L’information est de Abdou Ndéné Sall, Directeur général de la Sen-Ter. De même, il renseigne que le trajet sera scindé en deux zones. « Le prix de Dakar jusqu’à Thiaroye sera de 600 francs CFA et jusqu’à Diamniadio il sera de 1200 francs CFA ».
L’information est de Abdou Ndéné Sall, Directeur général de la Sen-Ter. De même, il renseigne que le trajet sera scindé en deux zones. « Le prix de Dakar jusqu’à Thiaroye sera de 600 francs CFA et jusqu’à Diamniadio il sera de 1200 francs CFA ».
Il indique que le président a subventionné le prix « pour que le Ter soit un Ter populaire, un Train Express de Dakar avec un tarif moins cher que celui des autres transports publics ».
PIKINE, 1500 PERSONNES PRISES EN CHARGE POUR LA CATARACTE
L’organisation non gouvernementale Direct Aid offre un traitement gratuit de la cataracte, à Pikine, avec l’objectif d’en faire bénéficier 1.500 personnes, a appris l’APS vendredi de son chargé de mission, El Hadji Sall.
Pikine, 15 oct (APS) – L’organisation non gouvernementale Direct Aid offre un traitement gratuit de la cataracte, à Pikine, avec l’objectif d’en faire bénéficier 1.500 personnes, a appris l’APS vendredi de son chargé de mission, El Hadji Sall.
Les consultations, le traitement et la distribution des médicaments à titre gratuit ont démarré mercredi à l’hôpital de Pikine.
‘’Notre objectif, à l’hôpital de Pikine, est d’opérer 1.500 personnes atteintes de la cataracte’’, a-t-il déclaré à la fin d’une visite rendue aux ophtalmologues et aux patients.
Selon El Hadji Sall, les consultations médicales se poursuivront jusqu’à dimanche, à Pikine. D’autres consultations auront lieu à Ziguinchor, à partir de mardi. Elles prendront fin le 24 octobre.
‘’Nous consultons d’abord, procédons à toutes les étapes nécessaires. Au besoin, nous procédons à l’opération de la cataracte et offrons des médicaments aux malades. Nous assurons aussi un suivi médical des malades que nous opérons’’, a dit le responsable de Direct Aid.
Selon M. Sall, cette organisation a signé un protocole d’accord, depuis sept ans, avec le ministère de la Santé et de l’Action sociale, pour offrir des soins contre la cataracte, avec l’aide d’ophtalmologues sénégalais et étrangers.
‘’Ce sont des actions de bienfaisance que nous saluons. C’est des occasions rares. A l’hôpital, on m’a demandé 70.000 francs CFA. Ici, c’est gratuit. Nous en profitons et saluons l’initiative. Ma cataracte a été opérée gratuitement’’, s’est réjoui Abdoulaye Diouf, l’un des bénéficiaires.
‘’Je vois très bien depuis que l’opération a été faite. J’ai été opéré des deux yeux. Les initiatives comme celle-là sont à rééditer’’, a ajouté M. Diouf, un professeur de collège encore en activité.
Rokhaya Guèye, une habitante de Thiaroye, ne cesse de louer la générosité de Direct Aid. ‘’Je suis allée me soigner dans plusieurs hôpitaux avant d’être informée de ces consultations médicales gratuites. Je me suis précipitée pour venir. Là je me sens très bien’’, a-t-elle dit à l’APS, rappellant qu’elle souffrait de troubles de la vision depuis un an.
MAME MBAYE NIANG RIVALISE POUR LA MAIRIE DE DAKAR
Déclinant son ambition de devenir l’édile de la capitale, le ministre-chef de cabinet du chef de l’Etat, Mame Mbaye Niang, n’a pas manqué d’exprimer sa confiance et de jeter des pierres dans le jardin de ses adversaires
Déclinant son ambition de devenir l’édile de la capitale, le ministre-chef de cabinet du chef de l’Etat, Mame Mbaye Niang, n’a pas manqué d’exprimer sa confiance et de jeter des pierres dans le jardin de ses adversaires, n’épargnant même pas ceux qui rivalisent pour ce fauteuil au sein de Benno bokk yaakaar.
La bataille pour le contrôle de Dakar risque d’être âpre au sein de Benno bokk yaakaar (Bby) aux prochaines Locales de janvier 2022. Après Abdoulaye Diouf Sarr, ministre de la Santé, l’ancien ministre des Finances, Amadou Bâ, c’est au tour du ministre-chef de cabinet du chef de l’Etat, Mame Mbaye Niang, de décliner son ambition de diriger la Ville de Dakar. Réaffirmant cette volonté, l’ancien ministre de la Jeunesse n’a pas manqué de jeter des pierres dans le jardin de ceux qui cherchent à être maire pour un but bien précis. «Il y a ceux qui veulent être maire parce qu’ils veulent être président. Il y a ceux qui veulent être maire pour pouvoir se mettre dans une posture de s’opposer au pouvoir. C’est leur droit le plus absolu. Par contre pour nous, l’ambition de vouloir être maire se situe dans une volonté de faire bouger les choses, de les changer. Nous voulons être maire pour changer le visage de notre localité», déclare l’ancien ministre de la Jeunesse, qui intervenait hier en marge d’une cérémonie de remise de plus de 500 bourses d’études offertes aux élèves des 19 communes de Dakar par le chef du cabinet du président de la République en collaboration avec ses partenaires.
«Si on gère la mairie et qu’on ne soit pas en phase avec l’Administration, cela ne mène nulle part. Si on gère la mairie et qu’on soit Président, on n’aura pas le temps de s’occuper de Dakar. On ne nous prenait pas au sérieux, on disait qu’on n’allait même pas présenter un programme. Nous avons défini la manière avec laquelle nous comptons faire passer Dakar d’une étape à une autre. Cela n’a pas été le fruit d’un travail élaboré en un mois mais en un an. Et nos collaborateurs l’ont validé», se targue Mame Mbaye Niang, qui dit avoir été «investi par ses partisans» en se gardant d’évoquer la coalition Benno bokk yaakaar (Bby) sous la bannière de laquelle devrait se présenter la tête de liste de la coalition présidentielle pour aller à la conquête de la capitale sénégalaise et d’un éventuel dépôt de la caution de 15 millions de francs exigée aux candidats en vue des prochaines Locales.
S’adressant à la jeunesse sénégalaise en lui disant que c’est elle qui incarne l’avenir du pays, le ministre Mame Mbaye Niang a invité celle-ci «à ne pas souscrire à la violence dans laquelle cherchent à l’embarquer certains acteurs politiques». «Celui qui veut vous diriger n’a qu’à vous dire ce qu’il compte faire. Refusez de verser dans la violence. Il faut «compétir» dans la dignité, le fair-play. Le débat se situe dans le bilan. Demandez-leur leur bilan à ceux qui étaient là et qui cherchent à reconquérir les mairies», indique M. Niang.Déclinant son ambition de devenir l’édile de la capitale, le ministre-chef de cabinet du chef de l’Etat, Mame Mbaye Niang, n’a pas manqué d’exprimer sa confiance et de jeter des pierres dans le jardin de ses adversaires, n’épargnant même pas ceux qui rivalisent pour ce fauteuil au sein de Benno bokk yaakaar.
Par Amadou MBODJI – La bataille pour le contrôle de Dakar risque d’être âpre au sein de Benno bokk yaakaar (Bby) aux prochaines Locales de janvier 2022. Après Abdoulaye Diouf Sarr, ministre de la Santé, l’ancien ministre des Finances, Amadou Bâ, c’est au tour du ministre-chef de cabinet du chef de l’Etat, Mame Mbaye Niang, de décliner son ambition de diriger la Ville de Dakar. Réaffirmant cette volonté, l’ancien ministre de la Jeunesse n’a pas manqué de jeter des pierres dans le jardin de ceux qui cherchent à être maire pour un but bien précis. «Il y a ceux qui veulent être maire parce qu’ils veulent être président. Il y a ceux qui veulent être maire pour pouvoir se mettre dans une posture de s’opposer au pouvoir. C’est leur droit le plus absolu. Par contre pour nous, l’ambition de vouloir être maire se situe dans une volonté de faire bouger les choses, de les changer. Nous voulons être maire pour changer le visage de notre localité», déclare l’ancien ministre de la Jeunesse, qui intervenait hier en marge d’une cérémonie de remise de plus de 500 bourses d’études offertes aux élèves des 19 communes de Dakar par le chef du cabinet du président de la République en collaboration avec ses partenaires.
«Si on gère la mairie et qu’on ne soit pas en phase avec l’Administration, cela ne mène nulle part. Si on gère la mairie et qu’on soit Président, on n’aura pas le temps de s’occuper de Dakar. On ne nous prenait pas au sérieux, on disait qu’on n’allait même pas présenter un programme. Nous avons défini la manière avec laquelle nous comptons faire passer Dakar d’une étape à une autre. Cela n’a pas été le fruit d’un travail élaboré en un mois mais en un an. Et nos collaborateurs l’ont validé», se targue Mame Mbaye Niang, qui dit avoir été «investi par ses partisans» en se gardant d’évoquer la coalition Benno bokk yaakaar (Bby) sous la bannière de laquelle devrait se présenter la tête de liste de la coalition présidentielle pour aller à la conquête de la capitale sénégalaise et d’un éventuel dépôt de la caution de 15 millions de francs exigée aux candidats en vue des prochaines Locales.
S’adressant à la jeunesse sénégalaise en lui disant que c’est elle qui incarne l’avenir du pays, le ministre Mame Mbaye Niang a invité celle-ci «à ne pas souscrire à la violence dans laquelle cherchent à l’embarquer certains acteurs politiques». «Celui qui veut vous diriger n’a qu’à vous dire ce qu’il compte faire. Refusez de verser dans la violence. Il faut «compétir» dans la dignité, le fair-play. Le débat se situe dans le bilan. Demandez-leur leur bilan à ceux qui étaient là et qui cherchent à reconquérir les mairies», indique M. Niang.
SONKO- DOUDOU KA, BASSIROU DIOMAYE FAYE ENTRE DANS DANSE
Bassirou Diomaye Faye a pris la parole via son compte facebook et alerte sur les récents affrontements à Ziguinchor. Pour le lieutenant de Sonko, il s’agit d’une tentative d’assassinat contre le leader du pastef.
Bassirou Diomaye Faye a pris la parole via son compte facebook et alerte sur les récents affrontements à Ziguinchor. Pour le lieutenant de Sonko, il s’agit d’une tentative d’assassinat contre le leader du pastef.
Le 8 novembre 2020, j’avais reçu une alerte sur un complot portant sur une affaire de mœurs. Il était ourdi contre le Président Ousmane SONKO (PROS), en plein COVID, par ceux-là mêmes qui confinaient les Sénégalais dans moult interdictions
En vérité, c’était la Nième alerte du genre. Sur une période relativement longue d’ailleurs. Mais, dans le message du 08 novembre sus évoqué, le passage à l’acte semblait imminent.
Je m’en étais limité à en parler en privé, à qui de droit. Je sais aussi, que d’autres membres du COPIL avaient eux aussi reçu les mêmes alertes de sources différentes et qui ne se connaissent pas du tout.
La suite est connue. Bien qu’il ait longtemps fuité, le plan diabolique fut mis en œuvre. La fin justifiant les moyens, l’absence d’élégance démocratique du principal bénéficiaire des retombées attendues aidant et le Nemmeeku tour les ayant écervelés tous, ils n’en mesurèrent guère les conséquences dramatiques finalement vécues.
Depuis 72 heures, suite à l’agression du cortège du Président Sonko à Ziguinchor, des voix autorisées du renseignement m’ont fait comprendre que tout a été planifié.
J’ai voulu croire naïvement, comme bon nombre de mes compatriotes, que Doudou Ka cherchait à taper dans l’œil du chef pour espérer être récompensé d’une investiture disputée dans le camp du Benno Bokk Yakaar (BBY) dans cette ville. Mais, il n’en est rien. Absolument rien !
Les sources renseignent que Doudou Ka a été envoyé après que les commanditaires aient appris que Sonko séjourne en Casamance. S’il n’y avait pas de vol, il lui auraient affrété un jet privé, m'ont-elles dit. Je les prends très au sérieux. Surtout quand quelqu’un qui a quitté Yeumbeul prétend déloger le PROS dans une propriété privée, à Ziguinchor, où il rencontrait l’Unacois.
Pour cette fois, je prends la responsabilité d’alerter. À temps. Afin que nul n’en ignore. En interne, le parti prendra très certainement les dispositions idoines pour protéger le projet en protégeant son porte-étendard: le PROS.
Mes très chers,
Rappelez-vous, lors de son discours du 25 février 2021, veille de sa convocation par le juge d’instruction, le Président Sonko, alertait sur un empoisonnement par des moyens sophistiqués. Moi-même j’en avais déjà fait cas, lors de mon intervention, le 08 février 2021, dans « l’invité de MNF ».
Il n’y avait pas de hasard à cette alerte de notre part. L’information était sourcée « A premium » chez nous et donc très crédible.
L’attaque de Ziguinchor entre dans le même registre de la planification de l’exécution d’une décision prise en haut lieu, à savoir l’élimination physique du Président Ousmane SONKO, dans les conditions d’un affrontement généralisé rendant impossible l’identification des « professionnels » préposés à administrer le coup fatal.
Alors qu’il soit dit ici pour l’histoire, que si cela devait arriver ( Dieu nous en préserve et préserve le PROS), il ne sera question d’aucun hasard ou que sais-je encore pour une version officielle…
Lorsque le PROS a refusé, dans un premier temps de déférer à la convocation du juge, en raison d’une procédure irrégulière de levée de son immunité parlementaire, certains trouvèrent l’occasion de le cueillir trop belle pour couvrir un assassinat. Dieu merci, son sens de l’écoute et sa réceptivité ont fait foiré le macabre dessein.
Je rappelle que lorsque les attaques se sont multipliées contre Pastef à la veille de l’élection présidentielle de 2019, le comité de pilotage avait saisi le ministre de l’intérieur d’alors pour demander une protection pour le Président SONKO. Dans son zèle, le ministre de l’intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, avait opposé son refus, s’empressant même de publier sa réponse dans la presse.
Plus tard, en pleine campagne électorale, il a cherché avec la fumisterie qui le caractérise, à infiltrer le dispositif de sécurité du Candidat de la coalition SONKO PRÉSIDENT. Cette fois là refus catégorique de notre part.
Il est donc clair que Pastef ne pourra pas compter sur le gouvernement pour assurer la protection du Président SONKO ni pour poursuivre les auteurs des tentatives d’assassinat contre lui.
En effet, il est notoirement connu que l’impunité des membres et souteneurs de la mouvance présidentielle est érigée en règle depuis 2012.
Voilà pourquoi, les patriotes qui, dans les prochains jours, mois ou années, auront l’honneur, j’allais dire la lourde responsabilité d’accueillir le PROS devront veiller particulièrement à se constituer en bouclier sécuritaire dans ses apparitions publiques et ses réunions privées.
Ainsi iront les choses, jusqu’en 2024. Rappelons-nous que avons toujours su faire face. Des martyrs, le projet en compte déjà beaucoup. Hélas! Le Sénégal aurait aimé faire l’économie de toutes ces vies perdues. Et de beaucoup d’autres qui sont menacées aujourd’hui par des velléités affichées d’une troisième candidature mortifère.
En vérité, tant que Macky Sall, Président de l’Alliance pour la République restera convaincu que sa sécurité et celle de sa famille ne seront garanties, à la fin de ses fonctions de Président, en 2024, que par une élimination de SONKO de la course pour le fauteuil présidentiel, seules notre détermination et notre combativité pourront mettre ses plans en échec.
Ce qui s’est passé à Ziguinchor est une tentative d’assassinat. Ni plus ni moins. Et, ils reviendront à la charge. Inlassablement. Car, comme dirait l’autre, la bêtise insiste toujours. Donc Soyons prêts au don de soi et soyons alertes. InchAllah le PROS vivra longtemps et servira ce pays par la volonté du tout puissant et le suffrage des Sénégalais.
Bassirou Diomaye FAYE
Président des cadres patriotes _ Pastef Les Patriotes
PROGRAMME DES OBSEQUES DE JOSEPH KOTO
Décédé hier suite à un malaise cardiaque, Joseph Koto sera inhumé la semaine prochaine.
iGFM (Dakar) Décédé hier suite à un malaise cardiaque, Joseph Koto sera inhumé la semaine prochaine.
On en sait un peu plus sur les détails des obsèques de l'ancien sélectionneur des Lions du Sénégal. Selon une information parue dans le forum de l'ANPS (Association Nationale de la Presse Sportive), sur décision des parents et proches après concertation, "la levée du corps de Joseph Koto aura lieu le Mardi 19-10-2021 à la morgue de l'hôpital Fann. Elle sera suivie de la Messe à 11H00 ) l'Église Martyrs de l'Ouganda et de l'enterrement au Cimetière Saint Lazare à Dakar.
Pour rappel, Koto est l'entraîneur sénégalais le plus titré en sélections avec trois tournois de l'UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine). Hormis l'équipe A, il a également dirigé les sélections U20, U23 et locale.
CREPIN DIATTA TRAINE ENCORE SA BLESSURE
L’attaquant sénégalais de l’AS Monaco (élite française), Krépin Diatta, blessé lors du match de samedi dernier contre la Namibie (4-1), ne s’est pas encore rétabli et va manquer le match de son club contre Lyon, samedi, a appris l’APS de la presse françai
Dakar, 15 oct (APS) – L’attaquant sénégalais de l’AS Monaco (élite française), Krépin Diatta, blessé lors du match de samedi dernier contre la Namibie (4-1), ne s’est pas encore rétabli et va manquer le match de son club contre Lyon, samedi, a appris l’APS de la presse française.
Diatta, remplacé par Keita Baldé lors du match joué au stade Lat Dior de Thiès, n’avait pas foulé la pelouse de l’Orlando Stadium de Soweto (Afrique du Sud), contre la même équipe, pour la 4e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2022.
L’AS Monaco pourrait jouer contre Lyon sans Djibril Sidibé, Aleksandr Golovin, Cesc Fàbregas, Vito Mannone, qui sont tous à l’infirmerie.
Les internationaux français Sofiane Diop et Aurélien Tchouaméni, deux de ses joueurs, écopent d’une suspension.
Après un début de saison difficile, le club de Krépin Diatta, 6e de la Ligue 1 après neuf journées, a enchaîné les victoires contre Saint-Etienne (3-1), Clermont (3-1) et Bordeaux (3-0).
LE SYNDICAT MAISON ETALE LES TARES DE LA SEN'EAU
À la Sen’eau, la Direction générale et le Syndicat autonome des travailleurs des eaux du Sénégal (Sates / Sen’eau) n’accordent plus leur violon. Dans une déclaration rendue publique, les syndicalistes dénoncent une mauvaise gestion de l’entreprise…
À la Sen’eau, la Direction générale et le Syndicat autonome des travailleurs des eaux du Sénégal (Sates / Sen’eau) n’accordent plus leur violon. Dans une déclaration rendue publique, les syndicalistes dénoncent une mauvaise gestion de l’entreprise qui serait à l’origine de l’incapacité de Sen’Eau à garantir un service de qualité.
« Nous n’avons pas le droit de nous taire devant la mauvaise qualité de service, le manque de réactivité sur les réclamations clients, sur le recours incessant aux dérogations pour la qualité de l’eau, la cherté des factures tant décriée par les clients, le changement des compteurs, le tâtonnement dans la distribution des facteurs avec la rupture du contrat de la société Paps… ».
Sur leur note de dénonciation, le Sates/Sen’eau fustige également « la réorganisation dans les directions centrales qui n’obéit à aucune cohérence : nivellement par le bas, missions mal définies, une réforme mal conduite qui n’est pas comprise que par son initiateur ».
C’est ainsi qu’ils interpellent la direction générale et le Conseil d’administration à changer de voie et d’opter pour une réorganisation au niveau du traitement avec le respect du personnel et la « préservation de tous les acquis sociaux ».
L’USAID ANNONCE UN PROJET DE PLUS DE 31 MILLIARDS
L’USAID élabore un nouveau projet dans le domaine de la santé. Prévu pour une durée de 5 ans, ce projet sera financé à hauteur de 31,5 milliards de F CFA.
L’USAID élabore un nouveau projet dans le domaine de la santé. Prévu pour une durée de 5 ans, ce projet sera financé à hauteur de 31,5 milliards de F CFA. Dans un communiqué reçu à emedia.sn, l’agence américaine pour le développement international indique que ce projet vise à « renforcer les capacités du système de santé du Sénégal au niveau régional et des districts ».
L’USAID renseigne que le projet va couvrir cinq régions du Sénégal : Diourbel, Kédougou, Kolda, Sédhiou et Tambacounda. La subvention permettra d’améliorer la prise en charge du paludisme, ainsi que les services de santé maternelle et infantile, de planification familiale, de nutrition, d’eau, d’assainissement et d’hygiène.
« Le programme accordera également des subventions pour faciliter la mise en place de plans et d’activités au niveau des districts, et encourager le développement d’innovations locales et extensibles à même de transformer le système de santé du Sénégal », lit-on sur la note.
GAMOU 2021, LA POLICE INTECEPE 326 PERSONNES A MEDINA BAYE
Trois cent vingt-six personnes ont été interpellées pour diverses infractions dans le cadre des opérations de sécurisation de l’édition 2021 du gamou de Médina Baye
Trois cent vingt-six personnes ont été interpellées pour diverses infractions dans le cadre des opérations de sécurisation de l’édition 2021 du gamou de Médina Baye.
‘’Trois cent vingt-six individus ont été interpellés dans le cadre de la sécurisation du gamou de Médina Baye pour diverses infractions, que sont : (…) rixe sur la voie publique, agression, vol, vol avec effraction et nécessité d’enquête’’, a révélé le chargé de l’intérim du commissaire central de Kaolack, Balla Kébé.
Il s’exprimait en marge d’un point de presse, en présence du commandant du groupe opérationnel de Kaolack et du commandant du corps urbain de Kaolack.
Il a signalé à cette occasion que ‘’97 véhicules et 18 motos ont été immobilisés pour des infractions routières’’.
‘’Il s’agit des opérations de sécurisation qui avaient été démarrées depuis le mois de septembre par le commissariat central de Kaolack, renforcé par le groupe opérationnel de Kaolack’’, a expliqué le commissaire Balla Kébé, par ailleurs chef du service régional de sécurité publique.
Il a souligné qu’en perspective du gamou, ‘’un poste de police avancé a été mis en place à Médina Baye avec un détachement précurseur de 30 éléments’’.
‘’Pour le gamou proprement dit de Médina Baye, déclare-t-il, le dispositif de sécurisation sera de 800 fonctionnaires de police constitués par des éléments en tenue et des éléments en civil, notamment des éléments de la Palice judiciaire’’.