ASSEMBLEE NATIONALE, LES PRESIDENTS DE COMMISION ELUS
Après l’élection du président de l’Assemblée nationale et des Vice-présidents, et la ratification mardi des listes des membres des Commissions permanentes, les députés de la 14e Législature ont été convoqués pour élire les présidents des 14 commissions
Après l’élection du Président de l’Assemblée nationale et des Vice-présidents, la semaine dernière, et la ratification mardi des listes des membres des Commissions permanentes, les députés de la 14e Législature ont été convoqués en session mercredi pour élire les présidents des 14 commissions.
Commission des Finances et du contrôle budgétaire : Seydou Diouf (Benno)
Commission des affaires économiques : Mady Danfakha (Wallu Sénégal)
Commission de l’aménagement du territoire de l’urbanisme, de l’habitat, des infrastructures et des transports : Bassirou Goudiaby (Yaw)
Commission du développement rural ; Cheikh Seck (Benno)
Commission du développement durable et de la transition écologique : Rokhaya Diouf (Wallu)
Commission de l’énergie et des ressources minérales : Abass Fall (YAW)
Commission des lois de la décentralisation du travail et des droits humains : Abdou Mbow Benno (Benno)
Commission des affaires étrangères des sénégalais de l’extérieur et de l’intégration africaine : Babacar Mbengue (Yaw)
Commission de la défense et de la sécurité : Abdoulaye Baldé (Benno)
Commission de l’Education de la jeunesse des sports et du loisir : Oumar Sy (Yaw)
Commission de la culture et de la communication: Malick Fall (Benno)
Commission de la santé de la population et de la solidarité nationale : Sira Ndiaye (Benno)
Commission de la comptabilité et du contrôle : Mamadou Woury Baila Diallo (Benno)
Commission des délégations : Mouhamed Ayib Dafé (Yaw)
SERIGNE BASSIROU GUEYE ANNONCÉ À THIÈS
Détaché à la présidence de la République en novembre 2021, Serigne Bassirou Gueye est annoncé à la Cour d’appel de Thiès comme procureur général a-t-on appris de Bes bi.
Détaché à la présidence de la République en novembre 2021, Serigne Bassirou Gueye est annoncé à la Cour d’appel de Thiès comme procureur général. Bés bi a appris de sources judiciaires que l’ancien procureur de la République près le Tribunal de grande instance hors classe (Tgihc) de Dakar devait rejoindre très prochainement la capitale du rail à la suite d’une consultation à domicile. Un retour donc dans les juridictions après une brève parenthèse au palais. Serigne Bassirou Guèye avait été remplacé par Amady Diouf après 7 ans passés au Parquet de Dakar. Une décision qui avait été prise par le Conseil supérieur de la magistrature. Serigne Bassirou Guèye a piloté plusieurs dossiers chauds dont celui de Adji Sarr-Ousmane Sonko, mais aussi ceux de Khalifa Sall, Aïda Ndiongue et bien d’autres.
LE SÉNÉGAL DOIT RÉUSSIR SA COUPE DU MONDE
Désormais ex-ministre des Sports, Matar BA, a passé le témoin à son successeur Yankhoba Diattara. Dans son discours, il a tenté de calmer la colère de ses militants, qui ne gouttent pas son départ du gouvernement à deux mois du Mondial 2022
Désormais ex-ministre des Sports, Matar BA, a passé le témoin à son successeur Yankhoba Diattara. Dans son discours, il a tenté de calmer la colère de ses militants, qui ne gouttent pas son départ du gouvernement à deux mois du Mondial 2022, et surtout après le premier sacre des Lions du Sénégal, au Cameroun, en février dernier. D’ailleurs, la salle du ministère qui a abrité la cérémonie de passation de service était pleine à craquer, prise d’assaut par les soutiens du maire de Fatick. « L’histoire retiendra que vous êtes le champion d’Afrique », scandent ses soutiens.
C’est dans cette ambiance que Matar BA a commencé par « remercier du fond du cœur, très profondément et très sincèrement » le président Macky Sall, qui, a-t-il insisté, « a porté son choix sur (sa) modeste personne depuis 2014 pour manager ce département stratégique. » Il retient : « une période certes longue mais une période chargée d’émotion, de pression mais aussi de joie », soulignant que « les résultats sportifs que nous avons obtenus pendant ces 8 dernières années découlent du soutien indéfectible que nous avons bénéficié de la part du président de la République. Ces résultats sont le fruit du travail immense des cadres et agents du département, mais aussi et surtout de l’ensemble des composantes de l’écosystème du sport sénégalais parmi lesquels le Comité national olympique sportif sénégalais (CNOSS), … »
« Poursuivre l’œuvre entamée au profit de la nation »
Matar BA de poursuivre : « mon cher frère, mon cher ami, monsieur le ministre des Sports, (Yankhoba Diattara), je voudrais vous souhaiter beaucoup de succès, beaucoup de réussite à la tête du ministère des Sports, un secteur stratégique et les plus exaltants de la plage gouvernementale. Je suis convaincu que le choix porté sur votre personne par le président Macky Sall pour diriger le département des Sports, est le meilleur. Parce que comme à son habitude, il l’a fondé sur des critères pertinents d’aptitude et de compétence, sur votre sens de l’écoute, du service public, votre engagement indéfectible à servir la nation. Mais également sur les qualités humaines exceptionnelles et indéniables qui caractérisent votre personnalité. »
« Le Sénégal doit réussir sa Coupe du monde »
Il ajoutera que « certes les échéances futures sont proches et immenses notamment la Coupe du monde au Qatar qui est déjà arrivée et dont la préparation a déjà commencé », mais « soyez convaincu mon cher ami que vous trouverez dans le sport, et dans l’environnement au niveau de l’administration ministérielle et dans le mouvement sportif et associatif, des hommes et des femmes engagés et compétents, qui ne ménageront aucun effort pour vous accompagner vers cette compétition majeure que le Sénégal doit réussir avec brio. Je voudrais vous rassurer, mais aussi vous assurer monsieur le ministre ma disponibilité pour l’exécution complète des directives que le président vous donnera à cet effet, pour la mise en œuvre de la politique sportive dans son ensemble ».
« Je serai toujours à vos côtés »
Pour finir, il a tenu à rappeler que « quand le président Macky Sall m’a confié ce département, il m’avait dit je vous confie le département des Sports pour que vous travailliez pour le peuple. » Selon lui, « l’émotion (et) tout ce qui s’est passé après la lecture du nouveau gouvernement montrent tout simplement que le chef de l’État ne travaille que pour son peuple. Tous les résultats étaient destinés à ce vaillant peuple. » C’est pourquoi, a-t-il dit, s’adressant à son successeur, « je n’ai aucune inquiétude, il faut que tout le monde le sache. Parce que j’ai à côté, un jeune frère que j’ai côtoyé pendant 20 ans. Qui, sûrement, avec les amis du Comité olympique, les vaillants présidents de Fédération et groupements sportifs, les résultats positifs pourront continuer. Je sais que vous en êtes capables et comme je vous l’ai indiqué dans mon bureau, je suis toujours (là) pour vous accompagner à réussir ce pari qui n’est pas aussi difficile qu’on le pense parce qu’il s’agit de travailler et vous avez tous les éléments pour poursuivre le boulot ».
Par Daouda Mine
L’INÉLIGIBILITÉ ET LA PERTE DES MANDATS DE BARTHÉLÉMY DIAS EN QUESTION
Barthélémy Dias est présentement maire de Dakar et député à l’Assemblée nationale. Mais l’affaire Ndiaga Diouf pourrait lui faire perdre ses deux mandats électifs, si la cour suprême ne casse pas le verdict de la Cour d’appel de Dakar qui l’a condamné
Barthélémy Dias est présentement maire de Dakar et député à l’Assemblée nationale. Mais l’affaire Ndiaga Diouf pourrait lui faire perdre ses deux mandats électifs, si la cour suprême ne casse pas le verdict de la Cour d’appel de Dakar qui l’a condamné à 2 ans dont 6 mois ferme et si les autorités étatiques enclenchent une procédure pour le déchoir de ses mandats.
Pour son mandat de député, le dernier alinéa de l’article 61 de la Constitution, repris par l’article 51 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, dispose que « le député qui fait l’objet d’une condamnation pénale définitive est radié de la liste des députés de l’Assemblée nationale sur demande du Ministre de la Justice ».
Autrement dit, si la condamnation de Barthélémy Dias devient définitive, il suffira que le nouveau ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall, introduise une demande à l’Assemblée nationale pour que le président de cette institution en prenne acte et que Barthélémy Dias perde son mandat de député. La loi est claire à ce niveau. Il ne s’agira pas, dans ce cas, de suivre une procédure, de mettre en place une commission ad hoc et de convoquer une plénière comme c’est le cas quand il s’agit d’une demande de levée de l’immunité parlementaire d’un député.
Pour son poste de maire, son cas est un peu différent de celui de Khalifa Sall. Concernant ce dernier, le président de la République, Macky Sall, avait visé les dispositions de la loi n° 2013-10 du 28 décembre 2013 portant Code général des Collectivités territoriales, pour justifier son décret de révocation de ses fonctions de maire de Dakar.
En effet, l’article 135 dudit code dispose que « lorsque le maire ou tout autre conseiller municipal est condamné pour crime, sa révocation est de droit ». L’article 136 du même code ajoute que « la révocation emporte, de plein droit, la perte du mandat de conseiller municipal et l’inéligibilité aux fonctions de conseiller jusqu’à la fin du mandat, à dater du décret de révocation (…) ».
L’article 140 du Code général des Collectivités territoriales complète en disposant : « sans que la liste ne soit limitative, les fautes énumérées ci-dessous peuvent entraîner l’application des dispositions de l’article 135 du présent code : fait prévu et puni par la loi instituant la Cour des comptes ; utilisation des deniers publics de la commune à des fins personnelles ou privées ; prêts d’argent effectués sur les recettes de la commune ; faux en écriture publique authentique visés au Code pénal ; faux commis dans certains documents administratifs, dans les feuilles de route et certificats visés au Code pénal ; concussion … ».
Condamné pour faux et usage de faux et escroquerie sur des deniers publics, c’est cet article qui avait valu à Khalifa Sall une révocation.
Aucun de ces articles ne peut être invoqué contre Barthélémy Dias. Car il n’est pas condamné pour une infraction liée aux deniers publics, il n’est pas non plus condamné pour crime. Il est déclaré coupable de « coups mortels », c’est à dire « coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Infraction qui est considérée comme un délit par le Code pénal sénégalais et non comme un crime.
En revanche, si la condamnation de Barthélémy Dias est définitive, le pouvoir pourrait lui appliquer les dispositions du Code électoral (qui empêchent Karim Wade d’être éligible).
L’alinéa 3 de l’article L.29 du Code électoral dispose : « ne doivent pas être inscrits sur la liste électorale ceux (qui sont) condamnés à plus de trois mois d’emprisonnement sans sursis ou à une peine d’emprisonnement d’une durée supérieure à six mois avec sursis (…).
Est-ce que cet article pourrait être interprété jusqu’à lui faire perdre son mandat actuel de maire de Dakar ? Le débat se situe à ce niveau.
Toutefois, en cas de condamnation définitive, cet article pourrait bien être utilisé pour l’empêcher d’être candidat à la présidentielle de 2024, comme c’est le cas pour Karim Wade. Depuis qu’il a été condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), Wade-fils n’a participé à aucune élection au Sénégal, en application des dispositions de cet article du Code électoral Sénégalais (l’ancien article L30 devenu L29 du Code électoral depuis la révision du code en février 2021).
Rappelons qu’au Sénégal, nous avons 3 sortes de peines : la peine principale, la peine complémentaire et la peine accessoire.
Les peines complémentaires sont des peines qui, comme leur nom l’indique, s’ajoutent à la peine principale. Par exemple, lorsqu’un journaliste est condamné pour diffamation à 3 mois avec sursis assortis d’une interdiction d’exercer les fonctions de Directeur de publication pour une durée de 6 mois, les 3 mois constituent la peine principale et l’interdiction de 6 mois, constitue la peine complémentaire. Une peine complémentaire ne s’applique que lorsque le juge le prononce.
En revanche, une peine accessoire est une sanction automatique qui n’a pas à être prononcée par le juge.
Cela veut dire que si le Code électoral dispose que celui qui est condamné à telle peine ne peut pas s’inscrire sur une liste électorale, le juge en prononçant son verdict, contre Karim Wade par exemple, n’a pas à dire qu’il est condamné à 5 ans de prison et « par conséquent, il ne peut pas s’inscrire sur les listes électorales ». Il suffit de la condamnation pour que la radiation sur la liste électorale soit automatique. C’est le sens d’une peine accessoire.
La France l’a tellement compris qu’elle a légiféré dans ce sens pour plus de protection en ce qui concerne les droits civiques et familiaux. Ce n’est pas encore le cas au Sénégal.
Depuis l’entrée en vigueur du Code pénal français, le 1er mars 1994, l’article 132-17 énonce en son premier alinéa qu’« aucune peine ne peut être appliquée si la juridiction ne l’a expressément prononcée » (interdiction des peines accessoires).
L’article 132-21 du même Code ajoute que « l’interdiction de tout ou partie des droits civiques, civils et de famille mentionnés (…) ne peut, nonobstant toute disposition contraire, résulter de plein droit d’une condamnation pénale ».
Autrement dit, l’inéligibilité ne peut être que la conséquence d’une peine complémentaire (donc obligatoirement prononcée par le juge) et non plus d’une peine accessoire (qui s’applique automatiquement). Ce qui n’est pas encore le cas au Sénégal. Malheureusement ! Voilà une réforme qui peut intéresser les députés.
POURQUOI LE MAIRE BARTH NE PEUT PAS ÊTRE RÉVOQUÉ
L’aspect relatif à la question du maire est déjà évacué. Le maire ne peut plus faire l’objet de révocation. Mais cette condamnation met en péril son mandat de député »
« Nous allons continuer la lutte. Et je vous dis que nous allons nous pourvoir en cassation. Parce que c’est une décision qui mérite un pourvoi. L’aspect relatif à la question du maire est déjà évacué. Le maire ne peut plus faire l’objet de révocation. Mais cette condamnation met en péril son mandat de député », a dit Me Khoureychi Ba, un des avocats de Barth à Emedia. Mais pourquoi l’avocat écarte-t-il d’office la question de la possible révocation de Dias de son poste de Maire de Dakar ? Que dit le Code général des collectivités territoriales ?
Ce texte, en son Article 135, dit que « Lorsque le maire ou tout autre conseiller municipal est condamné pour crime, sa révocation est de droit ». Le même article poursuit pour dire que :
« Les Maires et adjoints, après avoir été entendus ou invités à fournir des explications écrites sur les faits qui leur sont reprochés, peuvent être suspendus par un arrêté du Ministre chargé des Collectivités territoriales pour un temps qui n’excède pas un mois et qui ne peut être porté à trois mois que par décret ». Last but not least, conclut-il, toujours en parlant du Maire et de ses adjoints : « Ils ne peuvent être révoqués que par décret. L’arrêté de suspension et le décret de révocation doivent être motivé ».
Mais l’article en question parle de « crime », dans le cas d’espèce et selon me Aboubakry Barro, avocat au barreau de Dakar, interrogé par Emedia, on se trouve dans le cas d’un délit jugé en correctionnel. Ce qui ne peut pas être le cas d’un « crime » qui doit être connu par la chambre criminelle. Résultat des courses, la confirmation de la peine (deux ans, dont six mois ferme) rendue en première instance par la Cour d’Appel, ne prive nullement le Maire Barthélémy Dias de son droit d’exercer la fonction de Maire de la Ville de Dakar. Parce qu’il n’a pas été attrait devant une chambre criminelle, encore moins être condamné pour crime.
COMMENT LES SERVICES DE L'ÉTAT SONT RÉPARTIS
Amadou Ba a rendu public le décret n° 2022-1777 portant répartition des services de l’Etat et du contrôle des établissements publics, des sociétés nationales et des sociétés à participation publique entre la présidence, la Primature et les ministères
Quelques jours après la formation d’un nouveau gouvernement avec à la tête le Premier ministre Amadou Ba, celui-ci a rendu public le décret n° 2022-1777 portant répartition des services de l’Etat et du contrôle des établissements publics, des sociétés nationales et des sociétés à participation publique entre la présidence de la République, la Primature et les ministères.
Décret n° 2022 – 1777 portant répartition des services de l’Etat et du contrôle des établissements publics, des sociétés nationales et des sociétés à participation publique entre la Présidence de la République, la Primature et les ministères
LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE,
VU la Constitution ;
VU la loi d’orientation n° 2009-20 du 04 mai 2009 sur les Agences d’exécution ;
VU la loi d’orientation n° 2022-08 du 19 avril 2022 relative au secteur parapublic, au suivi du portefeuille de l’Etat et au contrôle des personnes morales de droit privé bénéficiant du concours de la puissance publique ;
VU le décret n° 2007-909 du 31 juillet 2007 relatif à l’organisation de la Présidence de la République, modifié ;
VU le décret n° 2017-314 du 15 février 2017 fixant les règles de création et d’organisation des structures de l’administration centrale des ministères ;
VU le décret n° 2020- 2104 du 1er novembre 2020 portant nomination d’un Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République ;
VU le décret n° 2022 -1774 du 17 septembre 2022 portant nomination du Premier Ministre ;
VU le décret n° 2022 – 1775 du 17 septembre 2022 portant nomination des ministres et fixant la composition du Gouvernement ;
SUR le rapport du Premier Ministre,
DECRETE :
Article premier. Les services de l’Etat sont répartis entre la Présidence de la République, la Primature et les ministères ainsi qu’il suit :
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE
1° Cabinet du Président de la République et services rattachés :
– Inspection générale d’Etat (IGE) ;
– Office national de lutte contre la Fraude et la Corruption (OFNAC) ;
– Commission d’évaluation et de suivi des Politiques et Programmes publics ;
– Comité d’Orientation stratégique du Pétrole et du Gaz (COS-PETROGAZ) ;
– Commission nationale du Dialogue des Territoires (CNDT).
Pôle diplomatique :
– Conseiller (s) diplomatique (s) ;
– Bureau du représentant personnel du Chef de l’Etat auprès de l’Organisation internationale de la Francophonie.
Pôle des affaires protocolaires :
– Service du Protocole présidentiel ;
– Grande Chancellerie de l’Ordre national du Lion.
Pôle Communication et Porte-parolat :
– Cellule audiovisuelle ;
– Cellule digitale.
Pôle Sécurité :
– Délégation générale au renseignement national ;
– Secrétariat du Conseil national de Sécurité.
Pôle de Coordination des missions régaliennes :
– Secrétariat du Conseil supérieur de la Magistrature ;
– Secrétariat du Conseil supérieur de la Cour des Comptes ;
– Commission nationale de la Gestion des Frontières.
2° Cabinet politique
3° Cabinet militaire du Président de la République :
– Inspection générale des Forces armées ;
– Etat-Major particulier du Président de la République :
? Haute Autorité chargée de la Coordination de la Sécurité maritime, de la Sûreté maritime et de la Protection de l’Environnement marin ;
? Haute Autorité des Aéroports du Sénégal ;
? Centre des Hautes études de Défense et de Sécurité ;
– Maison militaire ;
– Escadrille présidentielle ;
– Flottille présidentielle ;
– Aide de Camp du Président de la République ;
– Médecin du Président de la République.
4° Cabinet du Ministre chargé du Suivi du Plan Sénégal Émergent
– Bureau Opérationnel de Suivi du Plan Sénégal Emergent ;
– Fonds de Soutien au Suivi du Plan Sénégal Emergent.
5 ° Services du Palais :
– Hôtel des Palais présidentiels ;
– Intendance des Palais nationaux ;
6° Secrétariat général de la Présidence de la République et services rattachés :
– Contrôle financier ;
– Bureau Organisation et Méthodes ;
– Direction des Moyens généraux ;
– Direction générale du Chiffre et de la Sécurité des Systèmes d’information ;
– Service informatique ;
– Bureau de suivi et de Coordination ;
– Bureau d’Assistance aux Daaras et aux Diplômés de l’Enseignement Arabe ;
– Bureau d’Appui aux Projets prioritaires ;
– Bureau des Affaires juridiques et institutionnelles ;
– Bureau interne de Prospective politique et sociale ;
– Bureau d’Analyse et de Synthèse ;
– Bureau d’Appui au Renforcement du Capital humain ;
– Bureau de Suivi de l’Emploi des Jeunes et de la Transition numérique ;
– Bureau de Suivi de la Transition écologique ;
– Bureau des Cultures urbaines ;
– Bureau d’Assistance sociale ;
– Bureau du Courrier général et de la Documentation ;
– Commission de Contrôle des Véhicules administratifs ;
– Commission de Contrôle et de Suivi du Patrimoine immobilier de l’Etat à l’étranger ;
– Cellule de passation des Marchés publics ;
– Laboratoire radioélectrique ;
– Cellule Formation, Education et Culture ;
– Comité national chargé de la Gestion de la Situation des Réfugiés, Rapatriés et Personnes déplacées.
7° Autres administrations :
– Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes ;
– Agence nationale pour la Relance des Activités en Casamance ;
– Commission de Protection des Données Personnelles ;
– Commission nationale de Cryptologie ;
– Observatoire national de l’Investissement ;
– Observatoire national de la Parité ;
– Comité national de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries extractives ;
– Comité de pilotage du Projet Pôle de Développement de la Casamance ;
– Comité sénégalais des Droits de l’Homme ;
– Bureau d’Architecture et de Conservation des Palais nationaux ;
– Délégation générale à la Promotion des Pôles urbains de Diamniadio et du Lac Rose ;
– Délégation générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes ;
– Ecole nationale de Cybersécurité ;
– Centre International de Conférences Abdou DIOUF ;
– Centre des Expositions de Diamniadio ;
– Autorité de Régulation de la Commande publique ;
– Commission de Régulation du Secteur de l’Energie ;
– Autorité de Radioprotection et de Sûreté nucléaire.
PRIMATURE
1° Cabinet du Premier Ministre et services rattachés
– Service du Protocole ;
– Cellule de Coordination et de Suivi des Projets et Programmes ;
– Cellule de Communication ;
– Conseil national de Développement de la Nutrition ;
– Conseil national de Lutte contre le SIDA ;
– Haut Conseil national de la Sécurité sanitaire mondiale « One Health » ;
– Secrétariat exécutif du Conseil national de Sécurité alimentaire ;
– Comité interministériel de Restructuration des Entreprises publiques et parapubliques ;
– Comité interministériel à la Prévention et à la Sécurité routières.
2° Secrétariat général du Gouvernement et services rattachés :
– Direction de l’Activité normative ;
– Direction des Archives du Sénégal ;
– Direction de l’Imprimerie nationale ;
– Direction de la Coopération technique ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement ;
– Bureau de Suivi et de Coordination ;
– Bureau de Prospective Economique ;
– Bureau d’information gouvernementale ;
– Bureau du courrier général ;
– Service informatique ;
– Cellule de passation des marchés ;
– Commission d’évaluation des Agences d’Exécution ;
– Service de Gestion du Building administratif ;
– Unité de suivi de la performance de l’action publique ;
– Unité de suivi de la rationalisation du portefeuille de l’Etat ;
– Unité de suivi de la réforme de l’administration territoriale et de l’Acte III de la Décentralisation ;
– Unité de mutualisation et d’unification des fichiers de l’Etat ;
– Unité de veille et de rationalisation des charges courantes de l’Etat ;
– Unité de coordination de la gestion des sphères ministérielles de Diamniadio ;
– Unité de suivi de la promotion du numérique ;
– Unité de suivi de la réforme de l’utilisation des véhicules administratifs ;
– Unité de suivi de la réforme foncière.
3° Autres administrations :
– Ecole nationale d’Administration ;
– Millenium Challenge Account Sénégal (MCA – Sénégal II).
MINISTÈRE DES FORCES ARMÉES
1° Cabinet civil et services rattachés :
– Inspection interne.
2° Cabinet militaire et Services rattachés :
– Bureau de Liaison et du Courrier ;
– Bureau de Sécurité du Building administratif ;
– Bureau de l’Action sociale des Forces armées.
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule de passation des Marchés publics.
3° Services propres :
– Etat-Major général des Armées ;
– Haut-Commandement de la Gendarmerie nationale.
4° Directions :
– Direction de la Justice militaire ;
– Direction du Contrôle des Etudes et de la Législation ;
– Direction des Personnels militaires et de la Mobilisation ;
– Direction des Affaires administratives, de l’Equipement et du Budget ;
– Direction des Archives et du Patrimoine historique ;
– Direction du Génie et de l’Infrastructure des Armées ;
– Direction du Service du Matériel des Armées ;
– Direction des Transmissions et de l’Informatique des Armées ;
– Direction du Service de l’Intendance des Armées ;
– Direction du Service de Santé des Armées ;
– Direction de la Prévention et de la Sécurité des Armées ;
– Direction de l’Action sociale des Armées ;
– Direction de l’Information et des Relations publiques des Armées ;
– Direction de la Surveillance et du Contrôle de l’Occupation du Sol.
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5° Autres administrations :
– Agence pour la Réinsertion sociale des Militaires ;
– Agence pour le Logement des Forces Armées ;
– Fondation des Invalides et Mutilés militaires ;
– Ecole de l’Armée de l’Air ;
– Ecole d’Application du Génie ;
– Ecole militaire d’Administration et des Métiers techniques de l’Intendance ;
– Institut de Défense du Sénégal.
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection générale de l’Administration de la Justice ;
– Commission nationale pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires ;
– Conseil consultatif national des Droits de l’Homme et du Droit international humanitaire ;
– Cellule nationale de lutte contre la traite des personnes ;
– Service de Communication.
2° Cabinet du Ministre, auprès du Ministre de la Justice, chargé de la Bonne Gouvernance et des Droits humains
3° Secrétariat général et Services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Etudes statistiques, de la Planification et du Suivi-Évaluation ;
– Cellule Genre et de l’Equité ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule d’Exécution administrative et financière du Programme sectoriel Justice ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Centre national des Archives judiciaires ;
– Service des Archives et de la Documentation administrative ;
– Bureau du Courrier commun.
4° Directions :
– Direction des Affaires civiles et du Sceau ;
– Direction des Affaires criminelles et des Grâces ;
– Direction des Services judiciaires ;
– Direction de l’Education surveillée et de la Protection sociale ;
– Direction de l’Administration pénitentiaire ;
– Direction de la Justice de Proximité et de la Promotion de l’Accès au Droit ;
– Direction des Constructions des Palais de Justice et autres Édifices ;
– Direction des Droits humains ;
– Direction de la Promotion de la Bonne Gouvernance ;
– Direction du Suivi et de l’Evaluation des Politiques de Bonne Gouvernance ;
– Direction de la Dématérialisation et de l’Automatisation des Services judiciaires ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
5° Autres administrations :
– Observatoire national des Lieux de Privation de Liberté.
MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES ET DES SÉNÉGALAIS DE L’EXTERIEUR
1° Cabinet et services rattachés :
– Cellule des Etudes, de l’Analyse et de la Prospective ;
– Service de l’Information, de la Communication et des Relations publiques ;
– Bureau des Pèlerinages ;
– Haut Conseil des Sénégalais de l’Extérieur ;
– Bureau d’Accueil, d’Orientation et de Suivi des Emigrés ;
– Bureau des passeports spéciaux.
2° Cabinet du Ministre, auprès du Ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, chargé des Sénégalais de l’Extérieur
3° Secrétariat général et services rattachés :
– Inspection des Services ;
– Service du Courrier général et de la Valise diplomatique ;
– Service du Chiffre ;
– Cellule de la Planification, du Suivi-évaluation et des Statistiques ;
– Cellule de passation des marchés publics ;
– Cellule genre et de l’équité ;
– Cellule de l’Informatique.
4° Directions :
– Direction Afrique et Union Africaine ;
– Direction Asie – Pacifique et Moyen Orient ;
– Direction Europe – Amérique et Océanie ;
– Direction des Partenariats et de la Promotion économique et culturelle ;
– Direction des Organisations Internationales et de la Mondialisation ;
– Direction de l’Intégration économique régionale et du NEPAD ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement ;
– Direction du Protocole, des conférences internationales et de la Traduction ;
– Direction des Affaires juridiques et consulaires ;
– Direction de la Francophonie.
Direction générale d’Appui aux Sénégalais de l’Extérieur
– Direction de l’Assistance et de la Promotion des Sénégalais de l’Extérieur ;
– Direction de l’Appui à l’Investissement et aux Projets.
4° Autres administrations :
– Délégation générale au Pèlerinage aux Lieux Saints de l’Islam ;
– Centre national d’Action anti-mines ;
– Fonds d’Appui à l’Investissement des Sénégalais de l’Extérieur ;
– Bureau de Coordination du Comité Permanent de l’OCI pour l’information et les Affaires Culturelles.
MINISTÈRE DE L’INTERIEUR
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection des Services de Sécurité ;
– Inspection de l’Administration centrale et territoriale ;
– Brigade nationale des Sapeurs-Pompiers ;
– Comité interministériel de Lutte contre la Drogue ;
– Cadre d’Intervention et de coordination interministériel des opérations de lutte antiterroriste ;
– Cellule de lutte antiterroriste ;
– Cellule communication ;
– Service des Télécommunications ;
– Bureau de la Vidéosurveillance ;
– Comité interministériel de lutte contre l’émigration clandestine ;
– Pool des Conseillers techniques ;
– Secrétariat particulier ;
– Inspection interne.
2° Cabinet du Ministre, auprès du Ministre de l’Intérieur, chargé de la Sécurité de Proximité et de la Protection civile
3° Secrétariat général et services rattachés :
– Service de la Formation ;
– Service des Archives communes ;
– Bureau de suivi ;
– Bureau du Courrier commun ;
– Cellule informatique ;
– Cellule des Etudes et de la Planification ;
– Cellule de passation des marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule genre et de l’Equité ;
– Secrétariat particulier.
4° Directions :
Direction générale de la Police nationale :
– Direction de la Sécurité publique ;
– Direction de la Police judiciaire ;
– Direction de la Surveillance du Territoire ;
– Direction de la Police des Étrangers et des Titres de Voyage ;
– Direction de la Police de l’Air et des Frontières ;
– Direction des Ressources humaines ;
– Direction du Budget et des Matériels ;
– Direction de la Formation ;
– Direction du Groupement mobile d’intervention ;
– Direction de l’Office centrale de répression du trafic illicite de stupéfiants.
Direction Générale de l’Administration territoriale
– Direction de l’Action territoriale ;
– Direction des Libertés publiques et de la Législation ;
– Direction du Partenariat et des Organisations Non gouvernementales ;
– Direction des Ressources humaines et du Matériel.
Direction générale des Elections :
– Direction des Opérations électorales ;
– Direction de la Formation et de la Communication ;
– Direction des Ressources humaines et des Finances.
Direction de l’Automatisation des Fichiers ;
Direction de la Protection civile ;
Direction des Constructions ;
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
5° Autre administration :
– Agence d’Assistance à la Sécurité de Proximité ;
– Centre de recueil et d’enregistrement des Données et Information policières.
MINISTÈRE DES FINANCES ET DU BUDGET
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection générale des Finances ;
– Cellule nationale de Traitement des Informations financières ;
– Projet de Coordination des Réformes budgétaires et financières ;
– Cellule d’Appui à la mise œuvre du MCA-Sénégal II ;
– Cellule de Communication.
2° Secrétariat général et Services rattachés :
– Cellule d’Etudes et de Planification ;
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Bureau du Courrier commun ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule du genre et de l’Equité ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et de suivi-évaluation.
3° Directions :
Direction générale de la Comptabilité publique et du Trésor
– Services propres ;
– Direction du Contrôle interne ;
– Direction de l’Administration et du Personnel ;
– Direction de l’informatique ;
– Trésorerie générale ;
– Direction de la Comptabilité publique ;
– Direction du Secteur parapublic ;
– Direction de la Dette publique ;
– Direction du Secteur public local ;
– Paierie générale du Trésor ;
– Recette générale du Trésor ;
– Trésorerie-Paierie pour l’Etranger ;
– Agence comptable des grands projets ;
– Trésoreries – Paieries régionales.
Direction générale des Douanes
– Services propres ;
– Direction du Contrôle interne ;
– Direction de la Réglementation et de la Coopération internationale ;
– Direction des Opérations douanières ;
– Direction de la Facilitation et du Partenariat avec l’Entreprise ;
– Direction du Renseignement et des Enquêtes douanières ;
– Direction du Personnel et de la Logistique ;
– Direction des Systèmes informatiques douaniers ;
– Services extérieurs.
Direction générale des Impôts et des Domaines
– Services propres ;
– Direction du Contrôle interne ;
– Direction de la Législation, des Etudes et du Contentieux ;
– Direction de l’Administration et du Personnel ;
– Direction des Domaines ;
– Direction du Cadastre ;
– Direction du Renseignement et des Stratégies de Contrôle fiscal ;
– Direction des Systèmes d’Informations ;
– Direction du Recouvrement ;
– Direction des grandes Entreprises ;
– Direction des moyennes Entreprises ;
– Direction des Services fiscaux.
Direction générale du Budget
– Services propres ;
– Cellule de Suivi et de Synthèse ;
– Cellule des Etudes et de la Réglementation ;
– Direction du Contrôle interne ;
– Direction du Matériel et du Transit Administratif ;
– Direction de l’Administration et du Personnel ;
– Direction des Systèmes d’Information ;
– Direction de la Programmation budgétaire ;
– Direction de l’Ordonnancement des dépenses publiques ;
– Direction de la Solde ;
– Direction des Pensions ;
– Direction du Contrôle budgétaire.
Direction générale du Secteur financier
– Services propres ;
– Direction de l’Administration et du Personnel ;
– Direction de la Monnaie et du Crédit ;
– Direction des Assurances ;
– Direction de la Réglementation et de la Supervision des Systèmes financiers décentralisés.
Direction du Traitement automatique de l’Information ;
Direction centrale de la Commande publique ;
Agence judiciaire de l’Etat ;
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement ;
Direction des Ressources humaines.
5° Autres administrations :
– Fonds spécial de Soutien au Secteur de l’Energie ;
– Observatoire de la Qualité des Services financiers ;
– Haute Autorité du WAQF.
MINISTÈRE DES INFRASTRUCTURES, DES TRANSPORTS TERRESTRES ET DU DÉSENCLAVEMENT
1° Cabinet et services rattachés
– Inspection interne ;
– Bureau de Communication et de Documentation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de passation des marchés ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du suivi-évaluation ;
– Bureau de Supervision du Contrôle technique des Véhicules automobiles ;
– Bureau des Corridors ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction des Stratégies de Désenclavement ;
– Direction des Routes ;
– Direction des Transports routiers ;
– Direction des Chemins de fer ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Centre de Formation et de Perfectionnement des Travaux Publics ;
– Centre de Formation et de Perfectionnement aux Métiers du Rail ;
– Agence des Travaux et de Gestion des Routes ;
– Fonds de Développement des Transports terrestres ;
– Agence nationale de Sécurité routière.
MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE L’EQUIPEMENT RURAL ET DE LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Bureau de la Formation professionnelle agricole ;
– Bureau des Relations avec les Organisations paysannes ;
– Bureau de la Législation agricole.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et suivi-évaluation ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule Genre et de l’Equité ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Bureau des archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de l’Agriculture ;
– Direction de la Protection des Végétaux ;
– Direction de l’Horticulture ;
– Direction de l’Analyse, de la Prévision et des Statistiques agricoles ;
– Direction de la Modernisation de l’Equipement rural ;
– Direction du Financement et du Partenariat avec les Organisations ;
– Direction des Bassins de Rétention et des Lacs artificiels ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Centre de Formation Professionnelle horticole ;
– Centre d’Initiation horticole ;
– Centre de Perfectionnement agricole ;
– Centre de Perfectionnement des maraîchers ;
– Centre de Formation des Techniciens en Agriculture et Génie rural ;
– Centre national de Formation en Cultures irriguées ;
– Agence nationale d’Insertion et de Développement agricole.
MINISTÈRE DE L’ECONOMIE, DU PLAN ET DE LA COOPÉRATION
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Cellule d’Intelligence Economique ;
– Cellule attractivité et compétitivité ;
– Cellule de Communication.
2° Secrétariat général et Services rattachés :
– Cellule de l’Evaluation et de la Performance ;
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
Direction générale de la Planification et des Politiques économiques
– Services propres ;
– Direction de l’Administration et du Personnel ;
– Direction de la Planification ;
– Direction du Développement du Capital humain ;
– Direction de la Prévision et des Etudes économiques ;
– Unité de Coordination et de Suivi de la Politique économique ;
– Cellule de Suivi de l’Intégration ;
– Centre d’Etudes de Politiques pour le Développement.
Direction générale de la Coopération et des Financements extérieurs et du Développement du Secteur privé
– Services propres ;
– Direction de l’Administration et du Personnel ;
– Direction de la Coopération économique et financière ;
– Direction des Financements et des Partenariats Public-Privé ;
– Direction de l’Evaluation des Performances des projets et programmes.
– Direction du Développement du Secteur Privé.
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement ;
Direction des Ressources humaines.
4° Autres administrations :
– Agence nationale de la Statistique et de la Démographie ;
– Comité paritaire public-privé des Zones Economiques Spéciales ;
– Comité national d’Appui aux Partenariats – Public- Privé ;
– Fonds Souverain d’Investissements Stratégiques ;
– Fonds de Garantie des Investissements prioritaires.
MINISTÈRE DE L’EDUCATION NATIONALE
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection générale de l’Education nationale ;
– Inspection interne ;
– Inspections d’Académie ;
– Inspection des Daaras modernes ;
– Centre national d’Orientation scolaire et professionnelle ;
– Centre national de Documentation scientifique et technique ;
– Unité de Coordination des Projets d’Education ;
– Division des Affaires juridiques, des Liaisons et de la Documentation ;
– Division de l’Enseignement privé ;
– Division de l’Enseignement arabe ;
– Division des Sports et des Activités de jeunesse ;
– Division du Contrôle médical scolaire ;
– Division de la Promotion des Technologies de l’Information et de la Communication ;
– Division de la Radio-Télévision scolaire ;
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Bureau de la Communication et de la Documentation ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de l’Enseignement préscolaire ;
– Direction de l’Enseignement élémentaire ;
– Direction de l’Enseignement moyen secondaire général ;
– Direction de l’Alphabétisation et des Langues nationales ;
– Direction des Examens et Concours ;
– Direction de la Planification et de la Réforme de l’Education ;
– Direction des Constructions scolaires ;
– Direction des Equipements scolaires ;
– Direction de la Formation et de la Communication ;
– Direction des Ressources humaines ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Institut national d’Etude et d’Action pour le Développement de l’Education ;
– Secrétariat général permanent de la Commission nationale pour l’UNESCO ;
– Centre régional de Formation des Personnels de l’Education ;
– Institut national d’Education et de Formation des jeunes Aveugles ;
MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Centre national de Documentation scientifique et technique ;
– Office du Baccalauréat ;
– Cellule de Communication ;
– Centre des Réseaux et des Systèmes d’information.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de passation des Marchés publics ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du suivi-évaluation ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule Genre et de l’Equité ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
Direction générale de l’Enseignement supérieur
– Direction de l’Enseignement supérieur public ;
– Direction de l’Enseignement supérieur privé ;
– Direction du Financement des Etablissements d’Enseignement supérieur ;
– Direction des Etudes des Politiques et de la Coopération ;
– Direction des Affaires académiques et juridiques.
Direction générale de la Recherche et de l’Innovation
– Direction des Stratégies et de la Planification de la Recherche ;
– Direction de l’Innovation, de la Valorisation, de la Propriété intellectuelle et du transfert technologique ;
– Direction du Financement de la Recherche scientifique et du Développement technologique ;
– Direction de la Promotion de la Culture scientifique.
Direction de la Maintenance des Constructions et des Equipements de l’Enseignement supérieur ;
Direction des Bourses ;
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Ecole Supérieure d’Economie appliquée ;
– Agence nationale de la Recherche scientifique appliquée ;
– Autorité nationale d’Assurance Qualité de l’Enseignement supérieur ;
– Ecole nationale de Développement sanitaire et social.
MINISTRE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, DE L’APPRENTISSAGE ET DE L’INSERTION
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Centre national d’Information et de Documentation ;
– Bureau de Communication ;
– Service national d’Orientation professionnelle.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Bureau de la Communication et de la Documentation ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de la Formation professionnelle et technique ;
– Direction de l’Apprentissage ;
– Direction des Examens, Concours professionnels et Certifications ;
– Direction de l’Insertion ;
– Direction des Ressources humaines ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Agence nationale de la Maison de l’Outil ;
– Centre national de Qualification Professionnelle ;
– Ecole nationale de Formation en Economie familiale et sociale ;
– Centre de Formation professionnelle et commerciale Delafosse de Dakar ;
– Centre national de Formation des Maîtres d’Enseignement technique ;
– Centre de Formation professionnelle des Jeunes de Dakar ;
– Centre de Formation professionnelle et technique Sénégal – Japon ;
– Centre d’Enseignement professionnel ;
– Centre national de Formation des Cours professionnels et Industriels ;
– Centre régional d’Enseignement technique féminin ;
– Centre d’Enseignement technique féminin ;
– Centre de Formation professionnelle de Joal-Fadiouth ;
– Centre régional de Formation professionnelle ;
– Fonds de Financement de la Formation professionnelle et technique ;
– Institut de Coupe, Couture et Mode ;
– Office National de la Formation Professionnelle.
– Centre d’Entreprenariat et de Développement technique.
MINISTÈRE DE L’EAU ET DE L’ASSAINISSEMENT
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Bureau de la Communication.
2° Ministre, auprès du Ministre de l’Eau et de l’Assainissement, chargé de la Prévention et de la Gestion des inondations
3° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule de Planification, de Coordination et de Suivi des Programmes ;
– Cellule nationale de Suivi de l’Organisation pour la mise en Valeur du Fleuve Sénégal (OMVS) et de l’Organisation pour la mise en Valeur du Fleuve Gambie (OMVG) ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Cellule Informatique ;
– Bureau du Courrier, des Archives et de la Documentation.
4° Directions :
– Direction de l’Hydraulique ;
– Direction de la Gestion et de la Planification des Ressources en Eau ;
– Direction de l’Assainissement ;
– Direction de la Prévention et de la Gestion des Inondations ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
MINISTÈRE DE LA FEMME, DE LA FAMILLE, ET DE LA PROTECTION DES ENFANTS
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Service des Actions sociales ;
– Bureau de la Communication et de la Documentation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et suivi évaluation ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de la Famille et de la Protection des groupes vulnérables ;
– Direction des Organisations féminines et de l’Entreprenariat féminin ;
– Direction de l’Equité et de l’Egalité du Genre ;
– Direction de l’Evaluation des Projets ;
– Direction de la Promotion des Droits et de la Protection des Enfants ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Centre national d’Assistance et de Formation pour les Femmes ;
– Fonds national de l’Entreprenariat féminin ;
– Fonds national de Crédit pour les Femmes ;
– Office national des Pupilles de la Nation ;
– Centre d’Accueil, d’Information et d’Orientation pour les Enfants en situation difficile ;
– Agence nationale de la Petite Enfance et de la Case des Tout-petits ;
– Cellule d’appui à la Protection de l’Enfance.
MINISTÈRE DE LA SANTE ET DE L’ACTION SOCIALE
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Service national d’Hygiène ;
– Service national de l’Education et de l’Information sanitaire et sociale ;
– Cellule de la Communication ;
– Cellule d’Appui et de Suivi du Plan national de Développement sanitaire et social.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Bureau du Courrier commun ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Cellule de la Carte sanitaire et sociale, de la Santé digitale et de l’Observatoire de la Santé ;
– Cellule de l’Informatique.
3° Directions :
Direction générale de la Santé
– Direction de la Lutte contre la Maladie ;
– Direction de la Santé de la Mère et de l’Enfant ;
– Direction de la Pharmacie et du Médicament ;
– Direction de la Prévention ;
– Direction des Laboratoires.
Direction générale des Etablissements de Santé
– Direction des Etablissements publics de santé ;
– Direction des établissements privés de santé ;
– Direction de la qualité, de la sécurité et de l’Hygiène hospitalières.
Direction générale de l’Action sociale
– Direction de l’Action médico-sociale ;
– Direction de la Promotion et de la Protection des groupes vulnérables ;
– Direction de la Promotion et de la Protection des Personnes handicapées.
Direction des Infrastructures, des Equipements et de la Maintenance ;
Direction de la Planification, de la Recherche et des Statistiques ;
Direction des Ressources humaines ;
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Centre national de Formation des Techniciens en Maintenance hospitalière ;
– Ecole nationale des Travailleurs sociaux spécialisés ;
– Fonds d’Action sociale ;
– Agence sénégalaise de Réglementation pharmaceutique.
MINISTÈRE DES MINES ET DE LA GÉOLOGIE
1° Cabinet et services rattachés
– Inspection Interne ;
– Cellule de Communication ;
– Cellule de suivi des Fonds dédiés au secteur minier et géologique ;
– Cellule de suivi du Contenu local.
2° Secrétariat général et services rattachés
– Cellule Juridique ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et de l’Evaluation des Programmes et Projets ;
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Cellule de Coordination du Contrôle de Gestion ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions
Direction générale des Mines :
– Direction des Mines ;
– Direction des Carrières ;
– Direction de l’Exploitation minière artisanale à Petite échelle ;
– Direction de la Réglementation, de la Production minière et des statistiques.
Direction du Contrôle et de la Surveillance des Opérations minières ;
Direction de la Géologie ;
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
MINISTÈRE DU PÉTROLE ET DES ENERGIES
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Bureau de presse et de communication ;
– Secrétariat permanent du Conseil national de l’Energie ;
– Unité d’Exécution et de Gestion du Pétrole et du Gaz ;
– Secrétariat technique du Contenu local.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule des Etudes, de la Planification et de suivi évaluation ;
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule informatique et des Technologies de l’Information ;
– Cellule genre et équité ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Bureau du Courrier et des Archives.
3° Directions :
– Direction des Hydrocarbures ;
– Direction de la Stratégie et de la Réglementation ;
– Direction de l’Electricité ;
– Direction du Développement des Energies renouvelables ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Agence nationale de l’Electrification rurale ;
– Agence pour l’Economie et la Maitrise de l’Energie ;
– Agence nationale pour les Energies renouvelables.
MINISTÈRE DES TRANSPORTS AÉRIENS ET DU DEVELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES AEROPORTUAIRES
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Service des Relations publiques et de la Documentation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et suivi-évaluation ;
– Cellule Genre et de l’Equité ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Bureau des archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction des Transports aériens ;
– Direction des Infrastructures aéroportuaires ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Agence nationale de l’Aviation civile et de la Météorologie.
MINISTÈRE DE L’ENVIRONNEMENT, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE
1° Cabinet et services rattachés
– Inspection interne ;
– Comité national du Comité inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction des Parcs nationaux ;
– Direction des Eaux, Forêts et Chasses et de la Conservation des Sols ;
– Direction de l’Environnement et des Etablissements classés ;
– Direction de la Planification et de la Veille environnementale ;
– Direction des Financements verts et des Partenariats ;
– Direction des Aires marines communautaires protégées ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Centre national de Formation des Techniciens des Eaux et Forêts, Chasses et Parcs nationaux ;
– Centre de Suivi écologique ;
– Centre d’Education et de Formation environnementales ;
– Agence sénégalaise de la Reforestation et de la Grande Muraille verte ;
– Autorité nationale de Biosécurité.
MINISTÈRE DES PÊCHES ET DE L’ECONOMIE MARITIME
1° Cabinet et services rattachés
– Inspection interne ;
– Cellule de Communication ;
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule d’Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Cellule des Archives et de la Documentation ;
– Service du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction des Pêches maritimes ;
– Direction de la Protection et de la Surveillance des Pêches ;
– Direction des Industries de Transformation de la Pêche ;
– Direction de la Gestion et de l’Exploitation des Fonds marins ;
– Direction de la Pêche continentale ;
– Direction des Infrastructures portuaires ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Ecole nationale de Formation maritime ;
– Centre national de Formation des Techniciens des Pêches et de l’Aquaculture ;
– Centre de Perfectionnement, d’Expérimentation et de Vulgarisation de la Pêche ;
– Agence nationale des Affaires maritimes ;
– Agence Nationale de l’Aquaculture ;
– Station piscicole de Richard Toll.
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DU DIALOGUE SOCIAL ET DES RELATIONS AVEC LES INSTITUTIONS
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Commission de Supervision et de Régulation des Institutions de Sécurité sociale ;
– Haut Conseil du Dialogue social ;
– Service des Relations publiques et de la Documentation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
Direction générale du Travail et de la Sécurité sociale
– Direction des Relations de Travail et des Organisations professionnelles ;
– Direction de la Protection sociale ;
– Direction des Statistiques, du Travail et des Etudes.
Direction des Relations avec les Institutions ;
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Institution de Prévoyance Retraite du Sénégal ;
– Caisse de Sécurité sociale ;
– Institution de Coordination de l’Assurance maladie obligatoire.
MINISTÈRE DE L’URBANISME, DU LOGEMENT ET DE L’HYGIENE PUBLIQUE
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Service de la Communication et de la Documentation ;
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule Genre et Equité ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
Direction générale de l’Urbanisme et de l’Architecture
– Direction du Développement urbain durable, de la Planification urbaine et de la Réglementation ;
– Direction de l’Urbanisme opérationnel ;
– Direction de l’Architecture ;
– Direction des Pôles urbains ;
– Bureau administratif et financier ;
– Centre de Documentation.
Direction générale de la Construction et de l’Habitat
– Direction de la Promotion de l’Habitat social ;
– Direction de la Construction ;
– Direction de la Régulation et du Suivi des Politiques de logement ;
– Inspection générale des Bâtiments ;
– Centre de Documentation.
Direction générale du Cadre de vie et de l’Hygiène publique
– Direction des Paysages urbains et des Espaces publics ;
– Direction de la lutte contre les Encombrements ;
– Direction de la Propreté et de l’Hygiène publique ;
– Direction de la Sensibilisation et du Partenariat institutionnel.
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Agence de Construction des Bâtiments et Edifices publics ;
– Fondation Droit à la Ville ;
– Projet de Construction de Logements sociaux et de Lutte contre les bidonvilles ;
– Fonds pour l’Habitat social ;
– Guichet unique pour le « Projet 100 000 logements » ;
– Projet de Promotion de la Gestion intégrée et de l’Economie des Déchets solides.
MINISTÈRE DU COMMERCE, DE LA CONSOMMATION ET DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES
1° Cabinet et services rattachés
– Inspection Interne ;
– Service de Presse et de Documentation ;
– Cellule d’Intermédiation avec le Secteur privé ;
– Centre de Recherches, d’Analyses des échanges et des statistiques ;
– Haut Conseil de la Consommation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions
– Direction du Commerce intérieur ;
– Direction du Commerce extérieur ;
– Direction des Petites et Moyennes Entreprises ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations
– Bureau de Mise à Niveau ;
– Agence de Développement et d’Encadrement des PME ;
– Agence sénégalaise de Promotion des Exportations ;
– Agence de Régulation des Marchés ;
– Laboratoire national d’Analyse et de Contrôle ;
– Commission nationale de la Concurrence ;
– Programme de Modernisation et de Gestion des Marchés.
MINISTÈRE DU DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL ET DES PETITES ET MOYENNES INDUSTRIES
1° Cabinet et services rattachés
– Inspection Interne ;
– Service de Presse et de Documentation.
2° Secrétariat général et services rattachés
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule d’Etudes, de Planification et d’Evaluation des Programmes et Projets ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions
– Direction des Stratégies de Développement industriel ;
– Direction du Redéploiement industriel ;
– Direction des Petites et Moyennes Industries ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Agence d’Aménagement et de Promotion des sites industriels ;
– Agence sénégalaise pour la Propriété intellectuelle et l’Innovation technologique ;
– Association sénégalaise de Normalisation.
MINISTÈRE DU DÉVELOPPEMENT COMMUNAUTAIRE, DE LA SOLIDARITE NATIONALE, DE L’EQUITE SOCIALE ET TERRITORIALE
1° Cabinet et services rattachés
– Inspection interne ;
– Service de Communication et des Relations publiques ;
– Fonds de Solidarité nationale.
2° Secrétariat général et services rattachés
– Bureau du Courrier, des Archives et de la Documentation ;
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule d’Etudes et de la Planification ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule Genre et de l’Equité ;
– Cellule de l’Informatique.
3° Directions
Direction générale du Développement communautaire et de la Promotion de l’Equité
– Direction du Développement communautaire ;
– Direction de l’Equité sociale ;
– Direction de l’Equité territoriale ;
– Directions régionales ;
Direction de l’Evaluation des Programmes et projets ;
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations
– Programme d’Urgence de Développement communautaire ;
– Programme d’Urgence de Modernisation des Axes et Territoires frontaliers ;
– Programme de Modernisation des Villes ;
– Délégation générale à la Protection sociale et à la Solidarité nationale ;
– Commissariat à la Sécurité alimentaire ;
– Agence nationale de la Couverture Maladie Universelle ;
– Fonds de Solidarité nationale.
MINISTÈRE DE DE LA MICROFINANCE, DE L’ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Cellule de communication.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de l’Encadrement de l’Economie sociale et solidaire ;
– Direction de la Micro finance ;
– Direction des Stratégies et du Suivi-Évaluation ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Fonds d’Impulsion de la Micro Finance ;
– Fonds national de la Microfinance.
MINISTÈRE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES, DE L’AMÉNAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DES TERRITOIRES
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Inspection de l’Administration locale ;
– Centre national d’Etat civil ;
– Comité national de Pilotage du Programme national de Développement local ;
– Service de la Formation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de passation des marchés publics ;
– Cellule de Planification et d’Evaluation technique des Programmes et Projets ;
– Service de Communication, de Documentation et des Relations publiques ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de la Gouvernance territoriale ;
– Direction de l’Etat civil ;
– Direction de la Promotion du Développement territorial ;
– Direction de l’Aménagement du Territoire ;
– Direction de la Coopération décentralisée ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Agence nationale de l’Aménagement du Territoire ;
– Agence de Développement municipal ;
– Agence de Développement local.
MINISTÈRE DE LA JEUNESSE, DE L’ENTREPRENARIAT ET DE L’EMPLOI
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Centre national d’Information et de Documentation ;
– Bureau de Communication ;
– Cellule d’Appui à la Promotion de l’Emploi ;
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de la Jeunesse et des Activités socio-éducatives ;
– Direction de l’Education populaire ;
– Direction du Service civique national ;
– Direction de la Vie associative ;
– Direction de l’Emploi ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Agence Nationale pour la Promotion de l’Emploi des Jeunes ;
– Programme des Domaines Agricoles Communautaires.
MINISTÈRE DES SPORTS
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Bureau de la Communication et de la Documentation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de la Haute Compétition ;
– Direction des Activités physiques et sportives ;
– Direction de la Formation et de la Coopération ;
– Direction des Infrastructures sportives ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autre administration :
– Centre national d’Education populaire et sportive.
MINISTÈRE DU TOURISME ET DES LOISIRS
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Secrétariat du Comité de Gestion du Fonds de Promotion touristique ;
– Cellule de la Promotion et des Aménagements touristiques ;
– Service des Relations publiques et de la Documentation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et suivi-évaluation ;
– Cellule Genre et de l’Equité ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Bureau des archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction des Investissements et des Aménagements touristiques ;
– Direction de la Promotion touristique ;
– Direction de la Réglementation touristique ;
– Direction des Loisirs ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Ecole nationale de Formation hôtelière et touristique ;
– Agence Sénégalaise de Promotion Touristique.
MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DU PATRIMOINE HISTORIQUE
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Bureau de l’Architecture et des Monuments historiques ;
– Service des Relations publiques et de la Documentation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction des Arts ;
– Direction du Livre et de la Lecture ;
– Direction du Patrimoine ;
– Direction de la Cinématographie ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4.° Autres administrations :
– Maison de la Culture Douta Seck ;
– Orchestre national du Sénégal ;
– Biennale de l’Art africain contemporain ;
– Ecole nationale des Arts ;
– Galerie nationale des Arts ;
– Bibliothèque nationale du Sénégal ;
– Service des Spectacles Sons et Lumières ;
– Place du Souvenir africain ;
– Monument de la Renaissance africaine ;
– Festival national des Arts et Cultures ;
– Commissariat du mémorial de Gorée ;
– Musée Léopold Sédar Senghor ;
– Musée Boribana.
MINISTÈRE DE LA COMMUNICATION, DES TELECOMMUNICATIONS ET DE L’ECONOMIE NUMERIQUE
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Service des Relations publiques et de la Documentation.
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de la Communication ;
– Direction des Technologies de l’Information et de la Communication ;
– Direction de la Promotion de l’Economie numérique et des Partenariats ;
– Direction des Télécommunications ;
– Direction des Postes ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
MINISTÈRE DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA TRANSFORMATION DU SECTEUR PUBLIC
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Service des relations publiques et de la Documentation.
2° Secrétariat Général et services rattachés :
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule d’Appui et d’Assistance à la Fonction publique locale ;
– Cellule des Etudes, de la Planification et du suivi-évaluation ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions et services :
Direction générale de la Fonction publique
– Direction des Etudes, de la Législation et du Contentieux ;
– Direction de la Gestion prévisionnelle des Effectifs, des Emplois et des Compétences ;
– Direction de la Gestion des Carrières.
Direction du Renouveau du Service public ;
Direction des Systèmes d’Informations ;
Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations
– Centre médico-social de la Fonction publique ;
– Centre national de Formation et d’Action ;
– Programme d’Appui à la Modernisation de l’Administration.
MINISTERE DE L’ARTISANAT ET DE LA TRANSFORMATION DU SECTEUR INFORMEL
1° Cabinet et services rattachés :
– Inspection interne ;
– Bureau de la Communication, des Archives et de la Documentation ;
2° Secrétariat général et services rattachés :
– Cellule de passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule l’Informatique ;
– Cellule des études, de la planification et du suivi-évaluation ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions :
– Direction de l’Artisanat ;
– Direction de l’Encadrement et de la transformation des entreprises informelles ;
– Direction des Statistiques et de la productivité du Capital humain ;
– Service de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations :
– Agence pour la Promotion et le Développement de l’Artisanat ;
– Centre de Formation artisanale de Dakar ;
– Centre de Perfectionnement des artisans ruraux ;
– Centre de Perfectionnement agricole et artisanal.
MINISTÈRE DE L’ELEVAGE ET DES PRODUCTIONS ANIMALES
1° Cabinet et services rattachés
– Inspection Interne ;
– Bureau de Presse et d’Information ;
– Cellule de Prévention et de Lutte contre le Vol de bétail ;
– Bureau de la Formation professionnelle en Elevage.
2° Secrétariat général et services rattachés
– Cellule des Etudes, de la Planification et du Suivi-évaluation ;
– Cellule de Passation des Marchés publics ;
– Cellule des Affaires juridiques ;
– Cellule de l’Informatique ;
– Cellule du Genre et de l’Equité ;
– Bureau des Archives et de la Documentation ;
– Bureau du Courrier commun.
3° Directions et services
– Direction de l’Elevage ;
– Direction des Services vétérinaires ;
– Direction du Développement des Équidés ;
– Direction des Industries animales ;
– Direction de l’Administration générale et de l’Equipement.
4° Autres administrations
– Haras National de Kébémer ;
– Fonds d’Appui à la Stabulation ;
– Centre national de Formation des Techniciens de l’Elevage et des Industries animales ;
– Centre de Perfectionnement des Eleveurs ;
– Centre national d’amélioration génétique de Dahra ;
– Ranch de DOLLY Djibo Leyti KA.
Article 2.- Le contrôle des établissements publics énumérés ci-dessous relève des ministères ainsi qu’il suit :
MINISTÈRE DES FORCES ARMÉES
– Office national des Anciens Combattants et Victimes de guerre ;
– Hôpital Principal de Dakar.
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
– Centre de Formation judiciaire ;
– Office national de recouvrement des avoirs criminels ;
– Ordre des Avocats ;
– Ordre des Experts et Evaluateurs agréés ;
– Ordre national des Experts du Sénégal ;
– Ordre des Huissiers de Justice ;
– Chambre des Notaires.
MINISTÈRE DES FINANCES ET DU BUDGET
– Caisse des Dépôts et Consignations ;
– Ordre national des Experts comptables et comptables agréés.
MINISTÈRE DES INFRASTRUCTURES, DES TRANSPORTS TERRESTRES ET DU DÉSENCLAVEMENT
– Conseil exécutif des Transports urbains Durables ;
– Fonds d’Entretien Routier Autonome.
MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE L’EQUIPEMENT RURAL ET DE LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE
– Institut sénégalais de Recherches agricoles ;
– Institut national de Pédologie ;
– Chambre nationale d’Agriculture ;
– Chambres régionales d’Agriculture ;
– Barrage d’Affiniam.
MINISTÈRE DE L’EDUCATION NATIONALE
– Institut Islamique de Dakar.
MINISTÈRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR, DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION
– Université Cheikh Anta DIOP de Dakar ;
– Université Gaston Berger de Saint-Louis ;
– Université de Iba Der THIAM de Thiès ;
– Université Alioune DIOP de Bambey ;
– Université Assane SECK de Ziguinchor ;
– Université Amadou Mahtar MBOW ;
– Université du Sine Saloum El Hadji Ibrahima Niasse ;
– Université virtuelle du Sénégal ;
– Centre des Œuvres universitaires de Dakar ;
– Centre régional des Œuvres universitaires de Saint-Louis ;
– Centre régional des Œuvres universitaires sociales de Bambey ;
– Centre régional des Œuvres universitaires sociales de Ziguinchor ;
– Centre régional des Œuvres universitaires sociales de Thiès ;
– Centre Régional des Œuvres universitaires sociales de Diamniadio ;
– Centre régional des Œuvres universitaires sociales du Sine Saloum ;
– Institut sénégalo – britannique d’Enseignement de l’Anglais ;
– Campus Franco-Sénégalais ;
– Institut supérieur d’Education populaire et sportive ;
– Ecole nationale supérieure d’Enseignement technique et professionnel ;
– Centre National de la Recherche Scientifique ;
– Ecole Polytechnique de Thiès ;
– Institut supérieur d’Enseignement professionnel de Matam ;
– Institut supérieur d’Enseignement professionnel de Diamnadio ;
– Institut supérieur d’Enseignement professionnel de Bignona ;
– Institut supérieur d’Enseignement professionnel de Richard -Toll ;
– Institut supérieur d’Enseignement professionnel de Thiès ;
– Cyber-infrastructure nationale pour l’Enseignement supérieur, la Recherche et l’Innovation.
MINISTÈRE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, DE L’APPRENTISSAGE ET DE L’INSERTION
– Centre national de Qualification professionnelle ;
– Office national de Formation professionnelle.
MINISTÈRE DE L’EAU ET DE L’ASSAINISSEMENT
– Office des Lacs et Cours d’eau ;
– Office national de l’Assainissement du Sénégal ;
– Office national des Forages ruraux.
MINISTÈRE DE LA SANTE ET DE L’ACTION SOCIALE
– Ordre des Médecins ;
– Ordre des Pharmaciens ;
– Ordre des Chirurgiens-dentistes ;
– Ordre des Sages-femmes ;
– Centre hospitalier universitaire de Fann ;
– Hôpital Aristide le Dantec ;
– Centre hospitalier national d’Enfants Albert Royer ;
– Hôpital général de Grand Yoff ;
– Centre hospitalier national de Pikine ;
– Centre hospitalier national Matlaboul Fawzaïni de Touba ;
– Centre hospitalier national Cheikh Ahmadoul Khadim de Touba ;
– Centre hospitalier régional Ibrahima Abdoulaye Niasse de Kaolack ;
– Centre hospitalier régional Amadou Sakhir Mbaye de Louga ;
– Centre hospitalier régional Lieutenant-Colonel Mamadou Diouf de Saint-Louis ;
– Centre hospitalier régional de Ziguinchor ;
– Centre hospitalier régional de Kolda ;
– Centre hospitalier régional de Tambacounda ;
– Centre hospitalier régional Henrich Lubke de Diourbel ;
– Centre hospitalier régional de Fatick ;
– Centre national psychiatrique de Thiaroye ;
– Centre hospitalier régional El Hadji Amadou Sakhir Ndiéguène de Thiès ;
– Centre hospitalier régional de Ourossogui ;
– Centre hospitalier régional de Ndioum ;
– Centre hospitalier régional Amath Dansokho de Kédougou ;
– Centre hospitalier régional Thierno Birahim NDAO de Kaffrine ;
– Centre hospitalier régional Amadou Tidiane BA de Sédhiou ;
– Centre hospitalier Thierno Mouhamadoul Mansour BARRO de Mbour ;
– Centre national de Transfusion sanguine ;
– Centre national d’Appareillage et d’Orthopédie ;
– Pharmacie nationale d’Approvisionnement ;
– Hôpital d’Enfants de Diamniadio ;
– Hôpital de la Paix de Ziguinchor ;
– Hôpital Dalal Jamm ;
– Hôpital régional de Matam ;
– Etablissement public de Santé de niveau II « Mame Abdoul Aziz Dabakh de Tivaouane » ;
– Centre de Santé de référence Yousssou Mbargane de Rufisque ;
– Centre de Santé de référence de Dakar-Sud ;
– Centre de Santé Roi Baudouin ;
– Centre de Santé de Touba ;
– Centre de Santé de Richard Toll ;
– Centre de Santé de Linguère ;
– Hôpital de Ziguinchor.
MINISTERE DES MINES ET DE LA GEOLOGIE
– Service géologique national du Sénégal.
MINISTÈRE DES PÊCHES ET DE L’ECONOMIE MARITIME
– Conseil sénégalais des Chargeurs.
MINISTÈRE DE L’URBANISME, DU LOGEMENT ET DE L’HYGIENE PUBLIQUE
– Ordre des Architectes du Sénégal.
MINISTÈRE DU COMMERCE, DE LA CONSOMMATION ET DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES
– Chambre Nationale de Commerce, d’Industrie et des Services ;
– Chambres régionales de Commerce, d’Industrie et des Services ;
– Fondation Trade Point Sénégal ;
– Bourse nationale de Sous-traitance et de Partenariat du Sénégal.
MINISTÈRE DU DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL ET DES PETITES ET MOYENNES INDUSTRIES
– Institut de Technologie Alimentaire.
MINISTÈRE DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES DE L’AMÉNAGEMENT DU DEVELOPPEMENT DES TERRITOIRES
– Centre national de la Fonction publique locale et de la Formation.
MINISTÈRE DE LA CULTURE ET PATRIMOINE HISTORIQUE
– Grand Théâtre National Doudou NDIAYE Coumba Rose ;
– Compagnie du Théâtre national Daniel Sorano ;
– Manufacture sénégalaise des Arts décoratifs ;
– Musée des Civilisations Noires ;
– Ecole nationale des Arts et Métiers de la Culture.
MINISTÈRE DE LA COMMUNICATION, DES TELECOMMUNICATIONS ET DE L’ECONOMIE NUMERIQUE
– Maison de la Presse Babacar TOURE.
MINISTERE DE L’ARTISANAT ET DE LA TRANSFORMATION DU SECTEUR INFORMEL
– Union nationale des chambres des métiers ;
– Chambres des métiers.
MINISTÈRE DE L’ELEVAGE ET DES PRODUCTIONS ANIMALES
– Ordre des Vétérinaires ;
– Haras national.
Article 3.- Le contrôle des sociétés nationales et des sociétés à participation publique énumérées ci-dessous relève de la Présidence de la République et des ministères ainsi qu’il suit :
PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE
– Agence pour la Promotion des Investissements et des Grands Travaux ;
– Société nationale de Gestion et d’Exploitation du Patrimoine bâti de l’État.
MINISTÈRE DES FINANCES ET DU BUDGET
– Compagnie bancaire pour l’Afrique occidentale ;
– Crédit du Sénégal ;
– Banque internationale pour le Commerce et l’Industrie du Sénégal ;
– AXA Assurances Sénégal ;
– AMSA Assurances ;
– Banque de l’Habitat du Sénégal ;
– Caisse nationale de Crédit agricole du Sénégal ;
– Banque islamique du Sénégal ;
– Société sénégalaise de Réassurances ;
– Société nationale de Recouvrement ;
– Fonds de Garantie automobile ;
– Société nationale d’Assurance et de Crédit ;
– Compagnie nationale d’Assurance Agricole ;
– Banque nationale de Développement Economique ;
– Loterie nationale du Sénégal ;
– Société de Gestion des Infrastructures publiques dans les Pôles Urbains de Diamniadio et du Lac Rose.
MINISTÈRE DES INFRASTRUCTURES, DES TRANSPORTS TERRESTRES ET DU DÉSENCLAVEMENT
– Société Dakar Dem Dik ;
– Société des Grands Trains du Sénégal ;
– Société nationale de gestion du Patrimoine du Train express régional ;
– Centre expérimental de Recherche et d’Etudes pour l’Equipement ;
– Société nationale « Les Chemins de Fer du Sénégal ».
MINISTÈRE DE L’AGRICULTURE, DE L’EQUIPEMENT RURAL ET DE LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE
– Société nationale de Commercialisation des Oléagineux du Sénégal ;
– Société nationale d’Aménagement des Terres du Delta et de la Vallée du Fleuve Sénégal ;
– Société de Développement agricole et industriel ;
– Société de Développement des Fibres textiles ;
– Agence nationale du Conseil agricole et rural.
MINISTÈRE DE L’ECONOMIE, DU PLAN ET DE LA COOPÉRATION
– Fonds Souverain d’Investissements stratégiques.
MINISTÈRE DE L’EAU ET DE L’ASSAINISSEMENT
– Société nationale des Eaux du Sénégal ;
– Sénégalaise des Eaux ;
– Organisation pour la Mise en Valeur du Fleuve Sénégal ;
– Organisation pour la Mise en Valeur du Fleuve Gambie.
MINISTÈRE DES MINES ET DE LA GÉOLOGIE
– Société des Mines de Fer du Sénégal oriental ;
– Société des Mines d’Or de Sabodala ;
– Société d’Etudes et de réalisation des Phosphates de Matam ;
– Société des Mines du Sénégal SA.
MINISTÈRE DU PÉTROLE ET DES ENERGIES
– Société nationale d’Electricité ;
– Société africaine de Raffinage ;
– Holding Sociétés des Pétroles du Sénégal ;
– PETROSEN Exploration & Production SA ;
– PETROSEN Trading & Services SA ;
– Réseau Gazier du Sénégal SA.
MINISTÈRE DES TRANSPORTS AÉRIENS ET DU DEVELOPPEMENT DES INFRASTRUCTURES AEROPORTUAIRES
– Air Sénégal SA. ;
– Agence pour la Sécurité de la Navigation aérienne en Afrique et à Madagascar ;
– Société Anonyme Aéroport International Blaise Diagne.
MINISTÈRE DES PÊCHES ET DE L’ECONOMIE MARITIME
– Société d’Infrastructures et de Réparation navale ;
– Société nationale du Port autonome de Dakar ;
– Société des Conserveries d’Afrique ;
– Consortium Sénégalais d’activités maritimes.
MINISTÈRE DE L’URBANISME, DU LOGEMENT ET DE L’HYGIENE PUBLIQUE
– Société nationale des Habitations à Loyer modéré ;
– Société immobilière du Cap-Vert ;
– Société d’Aménagement foncier et de Rénovation urbaine ;
– Société Nationale de Gestion Intégrée des Déchets.
MINISTÈRE DU COMMERCE, DE LA CONSOMMATION ET DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES
– Centre international du Commerce extérieur du Sénégal.
MINISTÈRE DU DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL ET DES PETITES ET MOYENNES INDUSTRIES
– Africa- Soins ;
– Société des Textiles de Kaolack ;
– Société du Domaine industriel de Ziguinchor ;
– Société du Domaine industriel de Saint-Louis ;
– Industries chimiques du Sénégal.
MINISTÈRE DU TOURISME ET DES LOISIRS
– Société d’Aménagement et de Promotion des Côtes et Zones Touristiques du Sénégal.
MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DU PATRIMOINE HISTORIQUE
– Société « Les nouvelles Editions africaines » ;
– La Sénégalaise du Droit d’Auteur et des Droits Voisins.
MINISTÈRE DE LA COMMUNICATION, DES TELECOMMUNICATIONS ET DE L’ECONOMIE NUMERIQUE
– Société nationale de Radiodiffusion et Télévision du Sénégal ;
– Société sénégalaise de Presse et de Publication « Le Soleil » ;
– Société nationale Agence de Presse Sénégalaise ;
– Société nationale des Télécommunications ;
– Société nationale « La Poste » ;
– Société de Télédiffusion du Sénégal ;
– Société nationale « Sénégal numérique SA ».
Article 4.- Le décret n° 2020-2100 du 1er novembre 2020 portant répartition des services de l’État et du contrôle des établissements publics, des sociétés nationales et des sociétés à participation publique entre la Présidence de la République, le Secrétariat général du Gouvernement et les ministères est abrogé.
Article 5.- Le Premier Ministre et le Ministre, Secrétaire général de la Présidence de la République sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel.
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LE PRÉSIDENT DE LA CEDEAO MET LA JUNTE GUINÉENNE EN GARDE
Trois ans au pouvoir avant un retour de civils élus, "c'est inacceptable pour la Cédéao. Inacceptable et non négociable", a déclaré le président bissau-guinéen dans un entretien aux médias français RFI et France 24
Le président en exercice de l'organisation des Etats ouest-africains (Cédéao), Umaro Sissoco Embalo, a prévenu mercredi la junte guinéenne que le pays allait au devant "de lourdes sanctions" si elle persistait à vouloir se maintenir au pouvoir trois ans.
Trois ans au pouvoir avant un retour de civils élus, "c'est inacceptable pour la Cédéao. Inacceptable et non négociable", a déclaré le président bissau-guinéen dans un entretien aux médias français RFI et France 24 à la veille d'un sommet extraordinaire de la Cédéao en marge de l'Assemblée générale de l'ONU à New York.
Fin juillet, le président de la Cédéao avait assuré avoir convaincu la junte, arrivée au pouvoir par un coup d'Etat en septembre 2021, de réduire la période dite de "transition" à deux ans. Non seulement les autorités n'ont jamais confirmé, mais elles ont continué à parler de 36 mois depuis lors.
"J’étais là-bas, en Guinée Conakry. On a discuté. On est arrivé à un consensus (selon lequel) on ne peut pas dépasser les 24 mois", a réaffirmé M. Embalo. Si la junte maintient ce calendrier de trois ans, il y aura des sanctions, "de lourdes sanctions même", a-t-il dit.
L'Afrique de l'Ouest a vu se succéder les coups de force militaires en moins de deux ans: ceux de 2020 et 2021 à Bamako, putsch le 5 septembre 2021 à Conakry, putsch le 24 janvier 2022 à Ouagadougou. Depuis 2020, la Cédéao, alarmée du risque de contagion dans une région vulnérable, multiplie les sommets, les médiations et les pressions pour accélérer le retour des civils à la direction de ces pays.
Le chef de la junte en Guinée, le colonel Mamady Doumbouya, est attendu mercredi à Bamako où il doit rencontrer son homologue malien, le colonel Assimi Goïta. Il s'agit de sa première visite dans un pays étranger. L'agenda de la visite n'est pas connu.
La junte guinéenne s'est solidarisée avec le Mali et a maintenu les frontières ouvertes quand la Cédéao a infligé un sévère embargo commercial et financier au Mali en janvier pour sanctionner le projet de la junte de rester au pouvoir jusqu'à cinq années supplémentaires. Ces sanctions ont été levées depuis, mais le Mali et la Guinée restent suspendus des organes de la Cédéao.
Le sort de 46 militaires ivoiriens retenus depuis mi-juillet au Mali sera également à l'ordre du jour de la réunion de la Cédéao à New York. La junte malienne qualifie ces soldats de "mercenaires" tandis qu'Abidjan assure qu'ils étaient en mission pour l'ONU et dénonce "une prise d'otage"."Je pense que ce ne sont pas des mercenaires", a déclaré M. Embalo, abondant dans le sens de propos tenus dimanche par le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres. Il s'est dit favorable à leur libération.
par l'éditorialiste de seneplus, tidiane sow
QUELLE HONTE DE VIVRE SOUS LE CAPRICE D’UN SEUL HOMME
EXCLUSIF SENEPLUS - Macky aime des serviteurs avilis. Il aime à les congédier et à les rétablir à sa convenance. Il aime à mesurer leur degré de servitude, il se repait de leur souffrance silencieuse. Ne l’a-t-il pas vécu lui-même sous Wade ?
« Nos échecs ne sont pas dus aux défaites subies mais aux conflits auxquels nous refusons de participer » - Graffiti lu à Berne.
Macky Sall aime des serviteurs avilis. Il aime à les congédier et à les rétablir à sa convenance. Il aime à mesurer leur degré de servitude, il se repait de leur souffrance silencieuse. Il aime ceux qui encaissent. Ne l’a-t-il pas vécu lui-même sous Wade ?
Ceux qui ont cheminé avec le président savent qu’il ne confie des rôles importants à ses partisans et alliés que pour qu’ils les jouent profil bas, à ses pieds. Combien d’adversaires, jadis virulents et le verbe haut, sont passés de pourfendeurs en défenseurs du président, et sont devenus des exécutants zélés et craintifs dès qu’ils ont rejoint son camp ?
Le Premier ministre
Il aura mis 9 mois pour désigner un Premier ministre. On s’attendait à un joker sorti de sa manche, comme il le fit pour le président de l’Assemblée nationale. Mais non, il a fait reprendre service Amadou Ba, dont il s’était séparé sans que l’on sache trop pourquoi. Au préalable, après moult péripéties, il l’avait viré de son poste de ministre des Finances pour un poste de ministre des Affaires Etrangères avant de mettre fin à cette collaboration pour le néant. Le passage au néant est un passage obligé dans le magistère de Macky. Il ne lui faut pas de preuves pour prendre des décrets d’éloignement ; des présomptions lui suffisent comme disait Vergniaud*. Malgré les épreuves qu’il lui a fait subir, Amadou Ba est resté stoïque : le président a sabordé sa candidature à la mairie de Dakar, lui préférant Diouf Sarr dont toute la classe politique, y compris lui même, était sûre de la défaite. Il ne lui a pas confié la tête de liste des législatives lui préférant Mimi Touré dont il connaissait pertinemment le caractère clivant. C’est quand il vous plonge dans cet état végétatif, qu’il vous juge, et observe votre réaction. Il aime par dessus tout que les victimes de ses caprices fassent profil bas et adoptent la posture des esclaves affranchis dont le rêve ultime est de reprendre service auprès du maitre. Voila à quelle fin le président Sall réduit et aime voir ses compagnons ! Qu’ils avalent des couleuvres sans sourciller et qu’ils se taisent.
Amadou Ba et Aly Ngouille Ndiaye l’ont fait, les voilà de retour. Les autres recalés Hott, Saleh et autres savent ce qui leur reste à faire...dix huit mois c’est long pour un gouvernement, l’espoir leur est encore permis.
« Ne pas avoir honte de vivre sous le caprice d’un homme »*, voilà le mindset qui sied pour « réussir » sous Macky.
Le gouvernement :
Son gouvernement qualifié de gouvernement de combat n’est pas un gouvernement de rupture. Il a plutôt musclé sa garde. Après avoir renvoyé ceux à qui on prêtait des velléités de se présenter contre lui, il les reprend près de lui pour mieux les étouffer. On se demande juste où est passé Amadou Makhtar Cissé. Rétabli, Amadou Bâ a eu ses têtes. C’était lui ou Abdoulaye Daouda Diallo, à partir du moment où, le choix se porta sur lui, la messe était dite. Exit donc Abdoulaye Daouda Diallo, Hott dans le sillage. Etrangement, Idy garde la main avec deux ministres, on ne sait pas trop comment. Cela demeure encore une énigme qu’Idy conserve de l’influence auprès du président. Niasse qui n’arrêtait pas de déchoir au perchoir ne lâche toujours pas prise. Le voilà bombardé Haut représentant du président. Il a eu au passage la tête d’Alioune Sarr, suspecté de lorgner sur le parti AFP moribond. Les petits meurtres entre amis se poursuivent. Le PS garde ses ministres au gouvernement malgré leur dégringolade. Ils ont perdu les 2/3 de leurs députés dans cette législature. L’essentiel est ailleurs. Il faut serrer les coudes. Même Pape Diop, le rallié de la dernière heure, a eu son ministre. Manque à l’appel du partage la LD. Visiblement Macky ne fait toujours pas confiance à cette gauche réfractaire au troisième mandat. Qui disait que ce n’était pas la loi du partage qui prévalait ? Notre pseudo élite n’arrive décidément pas à opérer son aggiornamento mental.
D’autres jeunes loups sont admis dans la bergerie : Point de rêverie : Mame Mbaye Niang ne révolutionnera pas le tourisme. Il occupa déjà ce département et rien ne se passa ; Doudou Ka n’aura pas grand-chose à faire avec le transport aérien lesté d’une compagnie nationale qui bat de l’aile et, Pape Malick Ndour sera impuissant face à l’immensité de la tâche à laquelle fait face la jeunesse, tellement le problème de l’emploi est mal posé. Leur objectif est ailleurs. Ils sont là pour livrer bataille contre les « Sonkistes », « Barthistes » et l’imposant et tonitruant GMS. C’est là où le président les attend. Ne doivent-ils pas d’ailleurs leur entrée au gouvernement du fait de leur pugnacité face à l’opposition ? Leur tâche ne sera pas facile. Le règlement de comptes à "OK Corral" peut commencer. On fera les comptes en 2024 !
Le troisième mandat sera clivant au sein de Benno et même au sein de l’APR. Les lendemains seront bien incertains.
Les bannis, ceux qui seront contre ce mandat de la discorde et qui se rebifferont, seront livrés et taillés en pièces par la meute des fidèles du boss. C’est ce qui est arrivé à Mimi.
Mimi Touré
La trahison surtout en direct d’une personnalité politique reste une infamie insoutenable. Bien qu’on sache pourtant, que dans ce milieu aucune balle ne soit mortelle et que seuls comptent les intérêts politiques, on reste toujours surpris quand cela arrive. Le cas de Mimi Touré a attristé nombre de Sénégalais si l’on s’en réfère aux nombreuses indignations relevées sur les réseaux sociaux.
Pourtant on l‘a déjà virée à plusieurs reprises, que ce soit de la Primature, du CESE au profit de son pire ennemi Idrissa Seck et à chacune de ces occasions, nous n’avions pas mesuré son humiliation et nous n’avions pas montré une telle compassion pour elle. Cette fois à l’Assemblée c’était différent. C’était en direct à la télé à la radio. On a eu mal pour elle. Son amour propre en a pris un gros coup, on l’a vue trainer sa peine, blessée jusque dans l’âme. Elle prit son sac et ses chaussures et rentra tranquillement chez elle. Pourtant ce qui lui est arrivé, est arrivé à bien d’autres et elle s’en était bien accommodée. Mais de mémoire d’observateur, jamais manque de respect, jamais arrogance ne furent exprimés avec autant de violence en son endroit qu’en ce jour de vote. Elle a juste reçu un coup de fil du président, quelques heures avant le vote, l’informant qu’elle ne serait pas présidente de l’Assemblée nationale. Il se sera passé plus d’un mois entre sa campagne victorieuse du 31 juillet et l’installation de la nouvelle Assemblée ! Il avait de la place pour la recevoir et discuter avec elle. Mimi a commis plusieurs erreurs dont celle de penser très tôt que le poste de présidente de l’Assemblée lui était dû. Un match de foot ne se termine qu’au coup de sifflet final. « It ain’t over till it’s over »*. Mener une campagne fût-elle victorieuse ne vous propulse pas patronne de l’Assemblée.
D’autant plus que votre victoire fut étriquée, que vous n’avez pas gagné dans votre centre de vote, que vous ne faites pas l’unanimité dans votre camp et qu’il y a eu des précédents en l’espèce. Elle le sait mieux que quiconque.
Mimi s’y est vue trop tôt. C’est ce qui explique l’ampleur de sa déception. De tous les soumis au président Sall, elle restait celle qui le défendait le plus âprement, celle qui, toutes griffes dehors, égratignait et mordait à pleines dents les adversaires de son patron. Avez-vous entendu parmi les caciques, Amadou Ba, Mbaye Ndiaye ou encore Abdoulaye Daouda Diallo s’ériger en bouclier du président devant les attaques de Sonko, ou celles jadis de Idy ? Non. Elle seule, montait au front, portait le fer aux adversaires et de quelle façon. C’est cette posture qu’on lui connait, qui exacerbe le sentiment d’injustice qui l’habite, et qui anime aussi bon nombre de citoyens témoins de ses bagarres partisanes. Mais là encore, elle doit savoir qu’en politique, il n’y a point de reconnaissance. Si elle en voulait, elle devrait s’acheter un chien comme dirait l’ancien Premier ministre britannique John Major.
Mimi en a eu marre de se soumettre et de se taire. Visiblement, elle s’est dit qu’elle n’attendrait plus la grâce de son boss. Elle s’est révoltée bruyamment ce jour dans l’enceinte de l’Assemblée nationale. Et revoilà la parabole du jeune garçon avec le couteau qui guette le président :
« Ce jeune garçon qui a un couteau et qui l’essaie sur les fleurs, puis sur des morceaux de bois, puis sur des meubles et, finalement le brise sur une pierre ». Mimi pourrait être sa pierre, comme jadis il fut la pierre de Wade.
L’Assemblée nationale
Le fiasco des législatives avec la perte de plus de 40 députés a ébranlé la coalition BBY. Une défaite de telle ampleur, conduit fatalement à des bouleversements dans la coalition vaincue. Exit un parlement à ses pieds avec une cohérence et une efficacité gouvernementales toute acquises. Avec cette majorité ténue, la délibération et le contrôle parlementaires seront de plus en plus convoqués dans l’hémicycle. A ce nouveau jeu, Mimi ne faisait pas l’affaire. Il faut d’autres acteurs.
L’opposition, s’est illustrée de façon calamiteuse en ce jour d’élection. Obstruction, bagarres, furent les armes qu’elle décida d’utiliser. On regretta presque la tribune qu’on leur a offerte, vu l’usage qu’elle en faisait. N’ayant pas pu transcender ses divergences, elle offrit à BBY une victoire facile. A posteriori, le couac Mimi aurait pu jouer en sa faveur, si elle avait présenté un seul candidat et joué le jeu à la régulière. Au lieu de cela, elle a laissé quelques têtes brûlées, grisées par on ne sait trop quoi, avoir des prétentions hors normes. Le tropisme du compromis est le rapport de force. Il eût fallu que le Pastef imposât ce rapport de force à ses partenaires de la coalition Yewwi–Walu, comme l’APR le fit à ses alliés de BBY, et désignât le candidat de la coalition. C’est en cela qu’elle aurait eu une chance, une mince chance de s’imposer.
Dr Tidiane Sow est coach en Communication politique.
Notes
P. Vergniaud: Avocat, homme politique français;
“Quelle honte de vivre sous le caprice d’un seul homme”
F. Chateaubriand, Ecrivain, Homme politique
It ain’t over till it’s over : « Ce n’est pas fini tant que ce n’est pas fini » Yogui Berra, joueur américain de Base Ball
par Nioxor Tine
UNE DÉMOCRATIE DYSFONCTIONNELLE
L’enrôlement de jeunes loups connus pour leur fanatisme dans la défense systématique du pouvoir apériste ne réussira pas à juguler la défiance envers la gouvernance autocratique d’un président prêt à tout pour une troisième candidature
On savait que l’état de santé déjà précaire de notre démocratie s’était sérieusement aggravé depuis 2012. C’est seulement grâce à nos anciennes traditions d’ouverture et à la solidité de nos ressorts démocratiques, que le funeste projet d’installation d’une autocratie pétrolière n’a pas encore abouti.
Les évènements de la semaine dernière, censés être des moments forts dans l’agenda républicain, viennent confirmer, que notre démocratie, tant chantée, est devenue dysfonctionnelle.
Le premier argument en faveur de cette thèse est cette obsession hégémonique avec une instrumentalisation sans précédent de l’appareil d’Etat à des fins diverses :
clientélistes (multiplication de projets, surtout somptuaires, bourses de sécurité familiale…)
et répressives (neutralisation d’adversaires politiques, arme fiscale…)
De plus, on a noté un essor sans précédent des fraudes électorales de seconde génération, en amont du jour de vote, allant du tripatouillage de l’état civil, à l’inscription massive de militants de la mouvance présidentielle dans le fichier électoral, au transfert d’électeurs, en passant par l’invalidation arbitraire des listes de candidatures de l’opposition ...
C’est grâce à tous ces procédés que le camp de la majorité a pu organiser la réélection frauduleuse de son candidat, lors de la présidentielle de février 2019, d’autant plus facilement, que le président sortant bénéficie toujours, dans ces cas-là de la prime au sortant et de la bienveillance de larges secteurs de la classe politique intéressés par le partage de prébendes et de strapontins.
Depuis la survenue de la pandémie de Covid-19 et ses conséquences sociales fâcheuses, une atmosphère sociopolitique délétère s’est installée, contribuant à l’accentuation de la défiance contre la gouvernance calamiteuse du régime de Benno Bokk Yakaar.
C’est le moment choisi par les officines obscures du pouvoir apériste pour tenter, au moyen d’une cabale mal ficelée, de « briser les ailes » d’un homme politique, en pleine ascension et qui avait été la révélation de la présidentielle de 2019.
Mal leur en a pris, car tous les observateurs politiques s’accordent pour acter le début de la phase de déclin de la coalition présidentielle, à partir des émeutes de février – mars 2021, qui même si elles avaient un soubassement socio-économique, ont été enclenchées par l’affaire Sweet Beauty. Elles seront suivies des déconvenues électorales de la majorité aussi bien aux élections locales qu’à celles législatives de cette année.
Un autre élément explicatif de la déliquescence de notre système démocratique se trouve dans cette incapacité de nos gouvernants mais aussi de certains opposants de tirer les bonnes leçons des moments de crise ou des résultats électoraux pour entamer une nouvelle étape de renouveau démocratique.
C’est ainsi que l’installation des députés de la quatorzième législature a été chaotique, surtout à cause de la conception désuète que Benno Bokk Yakaar continue d’avoir de la démocratie et de ses rapports avec la classe politique et qui s’est cristallisée par des manœuvres de bas étage du clan présidentiel, provoquant l’ire des nouveaux députés de Yewwi.
Résultats de courses : c’est à l’ombre des baïonnettes et avec la complicité de la gendarmerie que le peuple sénégalais a assisté, en direct à un hold-up électoral au Parlement, faisant d’un ami de la famille présidentielle, le président de la deuxième institution du pays.
En effet, l’élection du président de l’Assemblée Nationale a combiné un chantage moral, contraignant tous les députés de la majorité à s’engager, par écrit, à voter pour le candidat désigné par le tout puissant Manitou et l’utilisation frauduleuse de la procuration de Mme Aminata Touré. D’ailleurs, un minimum d’éthique républicaine aurait dû dissuader tout démocrate sincère de participer à cette mascarade.
Concernant le remaniement du 17 septembre 2022, il semble être intervenu, avec plusieurs mois de retard, pour espérer résorber la grave crise économique et sociopolitique, qui sévit dans notre pays, ces dernières années.
Sous ce rapport, il s’inscrit dans cette tradition d’attentisme devenue paradoxalement emblématique de la gestion du chef de l’Etat, même s’il a annoncé, lors de la suppression du poste de Premier ministre, son option pour le fast-track. Si le président Macky Sall est devenu lent à la détente, lui qui avait pourtant la réputation d’être expéditif, comme le prouve sa propension à user des procédures d’urgence, c’est que sa marge de manœuvre ne fait que se rétrécir.
En général, les remaniements ministériels relèvent essentiellement d’un désir de respecter la tradition républicaine, mais ils permettent parfois d’apporter des correctifs et d’impulser une nouvelle dynamique pour la majorité en place, après la survenue d’évènements politiques majeurs comme une crise politique grave ou une consultation électorale importante.
Malheureusement, l’attelage gouvernemental lourd et disproportionné, qui vient d’être échafaudé, même s’il comporte quelques personnalités honnêtes, brillantes et désireuses de servir la communauté nationale, ne pourra sortir notre pays de l’ornière.
En l’absence de vision humaniste et progressiste, il ne sert à rien de ne s’en remettre qu’aux seules vertus de l’expertise personnelle, aussi pointue soit-elle, surtout si l’Exécutif gouvernemental est instrumentalisé et mis au service d’intérêts égoïstes et / ou antinationaux, comme cela est clairement ressorti de l’installation de la quatorzième législature.
L’enrôlement de jeunes loups connus pour leur fanatisme dans la défense systématique – dans la presse et les réseaux sociaux - des dérives du pouvoir apériste ne réussira pas à juguler la défiance exponentielle envers la gouvernance autocratique d’un président prêt à tout pour décrocher un troisième mandat illusoire.
La seule issue est de tirer profit de l’équilibre des forces au niveau du Parlement, résultat des dernières élections législatives, pour engager des concertations nationales, en vue d’engranger des progrès dans la satisfaction de la demande sociale, une refondation institutionnelle réelle, l’approfondissement de la démocratie et une souveraineté économique véritable.