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15 septembre 2025
ON A DE BONS JOUEURS POUR FAIRE LE BOULOT ET GAGNER LES TROIS MATCHS
Après avoir démarré sa préparation ce mardi, le sélectionneur national Ngagne De Sagana Diop a fait le point sur la préparation et décliné l’objectif des Lions
L’équipe nationale du Sénégal sera l’hôte de la fenêtre 2 des éliminatoires de l’Afrobasket masculin «Angola 2025 » prévue du 22 au 24 novembre à Dakar Arena. Après avoir démarré sa préparation ce mardi, le sélectionneur national Ngagne De Sagana Diop a fait le point sur la préparation et décliné l’objectif des Lions qui est de remporter les trois matchs du groupe C et de prendre une sérieuse option avant la dernière fenêtre prévue en février prochain. Dans cet élan, le sélectionneur national estime que malgré quelques joueurs clés, l’équipe du Sénégal dispose de bons joueurs pour faire le job à domicile.
L’équipe du Sénégal est en place pour la fenêtre 2 des éliminatoires de l’AfroBasket « Angola 2025 » que le Sénégal accueille du 22, 23 et 24 novembre. Le Sénégal accueillera dans le groupe C, le Gabon, le Rwanda et le Cameroun. .
En préparation depuis ce mardi 19 novembre, le sélectionneur Ngagne Desagana Diop a affiché l’ambition de remporter les trois matchs et maximiser ses chances de qualification lors de la fenêtre 2 prévue en février prochain. « Notre objectif est de finir premier de notre poule. Il y a une autre fenêtre qui va être jouée au mois de février. En ce moment, on se concentre sur notre premier match contre le Rwanda. Il faut gagner ce match. Les joueurs sont concentrés. Il faut que les supporters viennent nous supporter. C’est l’équipe nationale et cela fait longtemps que l’on n’a pas jouer avec notre public. On en a besoin pour gagner les trois matchs », a-t-il relevé hier, en marge de son deuxième jour de regroupement. « On a quatre jours pour se préparer. En ce moment, on se concentre sur nous. On va commencer ce jeudi (aujourd’hui, Ndlr) avec les séances vidéos. Le premier match contre le Rwanda ne sera pas facile comme tous les autres. Elles ont tous venues pour gagner. Le Cameroun nous a éliminés lors de la finale du tournoi de préqualification olympique. Ils ont une très bonne équipe. Ce ne sera pas facile mais nous seront prêts », a-t-il souligné. «Beaucoup de joueurs ont joué dimanche et étaient fatigués. On s’est entrainés ce mardi. On a fait une bonne séance d’entrainement. On a eu Jean Jacques Boissy qui amène de l’intensité quand il est avec nous. On a travaillé les systèmes offensifs et défensifs », confié-t-il.
Le coach du Sénégal a toutefois relevé de grands absents dans son groupe. « Certains joueurs ne peuvent pas venir. Il s’agit de Khalifa Diop, Ousmane Ndiaye et Mbaye Ndiaye, leurs équipes joueront ce weekend. Il y a des joueurs qui jouent en Euroligue dont le calendrier n’est pas le même avec celui de la FIBA. Il y a aussi Ibrahima Fall Faye qui joue en Chine mais qui est blessé au genou. Il nous manque», précise-t-il avant de se ravir des retours de Jean Jacques Boissy, Pape Moustapha Diop et Youssou Ndoye dans le groupe. En somme, le Sénégal est prêt et dispose, selon lui, de bons atouts pour remporter son tournoi. « C’était bon de voir Jean Jacques Boissy à l’entrainement hier (mardi, Ndlr), c’est un joueur qui apporte beaucoup d’énergie. Youssou est un vétéran, il a de l’expérience. Hier (mardi, Ndlr), à l’entrainement, il était en train de parler avec Gora et Amar. Pape Moustapha est un joueur que j’aime bien, qui défend bien et qui est très athlétique. Je suis ravi qu’ils soient avec nous. Mouhamed Camara qui est en NBA Academy était là et j’aime beaucoup son jeu. Nous avons aussi Makhtar Gueye qui est en bonne forme. Tout comme Karim Mané. On a de bons joueurs pour faire le boulot et gagner les trois matchs » a rassuré le technicien sénégalais.
FERTILITE ET SANTE DES SOLS DES ACTEURS MOBILISES POUR DES SOLUTIONS ADAPTEES
Les spécialistes des engrais et des sols, engagés dans la promotion d’une agriculture productive et durable, se sont réunis à Dakar les 19 et 20 novembre 2024. L’objectif principal de cette rencontre était de définir des solutions adaptées aux besoins
Les spécialistes des engrais et des sols, engagés dans la promotion d’une agriculture productive et durable, se sont réunis à Dakar les 19 et 20 novembre 2024. L’objectif principal de cette rencontre était de définir des solutions adaptées aux besoins spécifiques des pays d’Afrique de l’Ouest et du Sahel.
Face au défi croissant de la souveraineté alimentaire, la question cruciale de la fertilité et de la santé des sols s’impose avec acuité. C’est dans ce cadre qu’un atelier national du Hub pour les engrais et la santé des sols en Afrique de l’Ouest et au Sahel a été organisé à Dakar. Ce hub constitue une plateforme dédiée à la collecte et à l’analyse des besoins des pays de la région, dans le but de proposer des réponses collectives et coordonnées. L’enjeu est d’identifier des solutions concrètes et efficaces pour renforcer la production et la productivité agricoles dans ces zones.
Bocar Diagana, économiste agricole et représentant du Centre international pour le développement des engrais (IFDC) au Sénégal, a replacé ces enjeux dans leur contexte global. Il a déclaré : «Le Sénégal fait face au défi majeur de la souveraineté alimentaire. Pour y parvenir, il est essentiel de produire suffisamment pour nourrir les populations. Cette production repose sur des sols fertiles, eux-mêmes nécessitant un entretien et un enrichissement constants.»
M. Diagana a également souligné que «la santé des sols est une priorité incontournable face aux défis liés aux changements climatiques, aux perturbations sociopolitiques et aux difficultés d’approvisionnement en intrants agricoles. D’où l’importance d’investir dans des sols sains, capables de soutenir une productivité agricole accrue et, par là-même, de garantir la souveraineté alimentaire.»
Il a, en outre, insisté sur la nécessité d’une «synergie entre les compétences techniques et les actions des institutions internationales spécialisées en agronomie, en sciences des sols et en formation. En combinant ces expertises à des investissements nationaux, appuyés par une assistance technique et financière, les objectifs de développement agricole peuvent être atteints.»
El Hadji Mamadou Ass Thiane, conseiller juridique au ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage, représentant le ministre lors de cet atelier, a rappelé l’importance stratégique de ce Hub régional. Il a déclaré que cette initiative permet au ministère de mobiliser des ressources financières au bénéfice des producteurs et du gouvernement sénégalais.
«Ce fonds vise à améliorer l’équipement et la formation des agriculteurs afin de leur permettre d’atteindre les objectifs de production agricole. Par ailleurs, il est attendu un impact financier significatif qui contribuera à stimuler la production nationale. À terme, ces efforts devraient réduire de manière substantielle les importations de produits alimentaires, lesquelles s’élèvent actuellement à 1 000 milliards de francs CFA par an», a-t-il affirmé.
Pour mémoire, cet atelier national du Hub pour les engrais et la santé des sols en Afrique de l’Ouest et au Sahel, organisé les 19 et 20 novembre 2024 à Dakar, s’inscrit dans la continuité du lancement technique de ce Hub régional, qui s’était tenu les 27 et 28 juin 2024 à Ibadan, au Nigeria.
LE PARI GAGNANT DE SONKO
En choisissant de faire cavalier seul, le parti présidentiel brise une tradition vieille de 23 ans où seules les coalitions triomphaient. Un exploit qui n'avait plus été réalisé depuis le Parti socialiste en 1998
Le parti Pastef brise le signe indien en remportant les législatives anticipés du17novembre dernier devant des coalitions de partis politiques. En effet, depuis 2001, aucun parti politique au Sénégal n’a remporté une élection générale tout seul.
Bientôt la fin du suspense autour des résultats provisoires des législatives anticipés du 17 novembre dernier. En effet, en conclave depuis hier, mercredi 20 novembre à la salle 4 du Palais de Justice Lat Dior de Dakar, c’est demain vendredi 22 novembre au plus tard à minuit que la Commission nationale de recensement des votes livrera les premières statistiques provisoires de ce scrutin plein d’enseignements.
En effet, outre sa spécificité de premier scrutin anticipé de l’histoire politique du Sénégal, ces législatives renouent avec une tradition. Celle de la victoire d’un parti politique non coalisé, le Pastef qui a réussi une razzia devant plusieurs coalitions de partis politiques, selon les premières tendances publiées par les différentes commissions départementales de recensement des votes. En décidant d’aller à ces législatives sous la seule bannière du Pastef, son président, Ousmane Sonko n’a pas fait que sécuriser les sièges qu’il a obtenu lors de ces législatives. Il a aussi replacé son parti au cœur du jeu politique.
La dernière victoire d’un parti politique aux législatives remonte à 1998. C’était le Parti socialiste. Depuis cette date, toutes les différentes élections législatives ont été remportées par des coalitions composées de plusieurs partis et/ou mouvements politiques. Apparues sur la scène politique sénégalaise en 2000 lors du processus électoral qui a conduit à la première alternance politique, les coalitions politiques sont entrées dans les mœurs politiques à la veille d’élection puis consolidées au point de reléguer au second plan les partis politiques dans les compétitions électorales. Depuis lors, des leaders de partis préfèrent se ranger dans la coalition au lieu d’aller à la conquête des suffrages.
C’est ainsi, que les premières législatives organisées en 2001 après la présidentielle de 2000 furent remportées par la Coalition Sopi. Cette coalition regroupait essentiellement des partis de gauche, réunis autour de Me Abdoulaye Wade, un Libéral. Les plus connus, le Parti démocratique sénégalais (PDS), la Ligue démocratique (LD/) avaient été accompagnés par d’autres formations politique de moins envergure. En 2007 sur les 14 listes qui étaient en compétition, 4 étaient des coalitions dont la coalition Sopi au pouvoir. Elle était sortie victorieuse des Législatives, après que l’opposition a décidé de les boycotter. Il en est de même lors des législatives de 2012 où on avait 24 listes en compétitions dont plusieurs étaient des coalitions. En 2017 également, sur les 47 listes en compétition, il y avait seulement quelques partis politiques. Toutes les autres listes étaient des coalitions.
DU PATURAGE À L’ÉVÊCHÉ
L'Église catholique de Ziguinchor s'apprête à vivre un moment historique avec l'ordination de son cinquième évêque. Monseigneur Jean-Baptiste Valter Manga, enfant du terroir façonné entre rizières et pâturages d'Oussouye, accédera à l'épiscopat ce samedi
L’ordination épiscopale de Monseigneur (Mgr) Jean Baptiste Valter Manga, évêque nommé de Ziguinchor, est prévue ce samedi 23 novembre au petit séminaire Saint-Louis de Ziguinchor. A la suite de cette cérémonie, Mgr Manga prendra possession de son office en la cathédrale Saint-Antoine de Padoue au cours d’une messe le lendemain. En attendant le sacre, abbé Roger Gomis, du diocèse de Dakar, revient sur la trajectoire providentielle de Mgr Manga. Portrait !
Entre rizières et pâturages du Kassa, dans le département d'Oussouye, s'élève un homme. Mgr Jean-Baptiste Valter Manga n'est pas seulement le nouveau visage de l'église diocésaine de Ziguinchor. Il est aussi l'incarnation vivante d'une promesse : celle d'une foi enracinée dans sa terre natale, nourrie par l'histoire de son peuple et portée par une grâce inébranlable. Dans les terres ancestrales du Kassa, entre Carounate et Oukout, se dessine le portrait d'un homme dont le destin dépasse les horizons villageois. Mgr Jean-Baptiste Valter Manga, cinquième évêque du diocèse de Ziguinchor, incarne une histoire où la grâce divine et l'engagement personnel se rencontrent.
Les racines de sa vocation plongent dans un terreau familial unique. Son père, Etienne Manga, né dans la religion traditionnelle, s'est converti au catholicisme lors de son service militaire en France. Sa mère, Lucie Assine, est issue de l'une des premières familles catholiques d'Oukout. Un métissage culturel et spirituel qui marquera profondément sa jeunesse.
Son enfance à Oussouye se tisse entre tradition et foi. Pendant que les autres enfants jouent, Jean-Baptiste partage son temps entre l'école et le pâturage. Passionné par la garde du troupeau familial, il développe très tôt un sens aigu de la responsabilité. Plus tard, les rizières viendront compléter ses occupations hivernales, façonnant sa résilience et son rapport à la terre.
En 1986, un premier pas décisif : admis en 6e au Séminaire Saint-Louis de Ziguinchor, il commence un parcours qui le conduira progressivement vers sa mission. Son passage au séminaire ne sera pas qu'académique. Déjà, sa passion pour l'écriture et le journalisme se manifestent. Avec son compagnon Habib Ampa Dieng, il crée plusieurs journaux satiriques : « Ukaanaal Bu », « La Lorgnette », « Wagaan le téméraire », révélant un esprit critique et créatif.
Ordonné diacre le 2 janvier 2000, puis prêtre le 28 décembre de la même année, il devient formateur au séminaire Saint Louis. (Un diacre occupe une fonction de service c’est-à-dire qu’il assiste l’évêque ou le prêtre à la célébration de la messe.)
Ses talents d'enseignant le portent à transmettre les mathématiques et les sciences naturelles. Parallèlement, il anime des émissions religieuses à la radio et préside la commission des vocations de 2004 à 2006. Conscient de ses capacités intellectuelles et de sa soif de connaissance, Mgr Maixent Coly, son évêque d'alors, le pousse vers de nouveaux horizons. En France, il approfondit sa formation. Une licence canonique en théologie biblique au Collège des Bernardins, puis une thèse en ethnologie-anthropologie à l'EHESS sur la royauté à Oussouye, démontrent sa capacité à croiser savoirs académiques et traditions locales.
Successivement Curé de la paroisse Saint Benoît de Néma, Curé doyen de Ziguinchor, professeur d'anthropologie, Vicaire épiscopal, il accumule les responsabilités avec une constance remarquable. En octobre 2023, il devient Vice-Recteur du Grand Séminaire Saint Jean Marie Vianney de Brin, dernière étape avant son élévation épiscopale. Le 20 juin 2024 marque un tournant décisif : Mgr Jean-Baptiste Valter Manga est officiellement nommé cinquième évêque du diocèse de Ziguinchor. Cette nomination, qui survient alors qu'il est Vice-Recteur du Grand Séminaire Saint Jean-Marie Vianney de Brin et Vicaire dominical à la paroisse du Bon Pasteur d'Enampore, ne fait que confirmer ce que sa trajectoire laissait pressentir : un homme façonné par sa terre, son histoire et sa foi, désormais appelé à guider tout un diocèse.
Le choix du Pape François de le placer à tête du diocèse de Ziguinchor se révèle comme une évidence providentielle. Comment mieux comprendre cette grâce divine sinon en contemplant les symboles qu'il a lui-même choisis pour ses armoiries ? En effet, chaque élément raconte déjà sa mission pastorale. Le rônier, arbre majestueux de sa terre natale, symbolise le soutien, la protection et la nourriture - trois piliers de sa mission pastorale. Le berger avec son bâton rappelle son enfance mais évoque surtout sa nouvelle mission : guider, protéger et rassembler son troupeau avec bienveillance. Le riz et le kadiandou, outils traditionnels de la culture locale, représentent le travail et la persévérance nécessaires pour nourrir tant les corps que les âmes.
Cette symbolique puissante révèle un homme profondément ancré dans sa culture, conscient des défis de sa mission, mais confiant dans la grâce divine, comme le rappelle sa devise épiscopale "Dieu fait grâce" (Lc 1,13). Son parcours, du jeune berger de Carounate à l'évêque de Ziguinchor, témoigne de ce don qu'il reconnait avec humilité.
Alors qu'il s'apprête à devenir le cinquième évêque de Ziguinchor, Mgr Manga apporte avec lui la richesse de son héritage culturel, la profondeur de sa formation intellectuelle, et la force de sa foi. Son histoire nous rappelle que les grands arbres, comme le rônier de ses armoiries, puisent leur force dans leurs racines profondes pour mieux s'élever vers le ciel.
Le 23 novembre 2024 marquera certainement plus qu'une ordination : l'accomplissement d'un parcours où chaque expérience a préparé cet homme à sa mission.
Mgr Manga n'est pas seulement un évêque. Il est également un récit vivant, un témoignage que les chemins se tracent par-delà nos imaginaires les plus étroits. Un berger est né, un évêque est là, et avec lui, toute une communauté s'apprête à écrire une nouvelle page de son histoire.
LES DIRECTIVES DE BASSIROU DIOMAYE FAYE
Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a demandé à son gouvernement de veiller à la préservation de l’intérêt des producteurs lors de la campagne de commercialisation arachidière.
Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a demandé à son gouvernement de veiller à la préservation de l’intérêt des producteurs lors de la campagne de commercialisation arachidière. Mieux, en Conseil des ministres qu’il a présidé hier, mercredi 20 novembre 2024, au Palais de la République, le Chef de l’Etat a appelé ses ministres à prendre les mesures nécessaires en vue de la fixation du prix du kilogramme d’arachide au producteur. Un Conseil interministériel sur la campagne est aussi annoncé.
En Conseil des ministres hier, mercredi 20 novembre 2024, le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a demandé au Gouvernement de veiller à la préservation des intérêts des producteurs, à la juste rémunération de leurs productions et au développement de l’industrie nationale dans une perspective de consolidation de la souveraineté économique. Il a demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions idoines en vue de la fixation adéquate du prix du kilogramme d’arachide au producteur. Le Chef de l’État a, par ailleurs, invité le Premier ministre et les ministres chargés de l’Agriculture et de l’Industrie à définir, dans le consensus avec les opérateurs et les industriels du secteur, une méthode d’intervention sur les marchés de l’arachide. Ce qui permettra, à son avis, d’assurer la sécurisation des revenus des producteurs etla modernisation de l’outil industriel de transformation locale de la production arachidière nationale. Pour clore ce chapitre, il a demandé au Premier ministre de tenir, dans les meilleurs délais, un Conseil interministériel sur la campagne de commercialisation agricole.
SOUTENIR DAVANTAGE L’ORGANISATION DE LA BIENNALE ET PROMOUVOIR L’ACQUISITION D’ŒUVRES D’ART PAR L’ETAT DE NOS ARTISTES
Parlant de la Biennale de l’Art africain contemporain, le président de la République a félicité le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, le Secrétaire d’État à la Culture, aux Industries créatives et au Patrimoine historique, le président du Comité d’orientation de la biennale et toute la communauté culturelle qui s’est mobilisée pour assurer le succès de cet évènement majeur pour le Sénégal et l’Afrique. Il a, d’ailleurs, invité le Gouvernement à soutenir davantage l’organisation de la biennale, dont la prochaine édition, en 2026, coïncidera avec les Jeux Olympiques de la Jeunesse. Il a aussi indiqué au Premier ministre et au ministre des Finances et du Budget, l’importance de promouvoir l’acquisition d’œuvres d’art par l’Etat et la décoration des bâtiments publics par les peintures, tapisseries et autres produits de nos artistes. A cet effet, il a demandé au ministre de la Culture d’intensifier la modernisation et les productions des Manufactures des Arts décoratifs, installées à Thiès, et d’engager une réflexion sur le mécénat pour davantage promouvoir l’Art sénégalais. Il a souligné la nécessité de développer une économie dynamique autour des Arts et de la Culture et de revitaliser la création artistique par l’exécution d’un Plan concerté de transformation de l’École nationale des Arts et Métiers de la Culture.
80EME ANNIVERSAIRE DU «MASSACRE DE THIAROYE», A LA MEMOIRE DES TIRAILLEURS SENEGALAIS ET DE NOS ANCIENS COMBATTANTS
Le Sénégal va commémorer, le 1er décembre 2024, le 80ème anniversaire des évènements relatifs au «massacre de Thiaroye». A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Premier ministre et au ministre des Forces Armées de finaliser les activités préparatoires de cette grande manifestation internationale, à la mémoire des Tirailleurs sénégalais et de nos anciens Combattants. Ces derniers, dont les parcours héroïques doivent être enseignés aux jeunes générations, ont fortement contribué à la défense de la liberté, à la dignité et à l’indépendance des pays africains. Il a rappelé au gouvernement son attachement particulier à la mise en œuvre optimale, selon les séquences temporelles et les priorités sectorielles définies, de la vision d’un Sénégal souverain, juste et prospère à l’horizon 2050. Il a indiqué la nécessité d’une transformation systémique cohérente et pragmatique du Sénégal. Ce défi collectif passe, à son avis, par la prise en charge notable des urgences économiques et sociales, la lutte contre la cherté du coût de la vie et l’augmentation du pouvoir d’achat des ménages, l’accès aux services sociaux de base, le développement de l’employabilité et de l’emploi des jeunes, l’amorçage du «new deal technologique», la promotion des territoires pour en faire des bassins d’innovations, de relance et de dynamisation de l’économie nationale, notamment dans les secteurs moteurs de l’agriculture, de l’élevage, du tourisme, des mines et des hydrocarbures.
LE PROJET DE LOI DE FINANCES 2025 EXAMINE DANS DES DELAIS EXCEPTIONNELS
Après avoir salué le déroulement des élections et félicité la tête de liste de la coalition présidentielle, il est revenu sur le rôle de l’Assemblée nationale et ses prérogatives qui intègrent le vote de la loi, le contrôle de l’action du Gouvernement et l’évaluation des politiques publiques conduites et coordonnées par le Gouvernement. Il a, dès lors, demandé au Gouvernement notamment au Premier ministre, au ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération et au ministre des Finances et du Budget de finaliser la présentation, en Conseil des ministres, du projet de loi de finances pour l’année 2025 qui va être examiné dans des délais exceptionnels. Il a, dans le même élan, magnifié la qualité du travail gouvernemental durant les huit mois.
MULTIPLE PHOTOS
LES UNES DE LA PRESSE DE CE JEUDI 21 NOVEMBRE 2024
Sud Quotidien, Le Témoin Quotidien, Le Soleil, Walf Quotidien, Le Quotidien, Yoor-Yoor Bi, Vox Populi, Libération, EnQuête, L'Observateur, L'As
KEEMTAAN Gi – ENFUMAGE
Celui qui a dirigé ce pays douze ans durant a-t-il du cœur ? Comment a-t-il pu réussir à nous endormir avec tous ces coups fumants que révèlent les médias locaux sans que cela ne soit démenti ? Comme on a pu être si naïfs quand il nous faisait la promesse d’une gestion sobre et vertueuse. Etait-il sincère quand il nous disait avoir le Sénégal au cœur? Ou avait-il le cœur et les yeux sur nos ressources ? Par ses prouesses sur le charcutage du foncier et des finances publiques, si ce n’est pas de la sorcellerie, il doit être un génie de l’enfumage. Mai à l’évidence, on pourrait dire qu’il nous a tous bernés. Au rythme où les scandales se retrouvent sur la place publique, on peut lui décerner la médaille d’or de l’entourloupette. En douze ans, il s’est révélé être un véritable génie des affaires. Les révélations de nos confrères du quotidien « Libération », relatives au grand banditisme sur le littoral et au partage de biens de l’Etat qui auraient été cédés à des personnes proches de l’-ex Chef ou de sa cour, ne doivent pas rester impunies. Il faut que l’Etat fasse rendre gorge à toutes ces personnes peu recommandables. On pourrait bien se demander ce qu’il serait advenu de ce pays s’il avait rempilé pour un troisième mandat illégal. De quoi mettre hors d’état de nuire toutes ces personnes qui s’égosillaient, le poussant dans la fosse aux « Lions ». Toutes ces frotte- manches portent le visage hideux de la transhumance des récentes Législatives pour lesquelles personne n’a senti leur apport positif. Ils étaient plutôt venus chercher refuge sous le parapluie du leader de Pastef. Il nous faudra nous débarrasser de cet éculé fatalisme que résume l’écrivain français Diderot. « Tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas est écrit là-haut ». C’’est en fait un des traits caractéristiques de ce fatalisme si sénégalais auquel on s’accroche comme une bouée de sauvetage. Notre libre arbitre ? De la foutaise ! Nous ne sommes responsables de rien. On détourne des biens qui ne nous appartiennent. C’était la volonté divine comme si on ne pouvait se retenir. On patauge dans l’argent sale. C’est Dieu ! En toute conscience, on se partage le foncier, procède au carnage de l’économie. C’est encore la volonté divine. Nous ne sommes responsables de rien. Il était écrit là- haut que ça arrivera. Il nous faudra nous départir de tout cela et de ce tout éculé « Massla » (Tolérance) et arrêter, juger et foutre tous les fautifs, complices et responsables de ce carnage sur nos ressources en prison. Sans état d’âme ! KACCOOR BI - LE TEMOIN
LEGISLATIVES/PODOR RACINE SY ECRASE AISSATA TALL SALL
Investie sur la liste nationale de la coalition «Takku Wallu Sénégal », l’ancienne ministre Aissata Tall Sall avait promis à son mentor Macky Sall qu’elle allait écraser la concurrence à Podor. Parmi ces ennemis jurés à écraser, le maire de Podor Mamadou Racine Sy et par ailleurs Président du Mouvement Alsar. Hormis le Pastef d’Ousmane Sonko, la conquête de la commune de Podor était une bataille dans la bataille opposant Racine Sy à Aissata Tall Sall. Au soir du 17 novembre, le Pastef a certes raflé la mise communale avec 1 556 voix. Il est talonné de près par le mouvement Alsar de Racine Sy avec 1.368 suffrages, suivi de la « Takku Wallu » de Macky Sall avec 1 220 voix. Pour « Le Témoin », la vraie info c’est la défaite de trop de Mme Aissata Tall Sall devant Racine Sy. Un coup ko !
CRIMINALITE : PLUS D’UNE TONNE DE YAMBA SAISIE PAR LA GENDARMERIE
Dans le cadre de la lutte contre le trafic et l’usage de stupéfiants, la gendarmerie nationale ne compte pas céder le terrain de la mort aux criminels. Sur instruction du haut commandement de la Gendarmerie, le Général Martin Faye, les pandores intensifient les opérations sur l’ensemble du territoire national. D’où la belle prise réalisée par la compagnie de Gendarmerie de Keur Massar à travers la brigade de la Zone Franche Industrielle dans la nuit du 18 au 19 novembre 2024. Il s’agit d’une importante saisie de 1.224 kilogrammes de chanvre indien (Yamba). A l’origine, l’exploitation d’un renseignement qui a abouti à l’interception d’un véhicule suspect transportant huit (08)sacs de 100 kilogrammes de chanvre indien. Le conducteur avait réussi à prendre la fuite, abandonnant sur place la marchandise illicite. Sur place, les enquêteurs ont pu identifier un domicile servant de cachette des produits prohibés. En faisant de cette opération d’une pierre deux coups, les gendarmes ont saisi quatre (04) autres sacs de 100 kg et douze (12) paquets de deux (02) kilogrammes de chanvre indien. A l’arrivée, deux (02) individus dont une (01) femme ont été interpellés et placés en garde à vue. L’enquête se poursuit
LE GOUVERNEMENT RAPPELE AUX DEFIS DE L’HEURE
Par ailleurs, le Président de la République a rappelé au Gouvernement son attachement particulier à la mise en œuvre optimale, selon les séquences temporelles et les priorités sectorielles définies, de la vision d’un Sénégal souverain, juste et prospère à l’horizon 2050. Il a indiqué la nécessité d’une transformation systémique cohérente et pragmatique du Sénégal. Ce défi collectif passe par la prise en charge notable des urgences économiques et sociales, la lutte contre la cherté du coût de la vie et l’augmentation du pouvoir d’achat des ménages, l’accès aux services sociaux de base, le développement de l’employabilité et de l’emploi des jeunes, l’amorçage du « new deal technologique », la promotion des territoires pour en faire des bassins d’innovations, de relance et de dynamisation de l’économie nationale, notamment dans les secteurs moteurs de l’agriculture, de l’élevage, du tourisme, des mines et des hydrocarbures.
LA LOI DE FINANCES 2025 EN URGENCE
Le Président de la République est revenu sur le rôle de l’Assemblée nationale et ses prérogatives qui intègrent le vote de la loi, le contrôle de l’action du Gouvernement et l’évaluation des politiques publiques conduites et coordonnées par le Gouvernement. Il a, dès lors, demandé au Gouvernement notamment au Premier Ministre, au Ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération et au Ministre des Finances et du Budget de finaliser la présentation en Conseil des ministres du projet de loi de finances pour l’année 2025 qui va être examiné dans des délais exceptionnels. Le Chef de l’Etat a, dans le même élan, magnifié la qualité du travail gouvernemental durant les huit mois précédents de cette année exceptionnelle où le Sénégal a organisé deux élections nationales majeures. Il a salué, à sa juste valeur, dans cette phase de rectification, d’ajustement et de reddition des comptes, la mobilisation exemplaire de chaque membre du Gouvernement.
MARCHE DE L’ARACHIDE DIOMAYE FAYE VEUT UN CONSENSUS ENTRE OPERATEURS ET INDUSTRIELS
Evoquant la campagne de commercialisation de la production agricole, le Président de la République a demandé au Gouvernement de veiller à la préservation des intérêts des producteurs, à la juste rémunération de leurs productions et au développement de l’industrie nationale dans une perspective de consolidation de la souveraineté économique. Il a demandé au Gouvernement de prendre toutes les dispositions idoines en vue de la fixation adéquate du prix du kilogramme d’arachide au producteur. Le Chef de l’Etat a, par ailleurs, invité le Premier Ministre et les Ministres chargés de l’Agriculture et de l’Industrie à définir, dans le consensus avec les opérateurs et les industriels du secteur, une méthode d’intervention sur les marchés de l’arachide. Ce qui permettra d’assurer la sécurisation des revenus des producteurs et la modernisation de l’outil industriel de transformation locale de la production arachidière nationale. Pour clore ce chapitre, il a demandé au Premier Ministre de tenir, dans les meilleurs délais, un Conseil interministériel sur la campagne de commercialisation agricole.
MASSACRE DE THIAROYE DATE DU 1ER DECEMBRE FIXEE
Le Sénégal va commémorer, le 1er décembre 2024, le 80ème anniversaire des évènements relatifs au « massacre de Thiaroye ». A cet égard, le Chef de l’Etat a demandé au Premier Ministre et au Ministre des Forces armées de finaliser les activités préparatoires de cette grande manifestation internationale, à la mémoire des Tirailleurs sénégalais et de nos anciens Combattants. Ces derniers, dont les parcours héroïques doivent être enseignés aux jeunes générations, ont fortement contribué à la défense de la liberté, à la dignité et à l’indépendance des pays africains. Le Premier ministre s’est félicité de la bonne prise en charge des travaux préparatoires de la commémoration, le 1e décembre 2024, du 80ème anniversaire du Massacre des Tirailleurs sénégalais à Thiaroye.
AFFAIRES ETRANGERES CHRISTIAN ALAIN J. ASSOGBA RETROUVE SON POSTE DE DIRECTEUR DU PROTOCOLE
La seule décision en termes de mesures individuelles incite à parler de Jubbanti. C’est au niveau du ministère des Affaires étrangères où une injustice a été corrigée par le président Diomaye Faye. Ce dernier a renommé Christian Alain Joseph ASSOGBA, conseiller des Affaires étrangères, matricule de solde n°611.446/Z, à son poste d’ambassadeur, directeur du Protocole, des Conférences internationales et de la Traduction. Il a été nommé par le chef de l’État Bassirou Diomaye Faye lors du Conseil des ministres tenu ce mercredi 20 novembre 2024. Il remplace monsieur Magaye GUEYE, appelé à d’autres fonctions, renseigne le communiqué. Pour la petite histoire l’ambassadeur Assogba a été nommé pour le même emploi le 09 février 2023 avant d’être viré le 24 janvier 2024. Ce qui avait fait un grand bruit dans les couloirs de la Place de l’Indépendance siège du ministère des Affaires étrangères. D’aucuns avaient dénoncé une chasse à la sorcière. L’ambassadeur Assogba peut danser pour avoir été rétabli dans ses droits diplomatiques.
LEGISLATIVES LE DR ALIOUNE DIOP DE MBAO APPELLE PASTEF AU TRAVAIL
Dr Alioune Diop est resté un homme de conviction. Il n’a jamais pensé faire dans la transhumance pour rejoindre Pastef. Mais néanmoins, il n’hésitera pas à féliciter les Patriotes qu’il invitera cependant au travail. « Je félicite la coalition Pastef et sa tête de liste pour cette victoire écrasante aux allures de plébiscite. Ce 17 novembre le peuple sénégalais a, encore une fois, administré la preuve de sa maturité politique et de la vitalité de notre démocratie. En choisissant d’accorder la majorité à la mouvance présidentielle incarnée par la liste PASTEF et dirigée par le PM Ousmane Sonko, les Sénégalais sont restés cohérents avec le choix exprimé le 24 mars dernier » a indiqué le responsable politique de l’APR Mbao. « Pour avoir donné une majorité aussi confortable, les Sénégalais ont envoyé un message aux vainqueurs pour leur dire vous l’avez demandé on vous l’accorde. Désormais vous avez les coudées franches pour une mise en œuvre diligente et efficiente du PROJET, au grand bonheur de tous les Sénégalais sans exclusion aucune. Aux autres, du côté de l’opposition, les électeurs les invitent à poursuivre leur activité dans une démarche responsable et respectueuse des règles du jeu démocratique. « Désormais au travail » c’est le principal message issu de ce scrutin du dimanche » a souligné le Dr Alioune Diop.
FISC DE LA PRESSE LE DG DES IMPOTS ABDOULAYE DIAGNE DEBLOQUE LES COMPTES
Le Directeur Général desimpôts et domaines Abdoulaye Diagne a décidé de débloquer les comptes des entreprises de presse. La décision a été révélée hier par Mamadou Ibra Kane président du Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS). Une véritable bouffée d’oxygène pour les entreprises de presse. « Les comptes des entreprises de presse ont été débloqués selon les instructions qu’il a données à ses services », a précisé Mamadou Ibra Kane. Il invite les « entreprises concernées à se rapprocher de leur centre fiscal pour obtenir la mainlevée ». « Me signaler les cas non encore résolus. M. Diagne reste à mon écoute pour régulariser la situation », a-t-il ajouté.
CAF AWARDS, L'ENTRAÎNEUSE MBAYANG THIAM, SEULE SÉNÉGALAISE NOMINÉE
Elle a dirigé la première équipe sénégalaise à avoir participé à la Ligue des champions féminine. L’équipe basée dans le quartier de la Médina à Dakar s’est arrêtée dès les phases de groupe.
Dakar, 20 nov (APS) – L’entraîneuse sénégalaise de l’équipe féminine de football des Aigles de la Medina (Sénégal), Mbayang Thiam est présélectionnée dans la catégorie entraîneur de l’année des CAF Awards 2024 prévus le 16 décembre 2024 à Marrakech, au Maroc, a appris l’APS mercredi de la Confédération africaine de football (CAF) rendu public.
L’équipe sénégalaise des Aigles de la Medina est aussi sélectionnée dans la catégorie clubs de l’année.
La Confédération africaine de football a dévoilé, mercredi, les listes des joueuses présélectionnées pour les sept catégories féminines des CAF Awards 2024, récompensant les meilleures sportives africaines de la saison écoulée.
Dix joueuses ont été présélectionnées dans chacune des sept catégories. Il s’agit de la joueuse africaine de l’année, de la joueuse interclubs de l’année, de la gardienne de but de l’année, de l’entraîneuse de l’année, de l’équipe nationale de l’année, du club de l’année et de la jeune joueuse de l’année de la CAF.
Dans la catégorie entraîneur de l’année figure une sénégalaise. Il s’agit de l’entraîneuse des Aigles de la Medina (Sénégal), Mbayang Thiam. Elle a dirigé la première équipe sénégalaise à avoir participé à la Ligue des champions féminine. L’équipe basée dans le quartier de la Médina à Dakar s’est arrêtée dès les phases de groupe. Elle a encaissé neuf buts sans en marquer aucun.
Mbayang Thiam est également l’entraîneuse de l’équipe nationale féminine des moins de 20 ans du Sénégal vainqueur du tournoi de la zone A de l’Union des fédérations ouest-africaines de football-(UFOA/A), de la catégorie, en mai dernier.
Les CAF Awards 2024 concernent la période allant de janvier 2024 à octobre 2024.
Voici les listes des nominées :
Joueuse de l’année : Sandrine Niyonkuru (Burundi / FC Masar, Egypte), Tabitha Chawinga (Malawi / Olympique Lyonnais, France), Temwa Chawinga (Malawi / Kansas City, Etats-Unis), Sanaa Mssoudy (Maroc / AS FAR), Chiamaka Nnadozie (Nigeria / Paris FC), Rasheedat Ajibade (Nigeria / Atletico Madrid), Jermaine Seoposenwe (Afrique du Sud / Monterrey FC, Mexique), Thembi Kgatlana (Afrique du Sud / Tigres UANL, Mexique), Barbara Banda (Zambie / Orlando Pride, Etats-Unis) et Racheal Kundananji (Zambie / Bay FC, Etats-Unis).
Gardienne de l’année : Andile Dlamini (Afrique du Sud / Mamelodi Sundowns), Thandeka Ngcobo (Afrique du Sud / University of the Western Cape), Cathy Biya (Cameroun / Eclair, Haïti), Fideline Ngoy (RDCongo / TP Mazembe), Habiba Sabry (Égypte / FC Masar), Fatima El Jebraoui (Maroc / Wydad Athletic Club, Maroc), Khadija Er-Rmichi (Maroc / AS FAR), Chiamaka Nnadozie (Nigeria / Paris FC), Monle Oyono (Nigeria / Edo Queens) et Catherine Musonda (Zambie / Indeni Roses)
Joueuse interclubs de l’année : Amogelang Motau (Afrique du Sud- University of the Western Cape), Sandrine Niyonkuru (Burundi / FC Masar), Merveille Nanguji (RDC / TP Mazembe), Lacho Flora Marta (RDC / TP Mazembe), Doha El Madani (Maroc / AS FAR), Khadija Er-Rmichi (Maroc / AS FAR), Sanaa Mssoudy (Maroc / AS FAR), Emem Essien (Nigeria / Edo Queens), Monle Oyono (Nigeria / Edo Queens), Shadia Nankya (Ouganda / FC Masar)
Jeune joueuse de l’année : Nthabiseng Majiya (Afrique du Sud / Mamelodi Sundowns), Cathy Biya (Cameroun / Eclair), Naomi Eto (Cameroun / Amazone FAP), Habiba Sabry (Égypte / FC Masar), Stella Nyamekye (Ghana / Dreamz Ladies), Valerie Nekesa (Kenya / Madira Girls), Doha El Madani (Maroc / AS FAR), Lina Mokhtar Jamai (Maroc / Paris Saint-Germain), Chiamaka Okuchukwu (Nigeria / Rivers Angels), Flourish Sabastine (Nigeria / Stade de Reims, France)
Entraîneure de l’année : Hassan Balla Abdousalami (Cameroun U-20), Lamia Boumehdi (TP Mazembe), Ahmed Ramadan (FC Masar), Mildred Cheche (Kenya U-17), Mohamed Amine Alioua (AS FAR), Bankole Olowookere (Nigeria U-17), Chris Danjuma (Nigeria U-20), Moses Adukwu (Edo Queens), Mbayang Thiam (Aigles de la Medina), Thinasonke Mbuli (University of the Western Cape)
Equipe nationale de l’année : Cameroun U20, Kenya U17, Malawi, Maroc, Maroc U20, Nigeria, Nigeria U17, Nigeria U20, Afrique du Sud et Zambie
Club de l’année : TP Mazembe (RD Congo), FC Masar (Égypte), Commercial Bank of Ethiopia (Éthiopie), AS FAR (Maroc), Edo Queens (Nigeria), Aigles de la Medina (Sénégal), Mamelodi Sundowns (Afrique du Sud) et University of the Western Cape (Afrique du Sud)
LE FISC ALLÈGE LA PRESSION SUR LES ENTREPRISES DE PRESSE
Le président du CDEPS, Mamadou Ibra Kane, a salué la décision du Directeur général des Impôts et Domaines, Abdoulaye Diagne, de débloquer les comptes bancaires des entreprises de presse.
Le président du Conseil des Diffuseurs et Éditeurs de Presse du Sénégal (CDEPS), Mamadou Ibra Kane, a annoncé une décision salutaire du Directeur général des Impôts et Domaines (DGID), Abdoulaye Diagne dans le secteur de la presse.
Ce dernier a ordonné le déblocage des comptes bancaires des entreprises de presse, une mesure qui devrait soulager de nombreuses rédactions en difficulté.
Dans un communiqué, Mamadou Ibra Kane a précisé que « les comptes des entreprises de presse ont été débloqués selon les instructions qu’il a données à ses services ».
Cette annonce intervient à un moment où le secteur de la presse fait face à des défis financiers croissants, exacerbés et la baisse des revenus publicitaires.
Mamadou Ibra Kane a également encouragé les entreprises concernées à se rapprocher de leur centre fiscal pour obtenir la mainlevée de leurs comptes.
« Me signaler les cas non encore résolus. M. Diagne reste à mon écoute pour régulariser la situation », a-t-il ajouté, soulignant ainsi l’engagement du DGID à travailler en collaboration avec les acteurs de la presse pour résoudre les problèmes persistants.