SenePlus | La Une | l'actualité, sport, politique et plus au Sénégal
21 juin 2025
Par Abdoulaye THIAM
LA PRESSE A PERDU SA BOUSSOLE
26 juillet 2020-26 juillet 2022 ! Deux ans que disparaissait Babacar Touré, président du Groupe Sud Communication, monument de la presse privée sénégalaise et de l’Afrique. BT restera à jamais gravé dans la mémoire des combattants des causes nobles
26 juillet 2020 - 26 juillet 2022 ! Voilà deux ans que disparaissait Babacar Touré, président du Groupe Sud Communication, monument de la presse privée sénégalaise et de l’Afrique de l’Ouest. BT, comme on l’appelait affectueusement, restera à jamais gravé dans la mémoire des combattants des causes nobles ; plus particulièrement, de la liberté d’expression et de la liberté de presse.
Bouclier du peuple, véritable boussole de la presse privée et indépendante, Babacar Touré s’est forgé une réputation d’un homme multidimensionnel, rigoureux et compétent. Ce n’est pour rien qu’il se définissait lui-même, comme «un militant tombé dans la presse». Un militant de la Gauche parce qu’il est de la génération post-68, très influencée par les idées révolutionnaires. En témoigne son premier article «à bas le néo-colonialisme, à bas la dictature». Il s’agissait là, des graffitis sur les murs de Dakar et de Thiès. Ce militantisme lui a d’ailleurs, valu un exil forcé dans les années 70 en Mauritanie.
«Journaliste chevronné et pionnier dans l'entreprise de presse et la formation des journalistes, homme de consensus et de dialogue, Babacar Touré aura été de tous les combats pour la liberté et la démocratie. A sa famille, au groupe Sud et à la presse, je présente mes condoléances», avait tweeté le président de la République Macky Sall, qui s’est déplacé à la suite de sa disparition jusqu’à Ngaparou pour présenter les condoléances de la Nation à un de ses dignes fils. Mais l’entregent, l’altruisme, son humanisme et surtout son panafricanisme avaient fait que Babacar n’était pas que Sénégalais. Il était foncièrement Africain.
Les témoignages des Chefs d’Etat, lors premier sommet de la CEDEAO qui a suivi sa disparition, en étaient une parfaite illustration. De Alpha Condé (Guinée) à Roch Marc Christian Kaboré (Burkina Faso), en passant par Ibrahima Boubacar Keïta (Mali) et Alassane Dramane Ouattara (Côte d’Ivoire), tous ont tenu à relever la courtoisie, l’entregent et le pacificateur discret qu’il a été. Un journaliste nous confiera d’ailleurs un jour que les éditoriaux de Babacar Touré auraient permis d’éviter une guerre fratricide entre la Mauritanie et le Sénégal, lors des douloureux événements de 1989.
Le courage en bandoulière, il a été un des principaux artisans de la première alternance survenue au Sénégal en 2000. «Wade, Président !», était la UNE de Sud Quotidien le 20 mars 2000. Pourtant, il n’hésitera pas non plus à signaler la fin de l’état de grâce du régime de Me Abdoulaye Wade dans un édito qui aura marqué les esprits (Alterner l’Alternance, publié le 5 mars 2002). A ces périodes troubles où les tensions politico-juridicosociales risquent d’ébranler le pays voire la sous-région, on ne peut ne pas se rappeler de la plume alerte de Babacar Touré. Surtout au niveau de la presse qui a perdu sa boussole et son détecteur de sens. Repose en paix, Grand Manitou!
BABACAR TOURÉ EST LE PREMIER À INTRODUIRE LA PAO AU SÉNÉGAL
Je travaillais à Sud à l’époque en 1985-1986. Il m’avait désigné pour aller travailler sur Macintosh. J’étais là-dans avec un collègue qui s’appelait Ndéye Combaye Niang et nous étions allés faire la formation ici au Sénégal à Micro Center sur la PAO
Ce que je retiens de Babacar Touré au-delà de l’aspect professionnel, son engagement syndical avec le Synpics et tout ce qu’il a fait pour la presse au Sénégal, le plus remarquable, c’est qu’il est le premier à introduire la PAO (Publication Assistée par Ordinateur), les Macintosh et tout ça au Sénégal. C’est lui qui en a fait la promotion. Il ne l’a pas créé mais c’est lui qui l’a amené au Sénégal. Je travaillais à Sud à l’époque en 1985-1986. Il m’avait désigné pour aller travailler sur Macintosh. J’étais là-dans avec un collègue qui s’appelait Ndéye Combaye Niang. C’est nous deux qui étions allés faire la formation ici au Sénégal à Micro Center sur la PAO. J’étais le jeune journaliste. Ndéye Combaye Niang était la secrétaire. Elle faisait la saisie des papiers. C’est la Fondation Ford qui nous avait financés à l’époque. C’est cette aide à Sud qui nous avait permis d’avoir le premier Macintosh SE. Ce qui nous avait permis un peu de faire le montage du journal. C’est le premier Macintosh en Afrique de l’Ouest.
Dans la presse africaine, dans l’espace francophone, c’est le premier Mac que j’avais vu qui existait en 1985. Et ici au Sénégal, il n’y avait que Sud qui le faisait et j’étais le seul journaliste sénégalais à le faire parce que Babacar n’y connaissait absolument rien. Il avait entendu avec la Fondation Ford que ça existait et la Fondation nous avait apporté son appui pour qu’on puisse avoir un Macintosh. C’est ce Macintosh qui a permis à Sud de grandir, d’avoir d’autres Macintosh aussi. Quand on le faisait au Sénégal en 1986- 1987, le Macintosh n’avait même pas encore pénétré le marché américain. On connaissait simplement que Macintosh existait. Babacar lisait les journaux et il savait que ça existait.
Aux Etats-Unis, le premier journal à le faire d’une manière démocratique l’a commencé en 1990. Il s’appelait USA Today. Ici, au Sénégal, on a commencé à le faire depuis 1986. En Afrique de l’Ouest, personne ne le faisait, peut-être même en Afrique en général. Il n’y a que Sud qui le faisait au Sénégal particulièrement et j’étais le seul à savoir comment faire le montage sur Macintosh. Je venais de sortir du CESTI, c’était tout nouveau pour moi mais Babacar pensait qu’il fallait sauter le pas. Il fallait le faire et que ça allait doper la réalisation du journal. Ça nous a permis un peu de faire de grandes avancées et beaucoup de journaux ont suivi. Je suis allé en Algérie.
Le premier Macintosh que j’ai trouvé là-bas, n’était pas pour la presse. C’était des ordinateurs que des gens utilisaient pour d’autres choses. Dans d’autres pays également, c’était la même chose. Nous sommes donc les premiers à utiliser le Macintosh avant même les américains qui l’avaient créé. Sud était le premier journal pratiquement jusqu’aux Etats-Unis à s’être mis sur Macintosh. Je suis allé aux Etats-Unis en 1990. Avant, les gens étaient sur IPM. Je faisais du Macintosh et les gens étaient un peu ahuris. Ils me demandaient où est-ce que j’ai appris ça. Je disais, je l’ai appris au Sénégal. On a un journal qui s’appelle Sud Quotidien qu’on se fabrique sur Macintosh et les gens étaient réellement ahuris. Ils ne pensaient pas qu’au Sénégal qu’on pouvait le faire. On sait beaucoup de choses sur Babacar mais il y a peu de gens qui savent le rôle qu’il a joué dans l’avancée technologique des médias et à partir du Macintosh de Sud.
Par Mademba As NDIAYE
DE BABACAR COMME DE MES DEUX BAJEEN DE NDAR…
Comme je l’ai dit de notre regrettée consœur Eugenie Rokhaya Aw décédée récemment, Babacar n’aimait pas la médiocrité, surtout celle venait de gens pour qui il avait de l’estime.
«Ce que je retiens de Babacar Toure ? D’abord qu’il n’aurait pas aimé ces pages spéciales que Sud Quotidien lui consacre ! Babacar n’a jamais aimé, ni jugé nécessaire de se mettre en avant ! Et Dieu sait qu’il en avait mille et une fois l’occasion. Il avait une philosophie assez particulière qu’on ne voit que chez les personnes intellectuellement généreuses comme Souleymane Bachir Diagne et Boubacar Boris Diop : toujours pointer la lumière sur les autres et magnifier leurs performances sociales, politiques, intellectuelles, religieuses, musicales et je ne cite pas tout car Babacar s’intéressait, comme qui dirait, à tout ce qui donne de la grandeur à l’être humain.
Comme je l’ai dit de notre regrettée consœur Eugenie Rokhaya Aw décédée récemment, Babacar n’aimait pas la médiocrité, surtout celle venait de gens pour qui il avait de l’estime. Je crois que, comme plusieurs personnes qui l’ont fréquenté plus ou moins assidument dans son aventure syndicale et professionnelle, dans sa vie, nous avons, je crois, tous et toutes, toujours cette question dans notre pensée dans le déroulement des événements depuis qu’Allah l’a rappelé : « Qu’aurait dit ou écrit Babacar devant cette situation ». Babacar ne savait pas se taire et c’était cela l’intérêt de sa compagnie avec le Sénégal. Le piédestal sur lequel il avait mis son peuple ne lui permettait de souffrir en silence des pratiques abjectes qui pouvaient provenir de son élite : il criait, il vociférait et, par-dessus tout, il écrivait. Il prenait position, en général contre le puissant, mais aussi contre le populiste annonçant le paradis sans effort et même, en avril 89, contre la populace dansant autour de cadavres maures au Sénégal, ou nègres en Mauritanie, sa seconde patrie. Je retiens de Babacar les blagues qu’ils me racontaient et de sa façon de commenter des faits anodins lors nos conversations de grand-place dont l’une des derrières fut avec Babacar Diagne, lors du mariage du fils de Madiambal Diagne !
Parlant de deux mes bajeen, toutes deux Mamarame, l’une Ndiaye, l’autre Dia, une femme a eu cette réflexion : « Dañu baaxoon ci Ndar » que je n’ose pas traduire par un « Elles étaient bonnes pour Saint-Louis », au risque d’appauvrir le sens de ce qui est dit en Wolof. Alors de Babacar Touré, je dis simplement « Dafa baaxoon ci askan wi » pour faire référence aux multiples et divers collectifs sur lesquels il portait son regard.
Plus égoïstement, je dis aussi que Babacar Touré « dafa baaxoon ci mann comme mes bajeen Mamarame» ! Et c’est pour l’imiter maladroitement que j’ai cité autant de personnes dans cette conversation car il aimait rassembler et tirer le meilleur des autres. Comme mes deux bajeen…
MARY TEUW NIANE CONTINUE DE S’ÉLOIGNER DU MACKY
Entre l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et de l’innovation et l’actuel chef de l’Etat, on semble s’acheminer lentement mais surement vers une séparation définitive
Le Professeur Mary Teuw Niane quitte la Présidence du Conseil d’Administration de PETROSEN HOLDING. Dans une note qu’il a partagée avec la presse hier, lundi 25 janvier, l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et de l’innovation a annoncé lui-même avoir « remis, pour des raisons personnelles, ma démission du poste de Président du Conseil d’Administration de PETROSEN HOLDING ».
Entre l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et de l’innovation et l’actuel chef de l’Etat ses amis du régime en place, on semble s’acheminer lentement mais surement vers une séparation définitive.
En effet, dans une note largement partagée dans la presse en ligne hier, lundi 25 janvier, le Professeur Mary Teuw Niane a annoncé son départ de son poste de Président du Conseil d’Administration de PETROSEN HOLDING. « Ce matin, lundi 25 juillet 2022, j’ai remis, pour des raisons personnelles, ma démission du poste de Président du Conseil d’Administration de PETROSEN HOLDING » a annoncé l’ancien Recteur de l’Université Gaston Berger de Saint louis qui a également tenue « à remercier sincèrement Son Excellence le Président de la République Monsieur Macky Sall pour sa confiance et son soutien à la tête du Conseil d’Administration de PETROSEN HOLDING».
Poursuivant sa communication, le désormais ex-Président du Conseil d’Administration de PETROSEN HOLDING a également rendu un vibrant homme à ses anciens collègues qui sont « des administrateurs compétents, scrupuleux et profondément soucieux de l’intérêt de la société » avec qui, il a pu poursuivre la restructuration de PETROSEN HOLDING jusqu’à la création du Groupe PETROSEN. « Je remercie le Ministère du Pétrole et des Énergies, les Directeurs généraux successifs ainsi que les différents personnels du Groupe PETROSEN pour leur soutien et leur engagement pour que le Groupe puisse réaliser les ambitions et les objectifs qui lui sont fixés », a-t-il encore ajouté tout en précisant qu’il « garde le souvenir indélébile d’un personnel chaleureux, solidaire, humble, compétent et engagé pour son Groupe ».
Juste rappel que depuis son départ du gouvernement en novembre 2020, l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et de l’innovation avec l’actuel chef de l’Etat ne cesse de s’illustrer par ses positions fermes sur des sujets d’actualité nationale. En 2021, il n’avait pas hésité, en plein débat sur les tournées économiques initiées par le président de la République en pleine période de restriction des libertés dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Covid-19, à faire une sortie pour dire que le chef de l’Etat a été « imprudent » en organisant ses tournées économiques.
Lors des dernières élections locales, alors que le chef de l’Etat a désigné son beau-frère et maire sortant, Mansour Faye comme candidat de la majorité, le Professeur Mary Teuw Niane a fait une publication pour annoncer sa candidature contre le candidat de la majorité. « Nous ne demandons pas l’investiture à BBY [Benno Bokk Yakaar]. Les élections locales n’appartiennent pas au parti, et ce n’est pas à Dakar de choisir pour Saint-Louis. »
En début de ce mois de juillet, il est encore monté au créneau à travers un post sur sa page Facebook pour qualifier ses camarades de parti qui appellent le chef de l’Etat, Macky Sall à briguer une troisième candidature de « laudateurs ».
«C’EST UNE MALÉDICTION, CES ÉLIMINATIONS SUCCESSIVES DU SÉNÉGAL PAR LA GUINÉE»
Eliminatoires Chan 2023 : Bouly Junior Sambou avertit le syli local
Le Sénégal est déterminé pour la qualification au prochain championnat d’Afrique des nations (CHAN) de 2023. Après la sérieuse option prise dimanche devant le Liberia, les Lions locaux attendront de pied ferme le Syli de la Guinée, qui devra sans rebondissements, se dresser encore sur le chemin des Lions lors du second tour. Mais il s’agit, selon le buteur des Lions Bouly Junior Sambou, de vaincre cette malédiction qui poursuit l’équipe du Sénégal après ces éliminations successives par la Guinée.
Après la sérieuse option prise dimanche à Monrovia, avec en prime une large victoire devant le Liberia (3-0), l’équipe du Sénégal a déjà orienté vers son prochain adversaire de la Guinée, exemptée du premier tour. Sauf grosse surprise, les Lions locaux vont affronter le Syli de la Guinée pour le ticket qualificatif pour le CHAN 2023, prévu en Algérie. Une éventualité que les Lions attendent déjà et particulièrement Bouly Junior Sambou. Pour le meilleur buteur du championnat du Sénégal, il s’agira cette fois de vaincre ce que l‘on considère comme un malédiction qui frappe les sélections sénégalaises en mettant fin à cette spirale d’éliminations successives devant la Guinée. «Nous sommes tous concentrés sur comment écarter le Liberia de notre chemin. Et on va le faire.
Après la Guinée sera la deuxième étape. J’en parlerai juste un peu parce que c’est une malédiction ces éliminations successives du Sénégal par la Guinée. Et ce n’est pas juste pour le CHAN», a t-il déclaré, avant d’ajouter que son équipe «a la conviction et surtout la détermination pour écarter n’importe quelle équipe qui se dresse devant nous» a confié le footballeur sénégalais footsenegal. Pour l’heure, les Lions vont tenteront de confirmer leur domination en recevant le week-end au stade Lat Dior de Thiès l’équipe du Libéria avant d’affronter la Guinée au début septembre prochain. Troisième du dernier championnat d’Afrique des nations (CHAN) au Cameroun, le Syli local de la Guinée avait réussi à éliminer le Sénégal lors des dernières qualifications du CHAN.
LE SÉNÉGAL RÉCOLTE 8 MÉDAILLES AU CHAMPIONNAT D'AFRIQUE DE JUDO CADETS ET JUNIORS
Du 21 au 24 juillet, Nairobi a été le théâtre des Championnats d’Afrique de judo en cadets et juniors
Du 21 au 24 juillet, Nairobi a été le théâtre des Championnats d’Afrique de judo en cadets et juniors. Les 8 judokas sénégalais ayant pris part à ces joutes ont glané 8 médailles : 2 or, 5 argent et 2 bronze. Avec ces médailles, le Sénégal se classe 3ème sur le podium, derrière l’Egypte et l’Angola.
Les « Lionceaux » sénégalais se sont bien défendus sur le tatami et ont réussi à glaner 8 médailles, dont 2 en or. Les cadets ont montré le chemin en livrant une bonne performance lors de la première journée en décrochant 3 médailles, les juniors ont récolté autant pour la deuxième journée. Cinq (5) combattants sénégalais raflent ainsi à leur tour 5 médailles complétant le nombre à 8.
Pour la compétition par équipes disputées dimanche, l’équipe du Sénégal a écarté au premier tour le Burundi, puis l’Afrique du Sud en quart de finale, avant de se cogner en demi-finale à celle de l’Egypte, qui a terminé championne devant l’Angola.
Le Sénégal remporte ainsi la médaille de bronze et se classe 3ème du podium derrière l’Egypte (1ère, 17 médailles d’or), et l’Angola (2ème, 5 médailles d’or). Avec cette place, l’équipe nationale de judo sera bel et bien à la Coupe du monde de judo cadets et juniors qui aura lieu au mois d’août prochain en Equateur
La créatrice de cette œuvre futuriste a été distinguée à l'ouverture de la 14è édition de la biennale de l'art africain contemporain de Dakar. AfricaGlobe vous propose de revoir les coins et recoins de l'œuvre. Visite guidée avec l'artiste Caroline Guèye
Un jour, une création : le Quantum Tunneling de Caroline Guèye. Astrophysicienne de formation, Caroline Guèye, malgré ses brillantes études scientifiques, a préféré suivre son autre passion : l’art.
Lors de la dernière biennale, il a proposé une installation futuriste à l’ancien palais de justice de Dakar. Une création qu’elle a baptisée Quantum tunneling (effets tunnel), qui s’inspire bien de la physique quantique. Le genre de chose qui ne lui sont pas étrangères, outre mesure.
Comme quoi chassez le naturel et il revient toujours au galop. En tout cas dans ses créations, la touche scientifique semble toujours présente.
Dans cette vidéo, nous vous proposons de revoir cette installation complexe qui rappelle un peu les trous d’air ou encore les tunnels que l’on trouve sur les sites miniers. Elle a précédemment expliqué son installation dans cet entretien