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28 août 2025
SAMUEL ETO'O RISQUE GROS
L’ancienne star du football risque une peine de prison à la suite d’une demande de son avocat formulée par Erika do Rosario Nieves, sa fille légalement reconnue depuis février 2022.
L’ancienne star du football risque une peine de prison à la suite d’une demande de son avocat formulée par Erika do Rosario Nieves, sa fille légalement reconnue depuis février 2022.
Ayant déjà obtenu une décision de justice en sa faveur, ordonnant à Eto’o de verser une pension mensuelle de 1 400 euros, la jeune femme a maintenant réclamé le paiement rétroactif de cette pension pour les cinq dernières années. Face à l’absence de réponse de son père, elle passe à l’étape supérieure et demande des mesures plus sévères.
Le Diario de Sevilla a révélé cette information vendredi, confirmant la demande formulée par l’avocat d’Erika do Rosario Nieves, Fernando Osuna. Les plaignants ont mentionné la somme de 90 000 euros, représentant le montant des pensions impayées.
Selon les médias espagnols, l’avocat a également souligné les antécédents judiciaires de Samuel Eto’o, rappelant qu’il avait déjà été condamné à un an et dix mois de prison pour fraude fiscale en Espagne.
La lettre de l’avocat a également mentionné que l’ancienne gloire du football camerounais avait été condamnée à une amende financière pour n’avoir pas payé la pension alimentaire d’une autre fille issue d’une relation extraconjugale en Italie.
Le courrier adressé à la justice a déclaré : « Il doit plus de cinq ans de pension à sa fille et continue de défier la justice. Les ressources financières d’Erika sont très faibles tandis qu’Eto’o vit dans le luxe. »
L’avocat a également averti que Samuel Eto’o s’exposait à des circonstances aggravantes de récidive et d’abus d’autorité. Si un procès devait avoir lieu, il se tiendrait à Madrid.
ATHLETISME, LOUIS FRANÇOIS MENDY DECROCHE LA QULIFICATION HISTORIQUE AU JO
L’athlète sénégalais, Louis François Mendy, sera aux Jeux Olympiques de Paris 2024 grâce à la performance réalisée, samedi dernier, à Troyes, lors du meeting de cette ville située au sud-est de la capitale française.
L’athlète sénégalais, Louis François Mendy, sera aux Jeux Olympiques de Paris 2024 grâce à la performance réalisée, samedi dernier, à Troyes, lors du meeting de cette ville située au sud-est de la capitale française. Le hurdler sénégalais, détenteur d’une bourse olympique offerte par le Cnoss, a battu, en effet, un nouveau record national aux 110m haies lors de ce meeting international.
L’athlétisme sénégalais qui peinait à décrocher une qualification sur le terrain aux Jeux Olympiques, depuis quelques années, a enfin franchi la haie grâce à Louis François Mendy. Le pensionnaire du Centre africain de développement de l’athlétisme (Cadaa) a réalisé, samedi dernier, lors du meeting de Troyes, une belle performance avec un chrono stratosphérique de 13’’18 qui le qualifie directement pour Paris 2024 mais aussi aux mondiaux de Budapest (Hongrie) en août prochain (19-27).
Une qualification qui porte aussi la marque de la progression pour ce jeune athlète de 24 ans car, en mai dernier, ce spécialiste des haies avait déjà dominé le 110m haies lors du meeting international de Dakar avec un temps de 13’’49. Tout dernièrement, en juin, il avait établi un nouveau record national dans sa discipline de prédilection lors du meeting d’athlétisme de Genève (13’’36) ; soit 13 dixièmes de moins que celui de Dakar qui lui permettent d’écrire un peu plus l’histoire de l’athlétisme sénégalais.
Véritable figure de l’athlétisme sénégalais, Louis François Mendy n’en continue pas moins de poursuivre son chemin vers Paris 2024. Samedi a été la consécration si l’on peut dire puisque l’objectif des Jo a été atteint sur la piste Pierre Voillequin du Complexe Henri Terre de Troyes. C’est le résultat aussi des efforts conjugués du Cnoss et du Cio qui lui ont offert une bourse olympique à même de lui permettre de réaliser son rêve. Selon Balla Diéye, président de la commission des athlètes du Cnoss, ce résultat est un pari gagnant car le président Mamadou Diagna Ndiaye, conscient des enjeux que représentent les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, a décidé, en février 2023, d’octroyer des bourses de préparation à des athlètes sénégalais triés sur le volet.
« L’enjeu est de leur permettre de se retrouver dans les meilleures conditions pour la recherche de qualification. Cet accompagnement est en train de produire les premiers résultats avec cette qualification historique de Louis François Mendy, athlète se préparant au Centre africain de développement de l’athlétisme à Dakar. Cette qualification est historique également quand on sait que depuis quelques années, l’athlétisme sénégalais n’est présent au JO qu’à travers le système des invitations », a soutenu Balla Diéye.
VIDEO
MACKY SALL RENONCE À ÊTRE CANDIDAT
Le chef de l'État a indiqué dans un discours à la nation ce lundi 3 juillet, avoir décidé de ne pas briguer une troisième candidature. "Le Sénégal dépasse ma personne", a-t-il notamment signifié
Fin de suspense ! Le président de la République, Macky Sall, a décidé de ne pas se présenter à la prochaine élection présidentielle. Dans un message à la Nation, ce lundi 3 juillet 2023, le chef de l’Etat et patron de l’Alliance pour la République (Apr) a déclaré qu’il ne sera pas candidat « même si le débat juridique a été déjà tranché ».
« La Constitution me le permettait », a-t-il insisté. « Même si j’en ai eu le droit, j’ai décidé de me retirer et de mettre en avant l’intérêt supérieur de la Nation », a encore dit le président Sall.
« Je l’avais écrit dans mon livre [Le Sénégal au Cœur] paru en 2018 que le mandat de 2019 serait mon dernier mandat », a-t-il rappelé.
Samedi dernier, devant des élus locaux qui ont signé une pétition s’engageant à le soutenir, Macky Sall a affirmé son intention de contribuer à une victoire de la Benno Bokk Yaakar lors de ce scrutin : « Mon combat et ma plus grande fierté est vraiment de vous conduire vers la victoire et de poursuivre notre politique économique au bénéfice de nos populations ».
« L’enjeu du moment est d’abord d’être uni. Unis, il n’y a aucune force politique qui peut faire face à BBY », a-t-il déclaré, exhortant ses soutiens à placer « l’intérêt général » et « l’intérêt de la coalition » devant toute autre considération.
Dans son adresse retransmise en direct sur la télévision nationale, il a instruit le Gouvernement de prendre toutes les dispositions nécessaires pour un bon déroulement du scrutin.
Il a par ailleurs salué la « réussite » du Dialogue national, dont « les bonnes propositions » seront appliquées en vue de bâtir la nation dans une paix durable.
Le Président Sall a d’ailleurs indiqué que ces dispositions seront mises en œuvre dès cette semaine.
CÉDEZ LE POUVOIR, MONSIEUR LE PRÉSIDENT
A quelques heures de son discours à la nation concernant une éventuelle candidature à la présidentielle 2024, Mamoudou Ibra Kane lance un message fort au chef de l'Etat
A quelques heures du discours à la nation du président de la République Macky Sall, qui va enfin se prononcer sur sa candidature ou non à la présidentielle 2024, Mamoudou Ibra Kane lance un message fort au chef de l'Etat. Le président du mouvement "Demain c'est maintenant" a posté une vidéo dans laquelle il invite le président de la République "à respecter sa parole ainsi que la constitution du Sénégal qui lui interdit de briguer une troisième candidature".
Par la même occasion, il a listé ses attentes sur ce discours à la nation prévu aujourd'hui à 20 heures.
LES MODALITÉS DE L'EXÉCUTION DE LA DÉCISION DE CONDAMNATION DE SONKO
Selon le ministre de la Justice Ismaïla Madior Fall, "l’arrestation du condamné contumax peut intervenir aussitôt la décision disponible"
Dans une déclaration tenue sur sa page facebook, dimanche soir, le leader de Pastef Ousmane Sonko a fait savoir que « Macky Sall n’a aucune base légale pour m’arrêter ». Pour argumenter ses propos, l’opposant convoque l’article 341 du code pénal qui renseigne que toute personne jugée par contumace, si jamais elle réapparait la loi demande immédiatement que le premier jugement soit repris.
Le ministre de la Justice Ismaêla Madior Fall, pour répondre à Ousmane Sonko a fait savoir que « l’arrestation du condamné contumax peut intervenir aussitôt la décision disponible. Elle peut être réalisée par un soit-transmis de la décision de condamnation, qui vaut titre de détention, ou par une réquisition aux fins d’incarcération (comme en matière de contrainte par corps), adressée à la force publique.»
Alors c’est le lieu de se demander si nous n’allons pas vers une arrestation de l’opposant Ousmane Sonko ? La réponse semble être oui si l’on se réfère à la note parvenue à PressAfrik, ce lundi. Le ministre de la Justice donne les détails de « l’exécution de la décision d’un contumax ».
Une exécution qui passe d’abord par « l’extrait de la décision de condamnation dans les plus brefs délais dans l’un des journaux de la République, à la diligence du Procureur de la République le transmet ensuite au responsable dudit journal. »
S’en suivra : « la publication de l’extrait du jugement effectuée au même moment au niveau de la porte du dernier domicile ou de la mairie de la commune du contumax. L’extrait peut aussi être affiché à la porte des bureaux de son arrondissement ou de l’arrondissement du lieu du crime. »
Il est également adressé au « représentant du service des domaines du domicile du contumax. Toutes ces formalités sont accomplies à la diligence du Procureur de la
République. »
L’accomplissement de ces formalités à en croire le ministre de la Justice est un « préalable à l’exécution de la décision. La signification de la décision de condamnation à la partie, qui n’est pas présente ou représentée à l’audience, est une mesure nécessaire pour le décompte des délais d’appel. »
Il en rappelle par cette même occasion que le contumax, qui n’est pas admis à interjeter appel (article 313 CPP), « n’est pas concerné par cette formalité liée à la signification de la décision, mais plutôt par la publicité ci-dessus évoquée, ce d’autant qu’il peut être arrêté, en exécution de la décision. »
Alors pour conclure, le garde des Sceaux en résume que « l’exécution de la décision à lieu à la requête du Procureur de la République, dès qu’elle est devenue définitive. »
MACKY SALL, UN PRÉSIDENT TRÈS CONTESTÉ
Arrivé au pouvoir en 2012 grâce à un élan populaire, le chef de l'État est à la tête d’un Sénégal profondément divisé aujourd’hui. Retour sur les grands moments de sa vie politique
Macky Sall est né le 11 décembre 1961 à Fatick, dans l'ouest du Sénégal, une commune dont il fut le maire.
A la fin des années 1980, il adhère au Parti démocratique sénégalais, le PDS d’Abdoulaye Wade.
Il sera notamment secrétaire général de la Convention régionale du PDS de Fatick en 1998 et président des cadres du parti.
En 2000, quand Abdoulaye Wade accède au pouvoir, Macky Sall, qui rêvait d’un poste au sein du gouvernement, est d’abord placé à la tête de la Société des pétroles du Sénégal (Petrosen).
Puis de mai 2001 à août 2003, il dirige le ministère des Mines, de l'Energie et de l'Hydraulique. D'août 2003 à avril 2004, il est à la tête du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales.
Enfin, il exerce la fonction de Premier ministre de 2004 à 2007 avant d’occuper les fonctions de président de l'Assemblée nationale de 2007 à 2008.
La rupture en 2008 avec Abdoulaye Wade
2008, une année décisive dans la suite de la carrière politique de Macky Sall. C'est la brouille avec le président Abdoulaye Wade.
Président de l'Assemblée nationale, Macky Sall convoque devant le Parlement, le fils du président, Karim Wade, pour qu’il vienne s’expliquer sur les fonds de l’Agence nationale de l’organisation de la conférence islamique.
Une initiative mal perçue au palais présidentiel. Sa tête est réclamée. Macky Sall est contraint à la démission.
Il quitte le PDS et fonde son propre parti, l’Alliance pour la démocratie (APR).
Il se déclare alors candidat à l’élection présidentielle de 2012 et est porté au pouvoir par une vague de soutien populaire et devient ainsi le quatrième président de la République du Sénégal. La candidature pour un troisième mandat d'Abdoulaye Wade avait provoqué une vague de protestations dans tout le pays.
Macky Sall contesté
En 2016, Macky Sall fait réviser la Constitution. Trois ans plus tard, il est réélu pour un second mandat. Ses partisans le présentent comme leur candidat en 2024, faisant savoir que la révision constitutionnelle a "remis les compteurs à zéro" et qu’il pourrait faire, selon eux, encore deux nouveaux mandats.
Au plan économique et social, Macky Sall se targue d’avoir transformé le Sénégal à travers de grands travaux, comme la ville nouvelle de Diamniadio, le nouvel aéroport international Blaise Diagne, inauguré en 2017, ou encore le train express régional mis en service en décembre 2021.
Ingénieur géologue, géophysicien formé à l'Institut des sciences de la terre de Dakar, puis à l'Ecole nationale supérieure du pétrole et des moteurs de l'Institut français du pétrole de Paris, Macky Sall est marié et père de trois enfants.
CAMPAGNE AGRICOLE 2023, BAMBEY DANS LES BONNES DISPOSITIONS
Les services compétents ont pris les dispositions nécessaires pour un bon déroulement de la campagne agricole dans le département de Bambey (centre), assure la cheffe du service départemental du développement rural (SDDR), Aminata Fall Diouf.
Les services compétents ont pris les dispositions nécessaires pour un bon déroulement de la campagne agricole dans le département de Bambey (centre), assure la cheffe du service départemental du développement rural (SDDR), Aminata Fall Diouf.
« Les dispositions nécessaires sont prises pour assurer une bonne mise en place des semences », a-t-elle indiqué dans un entretien avec l’APS, ajoutant que le préfet a déjà pris des arrêtés pour constituer les commissions en charge de la distribution des semences.
« A ce jour, nous avons reçu provisoirement 965 tonnes d’arachide, 35 tonnes de sorgho et 43 tonnes de sésame. Et un autre lot de dotation est attendu avant l’installation de l’hivernage pour permettre à toutes les communes d’avoir leur quota », a déclaré Aminata Fall Diouf.
Pour ce qui est du matériel agricole, la cheffe du service départemental du développement rural a tenu à rappeler que « les autorités ont consenti, pour cette année, beaucoup d’efforts dans le département de Bambey. »
A l’en croire, 400 semoirs et 56 charrettes ont été mis à la disposition des paysans des douze communes du département de Bambey. De même, du matériel lourd, dont dix tracteurs, a été également distribué aux ayants droit la semaine dernière, ajoute-t-elle.
BAC 2023, MATAM VA PRESENTER 5 052 CANDIDATS
L’Inspection d’académie (IA) de Matam va présenter au total 5 052 candidats a l’examen du Baccalauréat 2023, qui démarre mardi, a indiqué l’Inspecteur d’académie Dr Mbaye Bakhoum.
Matam, 3 juil (APS) – L’Inspection d’académie (IA) de Matam va présenter au total 5 052 candidats a l’examen du Baccalauréat 2023, qui démarre mardi, a indiqué l’Inspecteur d’académie Dr Mbaye Bakhoum.
Ce effectif est constitué en majorité de filles soit 65%, selon l’Inspecteur d’académie, indiquant que ces candidats seront répartis dans 64 centres.
Lors d’un Comité régional de développement (CRD), le gouverneur de la région en collaboration avec l’IA et certains chefs de service avaient pris des mesures pour assurer une bonne tenue de cet examen.
La sécurité des épreuves, l’hébergement des membres de la commission et la gestion des inondations étaient au cœur de ces décisions.
Le gouverneur va visiter, mardi, des centres du lycée Fadel Kane Matam, El Hadji Yéro Basse Ourossogui et de celui de Ogo, situé à 16 km de la capitale régionale.
CAN 2023, LA CAF SORT SON ONZE TYPE
La Confédération africaine de football (CAF) a publié, lundi, à l’issue de la phase de poules, le onze-type de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) des moins de 23 ans qui se déroule au Maroc.
Dakar, 3 juil (APS) – La Confédération africaine de football (CAF) a publié, lundi, à l’issue de la phase de poules, le onze-type de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) des moins de 23 ans qui se déroule au Maroc.
Cette équipe est composée de quatre joueurs marocains, quatre joueurs égyptiens et trois maliens.
Qualifiés en demi-finale de la CAN U23, c’est tout logiquement que le Maroc, l’Égypte et le Mali constituent le 3-4-3 offensif établi par la CAF à la fin des phases de poule.
Le portier égyptien Hamza Hussein qui n’a encaissé aucun but est élu meilleur gardien.
Ses compatriotes de la défense Hossam Abdel-Megeed, du milieu de terrain Ibrahim Adel et de l’attaque Osama Faisal sont également dans l’équipe type.
Le Maroc, seule équipe à avoir gagné tous ses matchs, est représenté par le défenseur Mehdi Boukamir, du milieu offensif Ismael Saibari, de l’ailier du FC Barcelone Abdessamad Ezzalzouli, co-meilleur buteur avec le Ghanéen Emmanuel Yeboah avec trois buts.
L’attaquant Yanis Begraoui, avec deux réalisations, est le quatrième joueur marocain du onze-type. La liste st complétée par l’ailier gauche Cheikhna Diakité, de l’arrière droit Fodé Doucouré et du défenseur Ibrahima Cissé, tous de la Guinée.
Les demi-finales de la CAN U23 sont prévues ce mardi. L’Égypte et la Guinée s’affrontent à 17h GMT. Le Maroc sera opposé au Mali à 20h GMT.
La CAN U23 est une compétition de football créée par la Confédération africaine de football (CAF). Elle se tient tous les quatre ans et est qualificative aux Jeux olympiques pour les trois premières équipes.
La première édition, organisée en 2011 au Maroc, avait consacré le sacre du Gabon.
Le Sénégal a accueilli l’édition de 2015, remportée par le Nigeria.
L’Égypte a remporté la dernière édition organisée en 2019.
Le Maroc abrite pour la deuxième fois la compétition à laquelle participaient huit équipes.
BAC 2023, PLUS DE 150 000 CANDIDATS INSCRITS
Quelque cent cinquante-cinq mille cent sept (155109) candidats sont inscrits à l’examen du baccalauréat 2023, soit une hausse de 4184 candidats par rapport à 2022, a appris l’APS de source officielle.
Dakar, 3 juil (APS) – Quelque cent cinquante-cinq mille cent sept (155109) candidats sont inscrits à l’examen du baccalauréat 2023, soit une hausse de 4184 candidats par rapport à 2022, a appris l’APS de source officielle.
L’examen du bac démarre mardi sur l’ensemble du territoire national. Le nombre de filles est 88467, soit 57,04% des effectifs.
Le pourcentage de candidats issus du public est de 52.89% et celui des candidats individuels de 16,49%, indique l’Office du Baccalauréat sur son site Internet.