COMMENT LES ENFANTS D'IMMIGRÉS GUINÉENS S'INTÈGRENT-ILS AU SÉNÉGAL ?
Ils seraient entre deux et plus de trois millions de Guinéens installés au Sénégal. Si certains sont arrivés aux lendemains des indépendances pour fuir le régime de l'ancien président Sékou Touré, d’autres ont migré plus tard pour des raisons économiques
Ils seraient entre deux et plus de trois millions de Guinéens installés au Sénégal. Si certains sont arrivés aux lendemains des indépendances pour fuir le régime de l'ancien président Sékou Touré, d’autres ont migré plus tard pour des raisons économiques. Mais comment s’est intégrée la deuxième génération, c’est-à-dire ces Guinéens nés au Sénégal à la suite de la migration de leurs parents ?
Dans une de leur chanson, les membres du groupe NG 224 – tous Guinéens installés au Sénégal – rendent hommage à leur pays d’origine. Le leader, Abdourahmane Diallo est arrivé à l’âge de deux ans à Dakar. Si l’amour est un thème récurrent de leur musique, il explique que les paroles – souvent écrites en peul – traitent aussi de sujets engagés.
« C’est juste pour dire aux Guinéens, partout dans le monde, de ne pas oublier d’où tu viens et de dire que la Guinée nous manque. On lance également des messages politiques, mais aussi socio-culturels. Si on doit dénoncer des choses provenant du gouvernement ou du président, on le fait aussi. »
Lui qui se considère de la deuxième génération d’immigration, se sent pourtant bien intégré au Sénégal malgré quelques difficultés. « On s’intègre bien, car nous sommes des travailleurs. Mais certains Sénégalais qui te voient avec le teint clair, te rappellent d’où tu viens… », se confie le leader de NG 224.
Autre membre du groupe, Ibrahima Diallo est né au Sénégal de deux parents guinéens. Le pays de la Teranga compte alors beaucoup pour lui : « C’est un pays qui m’a beaucoup donné. Mes amis ici sont comme des frères. Mes parents sont au pays, ils me manquent, mais ce qui me retient ici, c’est le travail. On est en train de voir comment on peut rentrer chez nous. »
DES LEADERS AFRICAINS APPELLENT À CESSER LES CHANGEMENTS CONSTITUTIONNELS
« L'Afrique serait mieux servie par des institutions fortes que par des hommes forts », a déclaré le président du Botswana Mokgweetsi Masisi dans son discours d'ouverture de la Conférence internationale sur le constitutionnalisme
La Conférence internationale sur le constitutionnalisme a débuté mercredi 6 juillet à Gaborone, la capitale du Botswana. Organisée par l’Institut national démocratique, cet événement réunit des anciens chefs d’États et des acteurs de la société civile pour renforcer la démocratie en Afrique, à un moment où la démocratie recule sur le continent, plusieurs dirigeants africains ayant modifié ou tentant de modifier les constitutions pour se maintenir au pouvoir.
« L'Afrique serait mieux servie par des institutions fortes que par des hommes forts », a déclaré le président du Botswana Mokgweetsi Masisi dans son discours d'ouverture. Soit un message que partage l’ancien dirigeant nigérien Mahamadou Issoufou et l’ex-présidente centrafricaine Catherine Samba Panza qui participent au sommet.
Tous sont d'accord : il faut redoubler d’efforts pour empêcher les changements anticonstitutionnels. À commencer par refréner les actes de corruption des dirigeants politiques, estime Mohamed Sidiye, ambassadeur du Kenya pour le Botswana :
« C'est terrible de voir les dirigeants africains détruire par cupidité ce que nous avons acquis. J'ai vu certains chefs d'État modifier la constitution simplement pour satisfaire leurs caprices, ce qui malheureusement remet en cause les acquis démocratiques, l'État de droit et la justice sociale. Car si vous supprimez la limitation des deux mandats, naturellement il y aura une dictature et nous perdrons la paix et la stabilité. »
« Des institutions faibles, parce que corrompues, ne peuvent pas relever de tels défis »
Au dernier sommet, il avait fait part de sa volonté de ne pas briguer un troisième mandat, une attitude qui a valu à l'ex-président nigérien Mahamadou Issoufou d'être considéré comme un modèle pour la démocratie en Afrique. Absent cette fois-ci à cause d’un contretemps, c'est par une allocution télévisée que l’ex-chef d’État a plaidé pour des institutions démocratiques fortes :
« Notre sommet se tient dans un contexte où notre continent, l’Afrique, demeure confronté à de graves défis : un défi sécuritaire, défi climatique, défi démographique. Je demeure convaincu que des institutions faibles, parce que corrompues, ne peuvent pas relever de tels défis. »
TROIS LEADERS D'UN COLLECTIF ÉCROUÉS À CONAKRY OÙ DES MANIFESTANTS DÉFIENT LA JUNTE
Trois leaders d'un collectif en Guinée ont été inculpés et écroués jeudi pour "outrage à magistrat" avant un procès prévu vendredi à Conakry, où leurs partisans défiaient l'interdiction de la junte de manifester, protestant contre leur arrestation
Ces manifestations, qui ont commencé mardi soir, sont parmi les premières depuis l'arrivée au pouvoir des militaires dans un contexte de mécontentement grandissant et de détention de plusieurs ex-responsables par une cour spéciale anti-corruption.
La junte dirigée par le colonel Mamady Condé, qui a renversé le président Alpha Condé le 5 septembre 2021, a proclamé le 13 mai l'interdiction "jusqu'aux périodes de campagne électorale" de toute manifestation sur la voie publique "de nature à compromettre la quiétude sociale et l'exécution correcte des activités" pendant les trois ans censés précéder un retour des civils à la tête du pays.
Mais depuis mardi soir, des heurts ont secoué Conakry, et après une accalmie en début de matinée jeudi, des manifestants munis de cailloux et de bâtons se sont à nouveaux confrontés aux forces de l'ordre dans des quartiers de la banlieue comme Bambéto, Hamdallaye et Wanidara, selon un journaliste de l'AFP.
Les protestataires ont caillassé les véhicules des forces de l'ordre, renversé les poubelles, érigé des barricades avec des troncs d'arbres et de vieilles tables.Les commerces dans ces zones étaient fermés.
Ils protestaient contre l'arrestation mardi de trois membres du Front national pour la défense de la Constitution (FNDC), une coalition de partis, de syndicats et d'organisations de la société civile qui avait orchestré des mois de mobilisation de 2019 à 2021 contre le président Condé (2010-2021).
Ces trois membres du FNDC sont le coordonnateur national, Oumar Sylla - dit Foniké Mengué -, Mamadou Billo Bah et le rappeur Alpha Midiaou Bah - alias Djanii Alfa.
Ils ont été jeudi "inculpés d'outrage à magistrat et injures publiques" et écroués à Conakry, a déclaré à l'AFP une de leurs avocats, Halimatou Camara.Leur procès est prévu vendredi matin, a dit Me Camara.Ils étaient en garde en vue depuis mardi.
MM.Oumar Sylla et Mamadou Billo Bah sont poursuivis pour avoir "produit et diffusé par le biais d'un système informatique des propos injurieux contre le Conseil national de transition (CNT)", le Parlement de transition mis en place par la junte, a expliqué mardi le procureur de la cour d'appel de Conakry, Alphonse Richard Wright, sur la radio privée Fim FM.
Le rappeur Djanii Alfa avait, lui, récemment critiqué des propos du président du CNT, avant d'être menacé d'arrestation par le procureur, selon sa défense.M. Sylla avait critiqué ces menaces présumées du procureur sur sa page Facebook.
- 17 policiers blessés -
Dix-sept policiers ont été blessés dont un grièvement ces trois derniers jours dans les heurts à Conakry, a déclaré la police guinéenne mercredi dans un communiqué.
Le FNDC avait appelé à manifester le 23 juin, passant outre l'interdiction édictée par la junte. Il avait suspendu son appel la veille de la manifestation, pour "donner une chance" au dialogue proposé par le gouvernement de transition.
Mais après la dernière réunion avec celui-ci, le FNDC a dénoncé "une parodie de rencontre", ainsi que "la conduite solitaire et autoritaire de la transition" et "les atteintes graves portées aux droits et libertés fondamentaux".
Les trois hommes écroués jeudi avaient été violemment interpellés mardi par la police au siège de leur coalition à Conakry, où ils tenaient une conférence de presse.MM.Sylla et Billon Bah ont été battus et leurs vêtements déchirés par des policiers, selon un journaliste de l'AFP.
Une grande partie de la classe politique a condamné leur arrestation et s'est indignée de la méthode.
Le chef de la junte, le colonel Doumbouya, s'est engagé à remettre le pouvoir à des civils élus dans un délai de trois ans.
La Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a rejeté le 3 juillet ce délai, lors d'une réunion à Accra, sans annoncer de nouvelles sanctions contre la Guinée, déjà suspendue des organes de l'organisation.
par farid bathily
LE FOOTBALL FÉMININ AFRICAIN GAGNE EN POPULARITÉ
Débutée depuis le 2 juillet dernier au Maroc, la CAN féminine de football en est à sa 14e édition. Présentation de ce tournoi qui ne manque pas d’attraction grâce à ses nombreuses manieuses de ballon reconnues à l’international
Elle souffre peut-être encore de la comparaison avec celle des hommes, mais la Coupe d’Afrique des nations (CAN) de football féminin fait son petit bonhomme de chemin.
Le tournoi, autrefois appelé Championnat d'Afrique de football par la CAF, réunit du 2 au 23 juillet 2022 au Maroc, douze nations africaines parmi lesquelles le pays hôte bien évidemment, mais aussi le Ghana, le Cameroun ou encore l’Afrique du Sud pour ne citer que celles-là.
Une favorite défiée
Autant d’équipes prêtes à faire déjouer le Nigeria, grandissime favori et vainqueur de 11 des 13 précédentes éditions. Preuve d’une compétition pleine d’équipes ambitieuses, la formation des Super Falcons (surnom des Nigérianes) a été battue d’entrée le 4 juillet 2022 en match d’ouverture du groupe C par les Banyana Banyana d’Afrique du Sud.
Dans ce remake de la finale de la dernière CAN organisée au Ghana, les femmes de la sélectionneuse Desiree Ellis, emmenées par Thembi Kgatlana du club de l’Atletico Madrid, en première division espagnole, ont fait mentir les pronostics en l’emportant par deux buts à un.
C’est un avertissement pour les triples tenantes du titre, privées désormais d’une de leur valeur sûre, en l’occurrence Asisat Oshola. Blessée au genou, l’attaquante du FC Barcelone et co-meilleure buteuse de la saison dernière en championnat d’Espagne, a dû déclarer forfait pour le reste du tournoi.
Brochette de stars
C’est dire que chacune des équipes en lice est prête à vendre chèrement sa peau face à l’ogre nigérian. En dehors du trophée doté d’un prix de 500 000 dollars américains, l’objectif des participantes est d’accéder au dernier carré, directement qualificatif pour le Mondial féminin prévu en Australie et en Nouvelle-Zélande l’année prochaine.
Chaque nation engagée au Maroc peut, à cet effet, compter sur quelques talents, dont certains font les beaux jours des plus grands clubs européens. À celles déjà citées plus haut, s’ajoute la Camerounaise Ajara Nchout, Prix Puskas et joueuse de l’Inter Milan en championnat d’élite Italien.
Une illustration de la marque d’un football féminin en constante professionnalisation sur le continent africain et dont l’engouement se traduit aussi par l’intérêt grandissant des annonceurs. Les matchs en cours au Maroc sont retransmis dans 60 différents pays.
263 CAS DE VIOL RECENSÉS EN 2021
Selon les femmes juristes, la recrudescence des violences sur toutes leurs formes a pris une ampleur inquiétante au Sénégal ces dernières années.
L’association des juristes du Sénégal a organisé, ce mercredi, un atelier d’échanges avec les magistrats, les avocats, commissaires de Police et de commandants de Gendarmerie sur les stratégies de vulgarisation de la loi criminalisant le viol et la pédophilie au Sénégal. Selon les femmes juristes, la recrudescence des violences sur toutes leurs formes a pris une ampleur inquiétante au Sénégal ces dernières années. L’Association des Juristes Sénégalaises dispose de données statistiques concernant ces formes de violences.
De Janvier à Novembre 2019, les huit (8) Boutiques de Droit de l’AJS ont enregistré 1229 cas de violences perpétrées sur des femmes, des filles et des garçons. Les cas de viol, constituent une partie importante des dossiers traités et suivis au niveau des Boutiques de droit en raison de la prise en charge holistique disponible gratuitement, s’élevaient à 290 cas en 2020, pour l’année 2021, 263 cas ont été enregistrés par les huit Boutiques de l’AJS.
Dans un document remis à la presse, il est indiqué que la prise en charge médicale et psychologique est souvent pour la plupart par un système de référencement issu de partenariat avec les structures de santé et de prise en charge psychologique. Il est à souligner que la tranche d’âge particulièrement touchée par cette forme violence est celle comprise entre 11et 20 ans.
Revenant sur la loi criminalisant le viol et la pédophilie au Sénégal, l’Ajs rappelle que l’année 2019 est marquée par un bilan assez alarmant des cas de viol suivi parfois de meurtre. Cette série d’agressions à caractère sexuel commis sur la personne des femmes et des filles avait heurté la sensibilité de toute la communauté. C’est sur ces entrefaites que les organisations de la société civile se sont réunies autour du collectif afin d’exiger que le viol soit puni sévèrement, d’autant plus que même le vol du bétail est criminalisé au Sénégal. Le plaidoyer du collectif reposait de façon explicite sur l’adoption d’une loi criminalisant le viol et la pédophilie.
Pour mémoire, le Président de la République a manifesté son entière adhésion à cette noble cause. C’est ainsi que le Ministère de la justice a été instruit d’élaborer un projet de loi visant à criminaliser le viol et la pédophilie Le projet a été adopté lors de la réunion du Conseil des Ministres du 27 novembre 2019. Il s’en est suivi son adoption à l’unanimité, le 30 Décembre 2019 par l’Assemblée nationale. Ce texte, modifiant la loi n°65-60 du 21 Juillet 1960 portant code pénal vise notamment à durcir la répression du viol et de la pédophilie, avec des sanctions pouvant allez jusqu’à la réclusion criminelle à perpétuité. En plus des innovations apportées par la loi de 29 janvier 1999 modifiant quelques dispositions du code pénal, la loi 2020-05 du 10 janvier 2020 criminalisant le viol et la pédophilie constitue une avancée majeure dans la protection des droits des femmes et des enfants au Sénégal.
L’AJS dans l’exercice de ses missions de prévention et de lutte contre les violences faites aux femmes et aux enfants, a jugé opportun de vulgariser la loi criminalisant le viol et la pédophilie pour une meilleure appropriation.
A cet effet l’AJS avec l’appui financier du Fonds Africain pour le Développement de la Femme (A WDF), a organisé cet atelier dont les résultats attendus sont d’avoir des stratégies de vulgarisation de la loi criminalisant le viol et la pédophilie, des recommandations pour une application effective de la loi dans toute sa rigueur sont formulés.
UN AVION DE AIR SÉNÉGAL ENDOMMAGÉ
Un malheur ne vient jamais seul. Au moment où la compagnie fait face à des récriminations de ses clients, Air Sénégal annonce qu’un de ses avions vient d’être endommagé.
Un malheur ne vient jamais seul. Au moment où la compagnie fait face à des récriminations de ses clients, Air Sénégal annonce qu’un de ses avions vient d’être endommagé.
«Un autre avion Air Sénégal de type ATR 72-600 a été endommagé par un engin de sol à l’aéroport Blaise Diagne de Diass ce 03 juillet 2022», a indiqué la compagnie. Elle renseigne que la structure de l’appareil a été percutée et abîmée par un engin de sol sur le tarmac de l’aéroport AIBD.
Pour l’instant, l’avion est cloué est sol pour les besoins des réparations. «Les opérations de réparation et de test de conformité sont en cours», indique Air Sénégal, qui en a profité pour présenter ses excuses aux passagers qui seront impactés par les perturbations.
SACCAGE DU LYCEE DE YOFF, 12 ÉLÈVES PLACÉS SOUS MANDAT DE DÉPÔT
Sur les 17 élèves impliqués dans le saccage du lycée Ousmane Sembène de Yoff, 12 sont placés sous mandats de dépôt, mercredi. Parmi les 13 présentés, un a été relâché parce qu’étant un mineur.
Sur les 17 élèves impliqués dans le saccage du lycée Ousmane Sembène de Yoff, 12 sont placés sous mandats de dépôt, mercredi. Parmi les 13 présentés, un a été relâché parce qu’étant un mineur. Quant aux 4 autres élèves, ils ont pris la fuite. Ces jeunes enfants sont reprochés de destructions de biens publics de l’établissement existant depuis 1986. Ces apprenants avaient saccagé en effet leur salle de classe le 1er juillet dernier. Le procès est prévu ce vendredi le 9 juillet prochain. L’inspection d’académie de Dakar a réagi hier pour dire que « ces actes sont intolérables et inadmissibles » dans un établissement d’éducation et de formation en ce sens qu’ils portent atteinte à la sacralité de l’institution scolaire. Et invite par conséquent à la « préservation du patrimoine » de nos établissements afin d’éviter que pareille situation ne se reproduise.
Doudou Diouf Faye, oncle de l’un des élèves détenus
« Le papa de l’élève libéré est un conseiller municipal, proche du pouvoir »
Quelques heures après le placement sous mandat de dépôt des élèves du Cem de Yoff, Doudou Diouf Faye qui est l’oncle de l’un des élèves détenus, a réagi au micro de iradio. Et sur le cas du seul élève libéré du groupe, il a fait de graves révélations. « Ce qui s’est passé aujourd’hui, est déplorable. Parce que, on a été tous au Tribunal ce matin et nous attendions pour trouver une solution pour que les enfants rentrent chez eux. A notre grande surprise, puisque nous n’avons pas d’avocat, ni d’interlocuteur, un des parents d’élèves qui s’appelle M. Souleymane Mbaye et qui est conseiller municipal à la Mairie de Yoff et un proche du pouvoir, nous a dissuadés de prendre un avocat. Et en retour, il a pris un avocat pour son enfant. Et curieusement il a été libéré là où les autres ont été placés sous mandat de dépôt. Lui-même, s’est vanté de ça en disant : « Oui je fais partie de la mouvance présidentielle, je vais essayer de régler le problème. Alors qu’il réglait une partie du problème, c’est-à-dire celui de son enfant » explique l’oncle.
« Donc, nous dénonçons un acte ignoble, un acte commis par un groupe de personnes et si les sanctions tombent, ça doit tomber sur toutes les personnes. Ils nous ont dit que le gosse est âgé de 13 ans et qu’il est un mineur, mais ce n’est pas possible », ajoute-t-il.
LUNDI 11 JUILLET, FÉRIÉ
Notre législation dispose que si une fête religieuse telle que la Tabaski ou la Korité coïncide avec un dimanche, le lundi d’après est férié.
« Notre législation dispose que si une fête religieuse telle que la Tabaski ou la Korité coïncide avec un dimanche, le lundi d’après est férié. En conséquence le lundi 11/7/2022 est férié ». C’est le ministre du Travail, du Dialogue social et des Relations avec les Institutions, Samba Sy qui répondait ainsi à une interpellation de Emedia sur cet état de fait.