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31 juillet 2025
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SONKO RÉTABLIT DANS SES DROITS
Le tribunal de grande instance de Ziguinchor a annulé la radiation de l'opposant du fichier électoral, a déclaré ce jeudi soir, Me Étienne Ndione, l’un de ses avocats, à l'issue d'une audience marathon
avec Farid Akélé de SenePlus |
Publication 12/10/2023
Le tribunal de grande instance de Ziguinchor (sud) a annulé la radiation d’Ousmane Sonko du fichier électoral, a déclaré, jeudi, Me Étienne Ndione, l’un des avocats de l’opposant.
‘’Le juge a pris ses responsabilités en disant qu’Ousmane Sonko doit être réintégré, réinscrit par les services compétents du ministère de l’Intérieur’’, a dit Me Ndione à la presse.
"Le juge a fait montre d'un courage énorme. C'est une fierté. Tout le monde a été surpris et déçu par l'attitude de l'État du Sénégal qui après avoir nommé un juge, propose sa récusation en pleine audience. Comment est-ce que cela a pu se faire ? Est-ce que le juge a refusé de céder aux tentations ? Mais ce qu'il faut surtout retenir, c'est que c'est un vent de liberté et d'indépendance qui souffle dans les rangs des magistrats. Ce vent de liberté inspirera d'autres juges parce que j'ai dit, j'ai dit qu'il existe dans ce pays des juges fiers, des juges honnêtes, des juges indépendants, des juges courageux", a pour sa part réagi son collègue maître Ciré Clédor Ly.
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BATAILLE JUDICIAIRE SOUS TENSION À ZIGUINCHOR
Les avocats d'Ousmane Sonko ont contesté ce jeudi sa radiation des listes électorales devant la justice, suscitant des manifestations de ses partisans et des affrontements avec les forces de l'ordre
La situation politique au Sénégal est marquée par une intense bataille judiciaire concernant la candidature d'Ousmane Sonko, un opposant emprisonné et ancien maire de Ziguinchor. Sa radiation des listes électorales l'empêche de participer à l'élection présidentielle prévue en février 2024. Ses avocats ont contesté ce jeudi cette décision devant la justice, suscitant des manifestations de ses partisans et des affrontements avec les forces de l'ordre.
Ils soutiennent que la condamnation de leur client n'est pas définitive, car il a été arrêté depuis sa condamnation en juin. Les conseils du maire de Ziguinchor invoquent les textes en vigueur sur la contumace, qui stipulent que la personne condamnée par doit être rejugée une fois arrêtée. La contestation de sa radiation des listes électorales devant le tribunal représente une dernière chance pour Ousmane Sonko de pouvoir participer à l'élection présidentielle.
Cette affaire soulève des inquiétudes quant à la démocratie et à l'État de droit au Sénégal. Les partisans d'Ousmane Sonko estiment qu'il est victime d'une persécution politique visant à l'empêcher de se présenter à l'élection présidentielle. La décision de le condamner par contumace et de le radier des listes électorales soulève des questions sur l'indépendance de la justice et le respect des droits des opposants politiques.
LE FOOT, SYMBOLE DE LA RÉSISTANCE DES PRO-SONKO
Les stades du pays vibrent désormais aux chants en faveur du maire de Ziguinchor. La sonkorisation est devenue le symbole d'une voix populaire qui refuse d'être réduite au silence, laissant les autorités dans le dilemme
Dans un pays où les libertés politiques sont de plus en plus réduites, les supporteurs pro-Sonko ont trouvé dans les matchs de football une tribune inattendue pour exprimer leur opposition au pouvoir en place. La "sonkorisation" est devenue un mouvement de résistance dynamique, où le sport devient un moyen de revendiquer des valeurs politiques et de maintenir l'espoir d'un changement au Sénégal.
Les stades du pays vibrent désormais aux chants en faveur d'Ousmane Sonko, l'opposant emprisonné. Les supporteurs, vêtus de vert et blanc, les couleurs associées à Sonko, se rassemblent pour montrer leur soutien et affirmer leur refus de l'autoritarisme. Ce phénomène a pris de l'ampleur, au point de devenir une véritable force politique alternative.
Lors du récent match amical entre le Sénégal et l'Algérie, les chants pro-Sonko ont résonné bien avant le coup d'envoi, créant une atmosphère électrique dans le stade. Les supporteurs ont saisi cette occasion pour dénoncer les injustices et les atteintes aux libertés fondamentales. Des vidéos de ces moments de "sonkorisation" se sont rapidement propagées sur les réseaux sociaux, touchant un large public et alimentant le mouvement.
Ce qui était autrefois considéré comme une simple manifestation sportive est devenu une tribune politique dynamique. La sonkorisation ne se limite plus aux matchs de football, mais s'étend également à d'autres événements culturels et sociaux. Les partisans de Sonko se font entendre lors de concerts, de mariages et de rassemblements populaires, utilisant chaque opportunité pour exprimer leur refus du statu quo.
Le mouvement de sonkorisation n'est pas directement initié par le parti politique de Sonko, mais il trouve sa source dans l'aspiration collective à la justice sociale et à la démocratie. Les supporteurs se sont approprié cette forme de protestation pacifique et créative pour résister à l'autoritarisme croissant et à la répression politique. La sonkorisation est devenue le symbole d'une voix populaire qui refuse d'être réduite au silence.
Les autorités gouvernementales sont confrontées à un dilemme complexe face à cette nouvelle forme de résistance. Interdire les chants pro-Sonko lors des matchs de football ou d'autres événements culturels serait une mesure impopulaire et risquerait d'amplifier le mécontentement. Les supporteurs pro-Sonko ont réussi à trouver une sphère d'expression qui leur est difficilement contestable, faisant du football un espace de protestation politique où les idées et les aspirations peuvent être librement partagées.
La sonkorisation est un rappel puissant de l'importance du sport en tant que catalyseur social et politique. Les matchs de football, qui suscitent généralement un fort sentiment d'unité nationale, deviennent le lieu où les frustrations politiques trouvent une voix collective. Ce mouvement incarne l'esprit de résistance et de mobilisation pacifique, alimentant l'espoir d'un Sénégal plus juste et démocratique.
Alors que le Sénégal se prépare pour les prochaines élections présidentielles, l'impact de la sonkorisation sur la scène politique reste à voir. Mais une chose est sûre : les supporteurs pro-Sonko continueront à utiliser le football comme une tribune pour exprimer leur engagement en faveur du changement et de la démocratie, transformant ainsi chaque match en un acte de résistance politique.
LE PUR MISE SUR ALIOU MAMADOU DIA
Le Parti de l’unité et du rassemblement a désigné le fonctionnaire international Aliou Mamadou Dia, très peu connu des Sénégalais, candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2024
Le candidat de ce parti d’opposition semble avoir des atouts à faire valoir à une élection présidentielle en raison de son parcours, qui l’a conduit à des rôles de premier plan dans la résolution et la prévention des crises en Afrique centrale et dans le Sahel.
Le quinquagénaire a servi plusieurs agences spécialisées de l’ONU, dont le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), dans ces deux régions du continent. Il est le représentant du PNUD au Cameroun depuis avril 2023.
Auparavant, le fonctionnaire international a occupé des postes à responsabilités, celui de coordonnateur des agences des Nations unies au Togo, par exemple, pendant plusieurs années.
Depuis une vingtaine d’années, M. Dia est au service des Nations unies. De nombreux Sénégalais se sont demandé qui était celui-là lorsque le PUR a déclaré l’avoir désigné candidat à l’élection présidentielle de 2024.
‘’C’est quelqu’un de très attaché à son terroir. Il ne peut pas mener des activités politiques en raison de sa carrière de fonctionnaire international, mais il n’a pas été parachuté. C’est un militant qui travaille en douce pour notre parti’’, a témoigné Cheikh Tidiane Youm, le secrétaire général national du Parti de l’unité et du rassemblement.
‘’Il n’est pas tombé du ciel’’, assure M. Youm en rappelant que M. Dia a grandi à Thiadiaye (ouest) et y a fait l’école primaire et le collège comme lui, avant de rejoindre le lycée Demba-Diop de Mbour (ouest).
La gouvernance démocratique, la décentralisation, la réforme du secteur public, l’accès à la justice, la promotion de l’État de droit et l’emploi font partie des secteurs dans lesquels il a travaillé.
L’entrepreneuriat, le leadership féminin, la cohésion sociale, la consolidation de la paix et la sécurité font également partie de ses compétences.
Aliou Mamadou Dia est titulaire d’un doctorat de géographie de l’université Cheikh-Anta-Diop de Dakar. Il a enseigné à l’Institut des sciences de la terre de la même université et au laboratoire de géosciences de l’université de Marne-la-Vallée, en France.
‘’Il est connu pour sa compétence et sa personnalité. C’est quelqu’un de très intègre et imbu de plusieurs valeurs. Je le connais depuis le collège. C’est un homme très studieux, posé, réfléchi et très brillant’’, témoigne Cheikh Tidiane Youm.
Le PUR, créé en 1998, est l’un des partis politiques les plus actifs de la vie politique sénégalaise des six dernières années.
Seul, il a fait élire des députés en 2017. En 2022, allié au Pasef-Les patriotes d’Ousmane Sonko et à d’autres partis, le PUR a obtenu plusieurs sièges à l’Assemblée nationale. En 2019, son candidat, El Hadji Issa Sall, était l’un des rares – cinq au total – à avoir franchi l’étape des parrainages et à briguer le mandat présidentiel.
CAN 2023 : LE SÉNÉGAL DANS LE GROUPE
Les Lions sont en compagnie du Cameroun, de la Guinée et de la Gambie, à l’issue du tirage au sort effectué, jeudi soir à Abidjan
Le Sénégal est logé dans le groupe C de la Coupe d’Afrique des nations de football (CAN) 2023 en Côte d’Ivoire en compagnie du Cameroun, de la Guinée et de la Gambie, a appris l’APS à l’issue du tirage au sort effectué, jeudi soir à Abidjan.
Le tirage au sort de la phase de poules de la CAN s’est déroulé en présence de plusieurs personnalistes du football africain dont Didier Drogba, John Obi Mikel, Sadio Mané ou encore Achraf Hakimi.
La CAN est prévue du 13 janvier au 11 février 2024. Le match d’ouverture va opposer la Côte d’Ivoire à la Guinée Bissau.
Vingt-quatre équipes nationales réparties dans quatre chapeaux de six sont concernées par ce tirage. Les chapeaux ont été constitués suivant le dernier classement de la FIFA. Le Sénégal, champion d’Afrique en titre.
Elles ont été réparties en six groupes de quatre équipes, à l’issue du tirage au sort.
Les matchs de la 34e édition de la CAN se joueront dans cinq villes et cinq stades du pays : Abidjan (stade Alassane Ouattara et stade Félix Houphouët-Boigny), Bouaké (stade de la Paix), Korhogo (stade Amadou Gon Coulibaly), San-Pédro (stade Laurent Pokou) et Yamoussoukro (stade Charles Konan Banny). Le stade Alassane Ouattara accueillera le match d’ouverture et la finale.
SI ON N’AVAIT DESIGNE QUELQU’UN D’AUTRE J’AURAIS ACCEPTE, MAIS AMADOU BA
L’ancien Premier ministre Mouhamed Boun Abdallah DIONE ne digère toujours pas le choix de Macky SALL de prendre Amadou BA comme candidat à la présidentielle de Benno Bokk Yakaar (BBY).
L’ancien Premier ministre Mouhamed Boun Abdallah DIONE ne digère toujours pas le choix de Macky SALL de prendre Amadou BA comme candidat à la présidentielle de Benno Bokk Yakaar (BBY).
Doutant des compétences du candidat de Benno, il estime que les consultations qui ont été confiées à Moustapha NIASS pour choisir le meilleur profil n’ont pas été respectées.
«J’étais le premier parmi tous les candidats en termes d’expérience et de profil», soutient-il. A l’en croire, si le leader de Benno avait choisir un autre à la hauteur, il aurait accepté.
«Je suis passé premier en termes de critère. Qui connaissez-vous dans ce pays qui a une expérience, un profil qui ressemble au mien ou qui a fait plus que moi ? J’ai dirigé durant 5 ans un gouvernement du Sénégal dans la droiture. (…) Un président on l’élit, on ne le nomme pas. Le président Macky SALL ce n’est pas WADE qui l’a élu. Si on n’avait désigné quelqu’un d’autre j’aurais accepté, mais Amadou BA », explique Mouhamed Boun Abdallah DIONE dans un entretien.
Par ailleurs, se définissant comme un homme qui a les mains propres, l’ancien Premier ministre ajoute : «je n’ai pas de milliards, je suis juste, je ne vole pas».
SYLVIA BONGO EN PRISON
L’épouse franco-gabonaise de l’ex-président du Gabon Ali Bongo Ondimba, Sylvia Bongo Ondimba Valentin, en résidence surveillée depuis un coup d’Etat militaire fin août pour des détournements présumés de fonds publics, a été incarcérée
L’épouse franco-gabonaise de l’ex-président du Gabon Ali Bongo Ondimba, Sylvia Bongo Ondimba Valentin, en résidence surveillée depuis un coup d’Etat militaire fin août pour des détournements présumés de fonds publics, a été incarcérée, a indiqué jeudi son avocat.
« Je vous le confirme », a répondu jeudi son avocat français François Zimeray, interrogé par l’AFP sur l’incarcération de sa cliente mercredi soir. Me Zimeray dénonce une « procédure illégale » et « arbitraire ». Selon des médias gabonais, Mme Bongo a été placée sous mandat de dépôt à la prison centrale de Libreville tard mercredi soir après une nouvelle et longue audition par un juge d’instruction.
Mme Bongo, âgée de 60 ans, avait été inculpée le 28 septembre notamment pour « blanchiment de capitaux et faux et usage de faux » et maintenue alors en résidence surveillée à Libreville, comme depuis le premier jour consécutif au putsch du 30 août ayant renversé son époux.
Les militaires qui ont renversé son mari en accusant son entourage d’avoir truqué sa réélection, soupçonnaient publiquement l’ex-Première dame d’avoir « manipulé » son époux souffrant des séquelles d’un grave AVC en 2018, d’avoir été, au côté notamment de leur fils Noureddin Bongo Valentin, la véritable dirigeante de facto du pays depuis cinq ans et d’y avoir « détourné massivement des fonds publics ». Noureddin Bongo est en prison depuis le premier jour du coup d’Etat, inculpé notamment de « corruption » et « détournements de fonds publics ».
« Tant qu’il y aura une différence entre la justice et l’arbitraire, entre le droit et la vengeance, nous dénoncerons cette procédure illégale », a commenté de Paris Me Zimeray, qui avait déjà dénoncé, alors que sa cliente était en résidence surveillée, une « détention arbitraire » et une « prise d’otage ».
Le procureur de la République de Libreville, interrogé par l’AFP sur cette incarcération, n’avait pas encore répondu en début de matinée jeudi.
Dans la nuit du 30 août, moins d’une heure après l’annonce de la réélection d’Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 14 ans, l’armée, invoquant une fraude évidente, mettait « fin au régime » accusé aussi de corruption massive. Le général Brice Oligui Nguema, leader du putsch, était proclamé le surlendemain président de la Transition.
-« Dynastie Bongo »-
Plus d’un mois après, le général Oligui, qui a nommé un gouvernement et un parlement de transition civils, reste adulé comme au premier jour de son putsch par l’immense majorité de la population et de la classe politique qui applaudissent les militaires pour les avoir « libérés » de 55 ans de « dynastie Bongo ». Ali avait été élu en 2009 à la mort de son père Omar Bongo Ondimba, qui dirigeait le pays depuis plus de 41 ans.
Ali Bongo avait été placé en résidence surveillée le jour du putsch mais déclaré libre de ses mouvements une semaine après. Les militaires ont semblé le mettre rapidement hors de cause considérant qu’il avait été « manipulé » notamment par son épouse Sylvia et leur fils Noureddin depuis son AVC. Depuis, M. Bongo, dont le président Oligui a dit qu’il était « libre » d’aller à l’étranger subir ses examens médicaux de suivi, a préféré rester au Gabon chez lui, selon le nouveau pouvoir.
La nuit même du putsch, Noureddin Bongo Valentin et plusieurs de ses jeunes proches et proches de l’ex-Première dame au sein du cabinet présidentiel avaient été arrêtés et montrés au pied d’innombrables malles, valises et sacs débordant de billets de banque pour des centaines de millions d’euros saisis à leurs domiciles.
Trois semaines plus tard, Noureddin et sept membres dit de la « Young Team » du cabinet présidentiel, ont été inculpés et incarcérés notamment pour « corruption, détournements de fonds publics, blanchiment de capitaux, association de malfaiteurs, falsification de la signature du président de la République et trouble des opérations électorales ».
Deux anciens ministres (Pétrole et Travaux publics), proches de Noureddin, ont également été écroués.
« La Première dame et Noureddin ont gaspillé le pouvoir d’Ali Bongo », assénait le 18 septembre le général Oligui devant la Garde républicaine. « Parce que depuis son AVC, ils ont falsifié la signature du président, ils donnaient des ordres à sa place », en plus « du blanchiment d’argent et de la corruption ». « Qui dirigeait le pays » alors ?, se demandait-il.
Le Gabon est classé 136e sur 180 pour la perception de la corruption par Transparency International (2022).
QUATRE MOIS POUR (CON)VAINCRE !
Le gouvernement Ba 2 sera l’un des plus éphémères. Il a quatre mois, six jours, selon le Pm, pour convaincre avec sa politique. Pour vaincre ses adversaires à la Présidentielle.
Le gouvernement Ba 2 sera l’un des plus éphémères. Il a quatre mois, six jours, selon le Pm, pour convaincre avec sa politique. Pour vaincre ses adversaires à la Présidentielle. Mais ceux qui sous-estiment ce temps oublient qu’ils sont nombreux à vouloir « goûter »- puisqu’on pense ventre avant tout- « Monsieur le ministre ! ». Regardez tous ces candidats, qui ne sont que déclarés, mais qui ont commencé à entendre « Monsieur le président ! ». Et ils finissent par croire qu’ils sont à un pas du fauteuil. C’est la folie de l’avant-pouvoir !
LES SUPPLÉANTS D'OUMAR YOUM ET DAOUDA DIA CONNUS
La rentrée parlementaire est prévue ce samedi à 10h. Le groupe parlementaire aussi connaitra des changements importants puisque son président, Oumar Youm, et le premier questeur, Daouda Dia, ont rejoint le gouvernement.
La rentrée parlementaire est prévue ce samedi à 10h. Le groupe parlementaire aussi connaitra des changements importants puisque son président, Oumar Youm, et le premier questeur, Daouda Dia, ont rejoint le gouvernement. Le suppléant de Youm est le maire de Saly Ousmane Guèye. Alors que Bakary Bine Camara, chef d’entreprise, va prendre la place de Daouda Dia en tant que suppléant sur la liste départementale de Kanel.
MACKY REÇOIT SES DÉPUTÉS CE VENDREDI
Le gouvernement Amadou Ba 2 a vu l’entrée de nouveaux députés de Benno bokk yaakaar. Il s’agit de Me Oumar Youm, président du groupe parlementaire de cette coalition au pouvoir, et Daouda Dia, 1er questeur de l’Assemblée. Des postes d'enjeu à combler
Le gouvernement Amadou Ba 2 a vu l’entrée de nouveaux députés de Benno bokk yaakaar. Il s’agit de Me Oumar Youm, président du groupe parlementaire de cette coalition au pouvoir, et Daouda Dia, 1er questeur de l’Assemblée. Alors, le groupe Benno devra choisir leurs remplaçants.
Ce sont là deux postes à gros enjeux et qui pourraient être âprement disputés. Pour éviter des surprises lors de l’ouverture de la session ordinaire unique prévue ce samedi, le président de la République va recevoir, ce vendredi 13 octobre, les députés du groupe parlementaire Bby, à 16h au palais de la République.