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5 juillet 2025
JE NE RÉPONDRAI PAS À LA CONVOCATION DE LA SR
Devant les journalistes, Ousmane Sonko a frontalement accusé le chef de l’État, Macky Sall, d’être derrière ce qu’il appelle « un complot odieux ». Pour lui, le pouvoir veut barrer la route à son projet de changer radicalement le Sénégal en 2024.
Ousmane Sonko n’ira pas répondre aux enquêteurs de la Section de recherches. Convoqué à la gendarmerie, ce lundi à 11 heures, le leader du parti Pastef ne compte pas se présenter. Du moins de son propre gré. Député à l’Assemblée nationale, visé par une plainte pour viol et menaces de mort, Sonko exige le respect de toute la procédure concernant la levée de son immunité parlementaire, avant de déférer à une quelconque convocation de la gendarmerie. Il l’a fait savoir, sur un ton assez ferme, ce dimanche, dans une déclaration faite depuis le siège de son parti. D’ailleurs, il compte lui-même déposer une plainte, dès demain, contre son accusatrice, Adji Sarr, une masseuse de 21 ans et ses complices.
UN COMPLIT OURDI PAR MACKY
Dans son allocution, celui qui fait les choux gras de la presse ces dernières 48 heures a donné goût de la suite de son combat judiciaire. Habillé en tenue beige, assorti d’un bonnet de la même, Sonko n’a rien perdu de sa verve.
Devant les journalistes, il a frontalement accusé le chef de l’État, Macky Sall, d’être derrière ce qu’il appelle « un complot odieux ». Pour lui, le pouvoir veut barrer la route à son projet de changer radicalement le Sénégal en 2024. Mais, dit-il, c’est peine perdue. Le leader du parti Pastef ne compte pas se laisser faire. « Ce complot ne passera pas. Cette fois, ils (les gens du pouvoir) ne vont pas s’en sortir facilement », a-t-il déclaré, avant d’appeler ses militants et sympathisants, tous les Sénégalais épris de justice, à faire face contre ce qu’il considère comme de l’arbitraire pour l’éliminer et empêcher la réalisation de son projet politique. « Si on veut éliminer un adversaire politique, on doit le faire sur le terrain politique et non sur le terrain judiciaire. La persécution des opposants doit cesser au Sénégal », a-t-il déclaré.
Revenant sur les faits, Ousmane Sonko confirme sa fréquentation du salon de massage en question. Mais, a-t-il précisé, ce sont pour des raisons thérapeutiques et sur conseil de son médecin. Des séances de massages, Sonko dit en recevoir depuis 2007, parce qu’il souffre d’une pathologie au niveau de son dos. Et avant de fréquenter le salon, il avait bien pris le soin de vérifier s’il était en règle. Ce qui est le cas, déclare-t-il.
Ousmane Sonko qui dénonce un complot politique appelle les Sénégalais, qui sont épris de justice, à la résistance.
VIDEO
LE FRÈRE DE LA PROPRIÉTAIRE DE "SWEET" SE PRONONCE
Dakarmatin a tendu le micro au grand frère de la propriétaire de "Sweet Beauty Spa" qui s'est exprimé sur l'accusation de viol dont fait l'objet Ousmane Sonko.
Le site internet Dakarmatin de Pape Alé Niang a tendu le micro au grand frère de la propriétaire de "Sweet Beauty Spa" qui s'est exprimé sur l'accusation de viol dont fait l'objet Ousmane Sonko.
271 NOUVELLES CONTAMINATIONS ET 7 DÉCÈS
Depuis le 2 mars 2020, le Sénégal a enregistré au total 28 760 cas positifs au coronavirus dont 682 décès, 23 559 guéris et 4 518 personnes encore sous traitement.
Dakar, 7 fév (APS) – Deux-cent-soixante-et-onze (271) personnes ont contracté la Covid-19 qui a également causé 07 décès au cours des dernières 24h, selon le ministère de la Santé et de l’Action sociale.
’’Sur 2298 tests réalisés, 271 sont revenus positifs, soit un taux de positivité de 11,79 %’’, a indiqué dimanche le ministère dans son bulletin quotidien sur l’évolution de la pandémie.
Ces nouvelles contaminations concernent 80 contacts suivis et 191 cas issus de la transmission communautaire recensés à Dakar et dans d’autres endroits du pays.
Sept (07) décès ont été enregistrés, samedi.
Le ministère a rapporté que 267 patients ont été contrôlés négatifs et déclarés guéris alors que 58 cas graves sont pris en charge dans les services de réanimation.
Depuis le 2 mars 2020, le Sénégal a enregistré au total 28 760 cas positifs au coronavirus dont 682 décès, 23 559 guéris et 4 518 personnes encore sous traitement.
CE N’EST PAS SONKO, MAIS PLUTÔT LA DÉMOCRATIE QUI EST VISÉ
Barthélémy Dias parle de l’affaire Ousmane Sonko. Le maire de la commune de Mermoz Sacré-Coeur défend le député de Pastef, accusé de viol et de menaces de mort.
Barthélémy Dias parle de l’affaire Ousmane Sonko. Le maire de la commune de Mermoz Sacré-Coeur défend le député de Pastef, accusé de viol et de menaces de mort. « A mon ami, à mon frère et allié politique, face à ces vulgaires comploteurs, que la sainte vierge Marie soit ton manteau protecteur, que le prophète Mohamad (Psl) soit à tes côtés tout au long de cette cabale et que Dieu te garde. Amen !!! », écrit Barthhélémy Dias.
Qui ajoute : « Au peuple sénégalais, particulièrement à la jeunesse sénégalaise, ce n’est pas Sonko, Khalifa ou Karim qui sont visés mais plutôt la démocratie, la République et la Nation qu’on cherche à museler et (à) étouffer. Nous avons le devoir et la responsabilité de nous mobiliser pour arrêter ces vermines qui ont décidé de parasiter notre avenir et celui de toute une Nation. A bientôt inchallah… ».
Ousmane Sonko est accusé de viol et menaces de mort par une masseuse. Adji Sarr, une jeune femme de 21 ans, employée au Salon Sweet Beauté. Le député est convoqué demain lundi à 10 heures à la Section de recherches de Colobane. Quant à la propriétaire du salon Sweet Beauté, elle, est placée en garde à vue pour des faits d’incitation à la débauche et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs.
LE FRANC CFA, MACRON ET LES AUTRES
Le franc CFA est indéfendable. Il y a pourtant des raisons de le défendre, avec audace, ou par omission. Emmanuel Macron s’est résigné à cette dernière option. Il n’est pas le seul
Les partisans du franc CFA ont mauvaise conscience. Ils savent qu’aucun des arguments en faveur de ce système monétaire n’a la puissance émotionnelle des objections qu’il suscite : le rejet du legs colonial, l’indépendance, le sang versé, la terre de nos pères, la fierté d’être qui nous sommes, sans l’aval de Bercy.
Dans l’ordre des idées indicibles, défendre le franc CFA dans sa configuration actuelle s’apparente à risquer la vie de soldats pour protéger des concessions pétrolières. Il faut le faire sans états d’âme, cela sauvera des vies : des pans entiers des budgets nationaux (santé, éducation) pourraient être réduits en raison des taxes et des redevances perdues, ou sacrifiés pour indemniser les majors pétrolières devant les cours arbitrales internationales. Certes, mais allez soutenir cet argument au carré d’armes du camp de Thiaroye…
Modération de l’inflation
Pourtant, cette monnaie commune, arrimée au franc français puis à l’euro, a contribué à la modération de l’inflation, particulièrement préjudiciable aux populations les plus démunies de nos pays.
Elle a posé des limites aux taux d’intérêts auxquels sont financés les États, les entreprises et les ménages. Que l’accès au crédit soit contraint par les faiblesses du système bancaire est un autre débat.
On lui doit en partie l’inédite unification de l’ordre juridique dans les pays ayant cette devise en commun : l’espace Ohada.
Enfin, la stabilité du CFA, si elle réduit les marges de manœuvre des Banques centrales, apporte plus de clarté aux investisseurs et aux commerçants, les rendant mieux à même d’anticiper la valeur de leur portefeuille et de leurs marchandises. Tout cela contribue à l’équilibre de la croissance économique de la zone, peut-être moins forte qu’ailleurs sur le continent, mais aussi moins volatile.
Par ailleurs, ce système monétaire a garanti – jusqu’à présent – l’unité des huit pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) avec des institutions fortes, dotées d’immenses pouvoirs autant financiers que politiques, comme l’ont démontré l’intervention de la BCEAO dans les conflits en Côte d’Ivoire en 2010-2011 et récemment au Mali.
Interrogé par l’auteur de ces lignes durant la campagne présidentielle de 2019, un porte-parole du candidat Ousmane Sonko, farouche partisan d’une « sortie du franc CFA », peinait à décrire ce qui se passerait si seul le Sénégal franchissait le pas, sans l’aval de la Côte d’Ivoire ou du Mali. Un tel scénario – pourtant plausible – n’avait semble-t-il même pas été imaginé…
La tactique et l’idéologie
Ces arguments ne sont ni déshonorants ni fallacieux, mais ils sont rarement avancés avec force par nos dirigeants, pour deux raisons.
La première est d’ordre tactique. Toute proposition en faveur du statu quo paraît par nature réactionnaire, donc inacceptable dans le contexte des pays africains. Privilégier la « préservation des grands équilibres économiques » face aux appels à la « révolution » quand la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté peut paraître « indécent ».
La deuxième est plus profonde et, pour ainsi dire, idéologique. Contrairement aux idées reçues, le camp pro-franc CFA rassemble des perdants, les renégats d’anciennes orthodoxies sur le rôle et la puissance de l’État dans le domaine économique. Qu’ils croient ou non en un « “État fort” dans les domaines “régaliens” », ils acceptent peu ou prou les limites de la puissance publique et ont fait le deuil des politiques interventionnistes d’antan.
Politiques d’austérité, néolibéralisme
La puissance publique peut encore investir dans des infrastructures et dans l’éducation, réduire parfois les aberrations les plus flagrantes du secteur privé, lutter contre la corruption – voire, à la rigueur, contre la pauvreté extrême –, gommer certaines « inefficiences » et « rigidités » du marché. Mais guère plus.
Auto-entrepreneuses ou directrices générales, comment les Sénégalaises ont-elles brisé le plafond de verre ? Contre quels freins, visibles ou invisibles, doivent-elles encore se battre en 2021 ?
Aux nombreux obstacles liés à leur genre, elles ont répondu par leurs compétences. Elles sont de plus en plus nombreuses à occuper les places jusque-là réservées aux hommes. Auto-entrepreneuses ou directrices générales, comment les Sénégalaises ont-elles brisé le plafond de verre ? Contre quels freins, visibles ou invisibles, doivent-elles encore se battre en 2021 ? Comment faire évoluer leur carrière ?
Avec nos invités :
Khady Boye Hanne, directrice générale de la BGFI-Sénégal
Seynabou Dia, présidente fondatrice de l’Agence de communication et de conseil Global Emergence Corporation et Global Mind Consulting Gabon, co-fondatrice de Action Africa Culture 55, une initiative pour contribuer au développement d’industries culturelles créatives
Safietou Seck, fondatrice de la marque de stylisme et de confection haut de gamme Sarayaa.
MAMADOU KOUMÉ QUITTE LE CESTI APRÈS 29 ANS DE SERVICE
Le journaliste, formateur, a quitté le Centre d’études des sciences et techniques de l’information, l’institut de formation en journalisme de l’Université Cheikh Anta Diop
Le journaliste, formateur, Mamadou Koumé, a quitté le Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI), l’institut de formation en journalisme de l’Université Cheikh Anta Diop, aprés 29 ans de service, a appris l’APS.
’’Mon contrat avec l’UCAD a expiré le 31 décembre, ce terme correspondait également avec ma volonté de décrocher exprimée depuis l’entame de l’année académique 2019-2020’’, a indiqué Dr Koumé dans une note dont l’APS a eu connaissance.
L’ancien Directeur des études du CESTI dit avoir déjà ’’eu l’occasion d’échanger sur le sujet avec quelques anciens Cestiens’’.
’’Pendant 38 ans, notre institution a rythmé ma vie. Trois ans comme étudiant, six ans pour obtenir un doctorat en France, avec une bourse offerte par la Coopération française (sur proposition du CESTI) et 29 ans comme formateur’’, a rappelé Koumé qui a dirigé l’Agence de presse sénégalaise (APS) de 2000 à 2010.
’’Contribuer à la formation de bon nombre d’entre vous a été un réel plaisir’’, a dit le formateur qui a été reporter au quotidien gouvernemental, Le Soleil pendant plusieurs années avant son départ pour des études doctorales en France.
Parlant de son parcours de formateur, Koumé qui a lancé avec feu Pape Diouf, l’hebdomadaire, le Sportif dans les années 90, a évoqué ’’un moment d’épanouissement’’ dans sa vie en participant à la formation de 29 promotions d’étudiants de 1991à 2020.
LA PROPRIÉTAIRE DU SALON DE "SWEET BEAUTÉ MASSAGE" EN GARDE À VUE
Elle est poursuivies pour des faits d’incitation à la débauche et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs.
24 heures après s’être exprimée sur les accusations portées par son ex (?) employée, Adji Sarr, sur l’homme politique Ousmane Sonko, la propriétaire du salon de massage "Sweet Beauté Massage" est placée en garde à vue à la Section de recherches de la Gendarmerie de Colobane, où une plainte pour viol et menaces de mort a été déposée contre l’opposant.
Dans un entretien accordé à Emedia.sn, la propriétaire de l’institut de bien-être a tenté de disculper Sonko tout en chargeant son employée qui serait, selon elle, engagée dans un complot pour salir la réputation de l’homme politique. Toutefois, celle qui a donné de fausses identités (elle s’appellerait N.K. Ndiaye et serait née à Kaolack plutôt qu’à Dakar comme elle l’indique dans l’entretien), est poursuivies pour des faits d’incitation à la débauche et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs. En effet, dans les annonces publicitaires faites sur les réseaux sociaux, le salon de massage ne se contenterait pas de proposer des offres de massage.
par Kippug wattu làkki réew mi
MULTIPLE PHOTOS
ÀND JUBAL MBIND MI !
EXCLUSIF SENEPLUS - Si l’orthographe du français est religieusement respectée, chacun écrit le wolof à sa manière, comme si la graphie de nos langues nationales ne repose sur aucune règle. Correction de quelques écrits "polluant" l'espace public
Kippug wattu làkki réew mi |
Publication 07/02/2021
Les initiateurs / Ñi sos KIPPUG WATTU LÀKKI RÉEW MI
Les personnalités qui se sont associées à la diffusion de ce document
Note introductive
On constate, depuis les années 2000, une heureuse tendance à la revalorisation de nos langues nationales dans la communication publique et politique. Le multilinguisme et la réappropriation de notre patrimoine linguistique se reflètent ainsi dans le paysage urbain et routier au Sénégal ainsi que dans l'univers médiatique. Les panneaux publicitaires, les titres des émissions télé, les noms de partis politiques… sont par exemple écrits en wolof, combiné souvent à du français.
Il est toutefois à déplorer que l’écriture pose encore beaucoup de problèmes. Si l’orthographe du français est religieusement respectée, chacun écrit le wolof à sa manière, en donnant à croire que la graphie de nos langues nationales ne repose sur aucune règle.
Rien n'est plus faux.
Le premier décret officiel sur l’écriture et la séparation des mots en wolof date en effet de 1971 et a fait l'objet de révisions successives en 1975, en 1985 et en 2005. La loi n° 77-55 régissant la transcription des langues nationales date, quant à elle, du 10 avril 1977 ; elle stipule en substance que les décrets relatifs à la transcription et à la séparation des mots respectivement en sérère et en wolof sont applicables et ont normalement valeur contraignante pour tout texte écrit dans ces langues et destiné à une diffusion publique.
Les infractions à ces réglementations peuvent être réprimées selon les dispositions des articles 2, 3 et 8 du code des contraventions…pour ceux qui auront contrevenu aux décrets pris par l’autorité administrative. Si à l’époque cette loi avait sans aucun doute des objectifs politiques, elle doit aujourd’hui pouvoir être mise au service d'objectifs linguistiques et éducatifs et remédier à cette anarchie dans la transcription de nos langues.
Il est malheureux de voir que des problèmes d'écriture des langues nationales subsistent après une cinquantaine d’années d’existence d’une orthographe officialisée et plus ou moins stable, en sus d’une loi réglementaire.
Cette écriture quasi systématiquement fautive crée un problème pour la promotion et la valorisation de nos langues et par ricochet, entame l’estime que nous devons avoir de nous-mêmes.
Kippug wattu làkki réew mi est un regroupement de femmes et d’hommes, militants des langues nationales qui veulent encourager les acteurs des médias, de tous les médias à valoriser davantage notre patrimoine linguistique et culturel en mettant à leur disposition leur expérience et leur expertise pour un set-setal de l’existant et à l’avenir, une graphie correcte de nos langues. Nous éviterons ainsi de parler de jaam « esclave » au lieu de jàmm « paix » quand, pour souhaiter la bienvenue aux voyageurs de l’AIBD, nous inscrivons sur les escaliers de débarquement « Dalal ak jaam» au lieu de « Dalal ak jàmm».
Kippug wattu làkki réew mi propose ci-dessous la correction de quelques écrits "polluant" l'espace public.
Mbind mi nu bëgg a jubal
I- AÉROPORT
Li ñu bind Li ñu waroon a bind
Dalal ak jaam Dalal ak jàmm
II- NOMS D’ÉMISSIONS DE TÉLÉVISIONS SÉNÉGALAISES
SEN TV
Li ñu bind Li ñu waroon a bind
Feem ci keur Feem ci kër
Guis-Guis Gis-Gis
Li ci rewmi Li ci réew mi
Ndoumbelane Ndumbelaan
Sama gokh Sama gox
Sen jotay Seen jotaay
Sen xeweul Seen xéewal
TFM
Li ñu bind Li ñu waroon a bind
Faram face Faramfàcce
Firi gent Firi gént
Jakaarloo bi Jàkkaarloo bi
Jánggat Jàngat
Jonganté Joŋante
Li ci penc mi Li ci pénc mi
Ngonal Ngoonal
Sama keur Sama kër
Wakhtane ak Waxtaan ak
Xalaas Xalaas
Ña woon demb Ña woon démb
Khew khewi dine dji Xew-xewi diine ji
Yeewu leen Yeewuleen
2STV
Li ñu bind Li ñu waroon a bind
Aarru mbed Aaru mbedd
Bantamba Kër gi
Pencci reew mi Pénci réew mi
WALF TV
Li ñu bind Li ñu waroon a bind
Selebe yoon Selebe-yoon
Diiné ak diamono Diine ak jamono
Weer ak werlé Wér ak wérle
Sandiogou Saanjóogu
RTS
Li ñu bind Li ñu waroon a bind
Njangatubesbi Njàngatu bés bi
Reeni koom koom Reeni koom-koom
Takussan Tàkkusaan
III- NOMS DE PARTIS OU MOUVEMENTS POLITIQUES
Li ñu bind Li ñu waroon a bind
Benno bokk yakaar Bennoo bokk yaakaar
Bess du niakk Bés du ñàkk
And Jef Ànd Jëf
And Défar Sénégal Ànd defar Sénégal (Senegaal)
Bloc des centristes Gaïndé Bloc des centristes Gaynde
CDP) Garab-GUI (CDP) Garab gi
Sénégal moo niou saff (FNP) Sénégal moo ñu saf (FNP)
Suxxali Reew Mi SuqaliRéew Mi
FAR / Yoonwi FAR/Yoon wi
Benno jubël (FSD/BJ) Bennoojubal (FSD/BJ)
GARAP / ADS GARAB / ADS
MPS / SELAL MPS / SELLAL
Ñiaxx Jariñu Ñaq jariñu
PSD/Jant-Bi PSD/Jant bi
Reenu Rew Reenu Réew
Rewmi Réew mi
UPAS/NiaxTeed UPAS/ÑaqTedd
UDF/Mboolomi UDF/Mbooloomi
Luy jot jotna Luy jot jot na
Pastef Patriotes du Sénégal Pastéef
IV- NOMS DE START-UP
Li ñu bind Li ñu waroon a bind
Aywadieune Aywa jën
BaySeddo Bay Séddoo
Etou nature Ëttunature
Jokalante Jokkalante
Jokko-annonces Jokkoo-annonces
Lifantou Liifantu
Manko Mànkoo
Ndiarte Njarte
Niokobok Ñoo ko bokk
Outalma Utal ma
SakanalSakkanal
Tew mou tew Teew mu teew
Tolbi Toolbi
Tong Tong Toŋ-toŋ
Wanter Wànteer
Xibar.net Xibaar.net
Yobanté Express YóbbanteExpress
Les corrections sur les panneaux publicitaires sont à retrouver en images d'illustration de cet texte.
Cette liste de corrections n’est pas exhaustive. Nous n’avons pas pu recenser l’ensemble des panneaux publicitaires, des noms d’émissions de télévision, de partis ou mouvements politiques et de start-up. D’autres campagnes vont, du reste, suivre très prochainement.
Cette campagne Ànd jubal mbind mi ! est une initiative du groupe Kippug wattu làkki réew mi ; elle fait suite à la campagne d’alphabétisation d’adultes intitulée Àllarbay làkki réew mi qui a été réalisée du 28 Octobre au 09 Décembre 2018, à l’IFAN Ch. A. Diop et à l’EBAD.
Kippug wattu làkki réew mi est ouvert aux remarques et suggestions et est prêt à répondre aux sollicitations (demandes de traduction, de graphie correcte…).
Conservateur de Bibliothèques, ancienne Administratrice générale de la Fondation UCAD, Dakar
Adjaratou Oumar Sall Diaw /Ajaratu Umar Sàll Jaw
Linguiste, à l’IFAN Ch. A. Diop, UCAD, Dakar
Ndèye Codou Fall/ Ndey Koddu Faal
Directrice de EJO-Éditions en langues nationales
Mamour Dramé / Maamur Daraame
Linguiste, FLSH, UCAD, Dakar
Boubacar Boris Diop / Bubakar Bóris Jóob
Écrivain, Directeur de Publication defuwaxu.com journal wolof en ligne
Babacar Diop / Baabakar dit Buuba Jóob
Historien, Département de Langues anciennes, FLSH, UCAD, Dakar
Mame Thierno Cissé / Maam Cerno Siise
Linguiste, Département de Linguistique, FLSH, UCAD, Dakar
Les personnalités suivantes se sont associées à la diffusion de ce document :
Cheik Aliou Ndao, Écrivain
Jean-Léopold Diouf, Linguiste, auteur d'un dictionnaire wolof-français / français-wolof
Aliou Ngoné Seck, Directeur du Centre de Linguistique appliquée de Dakar (UCAD-Dakar)
Mamadou Ndiaye Président de OSAD, maison d'édition en langues nationales
Mamadou Ly, Directeur de l’ONG ARED, éditions en langues nationales
Adramé Diakhaté Président de l’Union des Écrivains Sénégalais en Langues Nationales (UESLAN),
ColonelMoumar Guèye, Écrivain
Mamarame Seck, Chef du Laboratoire de Linguistique, IFAN Ch. A. Diop,
Pierre Sambou, Chef du Département de Linguistique, FLSH, UCAD
Mme Aissatou Sall Ndoye, Directrice de Vidéo Positive
UN BUREAU DÉDIÉ À L’ÉTAT-CIVIL OUVERT POUR LA DIASPORA SÉNÉGALAISE
Le bureau a été réceptionné par le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, Me Aïssata Tall Sall, en compagnie du Secrétaire d’Etat aux Sénégalais de l’Extérieur, Moïse Sarr.
Désormais, les difficultés liées à l’acquisition d’un état-civil pour les Sénégalais de l’extérieur seront un mauvais souvenir. Un bureau dédié aux dossiers administratifs tels que l’acte de naissance, les certificats de mariage ou de décès, a été ouvert pour les Sénégalais établis à l’étranger.
Le bureau a été réceptionné par le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur, Me Aïssata Tall Sall, en compagnie du Secrétaire d’Etat aux Sénégalais de l’Extérieur, Moïse Sarr.
Ce service, tant réclamé par la diaspora sénégalaise, va s’occuper de la diligence de ces papiers administratifs très importants pour les émigrés sénégalais. « On ne peut pas avoir un état-civil sans la structure matérielle qui doit le porter », renseigne Mme le ministre qui annonce dans la foulée que ce bureau sera aussi doté d’un service de traduction des documents reçus dans les différentes langues. « Tout est fait pour que les demandes de nos compatriotes soient traitées à temps », a-t-elle assuré.