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LE UBBI TEY, JANG TEY, MIS A RUDE EPREUVE !

Les années se suivent et se ressemblent. Les rentrées des classes aussi. Le concept «Ubbi Tey, Jang Tey» cher au régime du Président Macky Sall est en passe de devenir un simple slogan, à l’instar des autres qui ont été inventés depuis sa venue au pouvoir

Djibrirou MBAYE, Samba Niébé BA, Moussa DRAME, Yves TENDENG et Abdoulaye FALL  |   Publication 04/10/2019

Les années se suivent et se ressemblent. Les rentrées des classes aussi. Le concept «Ubbi Tey, Jang Tey» cher au régime du Président Macky Sall est en passe de devenir un simple slogan, à l’instar des autres qui ont été inventés depuis son accession à la Magistrature suprême. Après les maux de la rentrée liés au désherbage, des inondations, de l’absence des tables-blancs, des abris provisoires, d’autres s’ajoutent à la longue liste qui plombe l’enseignement au Sénégal. De Dakar à Matam, en passant par Mbour et Sédhiou, le décor est le même. Ou presque !

Ecole élémentaire route des Puits et école Issa Kane, Lycée Blaise, Cem Blaise Diagne, Lycée Seydou Nourou Tall : UNE RENTREE A DOUBLE FLUX A DAKAR

C’est parti pour un objectif du quantum horaire de 1296 heures réparties en trois semestres pour l’année scolaire 2019/2020. Hier, matin à Grand Dakar, enseignants et élèves ont répondu présents. A l’école Route des Puits que nous avons visité, 8 classes sont opérationnelles, les enseignants sont en plein démarrage de l’année scolaire. Madame Ndiaye tient une classe de CE2 B au sein de l’école élémentaire Route des puits. Elle explique aisément les cours d’arithmétiques aux élèves. Après un tour dans l’école impossible d’obtenir un mot au directeur de ladite école. Il a préféré nous renvoyer à l’inspection académie, qu’il juge d’être notre seul interlocuteur. Un saut à l’école l’élémentaire Issa Kane à Grand Dakar jouxtant sur la route allant vers Niarry Tally, c’est le bruit des voitures qui dictent leur loi. L’horloge affichait 9h 35 mn, des parents d’élèves assiègent le bureau du nouveau directeur. Sur 13 classes qui polarisent l’établissement, seules 12 classes fonctionnent. A l’intérieur du bureau du nouveau directeur, c’est le désordre total. Selon le nouveau directeur de l’école Issa Kane : «Pour le concept “Ubbi Tey, Jang Tey“, nous sommes en train de faire le maximum. Tout est en bonne voie parce que les élèves sont déjà dans les classes, les maitres et maitresses sont présents. Il n’y a pas d’absence dans  l’équipe administrative», a-t-il confié.

 LE LYCEE BLAISE DIAGNE ET LE CEM BLAISE DIAGNE «BOYCOTTENT» LE CONCEPT “UBBI TEY, JANG TEY“

Le Lycée Blaise Diagne et le CEM Blaise Diagne partagent le même sort. La rentrée des classes n’est effective dans ces deux établissements. Il est 11 heures au Lycée public Blaise Diagne. Le soleil au zénith, darde ses rayons ardents sur la capitale sénégalaise. A l’entrée du lycée, c’est une odeur nauséabonde des eaux stagnes de la pluie, de la saleté qui vous accueille. A l’intérieur, les eaux de la pluie d’hier stagnent. Des élèves assis sur les blancs publiques, deux garçons s’affairent au désherbage des arbres. Un décor qui ne indique visiblement le non démarrage des cours. C’est plutôt l’opération «Fast Track» qui est lancée pour sauver la face. Au bout du lycée se trouve le bureau du proviseur, seuls quelques élèves sont présents pour régulariser leurs formalités d’inscription. Mais pas même l’ombre du proviseur. Son secrétaire nous notifie qu’il est en séance de travailler. Dans la salle des professeurs, nous avons trouvé deux professeurs en pleine discussion, l’un enseigne la Physique et Chimie. Il se nomme Amadou Bâ, la quarantaine révolue. Interpellé sur le concept «Ubbi Tey, Jang Tey, il se lâche : «c’est concept creux puisque, les réalités ne sont pas identiques, si une telle école commence, l’autre ne peut pas commencer, par conséquent, c’est impossible que le Ubbi Tey Jang Tey se réalise». Avant d’affirmer dans la foulée que  : «les écoles n’ouvrent pas en même temps. Il existe un défaut d’harmonisation. S’il est vrai à Dakar, ce n’est pas le même cas, ailleurs». Sans faire allusion au Lycée Blaise Dia gne qui n’a pas démarré les cours. Trouvé assis devant la porte de la salle de classe au Lycée Blaise Diagne, Mohamed Correa, âgé de 16 ans, est élevé en classe Seconde S. Il est venu suivre ses cours de renforcement physique chimie dans cet établissement. Il se confie : «Non, ici au lycée de Balaise Diagne, ils ne font pas cours, les élèves sont justes venus pour faire les inscriptions». La porte grandement ouverte, les salles de classes sont toutefois fermées à l’exception du bureau de la Principal. Au milieu de la cour, les élèves et certains parents sont en pleine discussion après les retrouvailles. Un fille d’une vingtaine d’années préférant gardée l’anonymat déclare : «je suis là pour inscrire ma petite sœur. Elle fait la classe de 5ème au collège». «A la place de Ubbi Tey, Jang Tey, j’ai entendu plutôt, Ubbi Tey, Grêve Tey», ironise-t-elle. Assis sur un blanc public devant le bureau du Principal de l’école, Khady Sow, drapée d’un body jaune, un cuissard noir, est venue s’inscrire en classe supérieure 3ème au Collège. Selon, la jeune potache, «il n’y a pas assez d’élèves pour faire cours. Pis, on n’a pas vu nos professeurs, il n’y a pas tout le monde. On nous a renvoyé, peut être lundi prochain».

LYCEE SEYDOU NOUROU TALL : LES ELEVES ONT REPONDU A L’APPEL

C’est dans une ambiance de recréation que s’est plongée le lycée de Seydou Tall en ce débute de la rentrée des classes. Le corps professoral et les élèves a répondu massivement à l’appel. Dans la cours de l’école, c’est le grand brouhaha des élèves en recréation qui nous accueille, d’autres potaches s’affairent à prendre leurs petits déjeunés. Ici, les élèves ne sont plus en vacances. Toutefois, quelques potaches trouvés sur place n’ont pas fait cours, même s’ils affirment que leurs professeurs sont bel et bien présents. Au fond à droite de périmètre de la cour se trouve le bureau du Proviseur. Son secrétaire nous confie que «le démarrage des cours est effectif au sein du Lycée». Toutefois, Pape Alioune Sène, élève en classe de 4ème avoue qu’il n’a pas fait cours, avant d’ajouter : «Nous sommes venus prendre nos fiches de renseignements ». Dans la salle 3 A, du Lycée, nous avons trouvé des élèves explosant de joie, ils sont en pause, informe un élève. En attendant le démarrage normal, le concept Ubbi Tey Jang Tey est loin d’être appliqué dans tous les établissements de Dakar.

MBOUR UNE EFFECTIVITE DANS LE PRIVE, UN ‘’UBBI TEY, JANG TEY’’ TIMIDE DANS LE PUBLIC

La rentrée des classes 2019 n’a pas répondu encore aux aspirations de la concrétisation du concept ‘’Ubbi tey jang tey’’. Plusieurs  établissements du département de Mbour ont affiché une absence d’élèves au premier jour de l’année scolaire. Les maîtres plus ou moins présents dans les écoles voient des classes vides et des cours désertes. Un directeur d’école, interrogé, pense le début des cours sera effectif dans une semaine ou deux car, les parents d’élèves n’ont pas bien travaillé à accompagner le démarrage des  cours le jour de la rentrée. A l’en croire, une tradition bien ancrée voit les élèves venir à l’école des jours après la rentrée. Rares sont les parents d’élèves anticipant sur la rentrée des classes pour faire les trousseaux de leurs enfants. Ils veulent tout faire le jour de la rentrée, payer les inscriptions et trouver des fournitures. Si quelques élèves de l’élémentaire ont cherché à s’inscrire ce n’est pas encore le rush dans les collèges d’enseignement moyen. Dans les trois lycées de la commune, les inscriptions des élèves sont au menu malgré la disponibilité des emplois du temps. L’ambiance des retrouvailles entre lycéens n’est pas encore au rendez-vous. Le fait jure d’avec la promptitude affichée dans les établissements privés. De grands complexes scolaires privés de la commune ont enregistré un démarrage effectif des cours. Le fait est facilité par une présence accrue des élèves et des maîtres. Une inscription des élèves faite bien avant la rentrée a permis aux élèves de rentrer dans les classes.

SEDHIOU - TIMIDE RENTREE DES CLASSES, SEULS 30% DES ELEVES SONT PRESENTS LE DEFICIT DE 480 ENSEIGNANTS TARAUDE LES ESPRITS

La rentrée des classes a été effective hier, jeudi 3 octobre à Sédhiou. Les élèves n’ont pas répondu massivement à l’appel et étaient dans l’ordre de 30% des présences. Quant au corps enseignant, très peu d’absences justifiées sont signalées à l’occasion de la visite des écoles par les autorités administratives, territoriales et autres acteurs de l’école. Face à la presse, l’inspecteur d’académie de Sédhiou a fait observer que 480 enseignants manquent à l’appel.

Le taux de présence des enseignants est estimé à 95% et 30% seulement en moyenne pour les élèves, c’est le constat établi à Sédhiou, hier, 3 octobre jour de la rentrée des classes.

Conformément aux recommandations du comité régional de développement consacré à ce sujet, l’inspecteur d’académie de Sédhiou Cheick Faye rassure que des efforts sont consentis par les communautés et l’ensemble des familles d’acteurs pour apprêter les écoles. «Au terme de cette visite, nous nous sommes rendus compte que les recommandations du comité régional de développement ont été appliquées. Les membres des communautés de l’école ont désherbé et nettoyé les cours des écoles et la désinfection et la désinsectisation sont faites par le service d’hygiène.

L’ensemble des outils de gestion pédagogique et administrative est aussi disponible dans les écoles. Cependant, nous déplorons le faible taux de présence des élèves qui ne dépasse pas les 30%. Mais, avec cette présence, les cours ont effectivement démarré dans les écoles» dit-il.  L’inspecteur d’académie de Sédhiou Cheick Faye ajoute que le déficit de personnel est creux et tourne autour des 480 tous cycles confondus et ce, malgré les efforts de l’Etat. «Nous sommes des académies où les enseignants de tous les ordres quittent en masse lors du mouvement national.  C’est lié à la gestion démocratique du personnel enseignant. Dans le cycle du préscolaire et de l’élémentaire, nous sommes à un déficit qui avoisine les 369 enseignants alors qu’au moyen et au secondaire, nous sommes à un déficit de 112 professeurs soit 481 du besoin actuel, compte non tenu, des nouveaux sortants des écoles de formation et ceux de retour de la formation diplômante. Mais le déficit est toujours énormes ». Interrogé sur la situation des abris provisoires, l’inspecteur d’académie a fait observer que le processus d’éradication de ces types de classes est bien en cours avec les différents partenaires sociaux de l’école et l’Etat.

De son côté, l’adjoint au gouverneur de Sédhiou chargé du développement Modou Guèye se félicite de l’engagement des différents acteurs ayant permis l’effectivité des cours. «Nous avons effectivement constaté que la plupart des acteurs ont respecté les recommandations issues du CRD. Il y’a eu une bonne préparation des établissements scolaires. Les enseignants sont venus en masse et reste aux élèves de marquer leur présence pour engager les enseignements/apprentissages qui ont bien démarré ici», note l’autorité administrative. Par endroit, des problèmes d’étanchéité et un besoin pressant de rénovation des salles de cours sont posés. Les collectivités territoriales représentées par le président du conseil départemental de Sédhiou Boubacar Biaye et Abdoulaye Coly l’adjoint au maire de Sédhiou promettent y apporter les réponses adéquates.

SAINT-LOUIS -  UNE RENTREE DES CLASSES AVORTEE PAR L’ABSENCE DES ELEVES

 C’est une rentrée des classes qui était plutôt timide hier, jeudi, dans la région de Saint-Louis. Bien qu’elle ait été certes effective dans certains établissements scolaires où les enseignements et apprentissages ont pu démarrer avec quelques absences enregistrées chez les élèves; n’empêche que tel n’a pas été du tout le cas au niveau de nombre d’écoles. Dans celles-ci, seuls les enseignants et le personnel administratif se sont présentés sur les lieux. Aucune trace d’élèves mis à part ceux qui venaient pour s’inscrire ou pour récupérer leurs emplois du temps. Un constat fait au niveau de l’école élémentaire Charles Niang de Pikine où, faute d’élèves, la Direction de l’école n’a même pas ouvert les portes des différentes salles de classes. Également, un nombre assez consistant de tables-bancs est visible dans la cour de l’école. Pas de cours aussi au niveau du CEM Guinaw Ray où d’ailleurs, nous avons trouvé les enseignants en train de boire du thé tout en discutant. Bien que nettoyée par les éléments des Sapeurs Pompiers, il y restait cependant encore des flaques d’eaux de pluie. Une école qui n’a vu aussi aucun de ses élèves.

SAINT-LOUIS - RISQUES DE PERTURBATIONS AU PRYTANÉE MILITAIRE : Le Collectif des enseignants dit Non au redéploiement de 16 des leurs vers le public

La rentrée scolaire n’a pas été effective au sein de l’école du Prytanée Militaire de Saint-Louis où des risques de perturbations se font sentir. Le Collectif des enseignants de cet  établissement dit NON à la tentative de l’Inspection d’Académie de la région de redéployer 16 de ses membres vers le public. Ces enseignants tirent sur le Commandant de cette école qui, selon eux est à l’origine de ce blocage. Le Collectif regroupant tous les 50 enseignants met en garde leurs autorités. C’était face à la presse hier, jeudi 3 octobre. À en croire le porte-parole, El Hadj Malick Diop, « 16 de leurs collègues ont reçu des appels du Secrétaire particulier de l’Inspection d’Académie de Saint-Louis leur demandant de se présenter le 1er octobre à 10h à l’Inspection d’Académie. Et ces collègues se sont déplacés jusque sur place où le Directeur des ressources humaines leur a signifié que le Commandant du PMS a demandé à ce que ces 16 professeurs soient redéployés dans d’autres établissements de Saint-Louis”. Une décision qui inquiète aujourd’hui ces enseignants qui se demandent pourquoi vouloir sommer des personnes qui ont tout donné pour les enfants de troupe, de quitter leur école sans aucune explication. La thèse d’un surplus d’enseignements aurait été avancée par le patron de cette école.

RENTREE SCOLAIRE 2019/2020 A NIORO ET KAOLACK DEPARTEMENT : un déficit de plus de 100 enseignants constaté

La rentrée des classes concernant cette présente année académique 2019/2020 risque de connaître quelques perturbations du côté du personnel. La dernière réunion du Comité régional de développement (Crd) relativement axée sur cette question a permis de déceler un déficit criard de 100 enseignants dans les départements de Kaolack et Nioro. Pour les autorités académiques et l’administration locale, cette situation est sur le point de créer un certain blocage par rapport aux mesures prises et les objectifs fixés au préalable sur l’année académique. Car, de leur avis, certaines salles de classe pourraient même être fermées pour défaut d’enseignants.

Selon l’Inspecteur d’académie de Kaolack, ces informations dans leur globalité ont toutes été remontées au niveau ministériel pour la dotation à ces deux départements d’un quota d’enseignants capables de relever le défi. Avec un plus de 300 classes multigrades, et des classes à double flux, les performances en termes de résultat sont aujourd’hui plombées dans les départements de Nioro et Kaolack. Même si entre 2017/ 2018, les résultats scolaires suivent une courbe ascendante, avec des taux de réussite de 26 à 34 % au Bac, 53 % au Cfee, 51 % au Bfem, les autorités académiques aspirent à disposer des taux de réussite de 50 % ou plus. Et ceci dans le cadre du contrat de performance établi avec les chefs d’établissement. Et pour arriver à tout cela, les stratégies qui ont été peaufinées en 2018 sont en train d’être consolidées tant au niveau des sorties groupées, avec l’encadrement des professeurs qu’au point de vue aide aux devoirs qui est présentement appuyé par le projet soutien scolaire et autres systématisations des évaluations standardisées ou progressions harmonisées.

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