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12 juin 2025
VAINCRE LE SIGNE GUINÉEN
L’équipe nationale locale du Sénégal affronte ce samedi 27 août à 19h au stade Abdoulaye Wade, la Guinée pour le compte de la phase aller du dernier tour des éliminatoires du Championnat d’Afrique des nations prévue en janvier prochain en Algérie
L’équipe nationale locale du Sénégal reçoit ce samedi au stade du Président Abdoulaye Wade de Diamniadio, celle Guinée pour le compte de la phase aller du dernier tour des éliminatoires du Championnat d’Afrique des nations Algérie2023. Pour les Lions qui n’avaient plus disputé un CHAN depuis 2011, ce derby ouest africain aura un parfum de revanche contre leur «bête noire» qui lui a privé, par trois fois la qualification à cette compétition biannuelle réservée exclusivement aux joueurs évoluant sur le continent.
L’équipe nationale locale du Sénégal affronte ce samedi 27 août au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio, la Guinée pour le compte de la phase aller du dernier tour des éliminatoires du Championnat d’Afrique des nations prévue en janvier prochain en Algérie. Ce derby ouest-africain très attendu aura des allures de revanche entre deux formations qui se retrouvent pour la troisième fois consécutive à ce stade de compétition.
La Guinée a réussi à 3 reprises de barrer la route aux Sénégalais, au point de devenir leur «bête noire». Cette fois, les poulains de Pape Thiaw ont un défi à relever devant leur public. En plus de vaincre indien, le Sénégal a l’occasion de faire son retour dans cette compétition réservée exclusivement aux joueurs évoluant dans les championnats de leur pays.
Le Sénégal qui avait terminé 4ème lors de la première édition en 2009 organisée en Côte d’Ivoire, sa meilleure performance jusqu’ici, n’a pas pris part à cette compétition depuis l’édition de 2011. Le match retour aura lieu le 2 septembre à Bamako.
VERS LA FIN DE LA VIE PRIVÉE
Désormais, Tik Tok, Instagram, WhatsApp et Facebook font parties du quotidien des Sénégalais. Leur usage est cependant sujet à interrogations
Va-t-on vers la fin de la vie privée ? Tout porte à le croire. Ce, depuis l’avènement de l’internet et principalement des réseaux sociaux. Au Sénégal, tout ou presque est désormais exposé. Même l’intimité du lit conjugal est publiée sur WhatsApp, Tik Tok et Instagram. Désormais, il n’y plus de secret. Rien à cacher. Les Hommes ont décidé simplement de vivre comme les animaux.
Fin de la vie privée ! Désormais, Tik Tok, Instagram, WhatsApp et Facebook font parties du quotidien des Sénégalais. Leur usage est cependant sujet à interrogations. La prolifération de ces moyens de communication fait qu’il n’y a presque plus de vie privée. Des gens filmés à leur insu sont exposés sur internet. Ils sont souvent dans des positions délicates. Tik Tok, Facebook, Whatsupp ou Instagram, c’est parfois la course aux nouvelles.
Les statuts Whatsupp ont supplanté les nécrologies dans les journaux ou autres moyens de communications autrefois utilisés pour annoncer la disparition d’un proche. Il n’est pas rare de voir qu’après un décès, l’image d’une personne soit partagée, un autocollant avec des larmes posté là-dessus. Il y a également le fait des morts qui «reviennent en vie» par la pire des manières.
Avec Tik Tok surtout, c’est la course aux vidéos de personnes disparues. Partagées à un temps record, elles inondent les pages. Tout son vécu est publié sans censure. La sacralité n’est plus dans les cimetières. En effet, la communion avec les morts est filmée, exposée et partagée sur les réseaux sociaux. Ces outils de communication ont renforcé le «m’astu-vu». Tout est sur la place publique. Les mets n’y échappent pas. Souvent, après avoir concocté des menus qui aiguisent l’appétit, certaines femmes les postent sur les réseaux sociaux en vantant leur talent culinaire. Il y a également cette concurrence féminine dans la société sénégalaise renforcée par la polygamie.
Après s’être habillée ou enduite d’un maquillage qu’importe la quantité, les femmes ont tendance à se défiler sous une musique parfois endiablée. «Ce délire» terminé, il est ensuite posté et partagé par des proches. Le but recherché est souvent que la prouesse soit vue par une personne avec qui on ne serait pas de bons termes. Souvent, c’est la coépouse. WhatsApp et ses statuts qui sont accessibles à tous les contacts sauf ceux qu’on a filtré ont changé la nature des querelles de bornes fontaines. Les règlements de compte y sont monnaies courantes.
Ces réseaux sociaux ont tendance à faire croire qu’il n’y a que des heureux. La moindre sortie dans un restaurant de luxe est vite postée accompagnée de commentaires qui tendent à prouver la vie en rose de son auteur. On y montre jusqu’aux recoins les plus intimes. Ils ont aussi fait naitre des spécialistes dans tous les domaines. Il existe des coaches en tout, amour, mode, relations humaines ; la liste est loin d’être exhaustive. Il suffit juste de faire des live, d’oser les publications et le tour est joué.
LES PRIX PRENNENT LA TANGENTE SUR LE MARCHÉ DU CIMENT EN AFRIQUE
Une situation de hausse en Côte d’Ivoire, au Ghana et plus dans les pays importateurs comme le Mali, la Gambie, la Guinée Conakry, la Guinée Bissau où les prix à la tonne sont largement en hausse selon les rayons
De 65 000 FCFA la tonne de ciment jusqu’en début d’année courant, elle s’offre à présent sur le marché sénégalais entre 68 000 et 70 000 FCFA, voire plus selon le rayon de couverture. Cette situation de hausse est la même en Côte d’Ivoire, au Ghana et plus dans les pays importateurs comme le Mali, la Gambie, la Guinée Conakry, la Guinée Bissau où les prix à la tonne sont largement en hausse selon les rayons de couverture.
Le marché de la construction se porte bien comme l’atteste parfaitement la forte demande du ciment. Et ce, malgré l’inflation galopante. Au Sénégal, tout comme en Côte d’Ivoire, la demande est largement supérieure à l’offre et le nombre de cimenteries dans ces deux pays ne cesse de croitre.
Au Sénégal, Sococim Industries, la toute première cimenterie d’Afrique de l’ouest depuis 1948 a vu naître en dix ans seulement deux potentiels concurrents à savoir les Ciments du Sahel depuis 2005 et Dangoté Ciment depuis 2015. Et pourtant le marché intérieur tout comme le marché extérieur est fortement sollicité. Et ce, en dépit de l’inflation persistante. Pour ce qui est du Sénégal, le prix de la tonne de ciment a vertigineusement augmenté.
En 2021, la tonne de ciment qui s’offrait à 60 000 FCFA est passée à 65 000 FCFA, soit une hausse de 5000 FCFA. La dernière hausse en date remonte en mars dernier passant de 65 000 FCFA la tonne à 68 000 FCFA, soit une hausse de 3000 FCFA. Actuellement, la tonne se vend entre 70 000 FCFA et 75 000 FCFA entre Dakar et les régions du centre, voire 80 000 FCFA dans les profondeurs du pays. Cette hausse se justifiait amplement par l’imposition d’une nouvelle taxe, décidée par le gouvernement Sénégalais qui se dit avide de financer l’accès au logement. Mais depuis le déclenchement de la crise sanitaire, et la guerre en Ukraine, les cimentiers justifient la hausse galopante de 70 000 FCFA, voire plus la tonne par l’augmentation du prix des intrants devenus chers.
Au Mali, la capacité de production avoisinant les 2 millions de tonnes de ses 3 cimenteries est loin de satisfaire la demande nationale estimée à 4 millions de tonnes par an. Sur le marché national, la tonne de ciment est passée de 95 000 FCFA à 150 000 FCFA durant la période de l’embargo. Au lendemain de la levée des sanctions, le prix à la tonne a chuté à 110 000 FCFA. Une situation, tout de même difficile pour les petits « gorgorlou Maliens » qui veulent avoir leur toit. En Guinée Bissau, le prix de la tonne de ciment n’est pas à la portée de tous, dans la mesure où une partie du ciment est importée du Sénégal. A ce prix exorbitant au Sénégal, y inclure les coûts du transport la tonne ne peut se vendre moins de 100 000 FCFA.
En Guinée Conakry en l’espace de quelques mois seulement, le prix du ciment a connu une hausse sur les marchés de Labé. De 64 mille francs guinéens, on est aujourd’hui à 80.000 francs guinéens le sac, soit une augmentation de 16.000 francs de plus. La tonne se négocie entre 1.500.000 et 1.600.000 francs guinéens, soit 112 000 FCFA la tonne.
En Gambie, la baisse des tarifs douaniers sur les importations de ciment a positivement impacté le prix de la tonne de ciment. Donc, les prix sont relativement similaires aux prix du ciment au Sénégal. En Côte d’Ivoire, la situation est quasi similaire. En 2011, avec la multiplication d’importants projets d’infrastructures, liés aux nombreux secteurs de plus en plus dynamiques, le marché du ciment a attiré beaucoup d’investisseurs.
Sur un total de 17 sociétés de ciment en activité en Côte d’Ivoire dont 5 géants, le prix de la tonne de ciment CPJ 32.5 à la sortie d’usine est de 73 000 FCFA, en détail à Abidjan. Sur un rayon de 300 Km, la tonne s’offre à 85 000 FCFA et à 90 000 FCFA au-delà. Quant à la tonne de ciment CPJ 42.5, elle coûte à la sortie d’usine 75 000 FCFA dans la capitale, 90 000 FCFA sur un rayon de 300 Km et 95 000 FCFA au-delà. Au Ghana, la hausse est aussi remarquable. Le prix de la tonne de ciment se vend à 96 000 FCFA soit 4800 FCFA le sac.
«RIEN NE JUSTIFIE L’AUGMENTATION DES PRIX DE CERTAINS PRODUITS LOCAUX »
Pr Meïssa Babou, économiste se prononce sur l’inflation - Depuis un certain temps, on constate une dynamique inflationniste sur certaines denrées de consommation courante notamment l’oseille (Bissap), le niébé, le mil entre autres
De plus en plus, au Sénégal on constate que les prix de certains produits locaux notamment l’oseille (Bissap), le niébé et le mil ne cessent de grimper. Les commerçants au niveau des marchés ont tendance à justifier cette hausse par la crise Ukrainienne et l’inflation sur le marché international. Interpellé sur la question, l’économiste Meissa Babou soutient que rien ne justifie cette flambée des prix de ces produits locaux. Selon lui, certains profitent de la situation pour se faire une santé financière.
Depuis un certain temps, on constate une dynamique inflationniste sur certaines denrées de consommation courante notamment l’oseille (Bissap), le niébé, le mil entre autres.
Sur le marché national, les prix de ces produits, qui sont cultivés au Sénégal, sont pratiquement passés du simple au double. Les producteurs et les vendeurs justifient souvent cette hausse par l’inflation ou la crise Ukrainienne. Pourtant, ces produits ne sont pas importés donc n’ont pas été taxés.
Selon le professeur Meissa Babou, économiste à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, rien ne justifie cette inflation sur les produits non importés surtout les céréales locales. « Les produits qui ne sont pas importés sont entrés dans la même dynamique inflationniste. C’est comme si maintenant les producteurs et les vendeurs voulaient reporter l’inflation venue d’ailleurs sur les produits locaux. Je ne vois pas à la base quelque chose qui pourrait expliquer cette flambée des prix », soutient-il.
Il souligne qu’on est dans une phase inflationniste psychologiquement acceptée. Ce qu’il trouve anormal : « Si c’est des produits industriels, on peut comprendre parce que dans les coûts, il y a l’énergie, les matières premières et autres. Par contre, ce qui est étonnant, ce sont les prix des produits comme le Bissap, le niébé, le mil qui ont été reportés sur une inflation qui semble se généraliser. On est dans une phase inflationniste psychologiquement acceptée. Ce qui ouvre la porte à toutes les dérives », relève-t-il. Il pense qu’il appartiendra au ministère du Commerce avec ses démembrements de réguler le marché dans la mesure où certains profitent de cette dynamique pour se faire une meilleure santé financière.
LE SILENCE COUPABLE DE L’ÉTAT
Au Sénégal, même les productions locales ne sont paradoxalement pas épargnées par la hausse des prix. Une situation qui donne du tournis aux ménages. Mais le gouvernement ne s'en émeut guère
Alors que le monde est toujours englué dans la pandémie de Covid-19, il fait aujourd’hui face à une inflation généralisée accentuée par la guerre en Ukraine. La flambée des prix des denrées alimentaires a fini d’inquiéter les populations, entraînant des mouvements de protestation dans beaucoup de pays. Au Sénégal, même les productions locales ne sont paradoxalement pas épargnées par la hausse des prix. Une situation qui donne du tournis aux ménages qui ne savent plus où donner de la tête. Pendant ce temps, le gouvernement s’emmure dans un silence assourdissant qui risque de lui être fatal.
«Nous vivons la fin de ce qui pouvait apparaître comme une abondance, celles des liquidités sans coût (…) La rareté de telle ou telle matière ou technologie réapparaît, comme celle de l’eau». Ces propos du Président français Emmanuel Macron tenus le mercredi 24 août dernier en prélude du Conseil des ministres, évoquant l’urgence climatique et les conséquences de la guerre en Ukraine, ont suscité beaucoup de réactions. Si certains pensent que les français sont déjà dans des situations difficiles, d’autres estiment que M. Macron est en train de préparer ses compatriotes à des «sacrifices» et à un serrage de ceinture pour les particuliers. Quoi qu’il en soit, le monde vit aujourd’hui une crise avec une inflation qui s’emballe. En raison de la pandémie de covid-19 puis la guerre en Ukraine, l’inflation touche désormais les pays du monde entier et concerne l’ensemble des matières premières, particulièrement les denrées alimentaires et énergétiques. Une situation qui a fini de créer une onde de choc mondial et entraîner des mouvements sociaux contre la vie chère dans beaucoup de pays.
LES EMEUTES DE LA FAIM PRENNENT DE L’AMPLEUR
C’est le cas par exemple en Afrique du Sud où des populations sont sorties dans la rue pour manifester contre le prix record du carburant et l’inflation du prix des aliments de base le mercredi 24 août dernier. Selon l’Agence nationale des statistiques du pays, StatsSA, «l’inflation sur un an des prix à la consommation a atteint un nouveau sommet en 13 ans, passant de 7,4% en juin à 7,8% en juillet». La Sierra-Léone non plus n’a pas échappée à cette furie des populations. Le 10 août dernier, des manifestations contre le coût élevé de la vie et les difficultés économiques ont tourné aux émeutes de faim. Résultats : deux policiers sont frappés à mort, de nombreux blessés enregistrés et plusieurs arrestations. Face aux difficultés économiques et la détérioration des conditions de vie, des manifestations ont également eu lieu au Royaume Uni qui vit des tensions depuis quelques semaines. En Albion, de nombreux salariés issus de différents corps de métier comme les postiers, les dockers, les cheminots, sont en mouvement pour réclamer des revalorisations de leur paie en phase avec l’inflation. Celle-ci a atteint en juillet 10,1% sur un an et pourrait dépasser 13% en octobre. Sans oublier la grève dans le secteur du transport. Des ménages menacent même de ne pas payer les factures l’électricité. «Le Royaume uni connaît une de ses plus grandes crises sociales des quarante dernières années », fait-on savoir.
Comme partout dans le monde, le budget des ménages sénégalais se voit sérieusement ébranlé par une hausse des prix tous azimuts. Pis, même les productions locales sont concernées. Malgré cette inquiétude des populations, les autorités font preuve d’un assourdissant silence. Presqu’aucune mesure forte n’est prise pour soulager les populations face à cette inflation généralisée. De quoi alimenter, jour après jour, la tension qui risque d’exploser dans un contexte déjà tendu, à moins de 18 mois d’une élection présidentielle de tous les inconnus.
SITAPHA SAVANÉ, UN LEADER HISTORIQUE PORTÉ À LA PRÉSIDENCE DU CB GRAN CANARIA
Basketball, Après sa carrière de joueur professionnel entamée depuis 2000, Sitapha Savané commence depuis hier, jeudi 25 août, celui de dirigeant de club.
Joueur professionnel qui évolue en Espagne depuis 2000, Sitapha Savané a entamé un nouveau palier en accédant au poste de président du CB Gran Canaria. L’ancien international sénégalais présenté comme une légende et leader historique du Club de Las Palmas, a été porté hier, jeudi 25 août, à la tête du club espagnol après la démission d’Enrique Moreno.
Après sa carrière de joueur professionnel entamée depuis 2000, Sitapha Savané commence depuis hier, jeudi 25 août, celui de dirigeant de club.
L’ancien international sénégalais formé à la Jeanne d’Arc a été nommé président du club CB Gran Canari de Las Palmas (Espagne) après la démission d’Enrique Moreno qui était président depuis 2017. La décision a été communiquée à la Casa Palacio del Cabildo de Gran Canaria, l’institution propriétaire du club. «Sitapha Savané était lui-même à l’événement accompagné d’Antonio Morales, président du Cabildo, et de Miguel Ángel Pérez del Pino, vice-président et ministre des Travaux publics, des Infrastructures, des Transports et de la Mobilité du Cabildo de Gran Canaria», informe le site wiwsport reprenant le site du club.
Aujourd’hui âgé de 43 ans, il est présenté comme une légende absolue du club espagnol et référence sociale pour son implication dans la société de Gran Canaria. M. Savané est le leader historique de l’équipe. Il a disputé 303 matchs en compétition nationale, ce qui fait de lui le deuxième joueur avec le plus de matchs jaunes derrière son inséparable ami Jim Moran. De plus, il a accumulé de l’expérience dans les compétitions européennes tout au long des neuf saisons qu’il a passées en tant que joueur de Gran Canaria.
Lors de la cérémonie, Sitapha Savané a déclaré que «c’est un honneur pour moi d’être président de ce club qui, dans 13 mois, célébrera les 60 ans de sa fondation dans la cour de l’école Claret à Obispo Rabadán. Nous sommes à un moment clé de l’histoire du club», commentant une déconnexion qui s’est faite sentir avec les supporters ces dernières années et «en tant que président, ma première étape sera d’écouter les supporters d’une ville». Son mandat va démarrer à partir du 1er septembre prochain.
De la Génération de Babou Cissé, Boniface Ndong, Matar Ndiaye vice-champions d’Afrique en 2005 à Alger, l’ailier fort fait partie de l’équipe du Sénégal qui a disputé la Coupe du monde 2006 au Japon. Ayant fait son cycle universitaire dans une académie militaire, le frangin de Lamine Michel Savané, a passé toute sa carrière professionnelle en Espagne. Il a d’abord joué sous les couleurs de Menorca (D2) avant de porter le maillot de Tenerife club avec lequel, il est monté en D1 avant d’être transféré à Gran Canaria.
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MATINALE DU LUNDI 22 AOUT, ABDOU FALL AVEC ALASSANE SAMBA DIOP