SenePlus | La Une | l'actualité, sport, politique et plus au Sénégal
10 juin 2025
VIDEO
«200 ENTREPRISES FERMEES AU SENEGAL»
Le ministre de l’Industrie, du commerce et des Pme-Pmi, Serigne Guèye Diop, a procédé hier, jeudi 17 octobre à Diamniadio, au lancement des états généraux de l’industrie, du commerce et des PME,
Le ministre de l’Industrie, du commerce et des Pme-Pmi, Serigne Guèye Diop, a procédé hier, jeudi 17 octobre à Diamniadio, au lancement des états généraux de l’industrie, du commerce et des PME, en présence de représentants d’institutions partenaires de l’État et du secteur privé sénégalais. Au cours de cette rencontre, le Ministre a annoncé que 200 entreprises ont été fermées au Sénégal.
200 entreprises évoluant dans le secteur de l’industrie ont mis la clé sous le paillasson au Sénégal. La révélation a été faite par le Ministre du commerce et de l’industrie Serigne Gueye Diop. Il s’exprimait hier, jeudi17octobre lors de l’ouverture des états généraux de l’industrie et du commerce. Selon lui, une étude allant dans ce sens a été menée par le ministère de l’Industrie et du Commerce en prélude aux états généraux. Parmi ces industries fermées, indique-t-il, figurent la Sotiba et la Sotexka, deux usines textiles qui faisaient partie des plus grandes industries du pays. Cependant, le Ministre assure que le gouvernement va protéger l’industrie sénégalaise des risques auxquels elle peut être confrontée, y compris la concurrence déloyale menée par certains acteurs.
Je peux vous dire que nous allons protéger notre industrie, comme le font d’autres pays. On ne peut pas développer notre industrie sans des barrières. On ne peut pas créer une industrie sans la protéger », promet-il. Les ambassadeurs du Japon et du Royaume-Uni ont partagé les expériences de leurs pays respectifs dans ces secteurs d’activité. Pour sa part, l’ambassadeur du Japon au Sénégal, Osamu Izawa, a évoqué la politique industrielle de son pays, qui, selon lui, repose sur ‘’un certain protectionnisme’’.
Pour y arriver, il pense qu’il est nécessaire d’avoir des ressources humaines de qualité. « Le secteur privé japonais viendra profiter des opportunités qu’offrira la future politique industrielle du Sénégal », a ajouté Osamu Izawa. L’ambassadrice du Royaume-Uni au Sénégal, Juliette John, quant à lui, estime que la réussite de cet élan d’industrialisation dépendra de la disponibilité des compétences des infrastructures, des ressources naturelles, etc…
Elle recommande aux pouvoirs publics sénégalais de recourir à l’économie verte, car l’industrie classique a occasionné de ‘’nombreux dégâts’’.
KEEMTAAN Gi - COMOUFLET POUR L’EX-CHEF
Nos oreilles vont bourdonner d’ici quelques jours avec le démarrage de la campagne électorale pour les Législatives anticipées du 17 novembre prochain. Ils seront ainsi 41 partis politiques, coalitions de partis et des entités indépendantes à aller à la chasse aux voix. Des messieurs et dames qui ne doivent pas chercher le diable pour lui tirer la queue. Quinze millions de nos pauvres francs à déposer à la Caisse des dépôts et consignation. Ce qui leur autorisera à venir chaque jour nous importuner en nous vendant un autre Sénégal. Autant dire du vent… La totale de la somme récoltée nous parait cependant trop maigre pour couvrir toutes les dépenses relatives à cette élection qui se présente aux yeux des observateurs comme un deuxième tour de la présidentielle de mars dernier. Bien entendu, parmi tous ces messieurs et dames qui veulent être députés, peu seront appelés à siéger. Le score peu glorieux de la présidentielle, récolté par certains poids lourds de la politique, qui aurait pu freiner leurs ardeurs, n’a pu les dissuader à garder leurs thunes. Tant pis pour eux ! Mais voilà, ces législatives anticipées seront palpitantes avec comme guest- star, l’ex-Chef qui voudrait laver un affront. On lui souhaite bien du plaisir dans son nouveau costume d’ancien président et nouveau citoyen comme les autres. Déjà, une pétition visant à l’exclure de la Conférence Africaine de Columbia, lancée par une compatriote du nom de Oumou Diallo à travers le mouvement Africa in Harlem, à cause de sa gouvernance au Sénégal, a porté ses fruits. Dans une lettre adressée en réponse à la pétition, les organisateurs ont exprimé leur appréciation pour les préoccupations exprimées par les Sénégalais. À la place de l’ex-chef, les organisateurs ont annoncé que M. Godwin Obaseki, gouverneur de l’État d’Edo au Nigeria, sera le nouveau conférencier. Un joli camouflet pour celui qui voudrait mettre en place une Fondation pour la Paix. Ça vous fait sourire ? Une humiliation qui pourrait bien contrarier le chef de file de la coalition de l’opposition Takku Wallu Sénégal. A n’en point douter, sa vie pourrait être bien tumultueuse et sa campagne périlleuse ! KACCOOR BI - LE TEMOIN
CAMPAGNE DES LEGISLATIVES TROIS MINUTES DE TEMPS D’ANTENNE POUR CHAQUE LISTE
Les quarante et une (41) listes de partis, coalition et entités indépendantes en lice pour les élections législatives anticipées du 17 novembre prochain vont bénéficier chacune de trois minutes de temps d’antenne à la Radiotélévision sénégalaise (RTS) dans le journal de la campagne électorale qui démarre le dimanche 27 octobre prochain. Ce temps d’antenne a été fixé ce jeudi lors d’une rencontre entre le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CRNA) et les représentants des partis et coalitions. ‘’Nous étions venus avec la proposition sur deux minutes (…) en tenant compte des contraintes auxquelles la RTS est confrontée”, a déclaré le président Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CRNA), Mamadou Oumar Ndiaye, soulignant que, finalement, il y a eu ‘’un consensus sur les trois minutes’’ proposées par la majorité des mandataires. Il présidait une réunion pour déterminer le temps d’antenne quotidien réservé aux listes de candidats aux élections législatives anticipées du 17 novembre prochain en présence de la représentante de la Commission électorale nationale autonome (CENA), Ndèye Rokhaya Mbodji. Le directeur de cabinet du président du CNRA, Matar Sall, a indiqué que les enregistrements se feront du lundi au samedi de 9 heures à minuit, soulignant que chaque liste va bénéficier de 20 diffusions durant la campagne électorale qui débutera le 27 octobre 2024 à minuit et se poursuivra jusqu’au 15 novembre à minuit. Il a rappelé que les émissions seront diffusées sur l’ensemble du réseau synchronisé de la RTS. L’émission du dernier jour de campagne sera diffusée en une seule tranche à partir de 22 h. Les mandataires ont proposé la mise en place d’un cadre permanent d’information et de communication entre le CNRA, les partis en compétition et la RTS ou un groupe WhatsApp. Le directeur général de la RTS, Pape Alé Niang, a convié les mandataires à une rencontre lundi à 15 heures dans les locaux de la télévision nationale pour un échange sur la méthodologie de travail permettant d’avoir des ”relations fluides” durant les 21 jours de campagne. La RTS prévoit de mettre une équipe complète à la disposition de chaque liste de candidats et toutes les ‘’dispositions seront prises pour aller vers une campagne apaisée’’, a dit M. Niang.
MINISTERE DE LA SANTE : UN AMBULANCIER SANS…PERMIS DE CONDUIRE
Dès sa nomination à la tête de la Primature, le Premier ministre Ousmane Sonko avait invité les membres du gouvernement à procéder à un audit physique du personnel et des contrats d’embauche. Hier 17 octobre 2024, le ministre de la Santé et de l’Action sociale Dr Ibrahima Sy a manifesté sa volonté de mettre en œuvre les directives du Chef du gouvernement. Dans une circulaire adressée aux médecins-chefs de région, directeurs d'hôpital et autres médecins-chefs de districts, le ministre de la Santé les invite à accueillir les auditeurs pour leur apporter collaboration et assistance. Pour « Le Témoin » quotidien, l’heure des audits vient à son heure ! Surtout au niveau du ministère de la Santé dirigé à l’époque par Abdoulaye Diouf Sarr où les hôpitaux, centres de Santé et dispensaires croulent sous le poids des recrutés du clientélisme politique. La preuve par ce district sanitaire situé dans la région de Saint-Louis. Un jour renseigne « Le Témoin », un chef de district a reçu une lettre de mise à disposition d’un agent se disant ambulancier. La surprise fut grande lorsque le médecin-chef a constaté que l’ « ambulancier » n’avait pas de permis de conduire. Interpellé sur les conditions de son recrutement, le bonhomme dit avoir bénéficié du soutien d’un haut responsable de l’Apr. La mort dans l’âme, le médecin-chef a fini par l’affecter à la comptabilité de l’hôpital où l’« ambulancier » du ministre sera chargé de vendre des tickets de consultation. Des recrutements de ce genre d’agents sans diplôme, ni qualification, sont très nombreux au niveau du ministère de la Santé.
MBOUR LE PRESUME MEURTRIER DE ND. CODOU S., TUEE A NGOR ARRETE
Le présumé meurtrier de Nd. Codou S tuée ce mercredi à Ngor aurait été arrêté à Mbour par la Brigade de recherches de la Gendarmerie. Selon Dakar Actu Mbour qui donne l’information, le mis en cause serait un Baye Fall. Pour rappel, mercredi, aux alentours de 5 h 30, les voisins d’un appartement voisin de l’école primaire « Alieu Samb » ont fait l’effroyable constat du corps sans vie d’une femme, identifiée comme Nd. Codou S. Les premiers éléments de l’enquête de voisinage ont révélé que sa mort pourrait remonter à environ 3 h du matin. Bien qu’aucune trace de violence n’ait été relevée sur son corps, cela n’exclut pas la possibilité d’un homicide….
PORT DE DAKAR CHAVIREMENT D’UN NAVIRE, AUCUNE PERTE EN VIE HUMAINE
Dans la nuit du 15 au 16 octobre 2024, un incident s’est produit au Môle 2 du Port Autonome de Dakar. Le navire « Princesse Jessica », à quai a été heurté par le MV Zografia entrainant le chavirement du premier. Aucune perte en vie humaine n’a été notée. Selon la Cellule de communication stratégique, le navire « Princesse Jessica » est un cargo battant pavillon Togolais, âgé de 34 ans construit en 1990 doté d’une capacité de tonnage de 1652 tonnes. Sa longueur est de 77 mètres. Immédiatement après l’incident, les équipes du Port sont intervenues pour sécuriser la zone. Un balisage a été mis en place et les procédures administratives ont été engagées conformément aux réglementations en vigueur. Il est important de souligner que cet accident n’a aucun impact sur les activités portuaires qui se poursuivent normalement. Les mesures nécessaires pour le renflouement du navire « Princesse Jessica » seront rapidement mises en œuvre. Il convient de rappeler que ce type d’incident peut survenir dans tous les ports à travers le monde. Le Port Autonome de Dakar dispose d’un dispositif opérationnel robuste et collabore étroitement avec les administrations compétentes pour réagir de manière efficace et minimiser les impacts. Au niveau du Port autonome, on a tenu à rassurer l’ensemble des partenaires et clients sur la gestion proactive de cet incident et en réitérant l’engagement à garantir la sécurité et la fluidité de leurs opérations.
TRANSPORTS TERRESTRES LE MINISTRE MALICK NDIAYE REMET DES ATTESTATIONS AUX ACTEURS
Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens, Monsieur Malick Ndiaye, a procédé hier à la remise des attestations originales de renforcement des capacités aux acteurs du transport. Cette initiative vise à améliorer leurs compétences dans le domaine du transport routier. Le ministre a rappelé que ces attestations, initialement prévues pour 2021, sont le fruit d’un travail acharné. Elles illustrent la volonté des acteurs du secteur de s’approprier les connaissances indispensables à la professionnalisation du sous-secteur routier. «Cette remise répond à une doléance exprimée depuis trois ans. Mieux vaut tard que jamais», a-t-il affirmé. Le ministre a souligné la pertinence de cette formation dans le cadre de l’élaboration d’une politique commune des transports, en particulier dans le transport routier de marchandises. Elle répond à la nécessité de définir des règles communes régissant l’exercice de la profession de transporteur routier, et d’établir un cadre cohérent au sein de l’UEMOA pour structurer ce secteur. Il a également évoqué les nombreux défis auxquels le secteur est confronté : insécurité routière persistante, concurrence déloyale, avancées technologiques rapides et innovations majeures. «Les aspirations croissantes à plus de sécurité, de confort, de multi-modalité, d’interopérabilité, et l’adaptation au changement climatique se font de plus en plus pressantes», a-t-il précisé. Cette formation, selon le ministre, s’inscrit dans la dynamique des États généraux des Transports Publics, qui se tiendront la semaine prochaine, du 21 au 25 octobre 2024
MULTIPLE PHOTOS
LES UNES DE LA PRESSE DE CE VENDREDI 18 OCTOBRE 2024
Sud Quotidien, Walf Quotidien, Le Témoin Quotidien, EnQuête, Libération, Le Soleil, Yoor-Yoor Bi, L'As, Le Quotidien, Vox Populi, L'Observateur, Bes Bi le jour, Révélaion Quotidien
Sud Quotidien, Walf Quotidien, Le Témoin Quotidien, EnQuête, Libération, Le Soleil, Yoor-Yoor Bi, L'As, Le Quotidien, Vox Populi, L'Observateur, Bes Bi le jour, Révélaion Quotidien
CONFIDENTIEL DE 'BES BI LE JOUR' DE CE VENDREDI 18 OCTOBRE 2024
Baadoolo - Mortal kombat au Cng
Euskey ! Deukk bi daal fepp tiooki leu. Pour avoir un président du Cng de lutte aussi, c’est une lutte entre Pouvoir et Opposition ! On assiste à des caxabal de Père Bécaye, des gal-gal de Malick Ngom. Pour mettre K.O Bira Sène. Mais kan la Sonko nguemb ? La ministre des Sports a démenti un quelconque parrainage d’un des «lutteurs» par le gouvernement. Donc, na riira riir. Le Mortal kombat se poursuit à l’Arène nationale.
Non-paiement et diminution du montant des allocations La Direction des Bourses dément les étudiants et s’explique
La direction des bourses réagit au communiqué des étudiants de l’Ucad. Et c’est pour démentir la diminution du montant de la bourse qui, selon elle, «n’est pas possible». «La vérité est que le paiement est progressif pour ce mois-ci eu regard au montant global des paiement des bourses très élevé dans un contexte très particulier de fin de gestion du budget», précise un communiqué. «Le cas d’un étudiant resté un an sans bourse est possible si celui-ci ne s’est pas acquitté de ses obligations préalables d’inscription dans son université sauf pour les étudiants qui bénéficient d’un renouvellent automatique au début de l’année pour les besoins du paiement du mois de décembre», précise la Direction des Bourses.
Prix africain de journalisme d’investigation 2024 Babacar Guèye Diop du Soleil nominé
Journaliste au service santé-environnement au quotidien national Le Soleil, Babacar Guèye Diop a été nominé pour le Prix africain de journalisme d’investigation (Paji) édition 2024. Il a été sélectionné grâce à son enquête sur l’impact des usines de farine de poisson sur la pêche. La cérémonie de remise du prix se tiendra le 2 décembre 2024 à Nouakchott, en Mauritanie. Pour rappel, le Paji, qui a pour vocation de promouvoir et de défendre le journalisme d’investigation en Afrique, a été initiée par la plateforme afro-européenne Médias Démocratie
Matam - Un minibus tue un écolier de 7 ans à l’heure de la descente
Ce jeudi, un minibus a mortellement fauché un écolier de 7 ans un peu après 13h, au Dara Moderne de Asndé Balla, dans le département de Matam. Un groupe d’élèves réussit à traverser la route et celui de Mamoudou Idy Ndiaye, la victime, engage la route avec la permission de deux chauffeurs qui avaient marqué le stop. C’est ainsi qu’un minibus roulant à vive allure a percuté le jeune garçon décédé sur le coup. Le chauffeur du minibus est en garde à vue à la brigade de gendarmerie des Agnam.
Université de Bambey Les mathématiques à l’honneur
«Le Baol Training School of Mathematics vise à donner l’opportunité aux doctorants et aux jeunes scientifiques de rencontrer des experts dans leur domaine et d’enrichir leur réseau de collaborateurs», confie Issa Samb. Le directeur de l’Unité de formation et de recherche (Ufr) des sciences appliquées et technologies de l’information et de la communication de l’Université Alioune Diop de Bambey (Uadb) s’exprimait en marge de l’ouverture de la session de Baol Training School of Mathematics qui va durer du 14 au 26 octobre. Pr Samb espère «que cette école sera une excellente occasion pour les participants d’apprendre des matières plus avancées liées à la géométrie et à la géométrie algébrique qui pourraient les aider dans leur travail futur». A sa suite, Pr Senghane Mbodji, vicerecteur en charge des études dira qu’il faut mettre «l’accent sur le partage dans le cadre de l’animation scientifique pour permettre aux jeunes chercheurs d’avoir les outils nécessaires dans leur domaine».
Rumeurs sur l’organisation d’examens à l’Ugb L’université numérique Cheikh Hamidou Kane dément
«Depuis quelques jours, une information est véhiculée sur les réseaux sociaux, à travers un communiqué attribué à tort à l’Université numérique Cheikh Hamidou Kane. Un faux communiqué, annonçant la tenue des examens du second semestre pour les étudiants de la promotion 11 en sociologie, à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis», indique ladite Université. Qui informe l’ensemble de ses étudiants qu’aucune organisation d’examen n’est prévue ou envisagée dans les lieux avancés. L’Un-Chk qui met en garde toute personne impliquée dans la propagation de fausses informations et le détournement des cachets de son personnel, rappelle par ailleurs, qu’aucun versement d’un quelconque montant n’est demandé à ses étudiants. L’université invite ainsi les étudiants à «n’accorder aucun crédit à cette information provenant d’individus inconnus de l’administration».
Accident maritime Le navire Princesse Jessica coule au Port de Dakar
«Il est en train de couler ! Il est en train de couler ! Oh, on a perdu le navire, c’est fini !». C’est par ce cri, qu’une personne filmait le «Princesse Jessica» qui a sombré au Port de Dakar, dans la nuit du 15 au 16 octobre 2024. Le site Morglaz.org affirme que le naufrage de ce cargo, abordé le 15 octobre à 21h00, n’a causé aucune perte de vie humaine, montrant une photo de 4 marins du navire. Seulement, selon Seneweb, Princesse Jessica a coulé avec à son bord deux mécaniciens et un cuisinier. La source affirme que le navire a été heurté par un autre cargo contenant du sucre et qui manœuvrait pour accoster au môle 3.
COMME POUR LA SEINE, LA CRUE DU FLEUVE SÉNÉGAL EST MESURÉE À HAUTEUR D’HOMME
A l’image de la statue du Zouave sous le pont Alma, on aimerait voir une statue de la Linguere Ndate Yalla Fatim Yamar Mbodj sous le pont Faidherbe pour mesurer le niveau de la crue à Saint-Louis
En France depuis plus de 150 ans, une statue en pierre d’un soldat appelée zouave, située sous le pont de l'Alma à Paris permet d'un seul coup d'œil d'évaluer le niveau du fleuve la Seine lors des crues. Et les Parisiens ne s’en privent de mesurer la montée des eaux de la Seine en notant quand le Zouave a les pieds dans l'eau, cela veut dire que la Seine est en crue, mais que celle-ci n'est pas dangereuse.
Chaque partie de son corps, (chevilles, genoux...), est ensuite un repère pour établir l'importance de la montée du fleuve.
Nous avons une tradition similaire au walo. Pour mesurer le niveau de crue (Mbënd) du fleuve (jukk), on utilise des expressions relatives à la taille humaine :
Une très faible crue
Mbënd’um bët’u tank
(La crue a atteint le niveau de la cheville)
Une crue moyenne Mbënd’um Ndigg
(La crue a atteint la hauteur de la hanche)
Une crue de déluge
Mbënd’um tufaan
(La crue a atteint le niveau des paupières)
L’observation de la crue est très importante pour mesurer l’étendue des surfaces à emblaver pour les cultures de décrue lorsque le fleuve retourne dans son lit.
A l’image de la statue du Zouave sous le pont Alma, on aimerait voir une statue de la Linguere Ndate Yalla Fatim Yamar Mbodj sous le pont Faidherbe pour mesurer le niveau de la crue à Saint-Louis.
Au niveau de la jupe jusqu’à une crue catastrophique que la pipe d’honneur disparaîtra sous les eaux.
Amadou Bakhaw Diaw est président Mbootaayu Léppiy Wolof.
AFFAIRE CONTRE MOUSTAPHA GUIRASSY
J'exige du ministre de l'Éducation de me payer le principal, les dommages et intérêts pour l'utilisation qu'il fait depuis 2018, de la propriété intellectuelle, de ma création : l'acronyme, le nom et la signification du parti SET, "Sénégal En tête"
Je suis Ousseynou Nar Gueye. Aujourd'hui, cela fait un mois jour pour jour, qu'il m'a reçu dans son bureau ministériel de l'Education nationale, le 17 septembre 2024.
J'accuse. J'accuse Moustapha Guirassy, devant l'opinion nationale et internationale, et surtout devant la justice de notre pays, en laquelle j'ai foi, si tant est que besoin.
Comme évoqué entre autres sujets lors de mon audience avec lui, sujet sur lequel il a fait du dilatoire et du mutisme, j'exige de Moustapha Mamba Guirassy de me payer le principal, les dommages et les intérêts pour l'utilisation qu'il fait depuis 6 ans et demi, soit depuis mars 2018, de la propriété intellectuelle, de ma création originale : l'acronyme, le nom et la signification du du parti SET, "Sénégal En tête".
Toutes choses que je lui ai fournies après que son nom de parti SUD (Sénégalais Unis pour le Développement) créé par sa collaboratrice Coralie Briand, ait fini de faire flop et d'irriter la presse et l'opinion nationale, du fait que ce nom SUD renvoyait à des soupçons d'irrédentisme et à une collusion avec le MFDC, d'autant que Moustapha Guirassy est un Diakhanké du Sud-Est (Kédougou).
Je lui demande par mesure conservatoire de cesser d'utiliser le nom de parti SET Sénégal En tête jusque paiement du précédent, et aussi de ce qu'il me devra suite à ma future cession de droits de propriété intellectuelle pour l'avenir, sur ce nom; toutes choses dont j'estime le préjudice moral et financier à plusieurs dizaines de millions de FCFA.
Je demande à ses cadres et militants de parti de ne pas continuer à se rendre complices de cette forfaiture qui se déroule en continu.
Je n'étais pas salarié de M. Guirassy au moment de la fourniture du nom de parti SET, et même cela n'aurait pas pu suffire pour qu'il s'en approprie indûment et sans frais, sans autre forme de procès.
Oui, j'ai travaillé comme Conseiller Technique N°3 au ministère de la Communication dirigé par Guirassy de 2010 a 2012, puis à son Groupe IAM de 2012 à 2017.
Je l'appelle à se rendre à Canossa, après qu'il ait fait le mort (le Maure?), fait la sourde oreille aux canaux amiables, y compris à travers des membres de son parti
Aussi, nous nous retrouverons au tribunal compétent de Dakar, assistés de nos avocats respectifs.
Devant cet état de fait désolant, infamant pour lui et persistant à mon préjudice, je suis désormais de ceux qui pensent que M. Guirassy n'est plus légitime à donner des leçons de morale et à gérer les ceux qui s'occupent d'améliorer l'intellect et de construire les affects de nos chères petites têtes crépues, au sein de l'Education Nationale, corps dans lequel j'ai servi avec enthousiasme et abnégation pendant deux années comme jeune fonctionnaire, à l'âge de 23 ans avant de reprendre mes études supérieures et de changer de carrière
Jub. Jubal. Jubanti ? Il faut que Guirassy Jub té Jubal. Moi, j'ai bien la ferme volonté de faire en sorte que soit Jubanti M. Moustapha Guirassy.
Vive la Justice. Vive la République. Vive le Senégal
VOTER POUR L’ANCIEN RÉGIME, C’EST CONDAMNER LE SÉNÉGAL AU RECUL, SELON BOUBACAR CAMARA
Le leader du parti Tabax, a affirmé son soutien à Pastef pour les prochaines législatives, avertissant qu'un retour de l'opposition à l'Assemblée nationale serait un "recul pour le pays"
Boubacar Camara, leader du parti Tabax (Construire), a, exprimé son soutien à la liste de Pastef pour les élections législatives à venir. Selon lui, confier l’Assemblée nationale à l’opposition, incarnée par l’ancien régime de Macky Sall, serait un « recul pour le pays » et un frein à la réalisation de la vision du président Bassirou Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmane Sonko.
Invité de l’émission Champ Contre Champ de la RTS ce jeudi, Boubacar Camara a souligné que les Sénégalais ont montré leur confiance dans le nouveau régime en votant pour Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko lors de l’élection présidentielle. Pour lui, le peuple a sanctionné l’ancien régime, « accusé de mauvaise gouvernance », comme en témoigne le résultat du scrutin du 24 mars dernier. Il a appelé les électeurs à maintenir cette dynamique en offrant à Pastef une majorité absolue à l’Assemblée nationale, condition essentielle pour concrétiser les projets ambitieux du nouveau gouvernement.
Pour Boubacar Camara, accorder la majorité à l’opposition serait un retour à une gouvernance marquée par le « chaos » et les pratiques qu’il juge néfastes de l’ancien régime. Il met en garde contre les risques de laisser l’Assemblée nationale sous l’influence de l’opposition, qualifiant ce choix d’« obstacle à la rupture systémique » nécessaire pour un « nouveau départ ».
Le leader de Tabax a réitéré son soutien total à la vision « Sénégal 2050 », portée par Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko, une vision qu’il décrit comme étant axée sur la justice, la compétence et la prospérité du pays.
« Nous sommes prêts à faire bloc avec Pastef pour une victoire éclatante lors des législatives », a-t-il déclaré. Selon lui, le Sénégal doit choisir entre « une rupture pour un Sénégal souverain, juste et prospère » et la continuité d’un système qu’il qualifie de « parasitaire ».
M. Camara a appelé les Sénégalais à entériner cette rupture lors des élections législatives du 17 novembre 2024. « Si nous n’enterrons pas ce système, le développement du Sénégal restera une chimère », a-t-il averti, insistant sur la nécessité de tourner définitivement la page d’une gouvernance qu’il décrit comme étant à l’origine de la pauvreté et de l’insécurité dans le pays.
Boubacar Camara a également exhorté les Sénégalais à faire preuve de patience et à ne pas juger trop rapidement les actions du nouveau régime, qu’il estime encore trop jeune pour faire l’objet d’un bilan exhaustif. « Il est trop tôt pour tirer des conclusions », a-t-il insisté, tout en affirmant que la priorité est désormais de garantir une majorité à Pastef afin de permettre au gouvernement de travailler efficacement pour répondre aux aspirations du peuple.
MOUSSA BOCAR THIAM APPELLE À L’ACTIVATION DU PLAN ORSEC FACE AUX INONDATIONS À MATAM
Indigné par l'ampleur des dégâts causés par les récentes inondations à Matam, le maire de Ourossogui a dénoncé l'inaction des autorités. Il appelle à l'aide aux villages sinistrés, soulignant l'urgence d'une intervention rapide et efficace.
Le maire de Ourossogui, Moussa Bocar Thiam, a exprimé son indignation face aux ravages causés par les récentes inondations dans la région de Matam.
Dépassé par l’ampleur des dégâts, il a dénoncé l’indifférence des autorités et a appelé à une action immédiate pour venir en aide aux sinistrés.
Dans une déclaration faite sur les ondes de la RFM, Bocar Thiam a souligné l’urgence de déclencher le plan ORSEC, un dispositif d’organisation des secours en cas de catastrophe.
« Je tiens à apporter mon soutien à tous ces sinistrés de la région de Matam. La question que tout le monde se pose ici à Matam, c’est pourquoi des moyens colossaux ne sont pas déployés immédiatement ? Pourquoi un plan ORSEC n’est-il pas déclenché pour sauver ces villages engloutis par les eaux ? », a-t-il déclaré.
L’ancien ministre de la Communication a également critiqué les visites de certains ministres qui semblent ignorer les autres villages touchés par les inondations.
« On ne peut pas comprendre les visites de certains ministres ignorant les autres sinistres qui sont dans les autres villages de Matam et qui sont en détresse. Ce matin même, le village de Belly Diallo est complètement dévasté et il n’y a aucune assistance », a-t-il ajouté, exprimant ainsi son inquiétude pour les habitants laissés sans aide.
La situation à Matam reste préoccupante, et les appels à l’action se multiplient alors que les communautés touchées attendent désespérément une réponse adéquate des autorités.
SENEGAAL KESE DÉCHIRE L’AGENDA 2050
"Entre impréparation et incongruités" : c'est le constat sans appel que dresse la Coalition à propos du nouveau référentiel. Elle dénonce un Plan de Radotage pour Obnubiler la Jeunesse, les Électeurs, et de Tromperie (Projet)
"Entre impréparation et incongruités" : c'est le constat sans appel que dresse la Coalition Senegaal Kese-Amérique du Nord à propos de l'Agenda National de Transformation 2050. Dans l'analyse fouillée ci-dessous, le collectif pointe du doigt les nombreuses failles du document présenté par le gouvernement sénégalais, remettant en question la crédibilité du fameux "projet" du Pastef.
Enfin, le gouvernement du Sénégal vient de rendre publique sa vision à travers le « Sénégal 2050 : Agenda National de Transformation » (ANT). Sur la forme, la divulgation officielle de l’ANT vient confirmer, au peuple sénégalais, que le « projet » était une chimère. Sur le fond, le référentiel rendu public présente de nombreuses incongruités et incohérences.
Le « Projet » ou Plan de Radotage pour Obnubiler la Jeunesse, les Électeurs et de Tromperie (Projet)
Pendant 10 ans, comme une ritournelle, le « projet », prêt à l’emploi, rédigé par plus de 4 000 experts allait être la potion magique qui permettrait au Pastef, aussitôt arrivé au pouvoir, de faire disparaître, illico presto, tous les maux, calamités et prévarications dont souffre le Sénégal. Notamment le chômage endémique des jeunes, la cherté du coût de la vie, les inondations récurrentes, la dégradation du système éducatif, le pillage des ressources naturelles, le bradage des ressources minières, etc. Il a fallu attendre plus de six mois, après son installation, pour que le gouvernement daigne lever un coin de voile sur ce qu’il présente comme son référentiel des politiques publiques pour le prochain quart de siècle. Cela a été long et il a fallu un décisif coup de main d’un cabinet de stratégies et de conseils pour y arriver. Même si le Premier ministre affirme que le responsable de ce cabinet est « venu dans un élan patriotique offrir sa contribution dans cette phase d'élaboration du référentiel », il demeure important, au nom de la transparence dont se targuent nos dirigeants actuels, que toutes les clarifications soient apportées sur le travail accompli par ce cabinet notamment s’il a été rétribué par l’État ou non. Et, dans l’affirmative, dire comment a-t-il été sélectionné et combien a-t-il été payé pour ses prestations ?
Nombreux ont été les Sénégalais surpris et interloqués de voir le responsable de ce cabinet de stratégies et de conseils présenter les grandes lignes du « projet » en lieu et place du représentant ou du coordonnateur des 4 000 cadres qui l’auraient élaboré. Plusieurs militants et souteneurs inconditionnels du gouvernement n’ont pu cacher leur désappointement et leurs désillusions. Certains n’ont pas hésité à exprimer le sentiment de trahison qui les habitent après avoir assisté à cette cérémonie irréaliste en ayant une pensée pieuse pour les nombreux jeunes qui avaient sacrifié leur vie en étant convaincus de l’existence du « projet » et de son caractère salvateur pour le Sénégal. Des victimes dont le sacrifice s’est révélé inutile. En définitive, le « Projet » s’est révélé, dans la réalité, comme un Plan de Radotage pour Obnubiler la Jeunesse, les Électeurs et de Tromperie (PROJET). Un plan qui a obnubilé, c’est-à-dire qui s’est accaparé de l'esprit, de la pensée et du raisonnement des populations, plus spécifiquement ceux des jeunes, de manière à les priver de discernement et de lucidité ainsi que de cultiver la haine et la détestation de l’autre.
La présentation du projet « Sénégal 2050 » plus d’un mois après la dissolution de l’Assemblée nationale confirme, a posteriori, que derrière tout le cirque médiatique et politique, volontairement orchestré autour de la Déclaration de politique générale (DPG) que devait effectuer le Premier ministre, n’était qu’un simple bluff pour soustraire celui-ci à une obligation constitutionnelle, car, en vérité, il n’était pas prêt !
Il y a quelques semaines, le gouvernement présentait la situation de l’économie sénégalaise à l’aide de chiffres provisoires. Ce qui a valu au Sénégal une dégradation de sa note de crédit par l'agence de notation Moody's qui la fait passer de « Ba3 » (perspective stable) à « B1 » (sous surveillance). Ce qui constitue une atteinte à la réputation financière du pays avec son cortège de conséquences négatives dans l’immédiat notamment le renchérissement du coût de l’emprunt et la baisse de l’attractivité des investissements. Avec la présentation de la vision « Sénégal 2050 », le gouvernement récidive avec un référentiel provisoire et incomplet. Cette propension du gouvernement à faire des communications institutionnelles sur la base de chiffres et/ou documents provisoires démontre son manque de professionnalisme et renseigne sur son degré d’impréparation pour conduire les affaires du pays.
Entre impréparation et incongruités
Plusieurs incongruités et incohérences, et pas des moindres, sont décelées dans la présentation de la vision « Sénégal 2050 », tant il manque de cohérence entre l’objectif final visé, à savoir la transformation systémique du pays, et les voies que compte prendre le gouvernement pour y arriver. À titre illustratif, quelques-unes de ces incongruités et incohérences sont données ci-dessous :
« La vision Sénégal 2050 est assise sur un pacte national » (ANT, p. 7) : cela est une fausseté, car un pacte signifie un accord formel (écrit). Lorsqu’on parle de « pacte national », cela suppose la conclusion d’un accord entre toutes les forces vives de la Nation. Dans le cas du « Sénégal 2050 », aucun segment de la société n’a été associé à la démarche d’élaboration du référentiel. C’est la critique la plus répandue formulée par une partie des forces sociales notamment la société civile et les organisations syndicales. Le référentiel divulgué est le fruit du travail d’une poignée de personnes. Une œuvre qui se voudrait transformatrice, s’accompagne d’une implication et d’une participation de toutes les parties prenantes concernées. C’est cela qui faciliterait l’adhésion des parties prenantes aux politiques qui vont découler du référentiel ainsi que leur appropriation, puis leur mise en œuvre. En effet, sur les 18 496,83 milliards FCFA dont l’État du Sénégal aura besoin pour financer son plan quinquennal de développement 20252029, les 14,1 % seraient attendus du secteur privé et les 23,6 % proviendraient des Partenariats Public-Privé (PPP). En valeurs absolues, pas moins de 5 700 milliards de francs CFA sont attendus du secteur privé pour assurer le financement du plan. Il est, par conséquent, absurde et illogique de ne pas associer ce secteur privé dans la démarche d’élaboration d’un référentiel dont la mise en œuvre des politiques et programmes qui en seraient issus dépendrait de sa contribution. C’est pourquoi, il est apparu étonnant, voire inexplicable d’avoir constaté l’absence des deux principaux responsables du patronat sénégalais (CNP et CNES) à la cérémonie officielle de présentation du référentiel » ;
Un référentiel qui comporte plusieurs dimensions manquantes : il est étonnant de constater, dans une œuvre qui se voudrait transformatrice de toute la société sénégalaise sur une période de 25 ans que des questions aussi importantes que celles liées à la culture ou à la gestion de notre mémoire collective à travers une prise en charge adéquate de nos legs historiques et patrimoniaux. La culture et la mémoire collective doivent accompagner toute œuvre transformatrice d’une société, car permettant notamment de sauvegarder son identité et son histoire, des signes qui distinguent celle-ci du reste du monde. Ces importantes lacunes montrent, à suffisance, l’absence d’une approche globale, holistique et systémique ;
Omerta sur la politique monétaire à mener. L’œuvre de transformation systémique de l’économie sénégalaise, de façon « souveraine et patriotique » ne pourrait se faire sans que notre pays ne dispose d’une marge de manœuvre quant à l’utilisation de la monnaie comme instrument de politiques économiques. Or, rien n’a été dit sur la souveraineté monétaire du Sénégal. Un non-dit qui cache des ambiguïtés qui mériteraient d’être levées ;
Un modeste taux de croissance moyen prévisionnel de 6,5 à 7%, entre 2025 et 2029. Avec un tel taux de croissance, il serait illusoire de penser aboutir à une transformation systématique de l’économie sénégalaise au bout des 25 ans projetés. En effet, l’histoire économique enseigne que toutes les Nations qui se sont transformées s’adossaient sur des taux de croissance à deux chiffres !
Il serait illusoire de croire à des résultats différents tout en utilisant les mêmes vieilles recettes qui ont toutes échouées avec de surcroît moins de talent qu’auparavant. Nous ne sommes pas condamnés à la médiocrité. En définitive, ce nouveau référentiel “provisoire”, présenté en grande pompe, n’avait que pour seul objectif la volonté de faire miroiter aux populations un semblant de « Projet » pour continuer à les tromper. Les prochaines élections législatives ne feront pas exception.