Le régiment de candidats n’est pas un problème de riche. C’est une indigence. Les multiples déclarations rappellent la pléthore anarchisante de partis politiques et autres mouvements.
Le régiment de candidats n’est pas un problème de riche. C’est une indigence. Les multiples déclarations rappellent la pléthore anarchisante de partis politiques et autres mouvements. En se déclarant d’abord avec tant de désinvolture, on se prive de haute voltige. Après avoir fini de se déclarer sans illusion, on se rend vite compte de l’absence d’euphorie qui est, en vérité, un manque de magnétisme.
Chaque jour avec son lot de cacophonie. Quand tout le monde parle, personne n’est audible. La plupart de ceux qui rêvent de destin d’exception ne font finalement que se banaliser. Le monde banal vient du fait que les monstres sacrés ont été balayés par les symboles d’amateurisme. L’amateur ameute plus qu’il ne fait aimer la chose politique. Bonjour tristesse, chantait la diva.
L’originalité est en voie d’extinction. La rareté des génies en politique ne signifie pas leur totale disparition. Il reste des spécimens. Mais ce qui les spécifie, c’est qu’ils se perdent beaucoup en chemin. Ils se présentent comme des gens de mille chemins, de mille facettes. Le miracle est qu’ils atteignent un jour le graal en raison d’une grande versatilité. Ne restera plus que la retraite politique après s’être illusionnés et avoir passé son temps à franchir le rubicon.
Celui qui vient à l’esprit, c’est Idrissa Seck, incontestablement taillé pour le poste. Mais dont on se demande par quelle alchimie il va composter pour la fonction suprême. Il est un cas d’école parmi quelques rares autres qui ont une aura de chef. N’est pas chef d’Etat qui veut. Particulièrement dans le contexte national et international en rupture d’équilibre. Qui a vraiment les épaules pour mitiger nos galères dans ce Sénégal ? Quelle vision pour apaiser la jeunesse hurlant de désespoir ? Quelle autorité naturelle pour réparer les comportements et lancer le chantier de la reconversion des mentalités ? Il n’y en a pas des masses dans le capharnaüm des ambitions si souvent démesurées.
Présidentiabilité versus éligibilité
Un grand poète et écrivain portugais du nom de Pessoa a fait une ode au travail bien fait : « Ce que tu fais, fais-le suprêmement ». La magistrature suprême n’est pas une simple affaire dans l’air du temps. C’est un costume de bonne coupe. Aucun parasite ne saura abimer la tenue d’apparat ni entacher la cour d’honneur. Ni l’une ni l’autre ne siéent ni au faussaire ni au cleptomane dépourvus du sens du service encore moins de la servitude à son peuple. La prédestination à un grand avenir, c’est une toute autre galaxie. Le style se le dispute au magnétisme. La fonction suprême exige un visage avenant épris de paix. Un type compétent à même de soutenir la féroce compétition du monde. Il est aussi sage qu’expérimenté pour qu’il ne se perde pas dans le labyrinthe de l’Etat ». « La sagesse est fille de l’expérience », enseigne le peintre italien Léonard de Vinci. Mais évitons de tout peindre en noir. Ceux qui s’engagent ont du courage. Ils vont d’abord recevoir des coups. En politique, tous les coups sont permis. Ce dont il faut s’inquiéter est le fait de mettre sur le même plan éligibilité et présidentiabilité. Ce qui n’a rien à voir.
LA JUNTE GABONAISE NOMME SON PREMIER MINISTRE
Le Président de la transition au Gabon, le général Brice Oligui Nguema, nommé jeudi Premier ministre Raymond Ndong Sima, un économiste et virulent opposant au président Ali Bongo Ondimba, renversé par les militaires il y a une semaine.
Le Président de la transition au Gabon, le général Brice Oligui Nguema, nommé jeudi Premier ministre Raymond Ndong Sima, un économiste et virulent opposant au président Ali Bongo Ondimba, renversé par les militaires il y a une semaine.
M. Ndong Sima, 68 ans, avait été chef du gouvernement de M. Bongo de 2012 à 2014 mais s’était éloigné du pouvoir qu’il accusait depuis de mauvaise gouvernance, jusqu’à se présenter aux présidentielles de 2016 et 2023. Pour cette dernière, il s’était désisté au dernier moment au profit d’un candidat commun aux principaux mouvements et partis de l’opposition.
Le général Oligui, qui a mené le coup d’Etat du 30 août contre un Ali Bongo à peine proclamé réélu dans une élection « frauduleuse », a prêté serment lundi en tant que Président d’une période de transition dont il n’a pas fixé la durée, et au terme de laquelle il a promis de « rendre le pouvoir aux civils » par des « élections libres ».
Lundi, il avait annoncé la formation prochaine d’un gouvernement de transition de personnalités de tous horizons politiques. Puis une nouvelle Constitution élaborée avec les représentants de « toutes les forces vives de la Nation », qui seront soumises à référendum, et « plus respectueux de la démocratie et des droits humains ».
Quelques minutes après l’annonce de sa nomination, M. Ndong Sima a dit à l’Afp espérer soumettre au général Oligui « d’ici trois à quatre jours une proposition » de gouvernement de transition. « On m’a remis une feuille de route, et je vais essayer de travailler dans le sens de ce que les militaires ont décidé » pour « qu’on remette en ordre l’ensemble des institutions et notamment tout ce qui concerne le cadre des élections », at-il expliqué par téléphone. « Je veux consulter largement » et « sans précipitation » pour « faire en sorte que les gens appartenant à toutes les familles politiques se retrouvent » dans le gouvernement, at-il conclu.
Il est natif de la province du Woleu-Ntem, berceau de l’ethnie fang majoritaire au Gabon, et l’un des fiefs historiques de l’opposition à la famille Bongo, qui dirigeait le pays depuis plus de 55 ans. M. Ndong Sima est notamment diplômé d’économétrie à l’Université Paris-Dauphine de Paris.
Mercredi, il avait annoncé se retirer de la principale plateforme de l’ancienne opposition, Alternance 2023, dont il était l’un des ténors avec cinq autres candidats déclarés à la présidentielle, pointant « une situation confuse depuis plusieurs jours ».
Cinq des six dirigeants d’Alternance 2023, dont lui-même, avaient ostensiblement rallié le nouveau pouvoir militaire quand la position du dernier, le candidat commun d’Alternance 2023 à la présidentielle, Albert Ondo Ossa, n’était pas clairement exprimé.
Il y a trois jours, M. Ndong Sima avait déjà affirmé à l’Afp la nécessité « de discuter avec les militaires », recommandant toutefois que la transition n’excède pas « 24 mois ». Il se disait alors « intéressé par la prochaine présidentielle », à laquelle « les militaires ne doivent pas participer ».
Mardi, le général Oligui a annoncé que M. Bongo, jusqu’alors en résidence surveillée à Libreville, « était libre de ses mouvements » et, « compte-tenu de son état de santé », de « se rendre à l’étranger ». pour des contrôles médicaux.
AUDIENCE PAPALE AU VATICAN, UNE VÉRITABLE COMMUNION AUTOUR DU SAINT PÈRE
Les 400 pèlerins sénégalais de « la Communion » ont eu le privilège, mercredi 06 septembre 2023, de communier avec le Pape François pendant une heure.
Les 400 pèlerins sénégalais de « la Communion » ont eu le privilège, mercredi 06 septembre 2023, de communier avec le Pape François pendant une heure. La délégation du Sénégal, installée aux premières loges avec l’emblème visible de loin, a été reçue en audience par le souverain pontife au même titre que les autres fidèles venus des quatre coins du monde.
ROME – Cité du Vatican ! À 08h 50mn, heure locale, la fanfare de ladite ville résonne. Cinq minutes plus tard, le Saint Père sort par la porte des Cloches de la basilique Saint Pierre. Dans sa « papamobile », cinq petits enfants sont assis à ses côtés. Sous les applaudissements et les cris de joie nourris du public, pour la plupart, des pèlerins venus du Sénégal, du Mexique, de l’Espagne et d’autres horizons, il fait le tour de la Place Saint Pierre pour adresser ses chaleureuses salutations à toute l’assistance venue prendre part à l’audience. À 09h, il remonte par la porte centrale qui mène directement au hall de la basilique Saint Pierre, fait le signe de la Croix repris par la foule et s’installe dans sa chaise.
Entouré de deux de ses collaborateurs, le Pape François qui revient d’un voyage en Mongolie, lundi dernier, commence sa catéchèse. Un discours traduit en français, en anglais, en espagnol, en portugais, en Italien, etc. Généralement, les messages du Souverain pontife sont axés sur la pauvreté, l’émigration mais aussi, la guerre qui hante le sommeil des populations dans certaines contrées du monde.
Mais, ce mercredi, le Chef de l’église catholique, qui a particulièrement magnifié la présence de la délégation sénégalaise forte de 400 pèlerins, et son Père évêque, Paul Abel Mamba, a mis à profit cette audience « papale » pour rendre un hommage vivant à tout le peuple mongol.
La Mongolie, a soutenu le Saint Pape, est une jeune nation qu’il faut couver et soutenir. « Je reviens de la Mongolie, il n’y a même pas 72 heures. Dans ce pays, j’ai pu découvrir une partie de cette beauté, notamment, en faisant la connaissance de certaines personnes en écoutant leur histoire, en appréciant leur quête religieuse. Le peuple mongol mérite toute notre considération », a indiqué celui qui a pris les rênes de l’église universelle en mars 2013, à la suite de la démission du défunt Pape Benoît XVI, rappelé auprès de son Créateur en 2022.
« Maison de la miséricorde »
Le Souverain pontife est parti si loin, à la rencontre des fidèles. En Mongolie, le Pape François a eu à inaugurer la « Maison de la miséricorde ». Une première œuvre caritative qui symbolise l’unité de toutes les composantes de l’église locale. De retour de ce long périple, il a dit toute sa gratitude au peuple mongol « noble, sage » qui lui a manifesté « tant de cordialité et d’affection ».
Debout comme un seul homme, à la Place Saint Pierre de Rome, tous, en chantant, ont repris la prière « Notre Père » que Jésus-Christ avait enseignée à ses disciples sur le Mont des oliviers, à Jérusalem, en Israël.
Avant de clôturer la cérémonie, le Saint Père a dit sa bénédiction à l’endroit des personnes malades, celles âgées ainsi que tous les couples présents à l’audience. Aussi, a-t-il béni, tous les objets de piété des fidèles. Après l’audience « papale », les « pèlerins de la Communion » ont pris la direction du Sud-ouest de la ville de Rome pour la messe de 16h. Une célébration qui a eu lieu à la basilique Saint-Paul hors-les-murs, l’autre grande et imposante église de Rome construite en 1825, située non loin de l’hôpital Bambino Gesú (hôpital de l’enfant Jésus). C’est ici où ils ont célébré la conversion de l’apôtre Saint Paul, patron de Rome tout comme Saint Pierre !
MANIFESTATION DE Y EN A MARRE, LE PRÉFET DIT NIET
Le préfet de Dakar a interdit le rassemblement prévu ce vendredi 8 septembre 2023, à la Place de la Nation, pour réclamer « la libération de tous les détenus politiques et l’organisation d’élections libres, transparentes et inclusives
Le préfet de Dakar a interdit le rassemblement prévu ce vendredi 8 septembre 2023, à la Place de la Nation, pour réclamer « la libération de tous les détenus politiques et l’organisation d’élections libres, transparentes et inclusives pour la participation de tous ».
La manifestation était prévue par le mouvement « Y en a marre ».
Le préfet invoque des motifs « des risques de troubles à l’ordre public, entrave à la libre circulation des personnes et des biens ».
Le Commissaire central de Dakar est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera notifié aux déclarants et communiqué partout où besoin sera.
JEUX PARALYMPIQUES / BASKET, MACKY FIER DES LIONS
Le président de la République, Macky Sall a félicité, sur ses comptes sociaux, l’équipe nationale de handibasket du Sénégal pour sa qualification en demi-finale des premiers Jeux paralympiques d’Accra au Ghana après trois victoires en match de poule.
Le président de la République, Macky Sall a félicité, sur ses comptes sociaux, l’équipe nationale de handibasket du Sénégal pour sa qualification en demi-finale des premiers Jeux paralympiques d’Accra au Ghana après trois victoires en match de poule.
« Chaleureuses félicitations à notre équipe nationale de basket-ball paralympique qui vient d’aligner avec brio trois victoires en (match) de poule aux premiers Jeux africains de la catégorie », a notamment écrit le chef de l’État.
Dans son message, M. Sall a souhaité « bonne chance » aux Lions pour les demi-finales. Ils sont en attente de connaître leurs adversaires.
Les handibasketteurs sénégalais ont battu, lors de leur troisième match, l’Afrique du Sud, sur le score de 62 points à 29.
MULTIPLE PHOTOS
PODOR LANCE LA DEUXIEME EDITION DU TOURNOI INTERNATIONAL DE BASKET
La deuxième édition du tournoi international de basket initié par des jeunes sénégalais et des mauritaniens dans le but de promouvoir les activités sportives et les études dans leurs pays respectifs a été lancée
Podor, 8 sept (APS) – La deuxième édition du tournoi international de basket initié par des jeunes sénégalais et des mauritaniens dans le but de promouvoir les activités sportives et les études dans leurs pays respectifs a été lancée dans l’enceinte du stade municipal Alassane Wade de Podor, a constaté l’APS.
Organisée du 7 au 12 septembre, cette deuxième édition a pour thème général : »Etudes et sports ».
»Il s’agit pour nous de promouvoir des jeunes talents au plan sportif et d’aider à la formation des jeunes filles et garçons à la vie d’adulte, les accompagner à réussir dans d’autres secteurs de la vie », a dit le coordonnateur du tournoi, Thierno Bocar Gaye.
Il a indiqué que deux jeunes ont été choisis pour introduire lundi prochain, une communication sur le thème du tournoi »sports et études ». »Il s’agit de Papa Ndiaga Sèye, ingénieur spécialiste du solaire et Ibrahima Ndiongue, diplômé en master. Ils sont d’anciens pensionnaires de Bocar basket center (BBC) », a précisé M. Gaye par ailleurs président fondateur de Bocar Basket Club.
»Ce vendredi, a-t-il poursuivi, vont débuter les compétions sportives avec des rencontres entre les équipes de Bocar basket club et Dagana basket club, dans les catégories minimes filles et garçons ».
Il a ajouté que »six délégations d’équipes venues de la région de Saint Louis et de la région de Matam, côté sénégalais prennent part à ce tournoi international ».
Thierno Bocar Gaye a précisé qu’il s’agit de Bocar basket center de Podor, Ndioum basket club, Dagana basket club, Rosso Sénégal basket club, Gandiol basket club et Matam académie.
Trois équipes mauritaniennes ont fait le déplacement. Il s’agit de deux équipes de Nouakchott à savoir »Sabakha » et »Arafat » et Centre Feu Fall Thierno de Rosso Mauritanie.
Les délégations sénégalaises et mauritaniennes sont logées au cours de cette semaine au collège Thierno Mountaga Tall, au collège 2, à l’école Elimane Baba Dickel Wone et au Centre départemental de formation professionnelle.
MAME WOURY THIOUBOU LAUREATE DU GRAND PRIX INTERNATIONAL URTI DU DOCUMENTAIRE D’AUTEUR DE YAOUNDÉ
La réalisatrice sénégalaise Mame Woury Thioubou a remporté jeudi le Grand prix international Urti du documentaire d’auteur de Yaoundé pour son film intitulé ‘’Rebeuss, Chambre 11’’.
Dakar, 8 août (APS) – La réalisatrice sénégalaise Mame Woury Thioubou a remporté jeudi le Grand prix international Urti du documentaire d’auteur de Yaoundé pour son film intitulé ‘’Rebeuss, Chambre 11’’.
Le film a également a été également récompensé du Prix des œuvres numériques de la 42e édition de la conférence Urti clôturée jeudi dans la capitale camerounaise.
‘’A Yaoundé, au Cameroun avec deux prix remportés. Je suis heureuse de partager avec vous ces nouvelles distinctions pour +Rebeuss, Chambre 11+’’, a réagi la réalisatrice sur sa page facebook.
Le film documentaire de Mame Woury Thioubou a été distingué parmi la dizaine de films finalistes provenant notamment d’Italie, de la France, de la Corée du Sud, du Maroc ou encore de Sri Lanka, de Burundi et d’Ukraine.
‘’Je ressens une très grande satisfaction vu les membres du jury venant d’horizons Adifférentes. Cela veut beaucoup dire. Je suis dans le même temps gagnée par la tristesse en pensant à ces deux morts’’ qui ont inspiré le film, a expliqué la réalisatrice lors d’un entretien téléphonique.
De Brazzaville où elle participe à un atelier de cinéma, Mame Woury Thioubou révèle avoir dédié ces prix à ceux qui ont accepté de participer au film et aux deux jeunes morts dans les liens de la détention.
‘’Je remercie encore une fois l’équipe du film, les personnes qui ont participé à cette aventure avec moi. J’ai une pensée pour tous ceux qui sont derrière les barreaux », poursuit-elle.
‘’Rebeuss, Chambre 11’’, un film de 49 minutes réalisé en 2022, mêle documentaire et animation pour interroger le système carcéral sénégalais.
Il est inspiré par l’histoire de Cheikh Ndiaye, âgé de 18 ans et Babacar Mané, 19 ans, morts dans la nuit du mardi 27 août 2019 à la prison centrale de Rebeuss, à Dakar.
‘’Cheikh et Babacar sont morts, mais des milliers de leurs concitoyens continuent à purger leur peine dans des conditions indignes‘’, a dit la réalisatrice.
La journaliste, cheffe du Desk culture du journal Le Quotidien, propose ainsi à travers ce film à une réflexion autour du système carcéral sénégalais.
‘’Le moment est venu de mener une réflexion profonde sur le système carcéral sénégalais. Depuis les indépendances, nous avons construit une seule nouvelle prison à Sébikotane. La plupart des maisons d’arrêt sont en ruine. Il est nécessaire de désengorger nos prisons et un meilleur respect pour les droits humains’’, a-t-elle plaidé.
La cérémonie du ‘’Grand Prix international Urti du documentaire d’auteur’’ a proclamé les résultats jeudi dans le cadre de la 42e édition de la conférence URTI 2023 à Yaoundé
‘’Créée en 1949, sous l’égide de l’Organisation des Nations Unis pour l’éducation, les sciences et la culture (UNESCO), l’URTI est la plus ancienne organisation audiovisuelle et la seule à vocation totalement internationale’’, fait valoir une note d’information.
‘’Cette union professionnelle organise des échanges de programmes de télévision et de radio, des Grands Prix internationaux audiovisuels, des coproductions, des ateliers de formation et des actions de promotion de la création audiovisuelle mondiale’’, a-t-on appris par la même source.