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25 juin 2025
L’EQUIPE NATIONALE FÉMININE DE BASKET-BALL TIENT SON NOUVEAU SÉLECTIONNEUR
Le technicien espagnol Alberto Antuño est le nouveau Sélectionneur de l’équipe nationale féminine de basket-ball, a annoncé, mercredi, la Fédération sénégalaise de basket.
Dakar, 8 nov (APS) – Le technicien espagnol Alberto Antuño est le nouveau Sélectionneur de l’équipe nationale féminine de basket-ball, a annoncé, mercredi, la Fédération sénégalaise de basket.
Âgé de 33ans, Alberto Antuño, technicien expérimenté, était sur le banc de l’équipe nationale de l’Ouganda lors du dernier Afrobasket féminin 2023 organisé au Rwanda.
Il remplace Moustapha Gaye à la tête de la sélection féminine de basket-ball, vice-championne d’Afrique.
450 MILLIARDS DE FRANCS CFA INVESTIS DANS L’EMPLOI DES JEUNES EN TROIS ANS
Pape Malick Ndour, a rappelé que le gouvernement avait investi 450 milliards de francs CFA sur ressources propres dans le cadre du programme d’urgence d’emploi et d’insertion des jeunes communément appelé ‘’Xeuyu Ndaw ni’’.
Kaolack, 8 nov (APS) – Le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de l’Entrepreneuriat, Pape Malick Ndour, a rappelé que le gouvernement avait investi 450 milliards de francs CFA sur ressources propres dans le cadre du programme d’urgence d’emploi et d’insertion des jeunes communément appelé ‘’Xeuyu Ndaw ni’’ lancé en avril 2021.
»En trois ans, le gouvernement du Sénégal a investi 450 milliards de francs CFA, soit 150 milliards de francs CFA par année. Avec un objectif initial de 65 000 emploi. D’immenses résultats ont été obtenus au titre du recrutement spécial, avec un taux de réalisation de 102%, soit 66 243 emplois créés’’, a-t-il notamment déclaré.
M. Ndour faisait face à la presse au terme d’une réunion spéciale du Comité régional de développement (CRD) pour préparer la cérémonie d’inauguration de la Maison de la jeunesse et de la citoyenneté (MJC) de Kaolack (centre), prévue le mercredi 15 novembre en présence du chef de l’Etat.
Concernant l’éducation, le ministre de la Jeunesse, de l’Emploi et de l’Entrepreneuriat a signalé qu’un recrutement spécial de 5 000 agents a été effectué dans le préscolaire, l’élémentaire le moyen et le secondaire, y compris les daaras (écoles coraniques) modernes et l’enseignement arabe au titre du programme quinquennal de résorption des déficits.
Au ministère des Sports, 264 jeunes stadiers ont été recrutés pour un coût global de 277 728 000 francs CFA, tandis que dans le secteur de la santé, près de 500 contrats ont été signés, a souligné Pape Malick Ndour, ajoutant que pour ce qui est du ministère de l’Environnement, du Développement durable et de la Transition écologique, l’Agence sénégalaise de la reforestation et de la grande muraille verte (ASERGMV) a recruté 7 000 jeunes.
Ce programme a également permis au ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de l’Entrepreneuriat de créer 1 150 emplois avec le recrutement de 450 animateurs socio-éducatifs et 700 volontaires du service civique national, tandis que pour les agents de nettoiement, le ministère de l’Urbanisme, du Logement et de l’Hygiène publique, 12 143 jeunes ont été recrutés, dont 10 156 par l’Unité de coordination et de gestion des déchets (UCG) et 1 987 par la Direction du cadre de vie et de l’hygiène publique.
M. Ndour a également révélé que dans le cadre des volontaires de la sécurité, un total de 4 998 jeunes policiers adjoints volontaires (PAV) ont été recrutés.
Pour le pavage des rues et autres espaces des différentes localités du pays, 1714 jeunes ont été recrutés par le Programme de modernisation des villes (PROMOVILLES), tandis que l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt public (AGETIP) a généré 2374 emplois et 2849 jeunes enrôlés.
Pour l’entretien courant des routes non classées, Pape Malick Ndour a souligné que l’exécution du programme entre 2021 et 2023 a permis de générer plus de 25 000 emplois, soit un taux de réalisation de 226% correspondant à un surplus de 14 023 emplois.
»La composante +Emplois-Aides+ est mise en œuvre par le ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de l’Entrepreneuriat à travers la Convention nationale Etat-employeurs (CNEE) et pas moins de 14 150 emplois ont été créés’’, a fait savoir Ndour, ajoutant que la Délégation à l’entrepreneuriat raide des jeunes et des femmes, à travers le ratio crédit et l’appui aux secteurs et métiers, a octroyé un volume global de financement de 23,773 milliards de francs CFA en 2021 et 22,533 milliards de francs CFA en 2022, permettant à 141 700 bénéficiaires d’accéder à des financements.
SIGNATURE D’UN ACCORD DE PARTENARIAT ENTRE AIBD SA ET SENUM
L’Aéroport international Blaise Diagne a paraphé, lundi à Diass, une convention de partenariat avec la société Sénégal numérique (Senum S.A, ex-ADIE)
Diass (Mbour), 8 nov (APS)- L’Aéroport international Blaise Diagne a paraphé, lundi à Diass, une convention de partenariat avec la société Sénégal numérique (Senum S.A, ex-ADIE), a constaté l’APS.
»Nous venons aujourd’hui signer cet accord-cadre de coopération entre AIBD SA et SENUM SA. Cet accord contribuera à accompagner AIBD dans la relève du défi de l’innovation et de la résilience’’, a souligné Abdoulaye Dièye, directeur général de l’AIBD.
Le protocole d’accord s’articulera, entre autres, ‘’autour du conseil dans le domaine du numérique, de la mise en œuvre de solutions d’infrastructure, pour améliorer notre connectivité et accompagner notre transformation digitale, de la collaboration en matière de cybersécurité et de la formation dans le digital“, a poursuivi M. Dièye.
A cela s’ajoute la mise en place d’une démarche éco-responsable avec le recyclage des déchets électriques et électroniques.
»Cet accord vient étoffer et rendre perfectible le grand potentiel d’excellence qui existe au sein de nos institutions respectives qui ont pour centre d’intérêt commun de se positionner en hub de référence au niveau continental et international’’, s’est réjoui Cheikh Bakhoum, directeur général de Senum S.A
Senum SA s’engage, dans le cadre de ce partenariat selon M. Bakhoum, à “mettre à la disposition d’AIBD SA des licences et abonnements à des logiciels payants“, à lui “fournir l’accès à l’infrastructure publique de gestion des clés pour le chiffrement et la signature électronique, entre autres’’.
Concernant l’accès et la connectivité, le directeur général de l’AIBD annonce qu’’’une part belle est accordée au programme de reconstruction/réhabilitation des aéroports régionaux, afin de les mettre en phase avec les meilleurs standards en termes de sûreté et de sécurité’’.
»Nous souhaitons tirer parti de la technologie, afin d’améliorer l’expérience des voyageurs, notamment à travers la digitalisation et la mise en œuvre d’équipements innovants pour faciliter le parcours passager et améliorer la gestion de nos plateformes aéroportuaires’’, a-t-il indiqué.
AMADOU GALLO FALL DECLINE LES GRANDS AXES
La saison 4 du Basket-ball africain va bientôt ouvrir ses portes. Hier, en conférence de presse, Amadou Gallo Fall a dévoilé les grands axes de cette compétition qui va regrouper 12 clubs et qui va se jouer désormais sur 4 pays.
La saison 4 du Basket-ball africain va bientôt ouvrir ses portes. Hier, en conférence de presse, Amadou Gallo Fall a dévoilé les grands axes de cette compétition qui va regrouper 12 clubs et qui va se jouer désormais sur 4 pays.
Dans les bureaux de la BAL à Dakar, devant un parterre d’invités dont le président de FIBA Afrique, Anibal Aurelio Manave, le président de la BAL a donné les détails de l’organisation de la saison du Basket-ball africa League. « Pour cette saison, on va jouer dans 4 pays. L'Afrique du Sud rejoint les trois autres, Sénégal, Égypte et Rwanda. Nous avons retenu l'Afrique du Sud parce que c'est un pays que nous connaissons. Donc, c'est l'Afrique du Sud qui va ouvrir cette saison 4 en mars 2024. Après, suivront le Sénégal en avril, l'Egypte en mai. Les finales se joueront toujours au Rwanda à la fin du mois de mai », a déclaré le patron de la BAL.
Pour Amadou Gallo Fall, cette saison, cette compétition sera plus relevée que les précédentes. « Nous entamons cette saison avec beaucoup d’enthousiasme. Nous œuvrons pour que la BAL soit un moteur de développement pour l’Afrique et favorise l’inclusion sociale pour booster l’économie locale, le tourisme. Lors de la saison 3, on avait annoncé une compétition plus compétitive. Nous allons continuer dans ce sens », a annoncé Amadou Gallo Fall. Comme pour les trois prochaines éditions, le Rwanda abritera les play-offs, autrement appelés Final 8. Comme chez les hommes, les responsables du Basket-ball africain sont en train de peaufiner des stratégies pour créer une compétition chez les filles dans les années à venir. « Nous sommes en train de travailler avec FIBA Afrique pour développer le basket féminin qui est très populaire. L’instance africaine a organisé l’année dernière un championnat d’Afrique de clubs à Maputo (Mozambique). Parallèlement, avec le programme BAL4Her, on travaille à recruter les 20 meilleures moins de 23 ans pour les amener à Kigali et les faire participer à la fête. Lors de l’Afrobasket féminin, le Rwanda a fini quatrième. Cela démontre le résultat de l’investissement qui a été fait », a soutenu le président Amadou Gallo Fall.
Pour rappel, les douze équipes qualifiées seront judicieusement réparties en trois groupes composés chacun de quatre équipes. Les deux formations de tête de chaque groupe, en sus des deux équipes ayant obtenu les meilleurs résultats parmi les troisièmes, auront le privilège de se qualifier pour le très attendu Final 8, qui aura lieu à Kigali à la fin du mois de mai et au début du mois de juin.
L’UNESCO EN CROISADE CONTRE LES DERIVES SUR LES MEDIAS SOCIAUX
Désinformation et discours de haine en ligne - Un sondage mondial confirme l’urgence d’agir face à la propagation des messages de haine et de la désinformation sur les médias sociaux.
Les réseaux sociaux sont devenus le lit des messages de haine et de la désinformation avec une propagation rapide et nocive. Face à la multiplication de ces dérives, l’UNESCO a décidé de combattre le fléau en proposant un plan d’action pour réguler les médias sociaux.
Un sondage mondial confirme l’urgence d’agir face à la propagation des messages de haine et de la désinformation sur les médias sociaux. A en croire l’UNESCO, une enquête d’opinion conduite auprès de 8 000 personnes dans 16 pays où se tiennent des élections en 2024 indique que 85% des citoyens sont inquiets de l’impact de la désinformation en ligne, alors que les médias sociaux sont devenus pour une large majorité d’entre eux la première source d’information.
Cette même enquête, rapporte toujours l’agence onusienne, indique que 87% des citoyens pensent que cette désinformation a déjà eu un impact majeur sur la vie politique de leur pays et craignent qu’elle pèse sur les résultats des élections prévues dans leur pays l’an prochain. En conséquence, d’après l’UNESCO, ils sont 88% à demander que les gouvernements et les régulateurs résolvent rapidement ce problème en régulant les médias sociaux. Cela étant, l’UNESCO a travaillé sur un plan d’action qui, dit-elle, est le fruit d’une concertation dans le système des Nations unies, avec plus de 10 000 contributions issues de 134 pays. “Ce plan détaille en quarante pages les Principes à respecter et les mesures concrètes à mettre en œuvre par toutes les parties prenantes – gouvernements, autorités de régulation, société civile et plateformes elles-mêmes”, lit-on dans le communiqué parvenu à la rédaction et signé par l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).
Pour faciliter la mise en œuvre des mesures édictées dans ce plan d’action, l’UNESCO compte organiser mi2024 la première Conférence mondiale des régulateurs. L’Organisation compte également accompagner les Etats membres pour qu’ils transposent ce plan d’action dans leur droit et leur réglementation. Pour ce faire, elle mobilise un financement dédié, déjà soutenu à hauteur d’un million d’euros par la Commission européenne. Il faut noter par ailleurs que ce plan prévoit entre autres que des régulateurs indépendants et publics soient mis en place partout dans le monde, au rôle clairement défini et dotés des moyens suffisants à l’exercice de leur mission. “Ces régulateurs indépendants travaillent en réseau et en étroite coordination, afin d’éviter que les entreprises digitales ne puissent profiter de disparités réglementaires entre les pays”, lit-on dans la note dont “L’AS” détient une copie.
L’UNESCO voudrait également que la modération des contenus soit possible et effective à la bonne échelle, dans toutes les régions et dans toutes les langues. Et que la responsabilité et la transparence soient établies dans les algorithmes, dont la mécanique repose trop souvent sur le fait de provoquer l’emballement au détriment de la fiabilité. Elle invite dans la foulée les plateformes à prendre plus d’initiatives pour éduquer et former les utilisateurs à déployer une pensée critique. Et que les régulateurs et les plateformes prennent des mesures renforcées dans les situations les plus sensibles, notamment en période électorale et de crise. Un accent particulier a été mis sur la liberté d’expression qui doit impérativement être préservée. Il faut noter aussi que des sections de cette stratégie sont aussi dédiées aux mesures nécessaires pour garantir l'intégrité électorale – notamment par le biais d'évaluations des risques électoraux, d'un marquage clair et d'une plus grande transparence de la publicité politique et de son ciblage – et pendant les situations d'urgence telles que les conflits armés et les catastrophes.
Procès de sympathisants de Pastef
Des sympathisants d’Ousmane Sonko sont appelés, aujourd'hui, à la barre de la Chambre correctionnelle du tribunal de grande instance hors classe de Dakar. Il s'agit de Mohamadou Lamine Bara Diop alias Diop Taïf, Vito, Yarga Sy, Mame Pathé Mbaye et des gardes du corps du leader de l'ex-parti Pastef, Ousmane Sonko. Ils sont poursuivis pour divers chefs d’inculpation.
Manifestation pour la libération des détenus politiques
Elles ne lâchent toujours pas l'affaire. Les organisations de familles de détenus politiques continuent de maintenir la pression sur l'Etat. En ce sens, le Cadre d'unité d'action pour la libération des détenus politiques a déposé, hier, une lettre d'information à la préfecture de Dakar pour une marche pacifique. Elle est prévue pour le vendredi 10 novembre 2023. La procession devrait partir du rond-point Liberté 05 pour prendre fin au rond-point Jet d'Eau. Cette marche vise à demander la libération immédiate et inconditionnelle de tous les détenus politiques. Le cadre qui réunit entre autres organisations l'appel des Linguère de la paix et la justice, le Chemin de la Libération, le Collectif des Familles des détenus et les Femmes en blanc a, à cet effet, lancé un appel pressant à tous les citoyens conscients à se mobiliser et à se joindre massivement à lui.
Un coordonnateur de l’Apr rejoint Boun Dionne Un départ qui n'est certainement pas des moindres des prairies marron-beige. Le coordonnateur de l’Apr de Keur Momar Sarr dans le département de Louga a rompu les amarres avec ses désormais ex-camarades de la mouvance présidentielle. À quelques mois de l'élection présidentielle de 2024, Moussa Sow a déposé son baluchon chez le candidat Mahammed Boun Abdallah Dionne. Moussa Sow, présenté comme l'un des membres fondateurs de l’Alliance pour la République, est aussi membre du Conseil Économique Social et Environnemental (CESE). Dans une déclaration, il a tiré à boulets rouges sur le candidat de Benno Bokk Yaakaar. Amadou Ba, dit-il, n'a aucune considération pour lui. Et pour cause, lors de sa tournée dans la région de Louga, le Premier ministre n'a même pas daigné prendre langue avec lui au téléphone. Pour participer à l'effort de guerre, il dit avoir déjà collecté plus de 2 000 parrains en faveur de son candidat Boun Dionne dont il a loué les qualités managériales.
Décès de Cheikh Mouhamadoul Akhibou Ibrahima Niass
Le monde musulman est en deuil, notamment la cité religieuse de Médina Baye. Cheikh Mouhamadoul Akhibou Ibrahima Niass est rappelé à Dieu à l'âge de 78 ans. Connu pour sa discrétion, Cheikh Mouhamadoul Akhibou Ibrahima Niass est un fils de Cheikh Al Islam Baye Niass. Né en 1945, « papa Akhibou » comme l'appelaient affectueusement ses disciples, était l'incarnation de la sagesse et de la discipline avec une sérénité hors du commun. « Papa Akhibou » était peu connu par le grand public. Il vouait un culte de respect et de considération particulière à l'humain. Comme les autres fils de Baye Niass, il a très tôt maîtrisé le Saint Coran avant de se rendre au Maroc puis en Égypte pour poursuivre et approfondir ses connaissances en science islamique. La politesse, le respect des valeurs, la sérénité, la patience et la discrétion étaient les qualificatifs de l'homme qui avait donné sa vie à la cause de l'Islam, comme son père.
Cheikh Omar Hanne remet 92 951 parrains
Le ministre de l'Éducation nationale Cheikh Oumar Hanne, par ailleurs responsable politique de la coalition Benno Bokk Yaakaar à Podor, a remis hier au délégation du coordonnateur régional des parrainages de la région de Saint Louis, Amadou Mansour Faye, un premier lot de 92 951 parrains collectés dans les 22 communes du département de Podor.
Les étudiants de l’université Assane Seck décrètent 96h de grève
Les étudiants de l’université Assane Seck de Ziguinchor poursuivent leur mouvement d'humeur. Après avoir décrété 48 heures de grève la semaine dernière, ils passent à la vitesse supérieure en annonçant un mot d’ordre de 96 heures renouvelables. Ces étudiants réclament la livraison des 14 amphithéâtres, dont 12 de 150 places et deux de 500 places, en plus du pavillon de 1 000 lits. Ils dénoncent, en outre, la décision des professeurs de combiner en une session les examens du premier et second semestre de l’année universitaire 2022-2023.
Arrestation de 12 éleveurs à Diamaguène
Douze éleveurs établis au foirail des grands ruminants de Diamaguène Sicap Mbao ont été déférés au parquet par la police. Selon nos sources, les mis en cause qui sont à couteaux tirés avec leurs responsables sur un projet de modernisation de l’équipement marchand estimé à 6,700 milliards tentaient de bloquer les travaux. Informés, les limiers sont allés les cueillir. Ils ont été placés en garde à vue avant d’être déférés au parquet.
M. Sarr menace de mort sa mère
Le pêcheur M. Sarr ne cesse de menacer de mort sa mère. Face au juge des flagrants délits de Dakar, il a contesté les faits. « Notre problème vient des moutons. J'ai sorti mes bêtes et elle en avait fait de même », précise le mis en cause. Interpellé sur la propriétaire de la drogue, il confie qu’elle appartient à d'autres pêcheurs. La plaignante Gnima Dabo était absente à la barre. A l’enquête, elle avait soutenu que son fils le menaçait constamment avec un couteau en l’insultant. « À chaque fois, il revenait à la maison ivre. Parfois, il rentrait à la maison avec ses amis pour fumer du yamba », a-t-elle renseigné. Et pour arrêter cela, elle est allée de son propre chef à la brigade pour le dénoncer. Le parquet a requis 6 mois ferme. Le juge a suivi le réquisitoire en condamnant le prévenu à 6 mois ferme pour détention d'arme et détention de chanvre indien.
Une fille et son amant volent un iPhone et de l’argent
M. Ndiaye a comparu hier devant la barre des flagrants délits de Dakar pour vol de téléphone portable. Âgée de 19 ans, son amant et elle se sont rendus à la plage de Ngor où ils ont trouvé un couple. Pour ne pas louer une natte, ils leur ont demandé de s'asseoir à leurs côtés. Ce qu'ils ont accepté. Mais lorsque le couple est allé se baigner, M. Ndiaye et Mamadou Ndiaye en ont profité pour voler le téléphone iPhone et de l'argent. C'est lorsque le couple est retourné sur la natte qu'il a constaté la disparition du téléphone. Il a fallu acculer la prévenue pour qu'elle avoue que son amant Mamadou Ndiaye l'a subtilisé. Alors qu'elle avait dit en premier lieu qu’il était parti aux toilettes. Devant la barre, la prévenue a nié le vol. « Nous sommes partis à la plage de Ngor. Je ne l'ai pas vu lorsqu'il volait leurs biens. Je ne sais pas là où il est allé après la commission des faits. Mamadou Ndiaye n'est pas mon amant. Je l'ai connu à Ngor », a-t-elle déclaré. La partie civile Khadija Diallo réclame 150 mille francs pour la réparation du préjudice. Le maître des poursuites a requis 2 ans dont 1 mois ferme. Finalement, la prévenue a été déclarée coupable et condamnée à 2 ans avec sursis et doit allouer 150 mille à la victime.
Pillage des contenus des sites Web par des moteurs de recherche
La Fédération des associations des professionnels de la presse et éditeurs en ligne de l'Afrique de l'Ouest (FAPPEL-AO) est préoccupée par le pillage systématique de ses contenus par des moteurs de recherche, des agrégateurs et applications des plates-formes internationales. Dans un communiqué, elle estime que cette cannibalisation éhontée de leurs contenus constitue une sérieuse menace à leur survie, surtout dans un contexte de crise et de morosité économique chronique. Par conséquent, la fédération réclame une revalorisation des coûts par clic et par impression (CPC et CPM) de Google qui sont très dérisoires sous nos tropiques et l'éligibilité de tous les pays de la sous-région aux programmes de monétisation de toutes les plates-formes. Les associations des éditeurs de presse en ligne d'Afrique de l'Ouest interpellent respectivement chacun de nos États sur leur rôle de régulateur du secteur de la communication. Elles sollicitent l'appui de nos gouvernements respectifs, des organisations communautaires au niveau régional ainsi que tout partenaire technique et financier pouvant aider à réunir tous les acteurs des médias et en face des représentants des GAFAM (Google, Amazone, Facebook, Apple et Microsoft) ainsi que les autres moteurs de recherche, agrégateurs et responsables d'applications de multinationales. Elles appellent de tous leurs vœux à la création d'une grande coalition africaine ou des États d'Afrique de l'ouest pour la mise en place de partenariats équitables avec ces géants de l'Internet.
Les armées fêtées à Saint-Louis
A l’instar des autres localités du Sénégal, Saint-Louis a célébré la journée des armées. La place « Baya » ex-Faidherbe a été le lieu de convergence des populations et des autorités. Le gouverneur de la région, Alioune Badara SAMBE qui a présidé la manifestation, se dit satisfait du travail des forces armées. A l’en croire, les armées ont toujours répondu présente face aux différents défis qui ont interpellé le Sénégal, notamment la préservation de l’intégrité territoriale. La cérémonie a été marquée par une prise d’armes. En ce sens, le gouverneur a rappelé l’importance de cette journée consacrée aux forces armées. A l’en croire, cette journée permet aux armées de montrer leurs capacités, leur dextérité. Selon le gouverneur, le Sénégal est le seul pays où l’unité nationale est sacrée. Auparavant, le commandant de la zone militaire n°2, Thiendella Fall, a magnifié le rôle « prépondérant » des forces armées dans cette activité de cohésion nationale qui se traduit, selon lui, par le concept « armée-nation ».Cette année, plusieurs activités ont été déroulées dans le cadre de cette célébration.
Petrosen monte en puissance
Les divergences de vues entre l’Opérateur historique BP (60%) et les autres membres de l’association non-opérateurs Petrosen (10%) et Kosmos (30%)) ont pu être solutionnées avec la renonciation totale, par BP, à tous ses droits et obligations sur le bloc Cop. Selon un communiqué de Petrosen, cette renonciation s’accompagne d’un transfert du rôle d’opérateur à Kosmos et du transfert de ses intérêts (60%) aux deux entités restant dans l’association (Petrosen et Kosmos), au prorata de leurs participations respectives, soit 15% pour Petrosen et 45% pour Kosmos. Ainsi il est convenu que les parts dues à Petrosen au titre de cette renonciation seront portées par Kosmos jusqu’à l’entrée en phase d’exploitation, au même titre que les 10% additionnels d’option d’augmentation déjà prévus par le contrat de recherche et de partage de Production (CRPP). Au final, à l’entrée en phase d’exploitation, la Société nationale Petrosen pourra faire passer sa participation de 10% à 35%, sans contrepartie aucune, renseigne la même source. Il est prévu aussi l’entrée dans l’association d’un nouveau partenaire par cession croisée de 32% des parts de Kosmos et 1% des parts de PETROSEN de sorte à obtenir une association composée, à terme, de Petrosen : 34%, Kosmos : 33% et Nouveau partenaire : 33%. Faisant ainsi de Petrosen le partenaire majoritaire de la future association.
REPOS PROLONGE POUR YOUSSOUF SABALY
Absent des pelouses depuis le 12 septembre dernier après sa blessure aux adducteurs lors du match amical face à l’Algérie Youssouf Sabaly ne sera pas de retour de si tôt. Un autre gros coup dur pour son club mais aussi pour l’équipe nationale du Sénégal.
Absent des pelouses depuis le 12 septembre dernier après sa blessure aux adducteurs lors du match amical face à l’Algérie, Youssouf Sabaly avait fait son come-back dans le groupe du Bétis Seville lors de la réception de Majorque samedi en suivant depuis le banc le succès de son équipe (2-0).
S’il espérait retrouver le pré dimanche à l’occasion du derby sévillan contre Séville Fc, l’ancien sociétaire de Bordeaux a été malheureusement rattrapé par une nouvelle tuile. Le club sévillan a en effet annoncé que Youssouf Sabaly s’est blessé à l’entraînement. «Après examens effectués par les services médicaux du Club, il est confirmé qu’il souffre d’une entorse de grade 2 du ligament latéral interne du genou droit. La date de son retour dépend de son évolution», lit-on dans le communiqué publié sur le site du Betis Seville.
Fiable mais fragile, le joueur âgé de 30 ans devrait être sur la touche entre 4 à 6 semaines pour cette entorse de grade 2. Un gros coup dur pour son club mais aussi pour l’équipe nationale du Sénégal. Une nouvelle fois stoppé dans son élan par une nouvelle blessure, Sabaly est d’ores et déjà out pour les matchs contre le Soudan du Sud et le Togo comptant pour les deux premières journées des éliminatoires du Mondial 2026. Si sa présence à la Can n’est pas totalement compromise, à près de deux mois du tournoi continental, l’inquiétude est de mise au vu de la fragilité de Youssouf Sabaly et du risque de rechute.
MAIS OU EST DONC PASSE BAMBA DIENG ?
Ce n’est pas un avis de recherche, mais ce document pourrait servir à élucider le mystère. Car en regardant les derniers matchs du FC Lorient en Ligue 1, cela ne vous a sûrement pas surpris de ne pas retrouver une trace de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké Dien
Malgré un retour à l’entraînement depuis plusieurs jours, Bamba Dieng a été laissé de côté lors des deux derniers matchs de Lorient. L’attaquant sénégalais ne semble plus entrer dans les choix de son entraîneur.
Ce n’est pas un avis de recherche, mais ce document pourrait servir à élucider le mystère. Car en regardant les derniers matchs du FC Lorient en Ligue 1, cela ne vous a sûrement pas surpris de ne pas retrouver une trace de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké Dieng. Et ça en dit long sur la situation que traverse l’attaquant sénégalais de 23 ans, lui qui n’était pas dans le groupe des Merlus à Reims et face au RC Lens. Comme souvent d’ailleurs depuis de longues semaines maintenant pour un joueur qui n’a plus joué un match de Ligue 1 depuis le 20 août dernier.
Bamba Dieng tarde à lancer son aventure lorientaise
Effectivement, il y a des raisons. La principale, nous la connaissons tous. Victime d’une blessure aux adducteurs face à l’OGC Nice lors de la 2e journée du Championnat français, l’ancien pensionnaire de l’Institut Diambars s’est retrouvé sur la touche pendant plusieurs rencontres. C’est seulement le 26 octobre dernier qu’il a pu faire son retour à l’entraînement collectif, et on pouvait déjà penser le voir réintégrer le groupe lorientais pour défier Reims deux jours plus tard ou, au pire des cas, être convoqué pour la réception du Racing Club de Lens le week-end dernier.
Hélas ! L’entraîneur du club breton Régis Le Bris en a décidé autrement, en écartant Bamba Dieng pour ces deux matchs. Difficile de dire si le champion d’Afrique sénégalais aurait pu éviter une défaite (1-0) et un match nul (0-0) à son équipe. Oui, difficile. D’autant plus que le principal intéressé, tout en étant titulaire, avait livré deux timides prestations contre le Paris Saint-Germain et l’OGC Nice, pour ses deux uniques apparitions cette saison. La souffrance de Dieng perdure. Oui, rien que cela. Ses premiers mois en Bretagne n’ont pas été des franches réussites.
Alors que l’Olympique de Marseille l’avait poussé vers la sortie, l’attaquant avait fait l’objet d’un intérêt de Lorient, qui l’a donc recruté contre 7 millions d’euros pour s’attacher de ses services lors du mercato hivernal de 2023. De la petite sortie à Marseille à l’arrivée en grande pompe à Lorient, notamment après avoir manqué le train menant à Leeds et Nice, on aurait pu croire à un retour au premier plan du Bamba Dieng aux 7 buts et 3 passes décisives en Ligue 1 lors de la campagne 2021-2022. D’autant plus que l’environnement du côté du Moustoir semblait idoine.
Bamba Dieng parti pour ne pas repartir à la CAN
Sauf que l’auteur du plus beau but aux Trophées UNFP 2022 n’a pas retrouver de sa superbe sur le court terme. Il n’est pas parvenu à faire oublier le départ de Terem Moffi et, pour 15 apparitions, il n’aura inscrit que trois buts durant la seconde moitié de la saison dernière. Sixième meilleure attaque de Ligue 1 après 11 journées cette saison, Lorient et Le Bris semblent décidés de s’appuyer sur d’autres attaquants, quitte à placer un jeune sénégalais de la réserve comme Bassirou Ndiaye (21 ans) et Eli Junior Kroupi (17 ans) devant Bamba Dieng, sans citer Siriné Doucouré (21 ans).
Cependant, force est de reconnaître que rien n’est figé et qu’a 23 ans seulement, l’ex-pépite de Marseille a toute une carrière devant lui. Toutefois, il n’est pas anormal de se poser des questions sur son avenir à court terme en sélection. Dans le groupe des champions d’Afrique au Cameroun, l’international aux 18 sélections et 2 buts n’est absolument pas certain d’être parmi ces Lions-là qui tenteront de répéter, en Côte d’Ivoire dans un peu plus de deux mois, l’exploit réalisé en 2022. À ce jour, on peut même légitimement penser qu’il ne sera pas convoqué pour la CAN 2023.
Bien que parfois ronronnant, le secteur offensif d’Aliou Cissé dispose de plusieurs noms. Nicolas Jackson, Habib Diallo, Boulaye Dia pour ne citer que les potentiels concurrents de Bamba Dieng semblent disposer une longueur d’avance. Ce dernier, lui qui n’a plus joué en sélection depuis l’élimination en huitièmes de finale de la Coupe du Monde, peut alors déjà faire une petite croix sur une participation à la prochaine CAN. À moins qu’il n’empile les buts avec le FC Lorient d’ici mi-décembre. Ce qui passe tout d’abord par retrouver du temps de jeu chez les Merlus.
LE SYTJUST DEPOSE UN PREVIS DE GREVE ET MENACE DE PARALYSER LE SYSTEME
Les travailleurs de la justice veulent mettre le ministre de la Fonction publique devant ses responsabilités et accusent des juristes dans son entourage d’avoir dénaturé le projet de décret adopté en Conseil des ministres
Le bureau exécutif national du Syndicat des Travailleurs de la Justice (SYTJUST) a tenu, hier, une conférence de presse. C’était pour annoncer le dépôt d’un préavis de grève pour ce 19 octobre. Les travailleurs de la justice veulent mettre le ministre de la Fonction publique devant ses responsabilités et accusent des juristes dans son entourage d’avoir dénaturé le projet de décret adopté en Conseil des ministres.
Revenant sur les raisons du dépôt du préavis, les conférenciers ont rappelé que le Conseil des ministres avait adopté, le 25 juillet 2018, le projet de décret portant statut particulier du cadre des fonctionnaires de la justice qui prenait en charge des points d’accord entre le gouvernement et le Syndicat des travailleurs de la justice (SYTJUST). « Ce projet de décret portait ainsi une réforme statutaire qui allait offrir un bon plan de carrière aux fonctionnaires de la justice. Après cette adoption, des juristes au ministère de la Fonction publique, de connivence avec certaines personnalités du ministère de la Justice et par jalousie, avaient dissimulé, pendant plus de six mois, le projet de décret pour qu’il ne fut pas soumis à la signature de son Excellence Monsieur le Président de la République », ont soutenu hier les animateurs de la conférence de presse.
En réaction à ce blocage, le SYTJUST avait déclenché, en fin novembre 2018, une grève qui s’était prolongée jusqu’au début de la campagne électorale des présidentielles de février 2019. Face à la pression, ces juristes avaient changé de stratégie et étaient parvenus, selon toujours les travailleurs du ministère de la Justice, à tromper la vigilance du ministre de la Fonction publique d’alors. En effet, ils lui auraient fait soumettre à la signature du chef de l’Etat un projet de décret falsifié dont les dispositions remettaient en cause l’engagement solennel de son Excellence le Président de la République et les points d’accord entre le gouvernement et le SYTJUST. A en croire le bureau exécutif national du syndicat, ces juristes au ministère de la Fonction publique avaient sciemment dénaturé le projet de décret adopté en Conseil des Ministres. Ils avaient ainsi altéré une délibération du gouvernement et abusé de la confiance du chef de l’Etat, d’après toujours Ayé Boun Malick Diop et ses camarades.
Pour rappel, le projet de décret qui avait été adopté par le Conseil des ministres le 25 juillet 2018 avait pour objet l’abrogation et le remplacement du décret n° 2011-509 du 12 avril 2011 portant statut particulier du cadre des fonctionnaires de la justice. D’après les fonctionnaires de la justice, le projet falsifié et soumis à la signature du chef de l’état avait abouti à des modifications du statut précité. Et à en croire le Ben du Sytjust, « cette grave prévarication bloque depuis cinq ans le passage des greffiers à la hiérarchie A2 et le reclassement du personnel du ministère de la Justice dans le corps des assistants des greffes et parquets, retardant gravement la mise en œuvre d’une réforme consensuelle. Elle est la principale source de tensions sociales dans le service public de la justice telles que les 73 jours consécutifs de grève en 2020.
Les travailleurs de la justice ont déposé leur préavis de grève
Dans l’optique de corriger la forfaiture dont ils estiment avoir été l’objet, le ministre de la Justice a élaboré, par les soins des services techniques de son département, un autre projet de décret portant statut particulier du cadre des fonctionnaires de la justice qu’il a déjà communiqué au ministre de la Fonction publique pour que ce dernier, dans le cadre de ses attributions, le soumette à la signature du chef de l’Etat. Toutefois, il semblerait que la bonne foi de ce dernier aurait été fortement influencée par les positions de certains membres de son entourage qui se sont toujours montrés rétifs à la réforme positive que le gouvernement avait déjà consenti d’entreprendre sur le statut particulier du cadre des fonctionnaires de la justice.
Les organisateurs de la conférence d’hier déplorent que le ministre de la Fonction publique, ne faisant pas preuve de solidarité gouvernementale, ait refusé d’harmoniser sa position à celle du ministre de la Justice pour ne pas contrarier les pourfendeurs de la réforme qui sont dans sa proximité. Pourtant, le SYTJUST dit avoir fait la même démarche de sensibilisation auprès du ministre de la Fonction publique qui avait accordé, le 31 janvier 2023, une audience à son secrétaire général accompagné de son adjoint. A l’occasion, devant le ministre et en présence du Directeur général de la Fonction publique, les deux plénipotentiaires des travailleurs de la justice avaient amplement exposé à l’autorité ce qui s’était réellement passé depuis le 25 juillet 2018. Par la suite, les syndicalistes avaient déposé un mémoire et des documents à l’appui de leurs explications.
Pour conclure, les travailleurs de la justice regroupés au sein du Sytjust estiment que le ministre de la Fonction publique est l’unique responsable des perturbations qui surviendront dans le service public de la justice à l’expiration du préavis de grève qu’ils ont déposé dès lors que ce ministre « a visiblement pris fait et cause pour les fossoyeurs de la réforme statutaire entreprise par le gouvernement ».
L’ARTP VALIDE DE NOUVEAUX CATALOGUES D’INTERCONNEXION AUX OPERATEURS SONATEL, SAGA AFRICA HOLDINGS LIMITED ET EXPRESSO SENEGAL.
L’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) a approuvé des catalogues d’interconnexion aux opérateurs SONATEL, Saga Africa Holdings Limited et Expresso Sénégal.
L’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) a approuvé des catalogues d’interconnexion aux opérateurs SONATEL, Saga Africa Holdings Limited et Expresso Sénégal. Cette mesure permettra de promouvoir de nouvelles offres voix et SMS dédiées aux fournisseurs SVA.
En outre, l’ARTP a mis en place un cadre permanent d’échanges et de concertation avec les fournisseurs SVA par le truchement du Comité de Développement des SVA, revu et a mis à jour le cadre réglementaire relatif aux SVA en introduisant de nouveaux acteurs sur ce marché, en l’occurrence les agrégateurs et les fournisseurs de services « machine to machine » (M2M) entre autres, informe une note signée du Directeur général de l’Artp, Abdou Karim Sall.
Les mesures susmentionnées contribueront de façon significative à la diversification des offres et à l’accès plus soutenable, en faveur des utilisateurs, aux prestations de communications électroniques.