KEEMTAAN GI - DE L’ART DE LIMOGER
Des vies qui ne tiennent qu’à une signature ! Dans l’histoire de la République de ce charmant pays, on a jamais autant limogé et radié que sous la magistrature du Chef. Il renvoie sans état d’âme. Une dictature de la pensée unique ? Un fonctionnaire qui fait dans le syndicalisme se fait entendre sur des sujets qui fâchent au plus haut niveau. On le radie sans précaution, le privant de salaire. Tant pis si sa progéniture meurt. Fort heureusement, il s’est vite créé une belle popularité. Troisième à la dernière présidentielle, élu député et depuis le mois de février, maire d’une ville de l’intérieur du pays. Les kids auraient dit que Dieu ne dort pas. Le directeur de cabinet politique du Chef se prononce sur l’incapacité de ce dernier à briguer un troisième mandat. Il est prié de s’éloigner du palais présidentiel. Il occupe depuis les réseaux sociaux. Il ne va pas mourir de faim. Un autre qui n’a pas su tenir sa langue, se prononçant sur ce sujet qui irrite, s’est vu également couper la tête. Personne ne l’entend plus. Il ne faut jamais dire que le Chef ne peut pas. Mais peut ! Un officier de la gendarmerie se rebelle, flairant un complot pour « tuer » un opposant, on lui montre la porte de sortie. Pas de brebis galeuses au sein de la Maréchaussée. Le chef de l’élément radié, soupçonné d’avoir été mou lors des évènements de mars 2021, connut le même sort. Limogé « avec effet immédiat » et remplacé le même jour sans même avoir eu l’occasion de faire ses adieux à ses hommes. Et sans même avoir pu procéder à une passation de service en bonne et due forme avec son remplaçant. Quelle belle humiliation ! Le dernier élément perturbateur, qui célébrait ses quatre ans de succès engrangés, a eu l’indélicatesse de se prononcer sur un sujet qui a indigné des dévots et faux dévots. Limogé aux heures qui ont suivi son incartade. Son remplaçant ? Une…dame. Et dire qu’il faisait le plaidoyer de ces charmantes créatures. KACCOOR BI
AFFAIRE PHARMACIE DAKAROISE LE DPM PERSISTE DANS L’INÉGALITÉ !
Il y a presque un mois, la chambre administrative de la Cour suprême, par un Arrêt rendu le 25/11/2021, avait annulé l’arrêté du ministère de la Santé qui autorisait Mme Aminata Gassama, l’épouse de l’ancien maire de Ziguinchor Abdoulaye Baldé, à transférer sa pharmacie à la Place de l’Indépendance, au rez de chaussée de l’Hôtel Indépendance à Dakar. Comme l’avait révélé « Le Témoin » quotidien, cette décision de la Cour suprême est sans appel et pourtant M. Yérim Mbagnick Diop, directeur de la Pharmacie et du Médicament (Dpm) semble l’ignorer et continue de s’acharner sur Madame Mbodji propriétaire de la Pharmacie Dakaroise. Au ministère de la Santé comme au sein du Syndicat des pharmaciens, tout le monde s’accorde à reconnaitre que M. Yérim Mbagnick Diop profite de cette période de « pause » gouvernementale pour tenter de contourner la décision de la Cour suprême au détriment de Mme Mbodj. L’actuel ministre sortant ou partant Abdoulaye Diouf Sarr est-il au courant de ces manœuvres souterraines foulant aux pieds les décisions de nos hauts magistrats ? D’ailleurs, « Le Témoin » vient d’apprendre que M. Yérim Mbagnick Diop aurait pondu un projet d’arrêté ministériel déjà déposé sur le bureau du ministre de la Santé pour signature. Un projet d’arrêté nous soufflet-on, qui viserait à annuler l’arrêté ministériel qui autorise depuis 40 ans Mme Aïcha Goundiam Mbodji à occuper ce site. En effet faisant fi de cet Arrêt de la Cour suprême et de la procédure contentieuse en cours avec l’Ipres depuis un an, M. Yérim Mbagnick Diop a envoyé par courrier en date du 31 décembre 2021 une sommation à Mme Mbodji où il lui donne un délai de 30 jours pour lui faire parvenir un contrat de bail en bonne et due forme avec l’Ipres ou, à défaut régulariser son transfert dans les locaux actuels provisoires au 43, Bd Djily Mbaye. Faut-il en rire ou en pleurer ? Pour « Le Témoin » quotidien, cette manœuvre crapuleuse n’est rien d’autre qu’une tentative de contourner l’Arrêt de la Chambre administrative de la Cour suprême et la procédure contentieuse en cours auprès du Tribunal de Commerce de Dakar en annulation du bail crapuleux signé par l’Ipres et Mme Baldé née Aminata Gassama. A quelle fin ? En tout cas, le Sénégal reste le seul pays au monde où l’on voit de hauts fonctionnaires tenter de multiplier par « zéro » le Pouvoir judicaire. Face à cette injustice, le président du Syndicat des Pharmaciens Privés du Sénégal n’exclut pas une grève des pharmaciens si toutefois le Dpm Diop réussit son coup ! A ce rythme, le président Macky Sall est invité à prendre ce dossier en main pour voler au secours de « Coumba amul Ndeye » ou « Aicha amul Ndèye »…
CBAO PAPE DOUDOU TOUNKARA ET CETTE AFFAIRE D’USURPATION
Nous avions promis de revenir sur ce qui se passe au sein de la Compagnie bancaire de l’Afrique de l’Ouest (Cbao). Nos antennes braquées au siège de la filiale sénégalaise du Groupe marocain Attijariwafa Bank ont capté des causeries qui ne donnent rien de bon contre Pape Doudou Tounkara porte-parole des travailleurs et Secrétaire général du Collège des Délégués du personnel. Nous évoquions dans notre article du mardi 08 mars que celui qui prétend défendre l’intérêt des travailleurs de la plus grande banque du Sénégal dénommé « Monsieur plus » trainerait des casseroles intrigantes. Eh bien nous avons capté l’une d’elles qui tournerait autour d’une histoire d’usurpation de fonction. Pape Doudou Tounkara s’est immiscé dans une affaire de détournement d’argent d’un de ses collègues qui aurait puisé dans le compte d’un client toubab basé à Mbour. Le collègue licencié par sa direction sera secouru par Pape Doudou Tounkara qui a contacté directement le client toubab pour une médiation. Seulement, le syndicaliste s’est présenté au client toubab comme le SG de la CBAO, un poste qui n’existe plus dans la banque depuis 2010. Il convoquera la victime à un rendez-vous pour un arrangement à l’amiable. Ce qui étonnera son interlocuteur, il constate que le rendez-vous ne s’est pas déroulé dans la banque mais dans un restaurant dakarois. Il sera intrigué aussi par l’accoutrement de Pape Doudou Tounkara. Comme n’étant pas né de la dernière pluie, il se rendra compte qu’il a en face de lui un usurpateur. Le client toubab ne tardera pas à éconduire le syndicaliste avant de le menacer d’une plainte. Nos sources à la Place de l’Indépendance, siège de la Cbao indiquent que le dossier est en instruction dans les couloirs de la direction générale.
CBAO PAPE DOUDOU TOUNKARA ET CETTE AFFAIRE D’USURPATION (BIS)
Cette facette d’usurpateur de l’homme ne s’arrête pas à ce niveau. Parce qu’à la CBAO, Pape Doudou Tounkara est vu comme un spécialiste du dénigrement, de la diffamation, de la stigmatisation et une défiance permanente de l’autorité. Il confond ses titres de syndicalistes, à celui de décideur de la banque. Une situation jugée intolérable par les dirigeants de la Cbao selon nos sources. Ces derniers demandent aux autres délégués de prendre leurs responsabilités pour une sortie de crise d’une banque qui représente près d’un quart du Pib du Sénégal. Alors personne n’a le droit de mettre en péril une telle institution. En tout cas nos antennes braquées à la Place de l’Indépendance annoncent une réplique dense de la direction générale la semaine prochaine pour répondre à Pape Doudou Tounkara qui après Guy Marius Sagna, s’est essayé dans l’enrôlement de Mody Guiro le Sg de la CNTS.
CHANGEMENT D’AGENDA MACKY SALL À TAMBA CE VENDREDI ET AU DAKKA SAMEDI
En exclusivité, nous avions annoncé l’agenda du chef de l’État qui devait prier ce vendredi dans la cité religieuse de Médina Gounass où se tient une retraite spirituelle communément appelée Dakka depuis le samedi 05 mars dernier. Nos antennes braquées sur le Palais de notre cher président, ont capté un petit changement dans l’agenda de l’homme des rêves de Marième Faye Sall. En effet, le Président Macky Sall a décalé sa visite au Dakka de Médina Gounass à samedi. Ce vendredi, Macky Sall tient à faire face aux responsables politiques de la mouvance présidentielle dans les régions de Tambacounda et Kédougou qu’il a convoqués pour concilier les positions. Comme nous l’avions également annoncé, le maire de Kédougou, Ousmane Sylla prendra part à ces retrouvailles. Après Tambacounda et Médina Gounass, le chef de l’État se rendra dès dimanche à Kaolack où il passera deux nuits.
MAME ABY SÈYE NOUVELLE DÉLÉGUÉE DE LA DER
Mame Aby Sèye a été nommée nouvelle Déléguée de la DER par le président Macky Sall. Mame Aby Sèye remplace Pape Amadou Sarr limogé ce mercredi par le président de la République suite à des propos tenus sur les marabouts et la religion musulmane. Mame Aby Sèye dirigeait jusqu’à sa nomination le Fonds de financement de la Formation professionnelle et technique (3FPT) depuis mai 2019. La nouvelle patronne de la DER est assurément une tête bien faite puisqu’elle est diplômée d’un DESS en urbanisme aménagement et d’un doctorat en sociologie anthropologie. Nous tenons tout de même à nous excuser auprès de nos lecteurs puisque nos premières informations publiées dans notre édition du jeudi indiquaient que c’est le député apériste de Goudiry Djimo Souaré qui était pressenti pour remplacer Pape Amadou Sarr.
CYBERCRIMINALITE, 20 RESSORTISANTS NIGERIANS ARRETES A HANN MARISTE
Vingt (20) ressortissants nigérians ont été arrêtés à Hann Maristes (Dakar) par la Division spéciale de cybercriminalité (Dsc). Accusés d’être impliqués dans une affaire de cybercriminalité tentaculaire, ils ont été mis à la disposition du parquet.
Vingt (20) ressortissants nigérians ont été arrêtés à Hann Maristes (Dakar) par la Division spéciale de cybercriminalité (Dsc). Accusés d’être impliqués dans une affaire de cybercriminalité tentaculaire, ils ont été mis à la disposition du parquet.
Libération qui donne l’information ce jeudi, renseigne que les présumés cybercriminels ont été cueillis dans leur Qg (Quartier général), un immeuble R+4 transformé en « bureaux ». Ils étaient tous présents lors de la descente musclée effectuée sur les lieux par la Dsc qui avait détecté plusieurs comptes suspects, en apparence détenus par de belles nymphes et localisés dans le secteur.
Sur place, les limiers ont trouvé un lot impressionnant d’ordinateurs et de téléphones portables. Les premiers constats faits sur les téléphones et les ordinateurs saisis, ont confirmé les soupçons des enquêteurs qui ont établi techniquement que les mis en cause appâtaient des gens sur les réseaux sociaux avec de faux profils de femmes avant de les rançonner une fois qu’ils détenaient des images ou vidéos compromettantes d’eux.
Arrêtés, les Nigérians mis en cause ont été placés en garde à vue pour « association de malfaiteurs, escroquerie en bande organisée en ligne, usurpation d’identités numériques, chantage et extorsion de fonds ».
Entendus, ils ont tous reconnu les faits qui leurs sont reprochés.
LA SEN'EAU EN PHASE TEST
La SEN’EAU et son partenaire technique SUEZ ont entamé depuis lundi dernier aux HLM Grand Yoff (banlieue de Dakar), la phase test d’une nouvelle technique de traitement des forages en vue d’un meilleur respect des normes environnementales
Dakar, 10 mars (APS) - La SEN’EAU et son partenaire technique SUEZ ont entamé depuis lundi dernier aux HLM Grand Yoff (banlieue de Dakar), la phase test d’une nouvelle technique de traitement des forages en vue d’un meilleur respect des normes environnementales, a appris jeudi l’APS d’une hydrogéologue de la société en charge de distribution de l’eau courante.
‘’L’activité est en phase pilote au niveau du forge des HLM Grand Yoff en face du stade Léopold Sédar Senghor. C’est une technique qui utilise de l’air, en lieu et place des produits chimiques comme l’acide pour traiter l’eau’’, a expliqué à l’APS, l’hydrogéologue de la SEN’EAU, Ndébane Ngom.
Selon elle, cette méthode est ‘’plus rapide dans la mise en œuvre, plus efficace dans le nettoiement de l’infrastructure, permet de gagner du temps et offre un plus grand débit dans la production’’.
‘’Cette méthode est très efficace, nettoie en profondeur le forage et le massif filtrant jusqu’à la nappe aquifère, assure une bonne qualité de l’eau et est venue à point nommé’’, a ajouté Mme Ngom.
Elle a assuré que ‘’c’est une technique novatrice, une première au Sénégal et en Afrique, pouvant nous permettre de résoudre le problème de l’hydroxyde de fer qui entraine la coloration rouge de l’eau, particulièrement à Dakar et sa banlieue.
‘’Cette technique ralentira également la formation de cette l’hydroxyde sur le massif filtrant des forages’’, selon Ndébane Ngom.
Elle a précisé qu’après cette phase test, prévue pour une durée de 5 jours au forage des HLM Grand Yoff, va suivre le site F1 de Sally dans le département Mbour (Ouest).
‘’Et en fonction des résultats obtenus, la technique sera adoptée comme méthode de traitement des forages et déployée dans d’autres localités du pays’’, a-t-elle avancé.
Mme Ngom a assuré que ces travaux visent essentiellement à nettoyer, à augmenter le débit, et une fourniture continue de l’eau de qualité des quartiers alimentés par ce forage à savoir HLM Grand Yoff, Scat Urbam, une partie de Khar Yalla, une partie des parcelles assainies.
INFLATION ALIMENTAIRE, L'ETAT PREND DE NOUVELLES MESURES
Le ministère du commerce a tenu une rencontre avec les acteurs du secteur, ce jeudi 10 mars lors d’une réunion qui s'est tenue à la Direction du Commerce intérieur. C’était l’occasion pour se prononcer sur la question de la baisse des prix des denrées
Le ministère du commerce a tenu une rencontre avec les acteurs du secteur, ce jeudi 10 mars lors d’une réunion qui s'est tenue à la Direction du Commerce intérieur. C’était l’occasion pour se prononcer sur la question de la baisse des prix des denrées alimentaires de première nécessité annoncée récemment par l'Etat du Sénégal. Ainsi, des mesures ont été prises pour l'application des prix édictés.
Le Directeur du commerce, Omar Diallo a précisé que le gouvernement a pris l'engagement de décaisser plus de 50 milliards pour la réduction des prix des denrées alimentaires à savoir le riz, le sucre, l'huile entre autres, dans le but d'accompagner les ménages sénégalais.
Malgré ces efforts consentis par l'Etat, certains commerçants continuent toujours de faire la sourde oreille. Face à cette situation, le Directeur du Commerce souligne que des mesures strictes ont été prises pour l'application des prix fixés par l’Etat du Sénégal. Selon lui, désormais, “tout commerçant qui refuse de se plier au respect des prix fixés, est dans l'infraction et peut s'exposer à des risques d’amendes ou d'emprisonnement”.
Il a lancé un appel aux consommateurs à s'inviter davantage dans cette lutte contre les prix illicites, en dénonçant les commerçants qui ne respectent pas les règles.
Toutefois, le directeur du Commerce a rassuré les consommateurs sénégalais sur une éventuelle pénurie des denrées alimentaires. Il confirme qu' un stock suffisant en riz, sucre et huile est disponible sur le marché pour une durée de plus de 06 mois.
Le représentant des commerçants, Moustapha Lo, de Unacois Jappo, qui a assisté à cette rencontre, a salué la pertinence de cette décision prise par le gouvernement et appelle au respect des prix.
par Mody Niang
STRATÉGIE POUR ÉLIMINER UN CANDIDAT POTENTIELLEMENT DANGEREUX
Le Monde, Jeune Afrique et Radio France internationale ont-ils attrapé la même peur pour lancer leur croisade contre le président de Pastef, à travers leurs « interviews » de la très pieuse Adji Sarr, dont tout indique qu’elles sont concertées ?
ls reviennent donc à la charge un an après, avec cette fois-ci les médias Le Monde, Jeune Afrique et Radio France Internationale (RFI), dont tout indique qu’ils volent à leur secours. Ils s’accrochent ainsi à leur stratégie, la même qu’ils avaient mise en branle dès le lendemain des événements de la première semaine de mars 2021. On se rappelle en effet que l’« honorable » député Aymérou Gningue, Président du Groupe parlementaire Bennoo Bokk Yaakaar du président-politicien, avait publié une contribution dans différents quotidiens de la place, notamment à WalfQuotidien du samedi 20 mars 2021. Je rappelle que j’avais répondu à cette contribution par une autre publiée à WalfQuotidien et L’Exclusif du 25 mars 2021, et qui avait pour titre : « ‘’Honorable’’, vous n’avez convaincu personne !». Les arguments que j’y avais développés restent actuels, de mon point de vue tout au moins. Cette contribution-ci sera donc de rappel car, dans notre pays, la fâcheuse tendance à vite oublier et à passer facilement sur les événements les plus importants est pratiquement devenue une marque de fabrique.
Dans ma contribution-réplique du 25 mars 2021, je faisais remarquer que l’« honorable » Président du Groupe parlementaire du président-politicien Macky Sall n’avait convaincu personne, en tout cas personne tant soit peu doté de bon sens et de culture politique. Elle s’inscrivait plutôt dans une même volonté, une même dynamique affichée par le président-politicien et sa coalition de chercher coûte que coûte à discréditer Ousmane Sonko, faute de le faire condamner et de lui faire perdre ses droits civiques. Tous les membres de la Coalition Bennoo Bokk Yaakaar et tous les gardiens jaloux du statu quo devraient y travailler de toutes leurs forces, en y entraînant même la justice qui ferait traîner l’affaire, si c’était possible. Espérons que les juges ne laisseront pas faire !
On se rappelle encore cette information importante, selon laquelle une certaine avocate avait envoyé, « par mégarde », un curieux message écrit à l’un des avocats d’Ousmane Sonko, Me Bamba Cissé. Quelques minutes auparavant, elle discutait de cette affaire de viol avec lui. Dans ce message qui serait plutôt destiné au Ministre de l’Intérieur dont elle serait très proche[[1]]url:#_ftn1 , l’auteure du message conseillait de ne pas envoyer « l’ennemi public numéro 1 » en prison, mais plutôt de le placer sous un long contrôle judiciaire qui lui ôterait la parole. Pendant ce temps, une communication durable serait organisée pour charger copieusement et régulièrement M. Sonko qui les empêcherait de dormir et le discréditer au maximum devant ses militants et sympathisants. Nous sommes encore, aujourd’hui, dans cette communication, cette stratégie de campagne de dénigrement. Un des bras armés de cette stratégie, c’est incontestablement Madiambal Diagne[[2]]url:#_ftn2 qui, avec les « honorables » députés Aïmérou Gning, et Cheikh Seck, et un certain avocat dont il me répugne de prononcer le nom, partagent la haine sourde contre Ousmane Sonko.
On se rappelle que Madiambal Diagne avait donné le ton, annoncé la couleur et sonné la charge dans son «Lundi » du 15 mars 2021. « L’ami », le bras armé du couple présidentiel n’y avait pas ménagé la cible privilégiée, l’ennemi à abattre coûte que coûte et par tous les moyens, et l’avait alors copieusement chargé. On pouvait lire ainsi dans ce fameux «Lundi » : « (…) Des personnes sont arrêtées et détenues pour avoir participé aux actions subversives. Il semble moralement inacceptable que les exécutants paient seuls, alors que le commanditaire, l’instigateur, le donneur d’ordres, Ousmane Sonko, clairement identifié, soit épargné par le glaive de la justice. La seule chose qui pouvait arriver à Ousmane Sonko était d’être traduit en justice pour ces faits et de lui faire application de la rigueur de la loi pénale. Mais il semble acquis que rien ne lui arrivera de ce point de vue et qu’il pourra continuer à se calfeutrer dans sa maison, avec sa famille, et donner des mots d’ordre que vont exécuter à la lettre des hordes de militants. »
On sent la haine, une haine sourde à travers tous ses mots et expressions. Ainsi donc pour lui, Ousmane Sonko est manifestement coupable et le glaive de la justice devrait lui tomber lourdement dessus. Mais il craignait que peut-être rien ne lui arriverait et il « pourra continuer à se calfeutrer dans sa maison, avec sa famille, et donner des mots d’ordre que vont exécuter à la lettre des hordes de militants ». Il faudrait alors envisager un autre moyen qui est tout trouvé dans le « Lundi » de l’ancien « ami » du vieux président-politicien Wade. Voici comment il développe le moyen, la stratégie : « (…) Au terme de son instruction, le juge Samba Sall pourrait décider d’un non-lieu, s’il trouvait les charges insuffisantes et une telle décision laisserait la latitude aux parties d’user de leurs droits de recours judiciaires. A l’inverse, il pourrait décider du renvoi devant le Tribunal correctionnel. La perspective d’un procès public semble être fortement redoutée par Ousmane Sonko qui manifestement ne souhaiterait pas voir étaler sur la place publique le récit de ses contacts intimes avec la dame AdjiSarr dans cette sorte de lupanar qu’est le salon ’’Sweet Beauté’’. Aussi, certaines fuites dans la presse de l’audition par le juge d’instruction de la dame Adji Sarr révèlent des faits et actes sexuels qui ne manqueraient pas d’avoir un impact on ne peut plus négatif sur la moralité de Ousmane Sonko, qui a quelque part travaillé à asseoir une image immaculée de ‘’musulman modèle’’. On peut se demander si certaines révélations circonstanciées devant le public ne terniraient pas l’image de ce leader politique, plus que ne le ferait une condamnation pénale. Même s’il sortait d’un procès avec une relaxe, Ousmane Sonko n’y laisserait pas moins de grosses éclaboussures sur sa réputation ».
C’est terrible, c’est énorme, c’est au moins clair comme l’eau de roche. Comment peut-on haïr à ce point un compatriote et le présenter comme coupable de tous les faits qui lui sont reprochés, alors qu’il n’est pas encore jugé ? Ce n’était donc plus un secret pour personne : Madiambal Diagne était manifestement dans la logique, la dynamique du message de l’avocate et l’est encore aujourd’hui, en première ligne : avec lui, il faut « ternir l’image de ce leader politique, plus que ne le ferait une condamnation pénale » et faire de sorte qu’il laisse dans l’affaire de « grosses éclaboussures sur sa réputation ». Le coup d’envoi de la campagne de dénigrements était donc ainsi donné et le mercredi 17 mars 2021, la présumée victime « sortait enfin de son silence », de la manière que tout le monde se rappelle. Ce théâtre organisé par son tonitruant avocat avec un scénario mal assimilé, a été largement commenté et je ne m’y appesantirai pas.
Dès le lendemain, le 18 mars, les femmes de Bennoo Bokk Yaakar et celles de « Macky 2012 »[[3]]url:#_ftn3 sortaient, elles aussi, de leur mutisme. Aminata Mbengue Ndiaye du Pati socialiste et ses camarades souhaitaient que l’affaire « soit élucidée », « que la justice fasse son travail pour l’éclatement et la manifestation de la vérité ». Leurs camarades de « Macky 2012 » n’étaient pas en reste : elles aussi entrèrent en scène et demandèrent à Ousmane Sonko de jurer, comme l’y invitait la « plaignante », qu’il n’a jamais eu de rapports sexuels avec elle[[4]]url:#_ftn4 . Le lendemain 19 mars, le président-politicien et ses alliés se retrouvaient au palais de la République devenu le palais de la dynastie Faye-Sall et de son clan. Ils condamnaient les violences de toutes sortes et « la volonté avérée de subversion de la République, de renversement de notre système démocratique acquis de haute lutte, legs de générations d’hommes et de femmes qui ont consenti d’énormes sacrifices pour sa réalisation ». Ils ajoutaient que « ces agissements indiquent très clairement que notre pays est devenu une cible du fait de la découverte des ressources naturelles comme le pétrole et le gaz et qu’il constitue un dernier verrou du terrorisme pour accéder à l’océan ». Ils ne comprenaient vraiment rien ou faisaient semblant de ne rien comprendre.
En tous les cas, un an après, jour pour jour, la campagne de dénigrement continue de plus belle. Les membres de la Coalition Bennoo Bokk Yaakaar et tous les autres gardiens jaloux du statu quo ne perdaient aucune occasion pour remettre sur la table cette affaire de viol, que ce soit devant les micros de radio, sur les plateaux de télévision ou dans leurs écrits. Naturellement, pour leur survie, il ne faut point qu’après février-mars 2024, un compatriote qui ne soit pas sorti de leurs rangs soit élu président de la République. Il ne faut surtout pas que ce soit un Ousmane Sonko. Ils sont conscients des énormes dégâts qui se sont accumulés pendant leur longue gouvernance meurtrie, celle du « père » comme celle du « fils ». Ils craignent comme la peste que leur gestion scandaleuse soit fouinée. Donc, il faut continuer de charger Ousmane Sonko, de lui opposer toujours cette sordide affaire de viol. Il faut qu’ils réussissent avec lui, ce qu’ils avaient réussi avec Ababacar Khalifa Sall. Si ce dernier s’était présenté à l’élection présidentielle de février 2019, le président-politicien serait contraint au second tour et serait sûrement battu[[5]]url:#_ftn5 . Donc, ils ne veulent courir aucun risque : tout candidat susceptible de leur créer des problèmes en février 2024, devrait être purement et simplement éliminé, et par tous les moyens.
Ousmane Sonko est, pour le moment tout au moins, ce candidat-là. Donc, il faut qu’il disparaisse, et le président-politicien et ses « ouailles » y travaillent de toutes leurs forces. Malheureusement, même une certaine presse (nationale) est de la partie. Je ne m’y attarderai pas outre-mesure. Je signale seulement qu’un certain animateur d’une émission très écoutée d’une télévision privée est incapable de dissimuler la franche hostilité qu’il a contre le leader de Pastef. Naturellement, c’est son droit de ne pas l’avoir dans son cœur. Cependant, qu’il n’oublie pas qu’il anime une émission qui doit garder la neutralité !
Ce serait moins grave si c’était cette seule certaine presse nationale qui jouait sa partition cette volonté farouche d’éliminer coûte que coûte Ousmane Sonko. Contre toute attente, à la grande surprise de beaucoup de nos compatriotes, à la mienne tout au moins, deux médias français et un autre, celui-là franco-africain, si je peux l’appeler ainsi, entrent dans la danse. Il s’agit, naturellement, du quotidien Le Monde, de l’hebdomadaire Jeune Afrique et de Radio France Internationale (RFI). De quoi je me mêle, pourrait-on être tenté de dire ? Ils peuvent, ils ont bien le droit. Cependant, le contexte choisi peut susciter des questions, comme le fait que tous les trois se soient jetés sur l’affaire en même temps. Arrêtons-nous un peu sur leurs titres respectifs !
1 - Le Monde Afrique :
«Il me répétait que personne ne me croirait » : Adji Sarr, la paria de Dakar qui accuse de viols un opposant au pouvoir.
2 – Jeune Afrique :
Sénégal – Adji Sarr : « Comment Ousmane Sonko a détruit ma vie ».
3 – Radio France internationale (RFI) :
Adji Sarr (Sénégal) : «Je ne veux rien d’autre qu’un procès».
Une certaine Coumba Kane (Dakar, envoyée spéciale) et un certain Théa Ollivier (Dakar, correspondance) du quotidien Le Monde introduisent ainsi leur texte : « La femme la plus haïe [[6]]url:#_ftn6 du Sénégal est arrivée sur la pointe des pieds, dans un lieu tenu secret à Dakar. Les traits tirés, vêtue d’une longue djellaba noire et d’un léger foulard mauve, son entrée tout en sobriété dans la pièce tranche avec le vacarme que suscite la simple évocation de son nom ».
Et Jeune Afrique d’introduire, à son tour : « Dans la pénombre du salon aux rideaux tirés, la jeune femme entre sans un mot. Avant de prendre la parole, il lui faut terminer d’égrener son chapelet. Voile noir sur tunique noire, Adji Sarr apparaît de la même manière qu’elle s’était révélée aux yeux des Sénégalais en mars 2021, il y a un an de ça. Pieuse, discrète, presque effacée. Mais déterminée. »
Le Monde Afrique nous présente donc cette « femme la plus haïe du Sénégal les traits tirés, vêtue d’une longue djellaba noire et d’un léger foulard mauve ». Jeune Afrique va plus loin en insistant sur ce qu’il considère comme sa piété : « Avant de prendre la parole, il lui faut terminer d’égrener son chapelet. » Elle la qualifie même de « Pieuse, discrète, presque effacée ».
Les deux médias nous présentent donc une Adji Sarr qui est à mille lieues de celle que nous connaissons, du moins celle que nous présentent les médias sénégalais, ses frères, ses cousins, ses différents employés. La longue djellaba, le foulard, la tunique noire n’y changent rien. Nos amis poussent le bouchon jusqu’à nous la présenter comme « pieuse, discrète, presque effacée »Passe encore qu’elle soit discrète et effacée, mais qu’on nous la présente comme pieuse, cela pose sérieusement problème ! Loin de moi l’idée de douter de cette prétendue piété. Ce qui me pose problème, c’est que nos « amis », au détour d’une interview, découvrent que cette fille qu’ils voient sûrement pour la première fois est pieuse. La piété s’affiche-t-elle sur le front ?
En tout cas, nous qui avons vu plusieurs fois cette jeune fille dans des tenues indécentes à travers les réseaux sociaux, nous abstiendrons de nous prononcer sur cette prétendue piété.Ensuite, quand elle répond d’une certaine manière à certaines questions, nous avons encore des problèmes. C’est le cas quand elle répond ceci à une question : « Je ne dormais pas, je ne mangeais pas… J’avais tout le temps peur ; même en allant à la douche, je portais mes habits par peur d’être attaquée. » Ou encore quand elle apporte cette autre réponse : « Je prends des médocs pour dormir tout le temps, parfois je prends des médocs mais je ne dors pas. Je me drogue pour dormir. Tout le temps, j’ai peur que les gens viennent m’attaquer durant mon sommeil ».
Nous l’avons aussi entendue dire, au cours d’une de ses sorties périodiques, qu’elle vivait dans la dèche et n’avait même pas de quoi acheter des slips et des effets de toilette. Elle a même révélé avoir tenté plus d’une fois de se suicider. Cette AdjiSarr-là n’a vraiment rien à voir avec cette fille ravissante et dégageant un air de belle vie, d’une très belle vie que les trois médias, de concert, nous ont présentée. Á moins qu’elle n’ait été auparavant prise en charge, requinquée et carrément transformée après un long passage dans un salon de luxe.
Il serait encore plus intéressant de passer en revue ses nombreuses « réponses » aux questions manifestement sur mesure qui lui étaient posées. Nous connaissons quand même Adji Sarr. Je la respecte et ne peux pas me permettre d’insister sur ses limites objectives. Je renvoie le lecteur intéressé à ses différentes « réponses ». En attendant, arrêtons-nous sur trois d’entre elles !
1 - Est-ce que vous avez une aide ?
« Non, rien du tout. J’aimerais que quelqu’un m’aide pour que ça s’arrête parce que jusqu’à présent je ne dors pas. Dans ce pays, il n’y a que le pouvoir qui marche. Si tu n’as pas d’argent et si tu n’as pas de pouvoir, tu n’es pas considérée. La justice est à double vitesse ».
« La justice est à double vitesse ! », dit Adji Sarr ! Et elle ajoutera que dans ce pays le Sénégal, tout le monde a peur de Ousmane Sonko : le président de la République, la justice, les associations de femmes, etc.
2 - Ousmane Sonko a été élu à la tête de la mairie de Ziguinchor, qu'en pensez-vous ?
« Je n’ai pas dormi, j’ai pleuré toute la nuit parce que c’est incroyable. Quelqu’un qu’on a accusé de viol et qui devient maire… alors qu’avant d’être accusé de viol, il n’était rien du tout seulement un simple député. On l’accuse de viol et il en a profité pour en faire un dossier politique ! Ce qui me fait le plus peur, c’est qu’il a de plus en plus de pouvoir ».
Donc, elle a été déçue et a pleuré toute la nuit parce que pour elle, Ousmane Sonko, en tous les cas, ne pouvait pas être élu. Si nos trois médias continuent de l’interviewer, elle deviendra sûrement une excellente observateure politique.
3 -Comment imaginez-vous votre futur au Sénégal ?
« Je n’y pense même pas. Je pense partir et revenir en force pour régler beaucoup de choses. Au Sénégal, les femmes combattent les femmes. Ce que j’ai vécu, je ne veux plus qu’aucune femme ne le vive ».
Adji Sarr qui pense partir et revenir en force pour régler beaucoup de problèmes au Sénégal ! Il lui faudra alors beaucoup de temps passés à l’extérieur et son retour pourrait ne pas trouver en vie des gens de mon âge.
Compte tenu donc de tout ce qui précède, je suis tenté de poser à nos « amis » ces questions-là : Qui les a menés jusqu’à Adji Sarr la pieuse ? Par quels moyens ? Dans quel salon l’ont-ils transformée ? Avec l’aide de qui ? Quels objectifs visaient-ils vraiment ?Ils ne me répondront sûrement pas car, me rétorqueront-ils, ils sont dans leur travail. En tout cas, s’’ils veulent nous faire croire que leur seule préoccupation était d’informer juste, vrai, en toute objectivité et sans quelque arrière-pensée que ce soit, ils se trompent lourdement. Nous serions vraiment des moins que rien, des gens qui ne comprennent rien, si nous les croyions si facilement. Sans doute existe-t-il parmi nous des hommes et des femmes qui sont de cette catégorie, mais ils sont de moins en nombreux.
Nos « amis » de ces trois médias ne sont quand même pas des journalistes nés de la dernière pluie : ils savent bien faire la part des choses, bien distinguer la bonne graine de l’ivraie. Ils savent que le seul délit retenu contre Ousmane Sonko est celui-ci : « Viols répétés avec armes à feu et menaces de mort ». Viols trois, quatre, cinq fois répétés dans un salon où il y a toujours, à côté, la propriétaire, son époux, les enfants et les domestiques ! Comment cette pieuse Adji Sarr a-t-elle pu garder le silence et subir ce « supplice » pendant une aussi longue période ? Comment a-t-elle pu, au cinquième « viol », attendre patiemment son « violeur » qui lui avait pourtant annoncé son arrivée par message écrit ? Ce jour-là, après avoir fait son travail avec une autre employée du salon, elle lui a demandé de sortir et de se retrouver seule avec son « violeur ». C’est le lendemain de ce cinquième « viol » qu’elle va enfin se décider à porter plainte, encadrée d’un « ami » bien connu pour sa proximité avec l’Alliance pour la république (APR) et Bennoo Bokk Yaakaar du président-politicien.
Je n’ai rien inventé ici : c’est la pieuse Adji Sarr qui a fait elle-même ces révélations, notamment au cours de son audition à la Brigade de Recherches de la Gendarmerie de Colobane, lors de ses nombreuses sorties dans les réseaux sociaux comme de l’émission organisée par son tonitruant avocat, avec l’aide d’un site de la place. Nous nous demandons donc quelle mouche a dû piquer nos « amis » des trois médias qui, en tant que professionnels émérites, ont ignoré toutes ces réalités, y compris le certificat médical délivré par un gynécologue, pour se lancer aussi facilement dans leur croisade contre Ousmane Sonko.
Des observateurs de plus en plus nombreux avancent l’hypothèse que tout serait parti de son installation officielle comme Maire de Ziguinchor et, surtout, des premières décisions qu’il a prises lors de la réunion du premier conseil municipal : celles de débaptiser cinq rues de la ville qui portaient des noms de Français parmi lesquels des militaires qui nous ont fait la guerre, nous ont tués sans épargner nos bétails, brûlé nos maisons et nos greniers, pillé nos ressources et fait de nous des esclaves . Cette « débaptisation »a été largement commentée et souvent de façon tendancieuse par les gardiens jaloux du statu quo et par d’autres qui y ont vu déjà une sorte de « défrancisation » Et les plus radicaux de sauter sur cette occasion pour tenter de faire peur et d’éloigner les électeurs du candidat Ousmane Sonko.
Le Monde, Jeune Afrique et Radio France internationale ont-ils attrapé la même peur pour lancer leur croisade contre le président de Pastef, à travers leurs « interviews » de la très pieuse Adji Sarr, dont tout indique qu’elles sont concertées et minutieusement préparées ? Si c’était vraiment le cas, ils perdraient leur temps à vouloir arrêter coûte que coûte la marche de l’histoire. Nous ne sommes quand même plus au temps du sinistre Jacques Foccart et de sa détestable françafrique, responsable de tant d’odieux crimes en Afrique. C’est, en tout cas, ma profonde conviction, même si je peux me tromper.
[[1]]:On la présenterait même comme son épouse ou son ex-épouse. Est-ce vrai ? Je n’en sais rien.
[[2]]:M. Diagne est à la tête d’un groupe de presse. Dans son journal Le Quotidien, il publie tous les lundis une chronique qu’il appelle « Lundi de Madiambal Diagne ». Ces chroniques sont souvent l’occasion pour lui de remonter en surface cette affaire dite Adi Sarr et de tirer copieusement sur celui qu’il accuse sans porter de gants de l’avoir violée.
[[3]]: La coalition qui a porté la candidature de Macky Sall au premier tour de l’élection présidentielle de 2012
[[4]] On ne parle plus de « viols répétés avec armes à feu et menaces de mort ». On parle désormais de « rapports sexuels »
[[5]] C’est lui a dit très tôt, dès le début de son premier mandat, qu’il mettrait tout en œuvre pour éviter un deuxième tour car, selon lui, tout candidat sortant en Afrique contraint au second tour sera battu.
[[6] Sur quelle étude se sont-ils fondés pour décréter qu’Adji Sarr est la femme la plus haïe du Sénégal ?
MAME ABY SEYE PREND LES RENES DE LA DER
Vingt-quatre heures après le limogeage de Pape Amadou Sarr, le Président Macky Sall lui a trouvé un successeur. Il s’agit de Mame Aby Seye, qui dirigeait jusque-là le Fonds de Financement de la Formation Professionnelle et Technique (3FPT).
Vingt-quatre heures après le limogeage de Pape Amadou Sarr, le Président Macky Sall lui a trouvé un successeur. Il s’agit de Mame Aby Seye, qui dirigeait jusque-là le Fonds de Financement de la Formation Professionnelle et Technique (3FPT).
La nouvelle patronne de la Délégation générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (Der/Fj) est diplômée d’un DESS en urbanisme aménagement avec comme option le management public urbain à l’Institut Français d’Urbanisme et d’un Doctorat en sociologie anthropologie à l’Université de Caen Basse Normandie.
Elle a notamment travaillé à la Caisse des Dépôts et Consignations comme chef de projet de 2015 à 2017 et chef de la division du Développement Territorial de 2017 à 2019.
Elle a également été chargée de clientèle à Orange France de 1998 à 2003 ou encore chargée de programme à Enda Tiers-Monde en 2005.
La nouvelle patronne de la Délégation générale à l’Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (Der/Fj) est diplômée d’un DESS en urbanisme aménagement avec comme option le management public urbain à l’Institut Français d’Urbanisme et d’un Doctorat en sociologie anthropologie à l’Université de Caen Basse Normandie.
Elle a notamment travaillé à la Caisse des Dépôts et Consignations comme chef de projet de 2015 à 2017 et chef de la division du Développement Territorial de 2017 à 2019.
Elle a également été chargée de clientèle à Orange France de 1998 à 2003 ou encore chargée de programme à Enda Tiers-Monde en 2005.