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4 mai 2025
LE SENEGAL EVITE LA COTE D’IVOIRE, L’ÉGYPTE, LA TUNISIE, LE MAROC ET L’ALGERIE
Chapeaux pour le tirage au sort de la can2023 - Les 24 équipes qualifiées pour la prochaine Coupe d’Afrique des Nations sont désormais connues. La CAN 2023 se disputera en Côte d’Ivoire du 13 janvier au 11 février 2024.
Les 24 équipes qualifiées pour la prochaine Coupe d’Afrique des Nations sont désormais connues. La CAN 2023 se disputera en Côte d’Ivoire du 13 janvier au 11 février 2024.
Avec la fin des éliminatoires de la CAN 2023, les chapeaux du tirage au sort sont connus. La Côte d’Ivoire et le Sénégal se retrouvent dans le chapeau 1, en compagnie du Maroc et de l’Algérie. Ces éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations se sont conclues mardi avec la victoire (3-0) du Cameroun face au Burundi, qui permet aux Lions indomptables de se qualifier et d'empocher un ticket pour la Côte d’Ivoire.
Avec les 24 équipes qualifiées pour la compétition, on connaît désormais les chapeaux qui serviront au tirage au sort, le 12 octobre prochain à Abidjan. Le pays organisateur sera dans le chapeau 1 en compagnie du vainqueur sortant, le Sénégal. Absentes de la dernière édition, la République démocratique du Congo, l’Afrique du Sud et la Namibie sont réparties entre les chapeaux 2, 3 et 4.
Le Sénégal connaît ses adversaires de poules de la Coupe du monde U17 qui se joue du prévue du 10 novembre au 2 décembre en Indonésie. Le tirage au sort effectué hier, vendredi 16 septembre place les champions d’Afrique en titre dans le groupe D en compagnie du Japon, de la Pologne et de l’Argentine. Les trois autres sélections évolueront dans les groupes A (Maroc), B (Mali) et E (Burkina Faso).
Le Sénégal a connait depuis hier, vendredi ses prochains adversaires de poule à la Coupe du monde cadette qui se joue du 10 novembre au 2 décembre en Indonésie. Victorieux de la CAN U17 en mai dernier devant le Maroc, les Lionceaux de Serigne Saliou Dia ont hérité du lourd lors de ce tirage au sort des groupes effectué ce vendredi. La bande à Amara Diouf est logé dans le groupe D en compagnie de l’Argentine, du Japon et de la Pologne.
Finaliste malheureux de la CAN U17, le Maroc a hérité du groupe A jugé plus clément qu’il partagera avec l’Indonésie, pays organisateur, l’Équateur et le Panama.
Le Burkina Faso n’est pas moins loti puisqu’il est tombé dans le groupe E en compagnie de la France, considérée comme la grand favori après son sacre en 2001 et sa troisième place en 2019 mais aussi de la Corée du Sud et les États-Unis juniors.
Quant au Mali, il est tombé dans le groupe B où il retrouvera l’Espagne, quadruple finaliste de la Coupe du monde mais aussi d’adversaires plus abordables comme le Canada et de l’Ouzbékistan.
Le Mondial indonésien regroupera 24 équipes réparties en six groupes de quatre. Sacré lors de la dernière édition disputée en 2019, le Brésil est, quant à lui, logé dans la poule C en compagnie de l’Iran, la Nouvelle-Calédonie et l’Angleterre.
Pour rappel, les deux premiers de chaque groupe, ainsi que les quatre meilleurs troisièmes, vont disputer les quarts.
TIRAGE AU SORT COMPLET COUPE DU MONDE U17 :
Groupe A : Indonésie, Équateur, Maroc, Panama.
Groupe B : Espagne, Mali, Ouzbékistan, Canada.
Groupe C : Brésil, Angleterre, Iran, Nouvelle-Calédonie.
Groupe D : Japon, Argentine, Sénégal, Pologne
Groupe E : France, Corée du Sud, États-Unis, Burkina Faso.
Groupe F : Mexique, Allemagne, Nouvelle-Zélande, Venezuela.
LE DUEL DE «LIONS» CONFIRME POUR LE 16 OCTOBRE A LENS
Match amical international Sénégal-Cameroun, Après l’Algérie, l’équipe du Sénégal va se mesurer à celle du Cameroun lors de la prochaine trêve internationale.
Après l’Algérie, l’équipe du Sénégal va se mesurer à celle du Cameroun lors de la prochaine trêve internationale. Ce match amical entre ces deux grands d’Afrique aura lieu le 16 octobre prochain, en France. La Fédération sénégalaise de football a choisi le Stade Bollaert-Delélis à Lens (France) comme lieu de cette confrontation préparatoire du début des qualifications de la Coupe du monde 2026 prévue en novembre mais aussi de la Coupe d’Afrique qui se joue dans quatre mois en Côte d’Ivoire.
Dans le cadre de la préparation pour la Coupe d’Afrique des nations (CAN) qui se tiendra en Côte d’Ivoire du 13 janvier au 11 février 2024, le Sénégal va s’étalonner avec le Cameroun. Ce match amical de gala aura lieu le 16 octobre, en France.
La Fédération sénégalaise de football (FSF) qui a confirmé hier, vendredi l’information, a choisi le Stade Bollaert-Delélis à Lens (Nord de la France) comme lieu de cette confrontation entre Lions du pays de la Teranga et Lions Indomptables. Au sortir d’un probant succés devant la Seleçao brésilienne (4- 2) suivi d’une défaite en amical concédée ce mardi 12 septembre face à l’Algérie (0-1) au stade Abdoulaye-Wade de Diamniadio, la première défaite à domicile depuis plus de 10 ans, les Lions auront une bonne opportunité de s’étalonner face à des cadors du continent et surtout d’affiner un peu plus le collectif et la stratégie de l’équipe du Sénégal.
Ce duel de «Lions» aura aussi comme celui devant des Fennecs d’Algérie, des airs de revanche pour Sadio Mané et ses coéquipiers. Le dernier affrontement officiel entre les deux pays remonte, on le rappelle, aux quarts de finale de la Coupe d'Afrique des Nations 2017 qui s'est déroulée au Gabon. La rencontre s'était achevée sur un score nul et vierge (0-0) au bout du temps réglementaire. Le Cameroun avait finalement remporté le match en s’imposant aux tirs au but après un penalty manqué par Sadio Mané. Le Cameroun avait ainsi remporté cette édition devant l’Egypte.
PIKINE GUINAW RAIL INITIE DES COTISATIONS ET DENONCE L’INERTIE DES AUTORITES MUNICIPALES
Le phénomène des inondations est loin de connaître son épilogue à Saint-Louis où des maisons et rues de plusieurs quartiers sont toujours inondées par les eaux de pluie.
Le phénomène des inondations est loin de connaître son épilogue à Saint-Louis où des maisons et rues de plusieurs quartiers sont toujours inondées par les eaux de pluie. Certains habitants du quartier de Pikine Guinaw Rail ont initié des cotisations par ménage pour se payer une motopompe et du carburant pour pouvoir faire évacuer les eaux de pluies. Ils fustigent l'inertie des autorités locales à leur égard pour les soulager.
Le quartier de Pikine Guinaw Rail, tout comme d’autres quartiers inondés de la commune de Saint-Louis, est méconnaissable en cette période d’hivernage. Presque toutes les maisons sont envahies par les eaux de pluies qui stagnent également à tous les coins de rues. Il est même difficile voire impossible d’aller d’un endroit à un autre sans patauger dans ces eaux de pluies qui sont souvent mélangées à celles des fosses septiques et aux ordures ménagères. Ce qui constitue un cocktail de risques pour les habitants de choper certaines maladies.
Face à cette situation, ces habitants de Pikine Guinaw Rail ont initié des cotisations en raison de 5000 FCFA par famille avec comme objectif l’achat de motopompes et du carburant en vue de l’évacuation des eaux de pluies. « Nous sommes obligés de nous cotiser, faire avec les moyens de bord pour pouvoir nous payer une motopompe et du carburant car jusqu’ici, nous n’avons bénéficié d’aucun appui des autorités de la mairie de Saint-Louis qui semble nous laisser en rade. Des bonnes volontés du quartier et d’ailleurs nous aident également en espèces dans cette opération qui consiste à faire évacuer les eaux de pluies », a laissé entendre le Doyen Sandjiri, un résident qui fustige ainsi l’inertie des autorités municipales. Ces habitants de Pikine Guinaw Rail de réitérer encore une fois leur veille doléance à savoir la restructuration par l’État de leur populeux quartier qui, chaque année, est confronté à ce même problème des inondations.
MIMI TOURE PEINT UN TABLEAU SOMBRE DE BBY DANS LE FOUTA
Scandale du fonds covid, incidents mortels, justice instrumentalisée…La présidente de “Mimi 2024”, Aminata Touré, candidate déclarée à la présidentielle de février prochain, déroule depuis deux jours des visites de proximité dans la région de Matam
La présidente de “Mimi 2024”, Aminata Touré, candidate déclarée à la présidentielle de février prochain, déroule depuis deux jours des visites de proximité dans la région de Matam pour discuter avec les populations de son programme. En plus, le leader politique a interpellé le candidat de BBY, l’actuel Premier ministre Amadou Ba, à se prononcer sur deux questions brûlantes de l’actualité que sont le scandale du fonds “Force Covid,” qui a impliqué plusieurs ministères et les incidents mortels survenus lors des manifestations des deux dernières années. Pour Mimi Touré, élire Amadou Ba c'est tout comme offrir un troisième mandat à Macky Sall.
Après le département de Ranérou, durant l’étape de Matam, la candidate déclarée à la présidentielle de février prochain, a relevé devant ses partisans, la nécessité de s’impliquer dans l’acquisition d’un changement, jugeant qu’il est possible d’y arriver avec son programme. « Il faut un programme pour radicalement changer le Sénégal et cela est possible. Si l’on voit une région comme celle de Matam, qui est une région de grands potentiels, avec des activités qui tournent autour de l'élevage, de l'agriculture, mais également les phosphates dont on ne parle pas. On se rend compte qu’il y’a un manque car cette zone ne devrait pas être une région où règne la pauvreté », de son avis. Mettant en exergue le programme de la coalition “Mimi 2024” qui entend éliminer la pauvreté définitivement au Sénégal, Aminata Touré a indiqué qu’il s’agit d'abord de rendre la nourriture accessible à tout le monde. Ce, explique-t-elle, avec l’instauration d’un système de transfert de subvention du riz, du sucre et du lait, ajoutant à cet égard, que l’on ne peut pas parler de développement si les gens ne mangent pas à leur faim. « Matam peut être un grenier du Sénégal. Nous sommes au bord du Dandé Maayo, les femmes s'activent beaucoup dans les activités de maraichage mais elles ont besoin d'être davantage accompagnées », annonce–t-elle.
Dans ses orientations, la candidate déclarée à la présidentielle émet la nécessité de construire « une banque des femmes du Sénégal pour accompagner toutes les femmes actrices dans le développement, que ce soit la pêche, l'agriculture ou l'élevage ». En plus, selon-t-elle, c’est la modernisation de l'élevage dans la région qui ne dispose pas d'unité de stockage du lait et d'usine de fabrique de l'aliment de bétail qui se positionne comme une urgence de développement apte à lutter contre le sous–emploi et l’émigration clandestine. « Moderniser l'élevage et en faire de l'élevage intensif, en encadrant les jeunes éleveurs annonce une rupture de taille, en ce sens qu’on arrivera à exporter de la viande, à procéder à la transformation des produits laitiers pour circonscrire les 16 milliards d'importation de produits laitiers que nous supportons », ajoute-t-elle.
AUDITER LES PHOSPHATES DE DENDORI
En face de ses partisans et de plusieurs responsables de sa formation politique, Aminata Touré, la présidente de »Mimi 2024 », a relevé l’impérieuse nécessité d’auditer l’exploitation du phosphate dans la région de Matam pour permettre aux populations de bénéficier des retombées de cette ressource minière. Pour l’ancienne présidente du Conseil économique, social et environnemental, c’est l’obscurantisme total qui entoure l’exploitation de ces phosphates de haute qualité, un problème auquel elle entend remédier une fois au pouvoir, pour que les investissements des sociétés exploitantes prennent en charge le bien-être des populations. « Il y a toujours des conflits entre les populations et les exploitants. C’est à l’Etat d’éclaircir cela pour que les populations bénéficient au moins de la Responsabilité sociétale d’entreprise (RSE), il est plus que nécessaire d’auditer l’exploitation du phosphate dans la région de Matam, car les populations ne voient pas les retombées de cette exploitation», déclare –t-elle.
ELIRE AMADOU BA C'EST TOUT COMME OFFRIR UN TROISIEME MANDAT A MACKY SALL
En verve, le leader du mouvement « Mimi 2024 » a indiqué devant ses militants et responsables que voter Amadou Bâ, candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar (Bby), c’est accepter d’emblée un troisième mandat au président sortant Macky Sall. « Matam n'est le titre foncier de personne, celui qui le disait ne se présentera pas à l'élection présidentielle de 2024; Il reste que son candidat n'est pas plus foutankais que moi. Enfin d'ailleurs il y'a un candidat (…). Cà a été un accouchement long et difficile, avec toutes les frustrations qu'on connait. Au reste, élire Amadou Ba c'est tout comme offrir un troisième mandat à Macky Sall », fulmine– t-elle. Avant d’ajouter que les Sénégalais aspirent à un changement. Ce qui veut dire que le système a fait son temps, aussi bien BBY que APR où Macky Sall a été le ‘one man show’, c'est terminé. A l’endroit du Premier ministre Amadou Ba, la candidate du mouvement « Mimi 2024 », dit solliciter un débat public autour de deux questions brûlantes de l’actualité que sont le scandale du fonds “Force Covid,” qui a affecté plusieurs ministères et les incidents mortels survenus lors des manifestations des deux dernières années. Après cela, ironise–t-elle, « le candidat de Benno Bokk Yakaar pourra entretenir les populations de son projet pour le Sénégal ».
DEFICIT DE CONFIANCE ENTRE LES POPULATIONS ET LA JUSTICE !
Considérant que la justice a été publiquement instrumentalisée, notamment dans le cas de Ousmane Sonko, Aminata Touré, l’ancienne ministre de la Justice Garde des sceaux, a dit avoir des solutions concrètes sur la question. « Les populations ont le sentiment que la justice a été instrumentalisée, notamment dans le cas de Ousmane Sonko qui était poursuivi pour deux chefs d'accusation qui ont été rejetés par le juge, il aurait dû rentrer chez lui. Aujourd'hui, il est emprisonné pour un autre chef d’accusation. Quand on l'a annoncé, tout le monde est allé voir dans les livres de droit ce que cela veut dire », fait –t-elle savoir. Avant de souligner que le leader de ‘’ l’ex –Pastef’’ doit impérativement participer à l’élection présidentielle d’autant qu’il n’a pas été emprisonné pour les chefs d’inculpation pour lesquels il a été poursuivi. Selon Mimi Touré, Il faut que Ousmane Sonko retrouve sa liberté, car « le président Macky Sall a pardonné à des leaders qui ne devraient être candidats à l'élection, il faut qu'il le fasse pour Ousmane Sonko, pour qu’il revienne à la vie normale, pour que notre démocratie revienne à la situation normale ».
APRES BASSIROU DIOMAYE FAYE, LE PROCUREUR CRIMINALISE LE DOSSIER FADILOU KEÏTA
Opération de durcissement des procédures judiciaires contre les Pro Sonko, Le « rouleau compresseur » de la justice sénégalaise continue de broyer les proches du maire de Ziguinchor.
Le « rouleau compresseur » de la justice sénégalaise continue de broyer les proches du maire de Ziguinchor.
Près de trois jours après la pénalisation de la procédure judiciaire visant Bassirou Diomaye Faye de l’ex parti Pastef avec une nouvelle inculpation dans le dossier ouvert contre Ousmane Sonko par le doyen des Juges Oumar Maham Diallo, c’est au tour du coordonnateur du Nemeeku Tour Fadilou Keïta de faire les frais de l’opération de durcissement des procédures judiciaires initiée depuis quelques jours par le Parquet.
En effet, il a été placé sous mandat de dépôt en début décembre 2022 pour diffusion de fausses nouvelles et incitation à la haine entre autres après un texte publié sur Facebook relatif à la disparition des gendarmes Didier Badji et Fulbert Sambou et intitulé «J’espère juste qu'ils n'ont pas tué mon frère ».
Fadilou Keïta non moins fils de l’ancienne présidente de l’Ofnac, Mme Nafy Ngom Keita, a été extrait de prison hier, vendredi 15 septembre, et présenté au Doyen des juges, suite à un réquisitoire supplétif du parquet en date du 5 juin reçu le 6 septembre, selon son avocat Me Cheikh Koureyssi Ba. Ce dernier renseigne également que ce nouveau face à face entre son client et magistrat instructeur s’est soldé par un nouveau mandat de dépôt dans le cadre d’une nouvelle procédure portant sur de nouveaux faits de nature criminelle. Autrement dit, avec cette nouvelle tournure qu’a prise ces affaires, le parquet a désormais les coudées franches de maintenir en prison aussi longtemps qu’il le souhaite le maire de Ziguinchor et ses camarades.
L’AUTORITE GARDE LE CAP
Bis repetita : le préfet de Dakar a encore interdit une manifestation du F24, celle prévue hier, vendredi 15 septembre, à la Place de la Nation.
Bis repetita : le préfet de Dakar a encore interdit une manifestation du F24, celle prévue hier, vendredi 15 septembre, à la Place de la Nation. Pour la énième fois, Mor Talla Tine oppose son veto aux membres de F24 et de Y’en à marre qui envisageaient un rassemblement pour exiger la libération des « détenus politiques».
Mor Talla Tine n’en démord toujours pas. Au motif de « risques de troubles à l’ordre public et l’entrave à la libre circulation des personnes et des biens », le préfet de Dakar a interdit le rassemblement prévu à la Place de la Nation. Cette manifestation qui devrait commencer à 15 heures pour se terminer à 19 heures, sur sollicitation de la plateforme dite des Forces vives de la nation (F 24), n’a pas reçu l’onction de l’autorité préfectorale qui persiste dans sa dynamique dite de maintien de l’ordre public. C’est la énième demande de manifestation de l’opposition rejetée par l’autorité préfectorale depuis les fameux évènements de début juin, lesquels avaient causé via des émeutes, plus d’une quinzaine de morts (une trentaine selon l’opposition radicale) et moult dégâts matériels.
Dans un communiqué transmis à la presse, la plateforme F24 qui regroupe plus d’une centaine de partis, mouvements citoyens et autres, a vigoureusement dénoncé cette énième interdiction de sa demande de manifestation pacifique. Pour elle, l’administration à travers le préfet continue de bafouer les droits constitutionnels des citoyens en interdisant de manière systématique toute manifestation.
Et d’arguer : « La manière n’y est même plus, si non comment comprendre qu’il n’y ait même pas d’enquête administrative et que la réponse nous soit servie par voie de presse ? ». La plateforme F24 a fini par appeler « les citoyens à se mobiliser davantage pour réclamer la libération de tous les détenus politiques, la tenue d’élections libres, transparentes mais surtout inclusives ». Avant de finir par informer qu’une nouvelle demande de rassemblement sera introduite lundi prochain.