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IL FAUT SE MÉFIER D'UNE RÉPUBLIQUE DES JUGES

Mamadou Ndione, DG du COSEC, enfile la robe d’avocat pour le chef de l'Etat, analyse les résultats de la présidentielle et prodigue des conseils à l’opposition

Amadou BA  |   Publication 07/03/2019

Nommé Dg du Cosec en 2017, Mamadou Ndione n’a pas perdu de temps pour prendre ses marques. Economiste de formation, un des porte-paroles les plus percutants du candidat Macky Sall, il est une valeur sûre dans le gotha présidentiel. Intellectuel très prolixe sur les questions économiques, le responsable de l’Apr à Diass s’est prêté aux questions de «L’As». Dans cet entretien, il enfile la robe d’avocat pour son Président, analyse les résultats de la présidentielle et prodigue des conseils à l’opposition.

L’As : Macky Sall vient d’être réélu avec 58%. Quels commentaires ?
Mamadou Ndione : Ce qui a pesé sur la balance, c’est d’abord le bilan du président Macky Sall, mais également sa posture d’homme d’Etat. Parce que le président Macky Sall rassure, au-delà du bilan, dans la perspective. Les Sénégalais avaient besoin de stabilité et de sérénité. Nous allons vers un quinquennat assez crucial avec les découvertes pétrolières et gazières. C’est un quinquennat de transition vers le Sénégal pétrolier et gazier. Il était important d’avoir un bon capitaine qui rassure d’abord. Il suffit d’analyser le résultat pour se rendre compte que même d’un point de vue géographique, le Président Macky Sall a été élu au niveau des quatre points cardinaux du Sénégal, y compris le centre. C’est important parce que c’est le peuple Sénégalais qui a gagné.

 Il a un bon bilan au Sud et dans le Centre, mais il a perdu là-bas. (Il nous coupe). Pour le Sud, si on prend la région de Ziguinchor, le président s’est classé 2ème, mais si on prend le pôle Casamance, le président est à 53%. Cela veut dire que la Casamance naturelle a élu le Président au 1er tour. Mais, quand on parle de Ziguinchor, effectivement, on est à 38%. En ce qui concerne le Centre, c’est trois régions, on passe très largement au-dessus. Mais, le plus important, le Sénégal est une seule circonscription électorale quand on parle d’élection présidentielle. Mais, il est important aussi de voir l’écart qu’il y a entre le président qui a eu 2,5 millions et le suivant qui a eu dans les 800 mille. C’est un écart de 1.655.000 voix. C’est un plébiscite, mais c’est parce que les Sénégalais ont compris la vision, mais aussi la trajectoire. Parce que la trajectoire est importante.

Mais en même temps, il y a des hommes politiques qui ont été écartés «par une justice aux ordres».
Quand François Fillon a eu des problèmes en France, en pleine campagne électorale, il a parlé de procès politique. C’est dire qu’un homme politique est avant tout un citoyen. La question fondamentale est de savoir si c’est lui qui a fait ce qu’on lui reproche. Aujourd’hui, le maire de Dakar n’a pas nié les faits, par rapport à la surfacturation pendant 8 ans sur du mil et du riz. Le reste, c’est du juridisme d’avocats, le reste, ce sont des artifices pour pouvoir coller à un procès pénal une connotation politique. 

Au bout du compte, les magistrats ne jugent pas sur des bases fictives. Mais, plutôt sur la base de dossier, et dans le dossier, il y a des aveux, des faits et des témoignages. Les magistrats n’ont pas jugé ces dossiers sur la base d’une intime conviction. Maintenant, est-ce que l’homme politique doit bénéficier d’une immunité dont le citoyen ne bénéficie pas ? C’est un débat sociétal. La justice au Sénégal est libre, mais il y a un code pénal. Pour le procès du maire de Dakar, l’article visé parlait d’un minimum de cinq à dix ans. Donc, il a pris le minimum. Le magistrat a été indulgent. 

Ce qui intrigue, c’est que certains qui ont été épinglés par des organes de contrôle de l’Etat ont été ménagés parce qu’ils ont rejoint le camp du président. On peut citer Ousmane Ngom, Awa Ndiaye, ...
Les organes de contrôle ne sont pas des juridictions. Mais, quand ces organes terminent leur travail, il y a deux voie possibles : C’est la voie judiciaire ou la sanction administrative. Toujours est-il que ce que la presse rapporte en général, peut être que ce n’est pas toute l’intégralité de ce qu’il y a dans ces dossiers. Une chose est sûre, au niveau du Sénégal, les corps de contrôle font leur travail, la justice fait son travail. Maintenant, le temps de la justice n’étant pas le temps voulu par les citoyens, il va sans dire que moi, je m’en tiens à cela. 

Mais, parfois il y a des dossiers traités avec célérité comme le cas Khalifa Sall, alors que des ministres ont menacé des magistrats, des députés proches du pouvoir ont dégainé des pistolets, mais la justice a fermé les yeux ?
Tout dépend des éléments de preuves. Parce que pour le dossier du maire de Dakar, il y a eu des éléments de preuves assez faciles à détecter. Donc, en fonction de la nature du dossier, cela peut aller très vite. Aujourd’hui, je me dis que les acteurs politiques au Sénégal doivent se dire qu’il n’y a pas d’immunité politique. Un parlementaire, il bénéficie d’une certaine immunité certes. Mais, le plus important, c’est d’analyser les faits reprochés à certaines personnes et de se demander si elles ont fauté. Mais, à mon niveau, j’estime qu’au Sénégal, nous avons une justice libre qui traite les dossiers. Il y a même dans le cadre du processus judiciaire une séparation interne du pouvoir judiciaire. 

Justement le problème, ce n’est pas cela, mais plutôt en amont. Par exemple, le Procureur, c’est lui qui juge de l’opportunité de poursuivre. Or lui est sous la coupe réglée de l’exécutif. Est-ce que quelque part, cela ne pose pas problème ?
Les gens pensent que tout ce que fait le procureur, c’est sur instruction du ministre de la Justice. Or le procureur, sur certains cas, n’a pas besoin de cette tutelle. Maintenant, il y a un débat en sourdine, le débat sur la position du ministère de la Justice par rapport au procureur. Il y en a même qui poussent le bouchon jusqu’à parler de la sortie du chef de l’Etat du Conseil supérieur de la magistrature. Je donne l’exemple de la France ; c’est en 2008 que leur président est sorti du Conseil supérieur de la magistrature. Mais le ministre de la Justice est toujours dedans. Et même dans le cadre du rapport entre ce ministre de la Justice et le procureur, il y a toujours un lien. 

Même aux Etats-Unis, les 9 juges de la Cour suprême sont nommés par le Président, sur autorisation du parlement. Souvent, on pense que la démocratie, c’est créer des conditions d’une république des juges. Il faut s’en méfier. Il faut toujours qu’il y ait cette relation filiale entre le détenteur de la légitimité populaire et le juge. Car il y va de la stabilité de notre pays. Il faut qu’on évite d’avoir des formes de bicéphalisme au sein de nos Etats. Nous avons vécu l’expérience en 1962. Nous avons besoin de régimes assez forts qui puissent s’inscrire dans un cadre globale démocratique et ne pas trop forcer la séparation des pouvoirs. Avoir des pouvoirs qui s’équilibrent. Parce que le véritable pouvoir émane du peuple ; et celui qui le détient, c’est le chef de l’Etat.

On assiste ces derniers temps à des arrestations tous azimuts de responsables de l’opposition. On a même interpellé un colonel sous prétexte qu’il a appelé à l’insurrection. N’est-ce pas un délit d’opinion qu’il faut supprimer ?
Je ne parlerai pas de délit d’opinion parce que, dans le secret des motivations qui sont derrière ces arrestations, je ne sais pas ce qu’il y a. moi je me dis, aujourd’hui, que quelqu’un qui veut commettre un acte, doit être interpellé, car c’est dans son intérêt. Parce que si on ne le fait pas souvent, quand il a fini de commettre l’acte, il va encourir des peines beaucoup plus lourdes. Je préfère une interpellation préventive, à une politique qui consiste à vouloir laisser une situation pourrir jusqu’à ce qu’on en arrive au pire. La preuve, même les personnes qui ont été interpellées ont été relaxées. Certains ont eu un sursis avec une peine très douce. Maintenant la sécurité à un prix. Notre pays est à l’abri du terrorisme, nous le devons à nos autorités de sécurité et à leur tête le chef de l’Etat.

 Aujourd’hui, les questions sécuritaires c’est des questions délicates qui nécessitent que l’Etat, agissent très rapidement. Quand un ancien colonel poste sur sa page facebook quelque chose de nature à susciter une révolte ou bien à appeler à une manifestation. Son statut d’ancien colonel fait que cette menace doit être prise au sérieux. Parce qu’un ancien colonel c’est quelqu’un qui a des leviers. Le reste c’est dans le secret de l’interpellation.

À quoi sert un appel au dialogue quand on a deux de ses adversaires en prison (Karim et Khalifa), quand celui qui est arrivé 2ème à la présidentielle voit ses lieutenants interpellés de manière intempestive ?
Moi, je pense qu’aujourd’hui, rien qu’en voyant la suite de ces arrestations, il y a une décrispation qui est en cours. Parce que ce qui est important c’est que les acteurs politiques comprennent que la page électorale est tournée. Il n’y a pas photo entre les résultats du chef de l’Etat et les autres. Les résultats sont issus des bureaux de votes. Ils ont été même affichés dès la proclamation. Ce sont des résultats connus de la presse et qui ont été compilés au niveau départemental avec des Pv que chacun a reçus au niveau national. Le chef de l’Etat en appelle à un dialogue sur des questions liées au processus, mais il n’en demeure pas moins que c’est lui le chef de l’Etat. C’est lui qui a en charge la conduite des politiques publiques pour les 5 prochaines années. L’appel qu’il a lancé s’adresse à tout le monde. Mais au niveau de l’opposition je me dis qu’il y a de fortes chances que les choses bougent, parce que cet appel n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.

 Aujourd’hui, il y va de l’intérêt de l’opposition de venir discuter parce qu’ils avaient adopté pendant tout le processus la politique de la chaise vide. Et quand on adopte la politique de la chaise vide et qu’on reproche en même temps au chef de l’Etat de trancher des questions, ce n’est pas très cohérent. Et je salue la position de l’ancien Ministre Habib Sy qui a salué l’appel et qui est dans les dispositions d’aller discuter au tour de ces questions liées au processus électoral.

Quel gouvernement pour Macky 2?
Il faut un gouvernement qui soit opérationnel le plus rapidement possible et qui puisse être orienté vers les 5 priorités que le chef de l’Etat a dégagées dans le programme Ligueyaal Euleuk. Mais également dans la perspective du Pse à l’horizon 2035. Donc c’est à lui de faire son casting et je sais qu’il fera un bon choix. Maintenant c’est à nous autres acteurs aussi de la majorité de lui laisser les coudées franches. J’entends certains dire qu’ils l’ont élu, mais c’est le peuple qui l’a élu. Donc il travaillera pour les Sénégalais.

Il avait travaillé avec «des vieux» dans son premier mandat, peut-on s’attendre un gouvernement plus rajeuni ?
Moi je ne me mets pas dans cette posture jeune ou de vieux. Mais une chose est sûre, le président Macky Sall connait ses hommes. Je suis sûr que ce gouvernement qu’il mettra en place sera un gouvernement de combat pour l’économie du pays, de combat pour l’émergence du Sénégal parce que c’est d’abord un chef d’Etat technocrate. C’est le cadre politique le mieux formé au Sénégal. C’est une chance d’avoir un chef qui connait les dossiers et qui sait où il va. L’inclusion sociale et l’équité territoriale, c’est quelque chose qui est inscrit dans l’Adn de la Politique du Chef de l’Etat.

Vous êtes à la tête du Cosec depuis 2017. Où en êtes-vous avec le fameux projet des bateaux taxis qui avait défrayé la chronique, il y a quelques années ?
Mamadou Ndione : Quand je suis arrivé à la tête du Cosec, j’avais trouvé des résolutions du Conseil d’Administration, qui avaient cédé ces bateaux. Parce que c’était un investissement qui n’était pas bon à l’époque. Maintenant, il a fallu céder ces bateaux au niveau des communes qui ont une façade fluviale. Mais, n’empêche, il y a le projet de la liaison Dakar-Rufisque, dans lequel le Cosec est fortement impliqué. Le Cosec a d’ailleurs acquis le bateau Mame «Coumba Lamb» qui, en attendant la réception de l’embarcation de Dakar-Rufisque, est dans la liaison Dakar-Gorée.

 Nous n’attendons que la réception de l’embarcadère de Rufisque pour démarrer la liaison Dakar-Rufisque, avec Cosama. Cosama est notre armateur national, parce que le Cosec est membre du conseil d’administration de Cosama et le Directeur Général du Cosec assure, en même temps, la présidence du Conseil d’administration de Cosama. C’est Cosama qui gère les bateaux Aguène, Diambogne, Aline Sitoé et d’autres navires de transport de marchandise.

Quel est le cœur de métier du Cosec ?
Le Cosec est un établissement public à caractère commercial, dont la mission essentielle est la promotion du transport maritime, à travers l’assistance aux chargeurs. Le chargeur, c’est l’importateur et l’exportateur. L’assistance aux chargeurs signifie concrètement accompagner nos opérateurs économiques qui agissent dans l’import-export, en termes de formation. C’est, d’ailleurs, la raison pour laquelle on a un centre de formation qui forme les hauts cadres du maritime. Mais, également au-delà de la formation, il y a l’assistance juridique. Parce que le transport maritime est très complexe au plan juridique. C’est souvent les lois de plusieurs pays qui entrent en collusion, ce qui fait qu’il est important d’avoir de l’expertise.

 C’est d’ailleurs même la raison pour laquelle le Cosec a des bureaux en Chine et en Inde, notamment pour pou- voir booster nos importations et exportations. Sous ce rapport, en interne, le Cosec investit beaucoup dans le maritime, sur les bateaux. Mais, également, en termes d’assistance à terre. Parce que nous autres qui sommes dans le maritime avons l’habitude de dire que le transport maritime se gagne à terre. Nous intervenons à Kaolack où nous avons aidé la chambre de commerce à investir dans un entrepôt de 1000m2, accolé au port. À Ziguinchor, on a fait la même chose, sans compter ce qu’on a fait sur instruction de l’Etat pour agir dans ce vaste champ du maritime qui va au-delà des mers pour être sur les quais. Mais, également dans les corridors en termes de connexion multimodale.

Quelles sont les perspectives à court terme ?
Le Cosec est un bel outil qui vit pour l’essentiel de prélèvements et de cotisations, en provenance des acteurs économiques. Maintenant, il est important de réfléchir sur les revenus pérennes. Parce que les missions du Cosec sont des missions essentielles pour l’économie. Au niveau africain, il y a d’autres structures jumelles du Cosec. Il est important d’avoir ce bel outil au Sénégal pour agir sur la chaine logistique globale. Parce que les coûts logistiques souvent sont des coûts qui pénalisent nos économies. Donc, pour rechercher l’efficience dans le cadre de ces coûts, il faut des investissements. Et aujourd’hui, nous savons tous que la voie ferroviaire est la voie réputée pour réduire les coûts de production, des coûts unitaires des produits transportés, donc il faut agir à ce niveau. Mais, également dans le domaine maritime. Aujourd’hui, le transport maritime est le transport le moins cher. 

Au Sénégal, nous avons la chance d’avoir un armement qui est le Cosama. Mais, dans la sous-région, les autres pays ont baissé pavillon. Donc, comment placer le Sénégal dans cette perspective sous régionale, voire africaine, pour bâtir un armement assez fort pour pouvoir profiter de la Zone de libre-échange continentale, de l’espace Cedeao, de l’espace Uemoa. C’est cela la perspective.

Surtout avec l’exploitation du pétrole horizon 2021...
Et pour y arriver, il faut un Cosec très fort, très costaud, qui doit être accompagné par l’Etat. En perspective, de l’exploitation du pétrole et du gaz, il va falloir positionner d’avantage le Cosec. Mais, il va falloir en interne qu’on réfléchisse en rapport avec les tutelles techniques sur la manière de renforcer les revenus pérennes du Cosec.

 Aujourd’hui, l’Etat a mis le Marché international, la Gare des gros porteurs, le Parc des expositions ; le Cosec doit être dans le tour de table en termes d’actions à prendre et en termes d’investissements. Mais, le Cosec est également dans une perspective globale du ferroviaire avec Dakar-Bamako ferroviaire. Donc, le Cosec doit être mieux positionnée parce que c’est lui qui représente les importateurs et les exportateurs. 

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