu en tête-à-tête avec M. Sall du renforcement des liens de coopération entre Dakar et Libreville.
Dakar, 19 jan (APS) – Le chef de l’État sénégalais, Macky Sall, a reçu la visite, jeudi, à Dakar, du général Brice Oligui Nguema, le président de transition du Gabon, qui effectue une ‘’visite de travail et d’amitié’’ au Sénégal.
‘’Le président Macky Sall a reçu en audience, ce jeudi 18 janvier, le président de la transition du Gabon’’, annonce la présidence sénégalaise.
Le dirigeant gabonais, ancien attaché de défense à l’ambassade de son pays au Sénégal, ‘’s’est entretenu en tête-à-tête’’ avec M. Sall du ‘’renforcement des liens de coopération entre Dakar et Libreville’’, selon la même source.
‘’Les deux chefs d’État ont abordé plusieurs sujets d’intérêt commun’’, dont ‘’la question des visas et des cartes de séjour, ainsi que l’enseignement supérieur, qui occupe une place importante dans [la] coopération’’ sénégalo-gabonaise.
TCHAD, SUCCÈS MASRA A PRÉSENTÉ LES PRIORITÉS DE SON GOUVERNEMENT
Devant le Conseil national de transition (CNT), Succès Masra a d’abord déroulé sa méthode, qui veut révolutionner la pratique gouvernementale dans un Tchad caractérisé, selon ses propres termes, par « une administration archaïque et moyenâgeuse ».
Au Tchad, le Premier ministre de transition, Succès Masra, accompagné de son gouvernement, est ce 18 janvier 2024 devant le Conseil national de transition (CNT), sorte de parlement provisoire, où il présente, suivant la nouvelle Constitution, le programme politique de son gouvernement devant conduire le pays à la fin de la transition.
Ce 18 janvier 2024, devant le Conseil national de transition (CNT), Succès Masra a d’abord déroulé sa méthode, qui veut révolutionner la pratique gouvernementale dans un Tchad caractérisé, selon ses propres termes, par « une administration archaïque et moyenâgeuse ».
Contrat de performance, obligation de rendre des comptes aux citoyens, l’exemplarité, une justice indépendante ou encore l’informatisation de l’administration publique : désormais les ministres et autres hauts commis de la République devront se serrer la ceinture, être redevables devant les citoyens afin de construire « un Tchad nouveau ». Cela signifie, par exemple, un quota annuel des missions à l’étranger, dans un pays où certains hauts responsables ne sont jamais dans leurs bureaux.
Le Premier ministre est ensuite revenu longuement sur ce qu’il a appelé « l’essence de ce gouvernement » : le retour à l’ordre constitutionnel, dans les délais impartis. L’objectif, a-t-il assuré, est d’organiser les meilleures élections de l’histoire du Tchad. Succès Masra a promis pour cela de définir le calendrier, le chronogramme et les moyens physiques et financiers nécessaires « par le dialogue avec tous les acteurs politiques et forces vives de notre pays ».
Mais plus de la moitié des plus de deux heures de son discours ont été consacrées à « des urgences pour nos concitoyens qui ne peuvent pas attendre ». Éducation, emploi, santé, énergie, corps de défense et de sécurité ou encore mines : Succès Masra a annoncé dans tous les domaines de la vie socio-économiques une multitude de projets très ambitieux et parfois chiffrés, en s’engageant au-delà des neuf mois qui restent avant la fin de la transition.
ENVIRON 300 PARTICIPANTS ATTENDUS AU SALON INTERNATIONAL DE L’ÉNERGIE ET DU PÉTROLE EN AFRIQUE, À DAKAR
L’objectif de cette rencontre est de partager avec vous des informations et des analyses sur le Salon international de l’énergie et du pétrole en Afrique.
Dakar, 18 jan (APS) – La 21e édition du Salon international de l’énergie et du pétrole en Afrique (SIEPA) se tiendra mardi et mercredi prochains à Dakar en présence de quelque 300 participants, sur ‘’les grandes évolutions du secteur de l’énergie’’, a-t-on appris des organisateurs.
La rencontre sera présidée par le ministre sénégalais du Pétrole et des Énergies, Antoine Diome.
‘’L’objectif de cette rencontre est de partager avec vous des informations et des analyses sur le Salon international de l’énergie et du pétrole en Afrique’’, a précisé Mohammed Abdallah Seck, le président de l’Association pour le développement de l’énergie et du pétrole en Afrique, lors d’une conférence de presse.
Cette association fait partie des organisateurs du SIEPA. ‘’Quelles solutions des États africains face aux défis de la transition énergétique et de l’accès universel à l’électricité ?’’ est le thème du salon.
‘’Le thème de cette édition reflète l’importance cruciale de l’énergie […] pour le continent’’, a dit M. Seck, assurant que ‘’toutes les questions liées à la problématique de la pollution et de l’accès à l’énergie en Afrique’’ seront abordées.
‘’On parlera des perspectives de production pétrolière et gazière, des stratégies des compagnies pétrolières et du contenu local dans l’industrie du pétrole et du gaz’’, a-t-il précisé.
La gouvernance du secteur des hydrocarbures et le développement des capacités de production d’énergies renouvelables seront évoqués lors du SIEPA, selon Jean-Pierre Favennec, le président de l’Association pour le développement de l’énergie en Afrique (ADEA).
M. Favennec ajoute que le salon sera ‘’une plateforme où nous allons partager des idées novatrices, discuter des meilleures pratiques et explorer les solutions pour surmonter les défis qui se dressent devant nous’’.
Maham Ka, le représentant du ministre du Pétrole et des Énergies, pour mettre en relief l’utilité du salon, affirme que ‘’l’énergie est un moteur pour la croissance économique’’ et un facteur d’‘’amélioration des conditions de vie’’ des populations.
Des représentants des ministères de l’Énergie de plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest prendront part à la rencontre, aux côtés de représentants de compagnies pétrolières et gazières, de sociétés d’électricité et d’entreprises spécialisées dans les énergies renouvelables, selon Mohammed Abdallah Seck.
Le SIEPA comprend un sommet de l’énergie en Afrique et une exposition de professionnels du secteur de l’énergie. Plus de 150 exposants vont présenter les innovations technologiques et des ‘’solutions durables’’ en matière d’énergie et de pétrole.
Des experts vont partager leurs connaissances sur les dernières tendances et les défis de l’industrie énergétique, lors des panels du SIEPA 2024.
LE TRÉSOR PUBLIC LANCE UNE PLATEFORME DE PAIEMENT DIGITAL DES AMENDES FORFAITAIRES
L’initiative a été prise en vue de ‘’la modernisation des procédures administratives’’ en matière de paiement des amendes forfaitaires, selon une note reçue de la direction générale de la comptabilité publique et du Trésor.
Dakar, 18 jan (APS) – La direction générale de la comptabilité publique et du Trésor (DGCPT) a annoncé avoir procédé, jeudi, à Dakar, au lancement officiel d’une plateforme de paiement digital des amendes forfaitaires imputables aux automobilistes ayant commis une violation des règles du code de la route.
C’est une innovation conjointe de la DGCPT, de la Police et de la Gendarmerie nationales, de la direction générale des transports terrestres, de l’Agence nationale de la sécurité routière et de la société Diotali, qui ont pris part à son lancement.
L’initiative a été prise en vue de ‘’la modernisation des procédures administratives’’ en matière de paiement des amendes forfaitaires, selon une note reçue de la direction générale de la comptabilité publique et du Trésor.
‘’La région de Dakar est retenue pour la phase-test de ce projet qui permettra aux conducteurs de gagner du temps en payant leurs amendes forfaitaires à travers les opérateurs de mobile money ou leur carte bancaire, sans effectuer le déplacement auprès des postes de gendarmerie ou de police’’, explique la DGCPT.
Cette innovation ‘’s’inscrit […] dans la politique de modernisation de l’Administration publique et des services rendus aux usagers’’, affirme le directeur général de la comptabilité publique et du Trésor, Cheikh Tidiane Diop.
Il ajoute que c’est une revendication des syndicats des transports terrestres qui vient d’être satisfaite par les pouvoirs publics.
Les transporteurs invités à s’approprier la plateforme de paiement digital
Bamba Ba, le directeur général de la société Diotali, qui va assurer techniquement l’exécution du paiement des amendes, a salué le partenariat public-privé à l’origine de l’initiative.
‘’Cette plateforme va améliorer le quotidien des usagers de la route’’, affirme la note reçue de la DGCPT en citant M. Ba.
Valdiodio Ndiaye, le directeur général des transports terrestres assure, pour sa part, que le paiement dématérialisé des amendes forfaitaires aura un ‘’impact très favorable’’ sur la gestion de ces contraventions.
‘’C’est pourquoi il a tenu à inviter les transporteurs à s’approprier la plateforme’’, ajoute la même source.
Pape Mamadou Ndiaye, s’exprimant au nom des syndicats des transports terrestres lors du lancement de la plateforme, a remercié les autorités pour cette ‘’belle initiative’’.
‘’Ce projet a été vraiment fait pour les transporteurs, qui vont se l’approprier. Cela va les aider à atténuer ou à [éradiquer] les ‘tracasseries routières’’’, a assuré M. Ndiaye en souhaitant en même temps que ‘’des mesures d’accompagnement’’ soient prises par les pouvoirs publics pour la ‘’réussite’’ de cette innovation.
La nouvelle plateforme est censée ‘’aider les usagers de la route à payer rapidement et sur place, à récupérer immédiatement leurs documents sans effectuer le déplacement auprès des postes de police ou de gendarmerie’’, explique la DGCPT.
‘’Les paiements en espèces se poursuivront dans les brigades de gendarmerie et commissariats de police’’
Le général de brigade Daouda Diop, commandant de la gendarmerie territoriale, s’est réjoui du lancement officiel de la plateforme de paiement digital des amendes forfaitaires, selon la même source.
Modou Diagne, le directeur général adjoint de la Police nationale, a également pris part à la cérémonie de lancement de l’initiative. ‘’Cette plateforme innovante va permettre à la Police nationale de moderniser le système d’encaissement des amendes forfaitaires et d’avoir une plus grande visibilité sur tout ce qui se fait sur le terrain’’, a-t-il dit en demandant aux automobilistes de se l’approprier.
‘’Comme tout projet informatique, celui-ci aura besoin d’être soutenu dans sa mise en œuvre et d’être amélioré progressivement, au regard des besoins nouveaux qui ne manqueront pas d’apparaître à la pratique’’, a souligné Cheikh Tidiane Diop.
La DGCPT précise qu’‘’il est possible de payer par tous les moyens de paiement […] agréés par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest au lieu de commission de l’infraction’’.
‘’Les paiements en espèces continueront au niveau de la brigade [de gendarmerie] ou du commissariat de police de rattachement du lieu de l’infraction ou au niveau des bornes’’, ajoute-t-elle, affirmant que des démonstrations ont été faites ce jeudi à la Patte d’Oie et au carrefour EMG, à Dakar.
COLINE FAY LIBÉRÉE ET EXPULSÉE DU SÉNÉGAL
Arrêtée à Dakar pour avoir participé à une manifestation de soutien à Ousmane Sonko, Coline Fay n’a dû son salut qu’à d’autres manifestations à son soutien pour se tirer des griffes des autorités judiciaires.
Arrêtée à Dakar pour avoir participé à une manifestation de soutien à Ousmane Sonko, Coline Fay n’a dû son salut qu’à d’autres manifestations à son soutien pour se tirer des griffes des autorités judiciaires.
Elle a, en effet, été relâchée après deux mois de détention. A en croire Me Khoureyssi BA, elle a été libérée et expulsée du Sénégal par le ministère de l’Intérieur. Selon l’avocat, les avocats de la ressortissante française n’ont même pas été tenus au courant de ces mesures.
Ainsi, Coline Fay, qui était poursuivie pour «association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste », «complot contre l’autorité de l’État» et «acte ou manœuvre de nature à compromettre la sécurité publique», s’en est allée sans même faire face à un juge.
LA CHAMBRE D’ACCUSATION RENVOIE L’AFFAIRE PAPE SANÉ, AU 25 JANVIER
Le chroniqueur de Wal Fadjri avait été arrêté le 13 novembre dernier, par la section de recherches de la gendarmerie.
Convoqué aujourd’hui sur demande du Procureur, la Chambre d’accusation a renvoyé l’audience au 25 janvier. Le chroniqueur de Wal Fadjri avait été arrêté le 13 novembre dernier, par la section de recherches de la gendarmerie. Accusé de diffusion de ‘’fausses nouvelles” sur une ancienne publication sur sa page Facebook, il avait bénéficié d’une liberté provisoire et placé sous contrôle judiciaire. Une décision à laquelle s’oppose le procureur de la République en le convoquant ce jeudi.
CAN 2023, LE GHANA ET L’ÉGYPTE SE QUITTENT DOS À DOS
Le premier match du groupe B de cette deuxième journée entre l’Égypte et le Ghana a été plus que spectaculaire. Mais, au finish, il n’y pas eu de victorieux.
C’est sans doute la rencontre la plus alléchante depuis le début de cette CAN. Les deux formations nous ont gratifié un match de haut calibre avec un jeu très flexible de part et d’autre. Les deux gardiens ont eu les gants chauds lors de la première période.
Dans le temps additionnel des premières 45 minutes (45+3), le joueur de West Ham (Angleterre) Mohamed Kudus, d’une sublime frappe, permet à son équipe de prendre l’avantage 1-0. L’Égypte a perdu Mohamed Salah, qui est sorti sur blessure.
Au retour des vestiaires, le match s’emballe de plus belle. Omar Marmoush, profite d’une erreur grossière de Williams pour égaliser (69′ 1-1).
Les Pharaons n’ont même pas eu le temps de savourer le but puisqu’à la 71ème minute, Mohamed Kudus récidive en doublant la mise 2-1. Les coéquipiers de Mohamed Salah, ne jettent pas pour autant l’éponge et vont jusqu’au bout. Ainsi, sur un débordement sur le côté gauche, le virevoltant Trezéguet offre une passe en retrait à Moustapha Mohamed, qui revient à hauteur des Black Stars du Ghana 2-2.
Malgré un match de haute facture, les deux équipes devront gagner leur prochaine sortie pour espérer franchir le cap des matches de poule.
REPORTER LES ÉLECTIONS SERAIT UNE MENACE CONTRE LA DÉMOCRATIE
Certains candidats recalés attaquent le processus électoral et souhaitent que l'élection soit reportée afin de permettre aux acteurs de dialoguer pour trouver un consensus. Khalifa Sall est foncièrement contre.
Le débat sur un report de la Présidentielle du 25 février 2024 s'est installé. Certains candidats recalés attaquent le processus électoral et souhaitent que l'élection soit reportée afin de permettre aux acteurs de dialoguer pour trouver un consensus. Khalifa Sall est foncièrement contre.
Khalifa Ababacar Sall ne veut pas en entendre parler. Le président de la coalition «Khalifa Président» croit qu'il n'y a pas du nouveau dans le processus électoral et qu'on ne doit pas attendre à un mois de l'élection présidentielle pour parler de révision ou de report.
«On est à J-45 de l'élection présidentielle et on ne doit même pas penser à un report de cette élection. C'est nous qui avions donné notre accord sur le Code électoral et c'est anormal qu'on parle maintenant de report. C'est trop tard. On ne doit pas accepter qu'on repousse l'élection», a martelé Khalifa Sall lors de sa visite chez Hélène Tine, à Thiès, pour une formalisation de leur alliance.
D'après lui, reporter l'élection serait une menace contre la démocratie, rapporte L'Observateur.. «Si cela passe, tous les futurs présidents de la République pourront faire pareil. Ils attendront à quelques jours de l'élection présidentielle pour créer des problèmes et exiger un report. C'est pour éviter ce genre de situations que j'avais décidé de participer au Dialogue politique.
Quand je suis parti prendre part à cette rencontre pour discuter du Code électoral, tout le monde disait que j'avais trahi l'opposition. Mais l'histoire m'a donné raison. Ces questions devaient être réglées au sein du Dialogue politique. Il faut comprendre qu'on ne peut rien régler sans le dialogue.