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25 mai 2025
NIT DOFF RENVOYÉ EN PRISON APRÈS 32 JOURS DE LIBERTÉ
Interpellé le 17 novembre dernier, Mor Talla Gueye alias Nit Doff retourne en prison. Après deux retours de Parquet, il a fait face, ce jeudi 23, au procureur de la République qui l’a inculpé avant de le placer sous mandat de dépôt.
Interpellé le 17 novembre dernier, Mor Talla Gueye alias Nit Doff retourne en prison. Après deux retours de Parquet, il a fait face, ce jeudi 23, au procureur de la République qui l’a inculpé avant de le placer sous mandat de dépôt.
Le maitre des poursuites reproche au rappeur une de ses sorties et a brandi les lourdes accusations qui suivent : « offense au chef de l’État, outrage envers les autorités et les dépositaires de la force publique, appel à l’insurrection, actes et manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique et à entraîner des troubles politiques graves ».
Ainsi, relâché 16 octobre dernier après que la chambre d’accusation de la cour D’appel de Dakar lui a accordé une liberté provisoire, Nitt Dof retourne en prison, après 32 jours de liberté.
ARCOP EN EXEMPLE DE LA LUTTE ANTI-CORRUPTION
Le Sénégal se distingue sur la scène internationale pour ses efforts en faveur de l'intégrité de la commande publique. Son projet phare ambitionne d'assurer une participation accrue des femmes aux marchés publics au moyen de réformes innovantes
Au Sénégal, le projet portant «accès des femmes à la commande publique» de l’Autorité de Régulation de la commande publique (ARCOP) a été retenu par le partenaire Open Contracting Parternship pour figurer parmi les dix propositions mondiales choisies, sur plus de 100 candidatures à travers le monde, à bénéficier de l’appui technique et financier du programme d’accélération d’impact Lift. L’objectif du projet est de concevoir des réformes et de mettre en œuvre des stratégies innovantes pour établir une meilleure collaboration dans les marchés publics en vue de s’assurer d’une inclusion équitable des femmes. Il s’agit aussi d’améliorer l’utilisation des données ouvertes pour gérer, suivre et faire progresser l’accès aux services publics et aux acquisitions.
Dix projets du Brésil, du Chili, de la Lituanie, des Philippines, du Sénégal, de la Thaïlande, de l’Ouganda, du Royaume-Uni et des États-Unis ont été sélectionnés pour créer des communautés justes, inclusives et plus vertes en faisant progresser les réformes de la commande publique dans le cadre du programme d’accélération d’impact de l’Open Contracting Partnership, le programme Lift.
Chaque année, les gouvernements mondiaux dépensent 13 000 milliards de dollars en commande publique. Les marchés publics sont essentiels pour assurer l’éducation publique, les transports, les soins de santé et pour lutter contre le changement climatique. Pourtant, les systèmes de commande publique défaillants ont exacerbé les inégalités et la corruption.
L’accélérateur d’impact Lift aide les équipes de l’administration publique et de la société civile à apporter un changement transformationnel bâtissant des communautés plus fortes pour des millions de personnes en réformant la commande publique grâce à de meilleures données, des processus ouverts et participatifs, et une assistance technique et financière.
«Nous sommes fiers de travailler auprès de visionnaires de première ligne qui souhaitent utiliser la commande publique comme levier pour atteindre des objectifs d’impact social plus larges», déclare Kathrin Frauscher, directrice exécutive adjointe de l’Open Contracting Partnership.
Les dix équipes de cette année ont été sélectionnées parmi plus de 150 propositions provenant de 70 pays, soit une augmentation de 50% par rapport au dernier cycle de candidatures. Le programme débutera par un atelier en septembre 2024. Chaque équipe reçoit jusqu’à 35 000 $ de soutien financier et 200 heures d’assistance technique personnalisée sur la gestion du changement, l’inclusion, les stratégies de commande publique ouverte, et bien plus encore.
Au cours des 18 prochains mois, l’Open Contracting Partnership soutiendra les équipes sélectionnées dans l’ouverture et l’amélioration de leurs systèmes de commande publique et dans le renforcement de leur capacité à atteindre leurs objectifs.
«Les solutions et les approches développées par ces équipes de réforme serviront d’inspiration et fourniront des conseils pratiques qui permettront à d’autres de mettre à l’échelle des pratiques de commande publique innovantes et efficaces», déclare Kaye Sklar, responsable principale du programme Lift de l’OCP.
Les équipes Lift précédentes ont eu recours à la commande publique ouverte pour relever des défis tels que la transparence et la responsabilité du gouvernement, l’accessibilité financière des médicaments et la gestion des secours en cas de catastrophe. Ils ont obtenu des résultats remarquables dans des pays asiatiques et dans certains États américains.
DÉBATS TENDUS EN FRANCE SUR LES RELATIONS FRANCO-AFRICAINES
Vives critiques de La France Insoumise sur la politique incarnée par Emmanuel Macron sur le continent africain. Les députés Panot et Le Gall ont notamment étrillé le "paternalisme" de l'Elysée et pointé les "interventions désastreuses" comme en Libye
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 23/11/2023
À l'Assemblée nationale mardi 21 novembre 2023, La France Insoumise (LFI) n'a pas mâché ses mots à l'occasion du débat sur les relations franco-africaines. Dénonçant depuis des années le "mépris" d'Emmanuel Macron et son "paternalisme", le groupe parlementaire a une nouvelle fois secoué la politique française sur le continent.
Interrogée par l'agence Anadolu avant les débats, Mathilde Panot a vivement critiqué l'attitude du président français, évoquant son fameux épisode au Burkina Faso. "Cela abîme la voix de la France à l'international", a fustigé la présidente du groupe LFI.
Lors de la séance, Arnaud Le Gall n'a pas mâché ses mots. Selon lui, "à l'Elysée, on n'a pas rompu avec le vieil imaginaire colonialiste". Le député a également dénoncé les "blagues condescendantes" d'Emmanuel Macron qui "ont laissé de mauvais souvenirs en Afrique".
Mathilde Panot est même allée plus loin dans ses accusations, évoquant le "deux poids deux mesures" de l'exécutif français qui "dénonce certains coups d'État et en adoube d'autres". Pour LFI, la politique de la France n'est que contradictions.
Le groupe d'opposition a également pointé du doigt les "interventions militaires désastreuses" comme en Libye, responsables selon Arnaud Le Gall de la déstabilisation du Sahel.
LFI entend ainsi pousser le gouvernement à modifier en profondeur sa relation avec les pays africains.
LE DÉNI FRANÇAIS FACE AU DÉCLIN DE SON INFLUENCE EN AFRIQUE
En prétendant que Paris n'est "absolument pas chassée d'Afrique", le ministre français délégué au Commerce extérieur Olivier Becht cherche à détourner le regard du Sahel souverainiste où les revers diplomatiques se sont multipliés ces dernières années
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 23/11/2023
Alors que le modèle français de partenariats avec l'Afrique suscite le débat en France, le ministre du Commerce Olivier Becht s'est livré à un exercice de déni selon l'éditorialiste Damien Glez. Interpellé sur l'érosion de la place de la France sur le continent, le ministre a catégoriquement nié tout déclin.
Pourtant, souligne Damien Glez dans sa chronique, cette posture relève davantage de "la méthode Coué" que de l'analyse lucide. En prétendant que la France n'est "absolument pas chassée d'Afrique", Olivier Becht cherche avant tout à "détourner le regard du Sahel souverainiste" où les revers diplomatiques se sont multipliés ces dernières années.
Plus qu'une réorientation assumée des partenariats, c'est un déni persistant que relève l'éditorialiste. En mettant l'accent sur sa visite économique au Nigeria plutôt que sur les crises politiques, le ministre esquive le cœur du problème selon Damien Glez: le rejet croissant de l'ingérence perçue de la France dans de nombreux pays africains.
Ce déni du déclin de l'influence politique s'accompagne d'un simple glissement vers le commerce, jugé plus consensuel. Mais comme le souligne la chronique, cela suffira-t-il à redorer durablement le blason de la France sur le continent, alors que sa parole y est de plus en plus contestée? Le gouvernement continue de faire mine de ne pas voir les faits.
SONKO REPREND DES FORCES DANS LA BATAILLE
Le maire de Ziguinchor lève temporairement sa grève de la faim. Il n'abdique pas face à sa situation, qui la prive pour l'instant de participer à la présidentielle, même avec le parrainage annoncé de Bassirou Diomaye Faye
Brice Folarinwa de SenePlus |
Publication 23/11/2023
'opposant sénégalais Ousmane Sonko, emprisonné depuis juillet, a mis fin à sa grève de la faim entamée mi-octobre, ont annoncé jeudi deux responsables de son parti Pastef qui lui ont rendu visite en prison. Mais l'opposant reste dans une course contre-la-montre pour obtenir sa candidature à la présidentielle de 2024.
«Il a suspendu l'utilisation de cette arme pour l'instant», a déclaré à l'AFP Guy Marius Sagna, député et membre de Pastef, citant les propos de Sonko. Habib Sy, autre responsable du parti, a confirmé l'information sur sa page Facebook, précisant que Sonko «reprendra sa grève de la faim, au gré des contextes».
Les deux hommes ont assuré que l'opposant de 49 ans était «en excellente forme» et avait le moral. Pourtant, selon ses avocats, il avait dû être admis en réanimation fin octobre, dans un état «très faible», après avoir perdu connaissance.
Pour se présenter à la présidentielle, Ousmane Sonko doit obtenir le parrainage de députés ou d'élus locaux, étape indispensable selon le code électoral. Or la Cour suprême a récemment cassé un jugement qui lui permettait de se porter candidat, remettant en cause sa participation.
Pastef appelle désormais à parrainer également Bassirou Diomaye Faye, autre responsable du parti emprisonné. «Parrainer Diomaye, c'est parrainer Sonko», précise le parti sur les réseaux sociaux. Si Ousmane Sonko reste le «plan A», la formation politique tente par tous les moyens de le maintenir dans la course à la présidentielle.
REMETTRE LES ASSISES NATIONALES AU CENTRE DE LA PRÉSIDENTIELLE
EXCLUSIF SENEPLUS - Un séminaire citoyen d'experts et de militants veut souligner l'actualité des Assises et des recommandations de la CNRI face au péril démocratique. Leur esprit de consensus représente une boussole pour une meilleure gouvernance
À trois mois de l'élection présidentielle sénégalaise de février 2024, la société civile s'empare des Assises nationales de 2009 et des conclusions de la Commission Nationale de Réforme des Institutions (CNRI) pour alimenter le débat politique, dans un contexte national tendu marqué par des entraves à la liberté, la répression des voix dissidentes, les arrestations de militants, le refus d’exécution des décisions de justice.
C'est l'objet du séminaire citoyen d’une journée organisé ce samedi 25 novembre 2024 dans les locaux de l’éditeur L’Harmattan, à l’entrée de la VDN à Dakar par le site d’information SenePlus, les organisations de la société civile Sursaut Citoyen et Demain Sénégal. Ces acteurs entendent notamment mettre en lumière les conclusions issues d'un processus participatif et consensuel qui a réuni de manière tout à fait historique l'ensemble des forces vives du pays.
Au programme, des sessions animées par d'éminentes personnalités telles que l'ancien Premier ministre Mamadou Lamine Loum, la juge Dior Fall Sow, l’économiste Jean-Louis Corréa, l’universitaire Abdoulaye Dieye et le leader de la société civile Moussa Mbaye. Il s'agira d'analyser en profondeur la méthodologie, les approches et le contenu des Assises et du travail remarquable de la CNRI, afin d'en diffuser une compréhension commune au sein des forces vives de la société.
Cette initiative se propose ainsi de réactiver l'esprit et la lettre des Assises face aux défis actuels de l'État de droit, en fournissant aux citoyens des éléments permettant d'exiger des engagements concrets des prétendants à la magistrature suprême sur ces questions cruciales.
Au-delà de la présidentielle à venir, les organisateurs du séminaire entendent promouvoir dans la durée, les valeurs démocratiques de consultation, de participation et de redevabilité mises en avant par cet acquis majeur du débat national sénégalais.
En un mot, il s’agit de mettre la démocratie participative au centre de la gouvernance au Sénégal. Certainement le meilleur moyen pour sortir le pays d’un hyperprésidentialisme décrié depuis plus de six décennies par de bien nombreux acteurs de la vie publique.
UN PRÉSIDENT NE DEVRAIT PAS… BRANDIR ÇA !
Retournées spectaculaires de la tournée économique. Le chef d’Etat est sans états d’âme. Fofana, il dit que ce Karim n’est pas de la «Génération du concret» parce qu’aérien dans ses explications.
Retournées spectaculaires de la tournée économique. Le chef d’Etat est sans états d’âme. Fofana, il dit que ce Karim n’est pas de la «Génération du concret» parce qu’aérien dans ses explications. À Atépa, il jette une grosse Pierre. Parce qu’architecte de «l’escroquerie». Et puis aux «candidats» au chaos, il promet un K.O. À son pire ennemi, il n’a «aucun regret» pour son sort. Moom daal kou niémé nieuweul… un Président ne devrait pas… brandir ça. Lii tamit…
90 NOUVEAUX BUS DAKAR DEM DIKK ATTENDUS
Le président de la République Macky Sall a annoncé, au Conseil des ministres du mercredi 22 novembre, la réception prochaine de 90 nouveaux bus de dernière génération sur 370 attendus.
Le président de la République Macky Sall a annoncé, au Conseil des ministres du mercredi 22 novembre, la réception prochaine de 90 nouveaux bus de dernière génération sur 370 attendus.
Ces véhicules sont destinés au renforcement du parc de Dakar Dem Dikk, dans le cadre du Plan de modernisation de la société nationale de transport public.
Il a aussi évoqué l’urgence d’accélérer avec les opérateurs privés du secteur et les établissements financiers de la place, le programme intégré de renouvellement des parcs de véhicules de transports urbains et interurbains (cars, minicars et taxis), et des gros porteurs.
LE "TACLE" DE MACKY SALL AUX PUTSCHISTES
En Guinée, au Mali, au Burkina et au Niger, dans tous ces pays de l’Afrique règnent des putschistes. Le président Macky Sall, qui n’a jamais caché son aversion pour les coups d’Etat, a encore évoqué la question.
En Guinée, au Mali, au Burkina et au Niger, dans tous ces pays de l’Afrique règnent des putschistes. Le président Macky Sall, qui n’a jamais caché son aversion pour les coups d’Etat, a encore évoqué la question dans son entretien avec «Jeune Afrique».
«Ce n’est pas parce que des foules vous acclament dans les rues de la capitale que vous êtes réellement populaires. Les présidents déchus aussi avaient des partisans qui les applaudissaient dans leurs meetings», a déclaré Macky Sall dans les colonnes de "JeuneAfrique", parlant des présidents putschistes de la sous-région.
Évoquant les facteurs qui expliquent cette résurgence des coups d’État en Afrique de l’Ouest, Macky Sall souligne que dans tous les pays touchés par les putschs, il y a eu régulièrement des interruptions de l’ordre constitutionnel depuis les indépendances. «À chaque fois, on dit : ‘‘Il faut aller immédiatement aux élections’’, mais ce n’est visiblement pas la solution», concède-t-il.
«On l’a vu au Mali, avec Ibrahim Boubacar Keïta, ou au Burkina, avec Roch Marc Christian Kaboré, tous deux élus après des processus de transition post-putsch. Aucun n’a pu terminer son mandat. Au Niger, le président Mohamed Bazoum aussi a été élu après Mahamadou Issoufou, qui a quand même pu, lui, aller au terme de ses deux mandats. Je me souviens d’ailleurs d’une discussion avec ce dernier, qui craignait en permanence un coup de force», révèle le président sénégalais.
Pour lui, la crise du terrorisme au Sahel, est pour beaucoup dans cette instabilité. Car, explique-t-il, quand des militaires meurent au front, «on a tôt fait d’accuser le pouvoir en place d’être faible ou de ne pas donner assez de moyens aux soldats». De ce fait, «les gens pensent parfois que la voie militaire est la mieux indiquée».
Pour réduire ces coups de force, Macky Sall estime qu'il ne faut pas que les acteurs politiques eux-mêmes poussent les militaires à prendre le pouvoir. De son avis, les militaires doivent aussi «refuser d’exercer le pouvoir politique».
LA COALITION DIONNE 2024 RÉPOND AUX 5 DÉLÉGUÉS RÉGIONAUX DÉMISSIONNAIRES
Mercredi, 5 délégués régionaux ont fait des vidéos informant avoir quitté le camp de Boun Dionne pour rejoindre le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakar, Amadou Ba.
Mercredi, 5 délégués régionaux ont fait des vidéos informant avoir quitté le camp de Boun Dionne pour rejoindre le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakar, Amadou Ba. Cela a fait réagir la coalition de l’ancien Premier ministre à travers un communiqué dont nous avons reçu copie. « La corruption est la recette favorite des poltrons ». Depuis quelques heures, le Sénégal est témoin de pratiques ubuesques orchestrées par le camp du candidat Amadou BA qui cherche vainement à débaucher les délégués régionaux de la grande coalition DIONNE 2024. Loin d’être un effarement, ces piètres actes d’un autre temps sont, pour la Coordination nationale de DIONNE 2024, un amusement. Le candidat de BBY cherche désespérément à acheter la conscience des délégués de Mahammed Boun Abdallah DIONNE avec de l’argent et des promesses de promotions professionnelles et d’acquisition de biens fonciers », renseigne le document.
Avant de continuer : « face à la résistance renouvelée et au rejet catégorique des alliés de la Coalition DIONNE 2024, BBY investit hideusement et maladroitement le champ de l’intox et l’infox en présentant sous un faux jour, des faux-délégués inconnus de la Coalition comme étant des démissionnaires et rejoignant le candidat Amadou BA. Les vrais délégués de Tambacounda et de Louga sont et restent avec Mahammed Boun Abdallah DIONNE. Les auto-proclamés dans une vidéo ont parjuré et tronqué la vérité. La Coalition DIONNE 2024 ne les connait point. S’agissant de Saint-Louis, sans l’apport de l’ex-délégué, le parrainage de la région a déjà été collecté et validé par la Coalition DIONNE 2024 dans ses bases de données informatiques.
« C’est de la confiance que naît la trahison », dit-on. Ceux qui ont cédé à la corruption et à la tentation ne méritent pas d’être membres de la Coalition pour un Sénégal juste. Entre le camp de l’argent et celui du Sénégal, ils ont choisi. Toutefois, leur départ n’est qu’un coup d’épée dans l’eau. La dynamique DIONNE 2024 est lancée. Elle a atteint sa vitesse de croisière. Rien ou personne ne peut l’arrêter ».
Le document de poursuivre, la Coalition DIONNE 2024 arrivera à bon port puisqu’elle a déjà bouclé plus que les parrainages requis dans chacune des 14 régions et détient par devers elle et sans erreur aucune les parrainages nécessaires (le maximum requis) sans aucun achat de conscience. « La Coalition DIONNE 2024 sera de la compétition électorale puisque les sénégalais la portent déjà dans leur cœur et c’est cela qui fait peur à BENNO.
Le Président Mahammed Boun Abdallah DIONNE et sa coalition restent sereins et n’ont qu’un seul cap, Février 2024 qui verra naitre la 3ème alternance démocratique au Sénégal. Tout le reste n’est que distraction et gageure », rassure la coalition.