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LES CHIITES, ENQUETE SUR UNE MINORITE DE PLUS EN PLUS VISIBLE

Le Sénégal est un pays musulman de tradition sunnite confirmée. Raison pour laquelle la place qu’occupe le chiisme dans la pratique religieuse au Sénégal est très faible.

Mamadou Mbakhé NDIAYE  |   Publication 18/08/2021

Le Sénégal est un pays musulman de tradition sunnite confirmée. Raison pour laquelle la place qu’occupe le chiisme dans la pratique religieuse au Sénégal est très faible. Malgré les divergences doctrinales entre ces deux écoles sur plusieurs aspects de l’Islam, le chiisme dont la présence remonte paradoxalement à plusieurs siècles, selon certains historiens, est de plus en plus visible. Il parvient peu ou prou à composer avec les autres organisations et foyers religieux.

Sunnites /Chiites : Quelles différences dans l’Islam ? Sunnites et chiites ont en commun les grands principes de l’Islam : la croyance en l’Unicité de Dieu, en sa Parole révélée au Prophète Mahomet sous la forme d’une récitation consignée dans un Livre : le Coran ; la référence aux «propos» du Prophète qui constituent la Sunna (la Tradition). Mais les chiites ne reconnaissent pas la légitimité des trois premiers califes qu’ils accusent d’avoir usurpé le pouvoir en éloignant Ali, le gendre et cousin de Mahomet, considéré par eux comme le premier imam. La mort de Husayn, petit-fils du Prophète, en 680 à Kerbala, enracine la sensibilité chiite dans un récit de passion. En 680 en effet, Husayn, le petit-fils du Prophète, se mit en route pour Koufa (Irak) avec sa famille et une poignée de compagnons afin de clamer son refus de prêter allégeance au nouveau calife Yazid. La troupe fut interceptée par l’armée omeyyade, bien supérieure en nombre, dans la plaine de Kerbala, au bord de l’Euphrate. Le campement de Husayn fut assiégé, puis le 10 du premier mois du calendrier musulman, la bataille s’engagea. Husayn fut tué et décapité. Les rescapés furent amenés auprès du calife, à Damas. Husayn était considéré comme le seul successeur légitime de Mahomet en tant que troisième imam après Ali et son fils Hassan. Sa mort marque le début du chiisme.

Selon l’historienne en Islam contemporain et directrice de recherches au Cnrs, Sabrina Mervin, les chiites représentent 10 à 15% des musulmans dans le monde. Au Sénégal où l’écrasante majorité des musulmans est sunnite, le chiisme est très minoré. Et pourtant, son implantation au Sénégal remonte à plusieurs siècles, selon certaines sources. «Pour situer avec exactitude le début du chiisme au Sénégal, il faut remonter à l’histoire de l’avènement de l’Islam dans le pays au xe siècle. Certains affirment que c’est à partir de cette date que les chiites seraient arrivés au Sénégal en compagnie des commerçants arabes qui venaient du Maroc, traversaient le Mali, la Mauritanie puis le nord du Sénégal et continuaient vers la Guinée en passant par la Gambie, pour des activités commerciales», renseigne Dr Macomba Diop dans son livre : «L’Introduction du Chiisme au Sénégal». Cette thèse est partagée par Alioune Badiane de l’Institut Mozdahir International (IMI) qui indique qu’une partie des premiers musulmans sénégalais étaient de confession chiite à cause de l’influence de ces Arabes. Mêms’ils ne savaient pas à l’époque ce qu’était le chiisme et sa différence avec le sunnisme qu’ils pratiquent aujourd’hui. Cependant, souligne Dr Diop, il reste difficile de vérifier ces hypothèses construites à partir de sources orales. L’historien admet toutefois une présence chiite au Sénégal bien avant les années 1950. Dans le même ordre d’idées, Dr Macoumba Diop précise dans son livre que même s’il s’avère que la plupart des populations libanaises qui s’exilent vers l’Afrique sont des musulmans de confession chiite, l’introduction du chiisme dans la population locale n’est pas passée par ces derniers. «Cet exil est la conséquence de répressions, d’humiliations et de persécutions de l’administration ottomane à l’époque. De ce fait, leur installation au Sénégal n’avait pas un but de prosélytisme religieux», explique l’historien dans son livre.

L’INFLUENCE DE LA REVOLUTION IRANIENNE DE 1979

Il faut attendre la révolution iranienne de 1979 pour voir la composition des chiites sénégalais changer. Selon plusieurs thèses, le modèle iranien a influencé considérablement le concept même de révolution. Les Sénégalais ne parlaient pas de révolution avant celle d’Iran. Ils utilisaient le terme de lutte contre la colonisation. Après 1979, il a été constaté l’arrivée d’une nouvelle génération de jeunes arabisants en provenance du monde arabe et porteuse d’un discours de rupture et revendicateur. «La deuxième génération est surtout composée de jeunes étudiants nés après l’indépendance. Ils ont grandi avec l’arrivée de la tendance chiite. Et cette tendance grandit et s’affirme petit à petit dans les quartiers.

Les premiers disciples s’organisent autour de groupements plus formels et plus engagés dans la vie politique et sociale que ceux des générations 1930. Ces premiers disciples chiites sont souvent attirés par le personnage de l’imam Khomeiny. Ils commencent à fréquenter l’ambassade de l’Iran à Dakar, pour se renseigner sur le chiisme et sur la personne de Khomeiny. De son côté, l’ambassade d’Iran à Dakar fournit des livres et des journaux traduits en langues arabe et en français à ces jeunes dont la plupart sont des lycéens et des étudiants de l’université de Dakar. Ces derniers retournent au campus universitaire et dans les quartiers de Dakar où ils organisent des débats de rue avec les populations afin d’essayer d’expliquer ce qu’estle chiisme et propager son message », relate toujours Dr Diop dans son ouvrage. Il rappelle aussi que les premiers ‘’convertis’’ au chiisme ont suivi des parcours spécifiques. «Certains sont devenus chiites à partir de voyages d’études effectués en Iran ou en Syrie : c’est le cas de certains étudiants des années 1970. Pour la majorité, ils sont issus du mouvement ibaadou rahmane et ont rejoint le chiisme après la révolution iranienne. Ces deux facteurs sont les plus marquants dans le processus d’implantation et d’intégration du chiisme au Sénégal», souligne-til

PLUS D’UN MILLION DE CHIITES AU SENEGAL ?

Interrogé par ailleurs sur le nombre de chiites au Sénégal, le chargé de communication du Conseil des Oulémas d’Aklal Bayt du Sénégal affirme qu’un chiffre exact ne peut pas être avancé. «Mais selon les approximations, on serait plus d’un million au Sénégal», dit-il. Revenant par ailleurs sur leurs rapports avec les autres organisations religieuses et l’Etat, il déclare : ‘’On ne sent aucune discrimination avec les foyers religieux .On nous invite officiellement lors des Gamous et des Magals. Nos différentes organisations fonctionnent aussi en toute transparence.’’

A l’en croire, les khalifes comme Serigne Abdou Aziz Sy Dabakh, Serigne Saliou avaient même écrit un mémorandum pour dire que les chiites ont les mêmes droits que les autres branches de l’Islam au Sénégal. Il signale dans la foulée qu’il y a beaucoup de traits en commun entre le soufisme et le chiisme. D’ailleurs, insiste-t-il, dans nos œuvres sociales, on ne fait pas la différence entre sunnites et chiites

ACHOURA, MARIAGE TEMPOREL… AUX ORIGINES DES DIVERGENCE

Il y a plusieurs aspects qui différencient les sunnites et les chiites. Mais est de constater que la place des compagnons du Prophète, le mariage et la célébration de la Achoura (Tamkharite) constituent des divergences fondamentales entre Chiites et Sunnites au Sénégal et plus généralement dans le monde.

Les Sunnites constituent le courant largement majoritaire de l’islam. Dans le monde, les musulmans sont constitués environ de 85% de Sunnites contre 15% de Chiites. Toutefois, l’Irak, l’Iran et le Bahreïn sont à majorité chiite. Les musulmans sunnites et chiites partagent les croyances islamiques ainsi que les articles de foi les plus fondamentaux, et constituent les deux principaux sous-groupes de l’Islam. Ils diffèrent cependant sur certains aspects. «Il y a un peu de différences dans la pratique comme dans notre manière de prier. En plus, on considère aussi que le Prophète avait désigné 12 imams infaillibles qui doivent être suivis jusqu’à l’imam Mahdi qui devra venir pour sauver l’humanité à la différence des Sunnites qui pensent qu’il y a aucune succession designée par le Prophète. C’est pourquoi, les Chiites croient aux 12 imams alors que les Sunnites ne croient qu’à 4 khalifes. Contrairement à ceux que certains disent, on ne leur manque pas de respect, mais c’estjuste qu’on se conforme aux dires du Prophètes qui avait désigné etles 12 imams», affirme le chargé en communication du Conseil des Oulémas d’Ahllay Bayt du Sénégal, Abdoulaye Diallo. Représentant du Cheikh Yakhoubi d’Iran au Sénégal, MonsieurDiallo est revenu sur le sens de la célébration du «Tamkharite» qui constitue aussi un des points de discordance avec les Sunnites. «Ce jour ne peut pas être un jour de fête pour les Chiites, parce la mort de l’imam Hussein a fait pleurer le Prophète Mouhamad (PSL) bien avant qu’il ne soit tué», soutientil. C’est pourquoi, indiqueAbdoulaye Diallo, les Chiites ne prennent pas de femme pendant les mois de «Tamkharite» et de «Safar». «Parce que c’est durant ce mois que l’on célèbre le 40ème jour de la mort du petitfils du Prophète», poursuit le chargé en communication de ce mouvement chiite. Dans son livre «Islam, Science et Société», l’Imam Makhtar Kanté relativise toutefois cette tendance.

A l’en croire, le courant Chiite fabrique une interprétation d’Achoura assujettie à leur prétendu amour sans limites de la famille du Prophète. Il estime que cette interprétation vise à détourner le sens originel d’Achoura vers la célébration du martyr d’Imam Hussein. «En effet, ce petit-fils du Prophète sera tué avec des membres de sa famille et ses compagnons lors de la confrontation fratricide qui a eu lieu le 10 Muharram à Karbala, en terre d’Irak. Cette tragédie pour énorme qu’elle fut, sera instrumentalisée par les idéologues chiites, qui sont connus pour leur capacité spéculative et leur duplicité hors du commun, aux fins de propager l’idée selon laquelle la signification décisive d’achoura réside dans le martyre de l’imam Hussein», déclare Imam Kanté qui ajoute que c’est la raison pour laquelle le jour d’Achoura les masses chiites se flagellent le corps à sang . «Malgré la diabolisation concernant notre position sur le mariage, on voit rarement au Sénégal les Chiites divorcer de leurs épouses» Une position qui tranche d’avec celle d’Abdoulaye Diallo qui pense la mort de l’Imam Hussein a fait pleurer le Prophète et les gens d’Aklal Bayt. Par conséquent, souligne-t-il, cette date ne peut pas être jour heureux pour les musulmans.

Evoquant le mariage temporel chez les Chiites, il s’est voulu très catégorique. «Sur le mariage, on voit rarement au Sénégal des Chiites divorcer de leurs femmes. Contrairement à ce que l’on nous prête, on respecte la femme. On ne banalise pas le mariage», rassure le chargé en communication des Chiites avant d’ajouter : «Nous exigeons les mêmes conditions que les Sunnites pour le mariage. Ce n’est pas vrai que pour se marier, il faut juste avoir l’accord de la femme de manière lapidaire. Et, ce dans l’objectif d’avoir des rapports sexuels». A l’en croire, on ne peut citer un Chiite qui est épinglé dans ce genre de débauche. «C’est une position de principe tirée de la tradition que nous défendons et qui stipule que le mariage temporel existait du temps du Prophète. Mais, c’est diffèrent de la banalisation et de la diabolisation que l’on entend souvent quand on parle de mariage dans le Chiisme», s’offusque-t-il.

CHEIKH MONHEIM ZEINE, CHERIF ALI AIDARA : LES DEUX FIGURES DE PROUE DU CHIISME AU SENEGAL

Deux guides chiites sénégalais, selon l’historien Macoumba Diop, réussissent à pénétrer l’espace religieux pour se positionner parmi les marabouts classiques traditionnels. L’un est le guide de la communauté chiite libano-sénégalaise, le cheikh Monhéim Zéine élu au rang de calife d’Ahl-bayt au Sénégal, un titre que lui ont attribué les califes généraux des deux grandes confréries sunnites, le calife des Mourides, Serigne Saliou Mbacké (1990-2007) et le calife des Tidianes, Serigne Mansour Sy (1997-2012). Cette reconnaissance officielle de la part des marabouts sunnites d’une représentation chiite au Sénégal constitue une avancée majeure dans la perception du chiisme par les Sénégalais. Depuis la reconnaissance de ce titre de calife chiite au Sénégal à côté des autres califes sunnites, la communauté chiite libano-sénégalaise devient l’une des organisations chiites les plus influentes et les plus connues. L’autre guide chiite qui trouve sa place dans la sphère islamique au Sénégal est celui de la communauté Mozdahir international, le chérif Ali Aïdara. Ce Sénégalais d’origine maure de la Mauritanie est connu en 2000 quand il crée l’organisation non gouvernemental Mozdahir international : une organisation dont le but est la diffusion du chiisme au Sénégal à travers des activités économiques, éducatives et sociales. Le guide crée alors des centres de formation gratuite dans différentes région du Sénégal et recrute des élèves dans les niveaux élémentaires et secondaires afin de les former en théologie chiite et dans les sciences islamiques15. En plus de ces centres de formation, l’organisation ouvre, en 2007, une faculté d’enseignement supérieur à Dakar16.

Les étudiants sont recrutés par concours et ceux qui sont admis sont pris en charge à la fin de leurs cursus pour qu’ils puissent continuer leurs études à l’étranger notamment en Iran et en Irak. À la différence de la communauté libanaise, le guide chiite de l’I.M.I est très présent dans les médias sénégalais. Il dispose des outils de communication que son confrère libanais n’a pas. En plus de cela, il est entouré par des hommes médiatiques sénégalais convertis au chiisme, qui par leurs travail de propagande à travers les médias exportent le chiisme dans tout le pays. Parmi ces hommes, il y a d’anciens animateurs de radio, d’anciens professeurs d’école et avec eux, le chérif Ali Aïdara multiplie les conférences et les débats télévisés pour expliciter les positions des chiites dans les questions de société. Bien qu’il ne soit pas reconnu officiellement par les autres guides religieux sunnites comme le représentant légal de la communauté chiite, le chérif Ali Aïdara reste le leader chiite le plus connu par les Sénégalais grâce à ses actions médiatisées et à ses représentants.

CHEIKH IBRAHIMA SOW, ISLAMOLOGUE «ILS ONT DEVOYE CERTAINS DIRES DU PROPHETE»

‘’C’est un courant qui a une interprétation tendancieuse des textes coraniques et de la tradition prophétique. Ils sont des inconditionnels de Seydina Ali qu’ils considèrent comme le meilleur de la communauté après le dernier Messager. Ainsi, ils ont une faible reconnaissance des autres compagnons. Force est de reconnaître qu’ils sont disséminés maintenant à travers le pays avec une bonne organisation et une bonne communication qui a séduit beaucoup d’intellectuels musulmans. Ils avancent masqués, en construisant des mosquées, des écoles. Leur capacité financière a fortement joué dans leur implantation au Sénégal. Ils ont influencé beaucoup d’intellectuels ibadou Rahman grâce à leur maîtrise des textes et leur manière de communiquer. Ils ont beaucoup joué sur la méconnaissance et le manque de détermination de certains musulmans sénégalais. Toutefois, les chiites ont fait une interprétation erronée et fallacieuse des textes coraniques et de la tradition prophétique. Nous ne sommes pas d’accord avec eux sur plusieurs points. Ils ont dévoyé certains dires du prophète.’’

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