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9 juin 2025
UNE RANDONNEE DE SENSIBILISATION ANTI-POLIO ORGANISÉE CE 19 OCTOBRE
Le Sénégal va célébrer la Journée mondiale contre la poliomyélite le 24 octobre prochain. En prélude à cet événement, une randonnée pédestre sera organisée ce samedi à la Place du souvenir africain pour une campagne de sensibilisation
Le Sénégal va célébrer la Journée mondiale contre la poliomyélite le 24 octobre prochain. En prélude à cet événement, une randonnée pédestre sera organisée ce samedi à la Place du souvenir africain. Une campagne de sensibilisation qui vise à éradiquer cette maladie.
Le 9 juin 2024, le chef de la Division surveillance et riposte vaccinale au ministère de la Santé et de l’action sociale, Docteur Boly Diop, annonçait, lors de la réunion de partage sur la situation épidémiologique de la poliomyélite au Sénégal, que la poliomyélite était de retour au Sénégal, avec 17 cas déjà notifiés. Et en prélude à la Journée mondiale de la poliomyélite qui sera célébrée le 24 octobre prochain, une randonnée pédestre sera organisée le samedi 19 octobre à la place du souvenir africain. Une occasion pour Rotary Club Sénégal qui est très engagé dans la lutte contre la poliomyélite et qui est l’initiateur de cette randonnée, de sensibiliser les populations sur cette maladie contagieuse, paralysante et souvent mortelle causée par le poliovirus. Selon cette organisation, pour en finir avec cette maladie, «chaque enfant doit pouvoir recevoir le vaccin nécessaire». Et pour y parvenir, poursuit la note, «un effort collectif global entre les dirigeants mondiaux, les organisations de la société civile, les travailleurs de la santé et les militants doit être privilégié, en particulier dans les crises humanitaires et les zones où l’hésitation à la vaccination est élevée».
Il faut noter qu’en octobre, à l’occasion de la Journée mondiale de la polio, les Rotary clubs du monde entier organiseront des collectes de fonds et des événements uniques afin de sensibiliser le public et recueillir des fonds essentiels pour le programme «En finir avec la polio». Et pour cette année encore, l’organisation s’est engagée à collecter 50 millions de dollars pour financer directement les efforts d’éradication. En effet, alerte cette organisation, «au cours de la prochaine décennie, si les efforts d’éradication de la polio sont interrompus, plus de 200 000 personnes par an pourraient être infectées, et présenter des symptômes de paralysie, de fatigue, de fièvre ou provoquer des décès».
LES LIONNES JOUERONT CONTRE LA TANZANIE ET LE MAROC
L’équipe nationale féminine de football du Sénégal va jouer deux matchs amicaux contre la Tanzanie et le Maroc, les 27 et 29 octobre, à Casablanca, a-t-on appris de la Fédération sénégalaise de football (FSF).
L’équipe nationale féminine de football du Sénégal va jouer deux matchs amicaux contre la Tanzanie et le Maroc, les 27 et 29 octobre, à Casablanca, a-t-on appris de la Fédération sénégalaise de football (FSF). Le match du Sénégal contre les Taifas Stars de la Tanzanie est prévu le 27 octobre à 17 h 00 GMT. L’équipe sénégalaise va ensuite rencontrer les Lionnes de l’Atlas, le 29 octobre, à partir de 19 h 00 GMT. En juillet dernier, le Sénégal a battu deux fois la République démocratique du Congo dans des matchs amicaux joués au stade Lat-Dior de Thiès.
Ces matchs amicaux font partie de la préparation de l’équipe sénégalaise pour la Coupe d’Afrique des nations (CAN) prévue du 5 au 26 juillet 2025 au Maroc. Les Lionnes prendront part à une phase finale de la CAN pour la troisième fois, après celles de 2012 en Guinée Équatoriale et de 2022 au Maroc. Lors de la dernière édition, en 2022, l’équipe sénégalaise avait été éliminée des quarts de finale par la Zambie, par 4 tirs au but à 2.
L’Afrique du Sud détient le trophée de la CAN féminine de football. La CAN 2024, initialement prévue en juin dernier, a été reportée en 2025 en raison du tournoi féminin de football des Jeux olympiques, qui s’était déroulé à Paris en juillet et août derniers. Douze équipes prendront part à la 15e édition de la compétition prévue au Maroc, lequel va accueillir la Coupe d’Afrique des nations féminine pour une deuxième fois. La Confédération africaine de football organise cette compétition depuis 1991.
Le Nigeria est la nation la plus titrée avec 11 trophées (1991, 1995, 1998, 2000, 2002, 2004, 2006, 2010, 2014, 2016 et 2018). La Guinée Équatoriale a remporté le trophée continental deux fois (2008 et 2012)
LES ASSURANCES DE LA DIRECTION DES BOURSES
La Direction des Bourses a démenti la rumeur de plus en plus insistante de la diminution du montant de la bourse des étudiants.
La Direction des Bourses a démenti la rumeur de plus en plus insistante de la diminution du montant de la bourse des étudiants. « Depuis un certain temps, une information devenue virale est distillée dans les réseaux sociaux arguant une diminution du montant de la bourse d'une part et, d'autre part, une absence totale de son paiement pour certains étudiants et ce, depuis 1 an. A ce propos, la Direction des Bourses tient à préciser que ces informations sont complètement fausses et dénuées de tout fondement », lit-on dans un communiqué rendu public hier, jeudi 17 octobre.
La même source ajoute : « La Direction des Bourses informe que les noms des étudiants inscrits avant le traitement des listes envoyées par leur université respective sont effectivement dans les états en cours de paiement. La vérification desdits états peut se faire aussi bien à la Direction des Bourses ou sur la plateforme dédiée www.directiondesbourses.sn.
En revanche, « une transmission tardive de listes d'étudiants inscrits n'est prise en charge que dans le prochain traitement des états »
A en croire la Direction des Bourses, elle n'a « aucune responsabilité sur les retards de transmission de listes d'étudiants inscrits, qui émanent des universités, encore moins sur les inscriptions tardives ». « Tout étudiant ayant droit à la bourse, qui s'inscrit à temps et figurant sur la liste que sa scolarité envoie à la Direction des Bourses avant les délais requis conformes au chronogramme de paiement, verra son nom dans les états de paiement actuels », rapporte le communiqué.
Selon la Direction des Bourses, « au regard de ce qui précède, le cas d'un étudiant resté un an sans bourse est possible si, celui-ci ne s'est pas acquitté de ses obligations préalables d'inscription dans son université sauf pour les étudiants qui bénéficient d'un renouvellement automatique au début de l'année pour les besoins du paiement de décembre ». Elle précise ainsi que « la vérité est que le paiement est progressif pour ce mois-ci, eu égard au montant global des paiements des bourses très élevé dans un contexte très particulier de fin de gestion des budgets ».
Allant plus loin, elle signale que « cette hausse du montant global de l'enveloppe des bourses est due au retard des inscriptions dans les universités ». « C'est pourquoi, beaucoup d'étudiants percevront ce mois-ci un rappel depuis octobre 2023 jusqu'au mois de septembre 2024 », nous dit-on.
CRUES DRAMATIQUES
Des centaines de familles sont déplacées, des infrastructures détruites, et des terres agricoles dévastées. Face à cette catastrophe d'une ampleur sans précédent, les populations locales sont dépassées
Depuis le début du mois d'août, les importantes quantités d'eaux tombées dans le Nord du Sénégal accouplées aux eaux de ruissellement et à la crue du fleuve Sénégal, ont plongé les populations du Dandé Maayoo (bord du fleuve en peul) dans une tragédie. Dans cette zone riveraine du fleuve Sénégal, des crues exceptionnelles, jamais enregistrées depuis soixante-dix (70) ans, ont détruit des centaines d’habitations en poussant des centaines de ménages à l’exil. Dans ce chaos infernal, où des infrastructures publiques ont été touchées et des routes englouties, des centaines d’hectares de périmètres agricoles ont été dévastés par les eaux…Une calamité pour les résidents de cette contrée fortement éprouvés qui sont dépassés par les événements. Sud Quotidien a fait une immersion dans les crues exceptionnelles du Dande Maayoo ou l’ampleur des dégâts frôle la tragédie.
Des écoles sous les eaux. Des populations des villages de Gourel Samba Ndama et de Mboyo, à une vingtaine de kilomètres de Podor, ont été évacuées par l’armée. Dans le Dandé Maayoo Sud, où les crues du fleuve Sénégal, qui a débordé de son lit, continuent de dicter la loi, la situation a franchi les dimensions d’une calamité, aux regards des nombreux dégâts qui ont été enregistrés.
Odobéré, Dolol, Thiemping, Thialy, Belly Dialo, et plus haut Lobaly, Sangué, et d’autres villages, il s’agit d’une situation inédite qui laisse perplexe. Sur le registre de la catastrophe, on décompte des dizaines de maisons inondées et abandonnées par les habitants, des vivres et des récoltes engloutis et plusieurs hectares de périmètres rizicoles dévastés. Dans le village de Lobaly, où de nuit comme de jour, les populations luttent farouchement contre l’avancée des eaux de crue, on n’est pas loin de jeter l’éponge, en levant les bras vers le ciel, pour implorer la clémence divine. A côté du chef de village, le jeune Ifra qui, comme tous les bras valides du village, même les femmes et les jeunes filles, déclare que, les habitants n’en peuvent plus. « On ne peut retenir le fleuve avec ses bras. Avec les sacs que nous avons reçus de la sous- préfecture, nous avons construit des diguettes pour freiner l’eau. Malheureusement, c’est peine perdue, car l’eau a trouvé un autre passage pour inonder le village ». Cette situation qui montre les limites des populations, face à l’avancée de la crue, prévaut aussi dans les autres localités impactées.
Dans le Nord du Dandé Maayo, la situation n'est guère enviable. Les eaux de crues qui ont inondé des habitations, des champs rizicoles et des infrastructures publiques, ont occasionné la coupure des routes, des bretelles et des pistes, plongeant du coup, beaucoup de localités de cet axe dans un enclavement pernicieux. Après l’engloutissement du pont d’Oréfondé par les eaux, il est difficile pour les populations de Dandé Maayo Nord de rallier la route nationale 2 via la voie terrestre.
La seule possibilité demeure la voie fluviale à partir des pirogues artisanales sans aucune norme sécuritaire. Les populations de Thiasky, celles des deux Ndiaffane, comme leurs voisins de Sinthiou Boumack, Sylla Worgo, Gababé pécheur, Dial pécheur et peul,Diongto, SyllaDjonto, Sinthiou Diam Dior, rencontrent d’énormes difficultés pour sortir de leur village. En effet, il faut désormais passer par deux étapes. Le passager doit d'abord prendre un véhicule pour aller à Diownguel (lieu d'embarcation) avant de reprendre une autre pirogue pour Oréfondé sur la nationale 2. Subséquemment, le prix du transport est passé du simple au double au grand dam des usagers qui doivent débourser environ 5000 frs pour se déplacer.
Dans les villages de Sylla, Ndiogto et Sinthiou Diamdior toujours envahis par les eaux, la détresse continue d’étreindre les habitants. Une catastrophe, de l’avis du chef de village de Sinthiou Diamdior qui déclare : « Cela fait presque 70 ans, qu’une pareille crue du fleuve a été enregistrée dans la zone. Après avoir lutté contre l’avancée des eaux, nous sommes épuisés car l’onde de crue a anéanti tous nos efforts ». Dans la contrée, on vit désormais avec les eaux qui ont tout envahi, faisant des villages de Diongto, Sylla et Sinthiou Diamdior, de grands lacs, où les populations se déplacent à bord de pirogue pour rallier leur concession à défaut de braver les eaux tumultueuses.
DESAGREMENTS AUSSI A KIDIRA ET PODOR
Plusieurs localités riveraines des fleuves Sénégal et Gambie tout comme de la Falémé dans la région de Tambacounda, continuent de subir les affres de la montée des cours d’eau. Pourrappel, à Balou, Kidira et Aroundou, « les eaux qui sont allées au-delà des berges ont envahi les habitations et les pistes plongeant ainsi les localités dans l’isolement total ». Le maire de Ballou, Cheikhna Camara, alertait que « Beaucoup de villages de la commune de Ballou à savoir : Golmy, Koughany, Yafera,Aroundou et le chef-lieu de commune, Ballou, et des quartiers de la commune de Kidira (Bakel) sont envahis par les eaux ».
Dans la commune de Ballou, où on n’a pas connu pareils débordements, depuis 1955, « le trop plein d’eau est à l’origine d’énormes dégâts et de sinistrés dans des villages, où les habitants se déplacent à bord de pirogue à défaut de patauger dans les eaux ».
Dans la commune de Kidira située à quelques kilomètres de la ville de Bakel (chef-lieu du département éponyme), c’est la Falémé, un principal affluent du fleuve Sénégal qui, sorti de son lit, a inondé plusieurs quartiers situés le long des berges, rendant du coup impraticable le tronçon routier Tambacounda- Kidira, de la RN1 .
EFFONDREMENT DE MAISONS EN BANCO FAIT TROIS MORTS ET DES BLESSÉS
Dans ce tumulte, le département de Podor n’est pas bien loti. Dans la circonscription, on dénombre déjà plusieurs localités qui sont fortement éprouvées. Les eaux fluviales ont envahi des périmètres agricoles et des concessions à Guéde village, poussant ainsi des familles entières à abandonner leurs habitations.
Dans la commune de Madina Ndiathbe, à Dounguel, des informations font état « de la mort de trois enfants et de plusieurs blessés, à cause de effondrement de bâtiments en banco, suite aux pluies enregistrées dans la nuit du mercredi ».
« L’ALERTE PRECOCE AURAIT DU ETRE SUIVIE D’ACTIONS IMMEDIATES… » (EXPERT)
Le professeur Cheikh Mbow, directeur général du Centre de suivi écologique, a livré une analyse approfondie des récentes crues du fleuve Sénégal et des dommages qu’elles ont causés, lit-on, dans un article paru à Seneweb hier 17 octobre. Selon lui, les autorités auraient pu anticiper et gérer la situation de manière plus efficace. Malgré l’annonce par le gouvernement d’une enveloppe de huit milliards de francs CFA pour soutenir les sinistrés, il estime que les préparatifs ont été insuffisants. « L’alerte précoce aurait dû être suivie d’actions immédiates. Nous avions vu venir cette situation. En août et début septembre, les alertes montraient que le fleuve allait déborder et des plans de contingence et d’intervention auraient dû être mis en place », annonce la source qui s’appuie sur la déclaration du professeur [lors d’une intervention à la Radio Sénégal internationale (RSI)].
Le Pr. Mbow insiste également sur l'importance de préparer l’après-crue pour permettre aux populations de reprendre rapidement leurs activités économiques. « Il est essentiel d’investir dans de bonnes semences et de permettre la culture de plusieurs récoltes afin de compenser les pertes subies », a-t-il précisé. Il soutient que l'investissement dans l'agriculture post-crise est crucial pour assurer une reprise économique rapide.
Pour éviter que de telles catastrophes ne se reproduisent à l’avenir, l'expert préconise un recasement rapide des populations touchées et une anticipation accrue des besoins humanitaires. « On doit anticiper en identifiant les sites de recasement et en prépositionnant des vivres pour éviter de tâtonner lorsque la crise éclate», a-t-il expliqué, soulignant la nécessité d'une réponse proactive pour atténuer les impacts des futures crues..
Pour éviter que de telles catastrophes ne se reproduisent à l’avenir, l'expert préconise un recasement rapide des populations touchées et une anticipation accrue des besoins humanitaires. « On doit anticiper en identifiant les sites de recasement et en prépositionnant des vivres pour éviter de tâtonner lorsque la crise éclate», a-t-il expliqué, soulignant la nécessité d'une réponse proactive pour atténuer les impacts des futures crues.
En matière de solutions à long terme, le Pr. Mbow recommande un aménagement plus adapté du fleuve Sénégal pour réduire les risques de débordement. Il propose de développer de vastes zones rizicoles dans des régions comme Bakel et Ourossogui, afin de canaliser l’excédent d’eau et de le mettre au service de l’agriculture. Cette approche permettrait à la fois de limiter les inondations et de promouvoir le développement économique local. Cet appel à l’action rapide et à l’adaptation à long terme met en lumière la nécessité pour les autorités de mieux anticiper les risques climatiques et de renforcer la résilience des populations riveraines du fleuve Sénégal.
LE CNRA FIXE LES CONDITIONS D’ORGANISATION DU TEMPS D’ANTENNE
On en sait un peu plus sur les conditions d’organisation du temps d’antenne qui sera accordé aux différentes listes de candidats aux élections législatives anticipées du 17 novembre prochain.
Le président du Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) a tenu hier, jeudi 17 octobre, une réunion d’échanges sur les conditions d’organisation du temps d’antenne dans les médias publics avec les mandataires de 41 listes retenues pour les législatives anticipées du 17 novembre prochain, en présence du Dg de la Radiotélévision sénégalaise (Rts), Pape Alé Niang. Aux termes des échanges, il a été retenu trois (03) minutes par jour pour chaque liste et l’enregistrement des premières déclarations des candidats se fera exclusivement dans les studios de la RTS à partir du jeudi 24 octobre.
On en sait un peu plus sur les conditions d’organisation du temps d’antenne qui sera accordé aux différentes listes de candidats aux élections législatives anticipées du 17 novembre prochain. Chacune des 41 listes retenues pour ces élections législatives anticipées aura droit à trois (03) minutes par jour pour convaincre les Sénégalais. En effet, convoqués par le nouveau président du Cnra, le doyen Mamadou Oumar Ndiaye hier, jeudi 17 octobre en réunion d’échanges sur les modalités de production et de diffusion des émissions de propagande électorale dans les médias publics, avec le nouveau Dg de la Radiotélévision sénégalaise (Rts), Pape Alé Niang, les mandataires des 41 listes ont largement approuvé ces 3 minutes.
C’est la coalition Farlu qui va ouvrir le bal du premier passage à la RTS, lequel sera clôturé par la Coalition « Sopi Sénégal ». S’agissant de la liste du parti au pouvoir, Pastef, elle vient à la 20ème position tandis que la Coalition Diam ak njarin conduite par l’ancien Premier ministre, Amadou Ba, est à la 17e. La coalition Samm sa kaadu, avec comme tête de liste l’actuel maire de Dakar, Barthélémy Toye Dias est 25e et passera avant la coalition Takku wallu Sénégal (TWS) dirigée par l’ancien président Macky Sall qui est à la 37e position. Lors de ces échanges, le président de la Cnra, se basant sur la décision de son prédécesseur lors des législatives de 2017 où on avait 47 listes, avait proposé deux (02) minutes avant de valider la contreproposition des mandataires. Outre la durée des éléments de campagne électorale, cette rencontre a également permis de déterminer les conditions de productions des dits éléments. Ainsi, il a été retenu que l’enregistrement des premières déclarations des candidats se fera exclusivement dans les studios de la RTS à partir du jeudi 24 octobre, avec une première diffusion prévue le 27 octobre. Prenant la parole, le doyen Mamadou Oumar Ndiaye rappelant les règlements et modalités à respecter, a également insisté sur le fait que seuls les candidats inscrits sur les listes sont concernés par ce temps d’antenne. Par ailleurs, il s’est engagé à envoyer aux différents mandataires par voie électronique un tableau de diffusion, pour dit-il, assurer la transparence et l’organisation.
De son côté, le Directeur général de la RTS a réaffirmé l’engagement de l’organe public non seulement à respecter les modalités convenues mais aussi à assurer une couverture optimale des listes. Sous ce rapport, il a invité les 41 mandataires à une nouvelle réunion le lundi 21 octobre prochain pour, dit-il, renforcer la coordination et améliorer l’organisation et la communication entre les différentes parties prenantes de ces élections.
Lors des dernières élections législatives du 31 juillet 2022, c’est le président Macky Sall qui avait fixé ce temps d’antenne à la radio et à la télévision publiques des candidats aux législatives à cinq minutes par jour et par liste du dimanche 10 juillet 2022 à zéro heure au vendredi 29 juillet 2022 à minuit. En 2017, lors des législatives du 30 juillet, les 47 listes et coalitions de partis en lice avaient bénéficié chacune d’un temps d’antenne de deux minutes, arrêté par l’ancien président du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA), Babacar Touré, en accord avec les représentants des 47 listes et coalitions de partis présents à une rencontre avec le président de l’organe de régulation.
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«200 ENTREPRISES FERMEES AU SENEGAL»
Le ministre de l’Industrie, du commerce et des Pme-Pmi, Serigne Guèye Diop, a procédé hier, jeudi 17 octobre à Diamniadio, au lancement des états généraux de l’industrie, du commerce et des PME,
Le ministre de l’Industrie, du commerce et des Pme-Pmi, Serigne Guèye Diop, a procédé hier, jeudi 17 octobre à Diamniadio, au lancement des états généraux de l’industrie, du commerce et des PME, en présence de représentants d’institutions partenaires de l’État et du secteur privé sénégalais. Au cours de cette rencontre, le Ministre a annoncé que 200 entreprises ont été fermées au Sénégal.
200 entreprises évoluant dans le secteur de l’industrie ont mis la clé sous le paillasson au Sénégal. La révélation a été faite par le Ministre du commerce et de l’industrie Serigne Gueye Diop. Il s’exprimait hier, jeudi17octobre lors de l’ouverture des états généraux de l’industrie et du commerce. Selon lui, une étude allant dans ce sens a été menée par le ministère de l’Industrie et du Commerce en prélude aux états généraux. Parmi ces industries fermées, indique-t-il, figurent la Sotiba et la Sotexka, deux usines textiles qui faisaient partie des plus grandes industries du pays. Cependant, le Ministre assure que le gouvernement va protéger l’industrie sénégalaise des risques auxquels elle peut être confrontée, y compris la concurrence déloyale menée par certains acteurs.
Je peux vous dire que nous allons protéger notre industrie, comme le font d’autres pays. On ne peut pas développer notre industrie sans des barrières. On ne peut pas créer une industrie sans la protéger », promet-il. Les ambassadeurs du Japon et du Royaume-Uni ont partagé les expériences de leurs pays respectifs dans ces secteurs d’activité. Pour sa part, l’ambassadeur du Japon au Sénégal, Osamu Izawa, a évoqué la politique industrielle de son pays, qui, selon lui, repose sur ‘’un certain protectionnisme’’.
Pour y arriver, il pense qu’il est nécessaire d’avoir des ressources humaines de qualité. « Le secteur privé japonais viendra profiter des opportunités qu’offrira la future politique industrielle du Sénégal », a ajouté Osamu Izawa. L’ambassadrice du Royaume-Uni au Sénégal, Juliette John, quant à lui, estime que la réussite de cet élan d’industrialisation dépendra de la disponibilité des compétences des infrastructures, des ressources naturelles, etc…
Elle recommande aux pouvoirs publics sénégalais de recourir à l’économie verte, car l’industrie classique a occasionné de ‘’nombreux dégâts’’.
KEEMTAAN Gi - COMOUFLET POUR L’EX-CHEF
Nos oreilles vont bourdonner d’ici quelques jours avec le démarrage de la campagne électorale pour les Législatives anticipées du 17 novembre prochain. Ils seront ainsi 41 partis politiques, coalitions de partis et des entités indépendantes à aller à la chasse aux voix. Des messieurs et dames qui ne doivent pas chercher le diable pour lui tirer la queue. Quinze millions de nos pauvres francs à déposer à la Caisse des dépôts et consignation. Ce qui leur autorisera à venir chaque jour nous importuner en nous vendant un autre Sénégal. Autant dire du vent… La totale de la somme récoltée nous parait cependant trop maigre pour couvrir toutes les dépenses relatives à cette élection qui se présente aux yeux des observateurs comme un deuxième tour de la présidentielle de mars dernier. Bien entendu, parmi tous ces messieurs et dames qui veulent être députés, peu seront appelés à siéger. Le score peu glorieux de la présidentielle, récolté par certains poids lourds de la politique, qui aurait pu freiner leurs ardeurs, n’a pu les dissuader à garder leurs thunes. Tant pis pour eux ! Mais voilà, ces législatives anticipées seront palpitantes avec comme guest- star, l’ex-Chef qui voudrait laver un affront. On lui souhaite bien du plaisir dans son nouveau costume d’ancien président et nouveau citoyen comme les autres. Déjà, une pétition visant à l’exclure de la Conférence Africaine de Columbia, lancée par une compatriote du nom de Oumou Diallo à travers le mouvement Africa in Harlem, à cause de sa gouvernance au Sénégal, a porté ses fruits. Dans une lettre adressée en réponse à la pétition, les organisateurs ont exprimé leur appréciation pour les préoccupations exprimées par les Sénégalais. À la place de l’ex-chef, les organisateurs ont annoncé que M. Godwin Obaseki, gouverneur de l’État d’Edo au Nigeria, sera le nouveau conférencier. Un joli camouflet pour celui qui voudrait mettre en place une Fondation pour la Paix. Ça vous fait sourire ? Une humiliation qui pourrait bien contrarier le chef de file de la coalition de l’opposition Takku Wallu Sénégal. A n’en point douter, sa vie pourrait être bien tumultueuse et sa campagne périlleuse ! KACCOOR BI - LE TEMOIN
CAMPAGNE DES LEGISLATIVES TROIS MINUTES DE TEMPS D’ANTENNE POUR CHAQUE LISTE
Les quarante et une (41) listes de partis, coalition et entités indépendantes en lice pour les élections législatives anticipées du 17 novembre prochain vont bénéficier chacune de trois minutes de temps d’antenne à la Radiotélévision sénégalaise (RTS) dans le journal de la campagne électorale qui démarre le dimanche 27 octobre prochain. Ce temps d’antenne a été fixé ce jeudi lors d’une rencontre entre le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CRNA) et les représentants des partis et coalitions. ‘’Nous étions venus avec la proposition sur deux minutes (…) en tenant compte des contraintes auxquelles la RTS est confrontée”, a déclaré le président Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CRNA), Mamadou Oumar Ndiaye, soulignant que, finalement, il y a eu ‘’un consensus sur les trois minutes’’ proposées par la majorité des mandataires. Il présidait une réunion pour déterminer le temps d’antenne quotidien réservé aux listes de candidats aux élections législatives anticipées du 17 novembre prochain en présence de la représentante de la Commission électorale nationale autonome (CENA), Ndèye Rokhaya Mbodji. Le directeur de cabinet du président du CNRA, Matar Sall, a indiqué que les enregistrements se feront du lundi au samedi de 9 heures à minuit, soulignant que chaque liste va bénéficier de 20 diffusions durant la campagne électorale qui débutera le 27 octobre 2024 à minuit et se poursuivra jusqu’au 15 novembre à minuit. Il a rappelé que les émissions seront diffusées sur l’ensemble du réseau synchronisé de la RTS. L’émission du dernier jour de campagne sera diffusée en une seule tranche à partir de 22 h. Les mandataires ont proposé la mise en place d’un cadre permanent d’information et de communication entre le CNRA, les partis en compétition et la RTS ou un groupe WhatsApp. Le directeur général de la RTS, Pape Alé Niang, a convié les mandataires à une rencontre lundi à 15 heures dans les locaux de la télévision nationale pour un échange sur la méthodologie de travail permettant d’avoir des ”relations fluides” durant les 21 jours de campagne. La RTS prévoit de mettre une équipe complète à la disposition de chaque liste de candidats et toutes les ‘’dispositions seront prises pour aller vers une campagne apaisée’’, a dit M. Niang.
MINISTERE DE LA SANTE : UN AMBULANCIER SANS…PERMIS DE CONDUIRE
Dès sa nomination à la tête de la Primature, le Premier ministre Ousmane Sonko avait invité les membres du gouvernement à procéder à un audit physique du personnel et des contrats d’embauche. Hier 17 octobre 2024, le ministre de la Santé et de l’Action sociale Dr Ibrahima Sy a manifesté sa volonté de mettre en œuvre les directives du Chef du gouvernement. Dans une circulaire adressée aux médecins-chefs de région, directeurs d'hôpital et autres médecins-chefs de districts, le ministre de la Santé les invite à accueillir les auditeurs pour leur apporter collaboration et assistance. Pour « Le Témoin » quotidien, l’heure des audits vient à son heure ! Surtout au niveau du ministère de la Santé dirigé à l’époque par Abdoulaye Diouf Sarr où les hôpitaux, centres de Santé et dispensaires croulent sous le poids des recrutés du clientélisme politique. La preuve par ce district sanitaire situé dans la région de Saint-Louis. Un jour renseigne « Le Témoin », un chef de district a reçu une lettre de mise à disposition d’un agent se disant ambulancier. La surprise fut grande lorsque le médecin-chef a constaté que l’ « ambulancier » n’avait pas de permis de conduire. Interpellé sur les conditions de son recrutement, le bonhomme dit avoir bénéficié du soutien d’un haut responsable de l’Apr. La mort dans l’âme, le médecin-chef a fini par l’affecter à la comptabilité de l’hôpital où l’« ambulancier » du ministre sera chargé de vendre des tickets de consultation. Des recrutements de ce genre d’agents sans diplôme, ni qualification, sont très nombreux au niveau du ministère de la Santé.
MBOUR LE PRESUME MEURTRIER DE ND. CODOU S., TUEE A NGOR ARRETE
Le présumé meurtrier de Nd. Codou S tuée ce mercredi à Ngor aurait été arrêté à Mbour par la Brigade de recherches de la Gendarmerie. Selon Dakar Actu Mbour qui donne l’information, le mis en cause serait un Baye Fall. Pour rappel, mercredi, aux alentours de 5 h 30, les voisins d’un appartement voisin de l’école primaire « Alieu Samb » ont fait l’effroyable constat du corps sans vie d’une femme, identifiée comme Nd. Codou S. Les premiers éléments de l’enquête de voisinage ont révélé que sa mort pourrait remonter à environ 3 h du matin. Bien qu’aucune trace de violence n’ait été relevée sur son corps, cela n’exclut pas la possibilité d’un homicide….
PORT DE DAKAR CHAVIREMENT D’UN NAVIRE, AUCUNE PERTE EN VIE HUMAINE
Dans la nuit du 15 au 16 octobre 2024, un incident s’est produit au Môle 2 du Port Autonome de Dakar. Le navire « Princesse Jessica », à quai a été heurté par le MV Zografia entrainant le chavirement du premier. Aucune perte en vie humaine n’a été notée. Selon la Cellule de communication stratégique, le navire « Princesse Jessica » est un cargo battant pavillon Togolais, âgé de 34 ans construit en 1990 doté d’une capacité de tonnage de 1652 tonnes. Sa longueur est de 77 mètres. Immédiatement après l’incident, les équipes du Port sont intervenues pour sécuriser la zone. Un balisage a été mis en place et les procédures administratives ont été engagées conformément aux réglementations en vigueur. Il est important de souligner que cet accident n’a aucun impact sur les activités portuaires qui se poursuivent normalement. Les mesures nécessaires pour le renflouement du navire « Princesse Jessica » seront rapidement mises en œuvre. Il convient de rappeler que ce type d’incident peut survenir dans tous les ports à travers le monde. Le Port Autonome de Dakar dispose d’un dispositif opérationnel robuste et collabore étroitement avec les administrations compétentes pour réagir de manière efficace et minimiser les impacts. Au niveau du Port autonome, on a tenu à rassurer l’ensemble des partenaires et clients sur la gestion proactive de cet incident et en réitérant l’engagement à garantir la sécurité et la fluidité de leurs opérations.
TRANSPORTS TERRESTRES LE MINISTRE MALICK NDIAYE REMET DES ATTESTATIONS AUX ACTEURS
Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, Monsieur Malick Ndiaye, a procédé hier à la remise des attestations originales de renforcement des capacités aux acteurs du transport. Cette initiative vise à améliorer leurs compétences dans le domaine du transport routier. Le ministre a rappelé que ces attestations, initialement prévues pour 2021, sont le fruit d’un travail acharné. Elles illustrent la volonté des acteurs du secteur de s’approprier les connaissances indispensables à la professionnalisation du sous-secteur routier. «Cette remise répond à une doléance exprimée depuis trois ans. Mieux vaut tard que jamais», a-t-il affirmé. Le ministre a souligné la pertinence de cette formation dans le cadre de l’élaboration d’une politique commune des transports, en particulier dans le transport routier de marchandises. Elle répond à la nécessité de définir des règles communes régissant l’exercice de la profession de transporteur routier, et d’établir un cadre cohérent au sein de l’UEMOA pour structurer ce secteur. Il a également évoqué les nombreux défis auxquels le secteur est confronté : insécurité routière persistante, concurrence déloyale, avancées technologiques rapides et innovations majeures. «Les aspirations croissantes à plus de sécurité, de confort, de multi-modalité, d’interopérabilité, et l’adaptation au changement climatique se font de plus en plus pressantes», a-t-il précisé. Cette formation, selon le ministre, s’inscrit dans la dynamique des États généraux des Transports Publics, qui se tiendront la semaine prochaine, du 21 au 25 octobre 2024
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LES UNES DE LA PRESSE DE CE VENDREDI 18 OCTOBRE 2024
Sud Quotidien, Walf Quotidien, Le Témoin Quotidien, EnQuête, Libération, Le Soleil, Yoor-Yoor Bi, L'As, Le Quotidien, Vox Populi, L'Observateur, Bes Bi le jour, Révélaion Quotidien
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CONFIDENTIEL DE 'BES BI LE JOUR' DE CE VENDREDI 18 OCTOBRE 2024
Baadoolo - Mortal kombat au Cng
Euskey ! Deukk bi daal fepp tiooki leu. Pour avoir un président du Cng de lutte aussi, c’est une lutte entre Pouvoir et Opposition ! On assiste à des caxabal de Père Bécaye, des gal-gal de Malick Ngom. Pour mettre K.O Bira Sène. Mais kan la Sonko nguemb ? La ministre des Sports a démenti un quelconque parrainage d’un des «lutteurs» par le gouvernement. Donc, na riira riir. Le Mortal kombat se poursuit à l’Arène nationale.
Non-paiement et diminution du montant des allocations La Direction des Bourses dément les étudiants et s’explique
La direction des bourses réagit au communiqué des étudiants de l’Ucad. Et c’est pour démentir la diminution du montant de la bourse qui, selon elle, «n’est pas possible». «La vérité est que le paiement est progressif pour ce mois-ci eu regard au montant global des paiement des bourses très élevé dans un contexte très particulier de fin de gestion du budget», précise un communiqué. «Le cas d’un étudiant resté un an sans bourse est possible si celui-ci ne s’est pas acquitté de ses obligations préalables d’inscription dans son université sauf pour les étudiants qui bénéficient d’un renouvellent automatique au début de l’année pour les besoins du paiement du mois de décembre», précise la Direction des Bourses.
Prix africain de journalisme d’investigation 2024 Babacar Guèye Diop du Soleil nominé
Journaliste au service santé-environnement au quotidien national Le Soleil, Babacar Guèye Diop a été nominé pour le Prix africain de journalisme d’investigation (Paji) édition 2024. Il a été sélectionné grâce à son enquête sur l’impact des usines de farine de poisson sur la pêche. La cérémonie de remise du prix se tiendra le 2 décembre 2024 à Nouakchott, en Mauritanie. Pour rappel, le Paji, qui a pour vocation de promouvoir et de défendre le journalisme d’investigation en Afrique, a été initiée par la plateforme afro-européenne Médias Démocratie
Matam - Un minibus tue un écolier de 7 ans à l’heure de la descente
Ce jeudi, un minibus a mortellement fauché un écolier de 7 ans un peu après 13h, au Dara Moderne de Asndé Balla, dans le département de Matam. Un groupe d’élèves réussit à traverser la route et celui de Mamoudou Idy Ndiaye, la victime, engage la route avec la permission de deux chauffeurs qui avaient marqué le stop. C’est ainsi qu’un minibus roulant à vive allure a percuté le jeune garçon décédé sur le coup. Le chauffeur du minibus est en garde à vue à la brigade de gendarmerie des Agnam.
Université de Bambey Les mathématiques à l’honneur
«Le Baol Training School of Mathematics vise à donner l’opportunité aux doctorants et aux jeunes scientifiques de rencontrer des experts dans leur domaine et d’enrichir leur réseau de collaborateurs», confie Issa Samb. Le directeur de l’Unité de formation et de recherche (Ufr) des sciences appliquées et technologies de l’information et de la communication de l’Université Alioune Diop de Bambey (Uadb) s’exprimait en marge de l’ouverture de la session de Baol Training School of Mathematics qui va durer du 14 au 26 octobre. Pr Samb espère «que cette école sera une excellente occasion pour les participants d’apprendre des matières plus avancées liées à la géométrie et à la géométrie algébrique qui pourraient les aider dans leur travail futur». A sa suite, Pr Senghane Mbodji, vicerecteur en charge des études dira qu’il faut mettre «l’accent sur le partage dans le cadre de l’animation scientifique pour permettre aux jeunes chercheurs d’avoir les outils nécessaires dans leur domaine».
Rumeurs sur l’organisation d’examens à l’Ugb L’université numérique Cheikh Hamidou Kane dément
«Depuis quelques jours, une information est véhiculée sur les réseaux sociaux, à travers un communiqué attribué à tort à l’Université numérique Cheikh Hamidou Kane. Un faux communiqué, annonçant la tenue des examens du second semestre pour les étudiants de la promotion 11 en sociologie, à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis», indique ladite Université. Qui informe l’ensemble de ses étudiants qu’aucune organisation d’examen n’est prévue ou envisagée dans les lieux avancés. L’Un-Chk qui met en garde toute personne impliquée dans la propagation de fausses informations et le détournement des cachets de son personnel, rappelle par ailleurs, qu’aucun versement d’un quelconque montant n’est demandé à ses étudiants. L’université invite ainsi les étudiants à «n’accorder aucun crédit à cette information provenant d’individus inconnus de l’administration».
Accident maritime Le navire Princesse Jessica coule au Port de Dakar
«Il est en train de couler ! Il est en train de couler ! Oh, on a perdu le navire, c’est fini !». C’est par ce cri, qu’une personne filmait le «Princesse Jessica» qui a sombré au Port de Dakar, dans la nuit du 15 au 16 octobre 2024. Le site Morglaz.org affirme que le naufrage de ce cargo, abordé le 15 octobre à 21h00, n’a causé aucune perte de vie humaine, montrant une photo de 4 marins du navire. Seulement, selon Seneweb, Princesse Jessica a coulé avec à son bord deux mécaniciens et un cuisinier. La source affirme que le navire a été heurté par un autre cargo contenant du sucre et qui manœuvrait pour accoster au môle 3.