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BENNO, LES ALLIÉS À L’HEURE DE LA RÉVOLTE

Macky Sall pourra-t-il consolider sa coalition Benno Bokk Yaakar et faire taire les querelles dans les rangs de la majorité en perspective des locales de janvier prochain ?

Silèye MBODJI   |   Publication 03/06/2021

Difficile de nier l’évidence. Le choc des ambitions au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar, en perspective des Locales de 2022, est réel. Après neuf années de compagnonnage, les alliés de la première heure, comme le Ps (Parti socialiste) et l’Afp (Alliance de Forces de progrès) ne cachent plus leur désir de briguer des mairies dans certaines localités du pays avec ou sans le soutien du leader de leur coalition. Lors de sa récente tournée économique, plus précisément à l’étape de Kaffrine, le président Macky Sall a essayé de jouer les arbitrages en voulant faire taire les querelles dans sa coalition. Il a notamment fait savoir à ses camarades de parti et ses alliés qu’il n’acceptera pas des listes parallèles pour ces locales de 2024. Une tâche qui ne sera pas aussi facile pour lui qu’il le pense, selon nos analystes politiques !

Macky Sall pourra-t-il consolider sa coalition Benno Bokk Yaakar et faire taire les querelles dans les rangs de la majorité en perspective des Locales de janvier prochain ? La question reste posée. Le constat est que les ambitions ne sont plus cachées. Que ce soit au niveau de l’Apr ou de la coalition au pouvoir BBY. Même si le Président a essayé de siffler la fin de la récréation avant même le début des cours, lors de sa tournée économique dans la zone du Ndouncoumane, appelant ses militants à faire preuve d’unité pour désigner leurs représentants pour les Locales, des dissidences ne manqueront pas de se produire. La bataille pour la mairie de Dakar est une parfaite illustration de cette difficulté à tenir les troupes en laisse. En effet, des partis alliés comme le Ps et Afp ont manifesté leur désir de conquérir le fauteuil anciennement occupé par Khalifa Sall. Cela augure-t-il d’une fin de compagnonnage anticipée avant la présidentielle de 2024 ? Les alliés décrypteront-ils de manière positive l’appel de leur leader ? Autant de questions qui méritent des éclairages au vu de ce qu’annoncent déjà des grincements de dents dans les rangs de la coalition Benno Bokk Yaakaar.

L’analyste politique Mamadou Sy Albert note un climat d’instabilité au sein de la coalition au pouvoir qui met en avant les conflits d’ambitions. D’après lui, Benno n’est plus dans la même situation des années passées avec la présence de feus Ousmane Tanor Dieng et Amath Dansoko à côté du président. En ces temps où vivaient encore ces deux compagnons historiques du Président, la coalition était très soudée avec une entente et une proximité entre les chefs de partis qui permettaient à Macky Sall d’avoir une alliance solide. Parmi ces compagnons, Moustapha Niasse est l’un des rares encore en vie. Selon l’enseignant chercheur à l’Université Cheikh Anta Diop, la fin du mandat de Macky Sall explique cette instabilité qui s’annonce. A en croire Mamadou Sy Albert, que ce soit pour les prochaines Locales, les législatives ou la prochaine présidentielle, il n’y aura pas d’unité comme avant. « On est en fin de mandat ! Le président ne le dit pas, les alliés ne le disent pas non plus. Mais tout le monde sait que Macky Sall est dans son deuxième mandat. Donc, tous les partis alliés envisagent  la  présidentielle  de  2024.

MAMADOU SY ALBERT : « L’arrivée de Rewmi a compliqué davantage la situation de Benno »

Les locales de 2022 constituent un test grandeur nature en ce qui concerne l’avenir de la coalition présidentielle Benno Bokk Yaakaar. La coalition pourra-t-elle encore résister face à la pression de certains alliés ? L’histoire de 2014 où elle avait perdu des élections à cause des guerres de positionnement risque de se répéter d’après Mamadou Sy Albert. Et l’arrivée du parti Rewmi au sein de la coalition présidentielle a créé une vague de frustrations dans les rangs de Benno. « La majorité  avait  perdu  dans  les  grandes villes parce qu’il n’y avait pas une unité au niveau de l’Apr et entre l’Apr et les autres alliés. La même chose risque de se passer en 2022. Ce qu’on a vécu en 2014 risque de  se  reproduire,  s’il  n’y  aurait  pas  de consensus au niveau des coalitions locales. L’arrivée de Rewmi complique davantage la situation de Benno. Parce que les militants de l’Apr, qui se sont battus depuis 2012, acceptent difficilement de céder la place au Rewmi. C’est encore pire au niveau du Ps et de l’Afp. Ils ne vont pas du tout accepter une hégémonie  de  Rewmi.  A  l’Apr,  Macky  Sall peut faire pression sur ses responsables. Il peut les obliger à accepter les compromis avec le président Idrissa Seck. Ce n’est pas évident au Ps et à l’Afp. Quant aux militants de  gauche,  je  vois  mal  comment  ils  pourraient accepter  de  se  mettre  derrière Idrissa Seck. Donc le Rewmi va aggraver les tensions,  les  ambitions,  les  conflits  entre Rewmi et l’Apr d’un côté. Et de l’autre côté, entre Rewmi et les autres alliés du président de la République. Les prochaines locales vont être un véritable test pour Macky Sall. Est-ce qu’il aura la capacité de souder le Benno en l’absence de Tanor Dieng, en l’absence de Dansoko,  à  l’absence  d’un  allié  comme  le Professeur Bathily ? » s’interroge l’analyste politique Mamadou Sy Albert.

BACARY DOMINGO MANE : « C’est un discours qui montre, à la limite, l’impuissance de l’homme »

Mettre de l’ordre dans la coalition, faire taire les querelles d’ambitions de certains leaders de Bby. Une tâche qui ne sera pas du tout facile nt pour le leader de Benno Bokk Yaakaar, estime également Bacary Domingo Mane. Car, soutient le journaliste et analyste, le président de la République n’a plus les cartes en main d’autant plus que la perspective de l’élection présidentielle de 2024 déterminera les positions des uns et des autres au sein de sa coalition. L’analyste se base sur certains calculs politiques pour expliquer qu’il peut y avoir des gens au sein de la coalition Bby qui n’auront pas peur de tenir tête à leur leader ou le défier en présentant des listes parallèles. Ce en se basant sur certains calculs. L’un dans l’autre, Bacary Domingo Mané pense que beaucoup d’entre ces responsables n’hésiteront pas à prendre leur destin en main en disant que le mandat du président de la République prend fin en 2024.par conséquent, ils ne voudront pas couler avec lui lors de la prochaine présidentielle.

A en croire le journaliste, le chef de l’Etat ne pourra rien faire pour s’opposer aux ambitions de ceux de ses camarades qui n’ont bénéficié d’un décret de nomination à un quelconque poste national. Bacary Domingo analyse la sortie de Macky Sall, invitant ses troupes à l’unité, comme le discours d’un homme impuissant face aux actuels enjeux politiques. « Tout le monde sait que, d’après la Constitution, le président de la République ne pourra pas se présenter pour un troisième mandat en 2024. Il sera peut-être tenté de faire un coup de force avec la bénédiction du Conseil constitutionnel. On n’en est pas encore là. On a entendu des gens se lever pour dire qu’ils n’accepteront jamais que le président force le barrage. Donc si on prend en compte cela, en se disant qu’il lui reste peut peut-être deux ans maximum et que les élections locales auront lieu en 2022, des  gens  peuvent  être  dans  des  calculs. Pourquoi la tâche ne sera-t-elle pas facile pour le président Macky Sall ? Parce que ses alliés ont commencé à se mobiliser. On a vu l’Afp qui ne s’est pas réunie depuis des lustres et qui a tenu, récemment, une réunion au cours de laquelle Moustapha Niass dit qu’il faut maintenant que les militants se remobilisent pour les élections. Il y au aussi le Parti socialiste où le ton monte depuis un certain temps à travers les sorties du porte-parole Abdoulaye Wilane. Et avec l’arrivée d’Idrissa  Seck,  on  a  l’impression  que Macky a fait plus de place au président de Rewmi qu’aux autres alliés. Tout ce qu’il peut faire c’est peut-être dégommer les gens qu’il a nommés à des postes de responsabilités dans l’administration ou les sociétés nationales s’ils le défient. C’est tout  ce qu’il peut faire.

Mais les gens peuvent ne pas craindre d’être dégommés par le président. Ils diront « oui le président peut me dégommer, mais si j’ai la possibilité de gagner au niveau de ma base, cela me renforcera en tant qu’autorité » Donc certains sont dans ces calculs-là. Ce qui diminue le pouvoir du  président de  la République, aujourd’hui, est que la perspective de 2024  n’est pas évidente pour lui. L’arrivée d’Idrissa Seck a fait que certains ont boudé. Ils doutent de leur avenir dans la coalition. Apparemment, Macky veut aller du côté de Idy. S’il penche de ce côté-là, ça veut dire qu’il va laisser en rade l’Afp.  Parce  qu’on  connait  déjà  les  rapports  entre  Idy  et Moustapha Niass. Le fait de sonne les cloches de l’unité pour dire « attendez mes arbitrages, pas de liste parallèle », c’est un discours, à la limite, qui montre l’impuissance de l’homme. Le point fort du président, c’est que c’est lui qui nomme aux  emplois civils et militaires en tant que président de la République. A part ça, il est complètement affaibli par la perspective de 2024 » explique Bacary Domingo Mané.

« UNE BATAILLE RUDE SE FERA EGALEMENT ENTRE POUVOIR ET OPPOSITION A THIES»

Comme celle de Dakar, la bataille de Thiès sera rude avec beaucoup de prétendants. Donc une possibilité de pléthore de candidatures de Benno. Là également, l’ancien collaborateur de Sud quotidien pense que les choses ne seront pas aisées pour Macky Sall. Même s’il mise pour le soutien de son nouvel allié Idy pour rafler la capitale de rail. A en croire M. Mané, l’opposition pourrait s’en sortir dans cette région si elle se réunit autour de l’essentiel. Car, soutient-t-il, l’actuel président du Cese a perdu certains de ses alliés dans cette localité. « La tache ne sera pas aussi facile qu’il le pense à Thiès Parce qu’on retrouve dans cette zone beaucoup de leaders de mouvances et de partis politiques. La bataille de Thiès aura bel et bien lieu comme celle de Dakar. Les  choses  ne  seront  pas  du  tout  faciles  pour  Macky.  Ce même si aujourd’hui il semble vraiment miser sur Idy. Ce dernier peut ne pas  tenir. Ça a commencé. Cet Idy-là, avant même qu’il joigne la majorité, est affaibli. Des opposants sont visibles dans cette région comme Moussa Tine et d’autres personnes par exemple Thierno Alassane Sall. La tâche ne sera pas du tout facile. Parce que même Thiès que Macky croit pouvoir  gagner avec l’arrivée d’Idy, ne sera pas facile. Cet Idy-là n’est plus dans le temps. Il a perdu une bonne partie de ses soutiens. C’est pourquoi Macky Sall, à travers son appel, veut se donner les moyens d’apaisement. Si on prend le cas de Kaffrine, on sait qu’il est avec Abdoulaye Sow. Il a choisi son camp. Il lui a donné les moyens pour combattre Wilane. Et dans autres localités, il fera la même chose. C’est pourquoi les alliés prendront leurs responsabilités  » conclut Bacary Domingo Mané.

MOMAR DIONGUE : « Pourquoi Macky Sall ne pourra rien faire pour éviter les listes parallèles »

Le journaliste et analyste Momar Diongue reste pessimiste sur la possibilité pour Macky Sall d’éviter les listes parallèles au sein de la coalition Benno Bokk Yaakaar pour les locales de 2022. A l’en croire, l’insubordination est liée à la nature des élections. Il doute fort que le président Sall puisse tenir ses troupes avec le suffrage direct pour ces locales. « C’est des élections locales. Comme leurs noms l’indiquent,  généralement les combinaisons se font au niveau local. Il y a des ambitions qui naissent.  C’est sur la base de ces ambitions et des affinités au plan local que  se feront  les décisions. C’est pour  cette  raison  qu’en  2014,  il  y  avait  eu  2700  listes.  A l’époque, il n’avait pas pu empêcher l’existence de listes parallèles. Je crois qu’il en sera de même pour ces élections locales. Il s’y ajoute qu’on est parti pour avoir un suffrage universel direct. Ce qui veut dire donc que la personne choisie comme tête de liste sera le futur maire. Donc les jeux sont clairs. A partir de ce moment, si le président Macky Sall choisit ce schéma, cela veut dire que ce sont ces personnes-là choisies  pour  figurer  en  tête  de  liste  qu’il  veut  désigner comme étant les futurs maires. A partir de ce moment-là, tous ceux qui avaient des ambitions au niveau local, et qui n’auront pas été choisis, vont être tentés de vouloir mettre les listes parallèles. Ça sera encore plus compliqué d’éviter des listes parallèles pour ces prochaines élections locales que lors  des  dernières  élections  locales  en  2014.  Parce  qu’en 2014, c’était avec le suffrage indirect. C’étaient les listes qui étaient élues. Et sur la base de ces listes élues, il y avait des ambitions qui naissaient une fois que les conseillers étaient en place. car l’élection se faisait au niveau de ces conseillers. Or, avec l’élection directe du maire, le président est malheureusement parti pour enregistrer des listes parallèles au sein  de  sa  coalition.  Je  pense  qu’il  est  impuissant.  Il  n’y pourra pas grand -chose   » explique Momar Diongue.

MACKY SALL POSITIONNE SES POULAINS POUR CONCURRENCER SES ALLIES !

Selon Momar Diongue, Macky Sall fait face une double complexité. En effet, explique le politologue, il doit se rendre compte qu’il aura des ambitions non seulement dans son parti mais aussi dans la coalition Bby. Selon le journaliste, depuis le début, Macky Sall a eu l’intention de réduire ses alliés à leur plus simple expression. L’analyste donne des exemples des alliés qui ont été réduits à néant par la stratégie de Macky, positionnant ses « poulains » contre eux. « Regardez ce qui se passe au niveau du Parti socialiste. Ceux qui tiennent les manettes au niveau de ce parti, il y  en a très peu qui ont une fonction élective, un mandat de maire. Prenons le cas d’Aminata Mbengue Ndiaye qui était toute puissante mairesse de Louga. Elle a perdu du terrain. Depuis, elle est encerclée dans cette ville par Mamour Diallo, Mbery Sylla et  Moustapha Diop. Donc elle a été quasiment réduite à néant à Louga. Si vous prenez également quelqu’un comme Serigne Mbaye Thiam, qui est membre du gouvernement, il n’a  pas  de  base  représentative  au  niveau  de  Nioro.  Aujourd’hui, les rares personnes qui avaient une assise locale comme Abdoulaye Wilane sont menacées. Or, ce dernier ne va pas accepter de s’aplatir devant Abdoulaye Sow simplement par ce que Macky Sall voudrait qu’il le fasse. Il avait d’abord nommé Abdoulaye Sow Dg de COUD, un poste éminemment politique qui permet de loger beaucoup de clients politiques. C’est une façon de le préparer, de lui tracer une voie royale pour prendre le leadership au niveau de Kaffrine. Il a fini par en faire un ministre. A partir de ce moment-là, Ablaye Sow a leadership quasiment naturel au niveau de Kaffrine. Il a également les moyens pour assouvir son ambition de supplanter Abdoulaye Wilane au niveau de Kaffrine. Donc il est évident, de ce point de vue, que le président, depuis très longtemps, a commencé à ouvrir la voie à Abdoulaye Sow pour supplanter Wilane au niveau de Kaffrine. C’est aussi simple que ça » conclut Momar Diongue. 

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