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21 juin 2025
JANG DU WESS, L'ÉCOLE DE LA DEUXIÈME CHANCE
Il n’est jamais trop tard pour retourner sur les bancs de l’école. C’est ce qu’essaie de montrer le programme « Jang du wess », en cours à Sacré-Cœur 2, au niveau du Centre d’appui à l’initiative féminine
Il n’est jamais trop tard pour retourner sur les bancs de l’école. C’est ce qu’essaie de montrer le programme « Jang du wess », en cours à Sacré-Cœur 2, au niveau du Centre d’appui à l’initiative féminine. Celui-ci est destiné à ceux qui veulent savoir lire et écrire dans la langue de Molière.
Un tableau noir, des tables blanches et un maître qui donne des instructions à des apprenants. Cette scène a tout l’air d’une salle de classe normale avec un cours classique. Mais, elle tient sa singularité des profils de ses apprenants. Ce sont, entre autres, des commerçants, des femmes de ménage ou encore des tailleurs qui ont décidé de venir apprendre le français. Ils se rendent, chaque jour, au Centre d’appui à l’initiative féminine (Caif), situé à Sacré-Cœur 2, pour suivre des cours du soir. Ces apprenants qui sortent un peu de l’ordinaire veulent ainsi faire table rase du passé et écrire un nouvel avenir en sachant lire et écrire en français. Un outil devenu indispensable pour la bonne marche de leurs activités respectives.
Trouvés dans une salle, jeudi dernier, les apprenants en sont à leur quatrième cours du soir. La concentration est à son maximum. Ils sont au nombre de sept et suivent avec attention l’enseignant. Le maître commence d’abord par une séance de révision en écriture. « Écrivez le mot pipe », ordonne-t-il. Après quelques minutes, les apprenants lèvent les ardoises pour montrer le résultat. Il invite ensuite trois apprenants à venir au tableau pour reproduire les lettres déjà apprises. La séance se termine par l’apprentissage des lettres « n » et « m ».
Khady, Sally Diatta et Vieux Cissokho n’ont pas fait les bancs. Le programme «Jang du wess » s’est révélé être une chance pour eux d’apprendre les bases de la langue française. Ils ont donc décidé de payer mensuellement 15 000 FCfa pendant trois mois de formation avec fournitures et manuels inclus. Khady est commerçante. Âgée d’une cinquantaine d’années, elle a décidé de venir suivre ces cours du soir pour être plus autonome. « C’est contraignant de ne savoir ni lire ni écrire », avoue-t-elle. Cette dernière estime qu’il est primordial de savoir lire et écrire pour pouvoir être indépendant. La commerçante participe à ces séances depuis une semaine. C’est aussi le cas de Sally Diatta et Vieux Cissokho. Ils sont tous âgés de 23 ans. Pour eux, ce programme est une chance pour se rattraper et écrire une nouvelle page dans leur vécu. « J’ai vu ce programme comme une aubaine, car je suis passé à côté de certaines opportunités à cause de mon incapacité à savoir lire et écrire », explique Vieux Cissokho. Le jeune tailleur juge l’apprentissage de la langue française « indispensable » surtout à l’ère du numérique.
Couturier, commerçant, ménagère…
Sally Diatta y voit aussi un moyen d’entrer dans l’univers de la connaissance à l’image des jeunes de son âge. Ménagère de son état, elle espère pouvoir combler ses lacunes durant ces trois mois de formation. « J’ai arrêté mes études en classe de CM2 et ces cours sont une seconde chance pour moi », estime aussi M. Mbaye, un couturier de formation qui s’est inscrit dans ce centre. Il veut rectifier le tir et saisir d’autres opportunités.
Lancé en 2018, le programme « Jang du wess » est né d’un constat. « Nous sommes dans le secteur de la formation professionnelle. Et dans ce milieu, le niveau le plus accessible est le Certificat d’aptitude professionnelle (Cap) qui équivaut au Bfem. Il est donc nécessaire de savoir lire et écrire. Cela exclut 50 % de la population », fait savoir Insa Dramé, Directeur du Centre d’appui à l’initiative féminine. Pour aider les analphabètes à pouvoir lire et écrire, le Caif a décidé d’initier ce programme dénommé « Jang du wess ». Le programme compte, en moyenne, une vingtaine d’apprenants par session, informe M. Dramé. À terme, il s’agit de lutter contre l’analphabétisme et d’aider les personnes adultes à acquérir des connaissances dans la langue française. « Nous avons constaté qu’il y a des personnes qui sont à des niveaux de responsabilité et qui ont envie de savoir lire et écrire pour diverses raisons », indique le Directeur du Caif. Ce programme est en phase d’initiation, dit-il. À l’issue de ces trois mois, des attestations de suivi de formation sont délivrées aux apprenants.
FOUNDIOUGNE, LA FIN DE 60 ANS DE DÉSENCLAVEMENT
Après 48 mois de travaux, le pont à péage de Foundiougne sera mis en service gratuitement du 16 janvier au 1er février prochain. Une infrastructure qui vient soulager les habitants de la zone
Après 48 mois de travaux, le pont à péage de Foundiougne sera mis en service gratuitement du 16 janvier au 1er février prochains. Une infrastructure qui vient soulager les habitants de la zone, car depuis plus de 60 ans, Foundiougne était coupée du reste du Sénégal.
Bonne nouvelle pour les populations de Foundiougne après plusieurs années d’attente. Le pont de la localité sera ouvert à la circulation à partir du 16 janvier. Une période de gratuité est prévue jusqu’au 1er février prochains. Une infrastructure qui vient soulager les habitants de la zone, car depuis plus de 60 ans, Foundiougne était coupée du reste du Sénégal. Les populations traversaient à l’aide du bac, qui tombait souvent en panne, ou des pirogues. Durant 48 mois, plus de 900 personnes ont travaillés, nuit et jour, pour la réalisation de ce joyau, selon Ibrahima Pouye, ingénieur des travaux publics chargé de projets à l’Agence des travaux routiers et de gestion des routes (Ageroute). Lors de sa dernière visite, au mois de décembre, le Ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Faye, avait annoncé sa mise en service pour le 20 décembre. Le pont permettra d’effectuer le trajet Dakar-Banjul en trois heures de route. Un gain de temps qui va permettre de désenclaver Foundiougne et ses environs. Initialement, le pont de Foundiougne devait mesurer 1295 mètres, mais la dimension finale est de 1600 mètres pour 28 mètres de hauteur. Le coût de cette infrastructure, financée par Eximbank of China, est évalué à 41.408.340.862 FCfa.
Les travailleurs en fin de contrat réclament leurs indemnités, l’entreprise botte en touche
Après plus de trois ans de contrat avec l’entreprise Keur Cheikh Momar, sous-traitant de l’entreprise chinoise qui a gagné le marché pour la construction du pont de Foundiougne, les travailleurs en fin de contrat réclament leurs indemnités. Ils menacent de porter plainte. « Nous avions un contrat avec l’entreprise Keur Cheikh Momar, sous-traitant de l’entreprise chinoise qui a gagné le marché. Notre contrat a pris fin le 31 décembre dernier. L’entreprise refuse de nous payer nos indemnités de fin de contrat comme le stipule le Code du travail. Nous réclamons notre dû qui est de 7 % du salaire. Nous irons devant les tribunaux pour renter dans nos fonds », a déclaré, en Conférence de presse, Ousmane Bâ, l’un des travailleurs. En plus de cela, ces derniers réclament plus de cinq millions à l’entreprise pour des cotisations à l’Ipres. Devant ces accusations, le Directeur des Ressources humaines de l’entreprise Keur Cheikh Momar, El Tamsir Niass, souligne que la boîte ne leur doit rien et que toutes leurs indemnités ont été versées à l’Ipres.
L'INVINCIBLE ALGÉRIE ET BELMADI SOUS PRESSION
Piégée par la modeste Sierra Leone (0-0), la détentrice de la Coupe d'Afrique des nations, est attendue au rebond contre la Guinée équatoriale, dimanche (20h00) à Douala
Piégée par la modeste Sierra Leone (0-0), l'Algérie, détentrice de la Coupe d'Afrique des nations, est attendue au rebond contre la Guinée équatoriale, dimanche (20h00) à Douala, mais Djamel Belmadi et ses "Invincibles" ne craignent pas la pression.
"La pression du compétiteur, on l'assume", lance le sélectionneur, se disant "tourné vers un succès sur cette deuxième rencontre, qui s'annonce tout aussi difficile que la première".
Inoffensive lors du premier match, malgré son armada commandée par Riyad Mahrez (0-0 face à la Sierra Leone), l'Algérie s'est mise "tout de suite dans une difficulté à laquelle on aurait pu échapper", regrette Belmadi.
Mais le sélectionneur veut que son équipe s'appuie sur ses certitudes.Contre la Sierra Leone, "on a des statistiques de favori", insiste-t-il.
Et l'Algérie poursuit un objectif supplémentaire, qui doit la porter.Avec une série en cours de 35 matches d'invincibilité, "on se rapproche du record mondial détenu par l'Italie, qui est de 37 matches", rappelle-t-il.
Sauf grosse surprise contre la Guinée équatoriale, les Verts tenteront d'égaler la "Nazionale" contre la Côte d'Ivoire, au troisième match de groupe, puis de la devancer en 8e de finale.
Cette série "démontre une constance, trois années invaincus, c'est une bonne chose pour l'histoire du foot algérien de voir notre drapeau si haut, mais ce n'est pas une chose à laquelle on pense avant chaque match", insiste Belmadi.
- Belmadi assure le spectacle -
Ce record en vue, "ça ne nous met pas une pression, assure Youcef Atal, au contraire, ça nous donne une motivation supplémentaire".
"Si un match nul devient pour nous un échec, tant mieux, ça veut dire qu'on est devenu forts", note encore Belmadi.
Le patron des champions d'Afrique défend aussi ses attaquants, sous les critiques, admettant "leur demander beaucoup", car il veut qu'ils "empêchent les premières relances faciles, de presser".
"Ça prend de l'énergie, admet-il, il peuvent perdre un peu de lucidité, c'est peut-être un peu de ma faute."
Mais si les "Fennecs" "continuent de marquer des buts et que mon attaquant de pointe (Islam Slimani, NDLR) ne marque pas, mais qu'il fait le travail que je lui demande, je sais que lui ne sera pas pleinement satisfait, mais moi je serai satisfait.Le plus important c'est qu'on marque des buts".
Bref, Belmadi assure toujours le spectacle médiatique, dans une conférence de presse d'avant-match qui a duré presque une heure, mêlant français et arabe, souvent au milieu de la même phrase.
Après l'échec contre la Sierra Leone, il a ferraillé avec un journaliste pour une question autour des conditions de jeu, à propos de la chaleur à 14h00 et de l'humidité.
"Je n'ai pas insisté, j'ai dit qu'il fallait faire avec", a lancé Belmadi, rappelant que quitte à faire des comparaisons, "à cette période de l'année il fait très froid en Algérie".
"Vous êtes journaliste, pas météorologue", a-t-il conclu en faisant rire la salle.
Cette forte personnalité a aussi expliqué que "des fois les mots dépassent ma pensée" quand il fait des reproches à ses joueurs, "mais ils savent que je les aime".
Belmadi a moins fait le show samedi qu'après le match nul face à la Sierra Leone, même s'il a fait sourire la salle encore en saluant un journaliste capable de lui traduire une question en espagnol.
Mais si l'invincibilité dure, on reverra Belmadi sur scène...
AFFAIBLIR LE MALI, C’EST FAVORISER LE TERRORISME
Le coordonnateur général du Forum civil, section sénégalaise de Transparency international, Birahim Seck, a mis en garde samedi contre les risques d’un affaiblissement du Mali
Le coordonnateur général du Forum civil, section sénégalaise de Transparency international, Birahim Seck, a mis en garde samedi contre les risques d’un affaiblissement du Mali, qui selon lui favoriserait le terrorisme.
’’Affaiblir le Mali, c’est favoriser le terrorisme, c’est faire sauter un verrou qui pourrait permettre à ces terroristes d’entrer dans d’autres pays limitrophes’’, a-t-il averti, en marge d’un atelier national sur les réformes fiscales justes et la mobilisation des ressources domestiques au Sénégal.
’’La position du Forum civil a été assez claire, on ne peut plus accepter qu’il y ait des sanctions d’une autre époque. Le Forum civil n’est pas d’accord avec ces formes de sanction, surtout pour des pays qui sont limitrophes’’, a martelé Birahim Seck.
Dimanche dernier, les chefs d’Etat de la CEDEAO, réunis à Accra, au Ghana, ont pris la décision de fermer les frontières avec le Mali au sein de l’espace sous-régional. Ils ont aussi annoncé la suspension des échanges commerciaux autres que les produits de première nécessité.
L’organisation sous-régionale a également décidé de couper ses aides financières et de geler les avoirs du Mali à la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Ces sanctions font suite à la décision de la junte de continuer à diriger le Mali pendant cinq années supplémentaires.
Birahim Seck rappelle que le Mali est un pays stratégique, bien qu’étant confronté à des difficultés, notamment d’ordre sécuritaire.
Mais quoiqu’étant ‘’contre les sanctions qui sont prononcées contre la population du Mali’’, le Forum Civil ‘’ne cautionne pas’’ pour autant des coups d’Etat. ‘’Maintenant, il faut dire que le peuple malien est souverain et c’est à lui de décider de son sort pour dire s’il est d’accord ou non avec la junte’’, a indiqué M. Seck.
La ’’position de principe’’ du Forum civil est qu’il faut un retour à l’ordre institutionnel’’, a-t-il précisé, appelant à ‘’analyser le contexte’’ du Mali.
’’Il faudrait que les chefs d’Etat fassent attention pour ne pas faire sauter le verrou du Mali qui pourrait permettre à d’autres d’étendre leurs tentacules dans les pays d’Afrique de l’Ouest. Et la fermeture des frontières aura une conséquence néfaste sur la mobilisation des ressources’’, a-t-il prévenu.
LES SUPER EAGLES CONFIRMENT
Le Nigeria a rejoint le Cameroun et le Maroc en 8e de finale de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) en remportant lui aussi une deuxième victoire, contre le Soudan (3-1), débordé samedi à Garoua
Les "Green Eagles" sont les maîtres du Nil.Ils confirment la très belle impression laissée contre l'Égypte (1-0) au premier match.
Samuel Chukwueze (3e), sur une remise de Joe Aribo, Taiwo Awoniyi (45e+1), avec un coup de billard sur un défenseur, et Moses Simon (46e), après un long appui sur Awoniyi, ont concrétisé la domination des Nigérians.
Les Aigles volaient trop haut pour les "Crocodiles", à qui il reste une sorte de derby du Nil contre l'Égypte pour espérer se qualifier.
Vainqueurs du trophée il y a très longtemps, en 1970, les Soudanais ont eu de mal à rivaliser avec le géant d'Afrique.
Ils ont réduit le score sur un penalty de Walieldin Khedr (70e), star d'Al-Hilal Omdurman, un des deux grands clubs de Khartoum avec El Merreikh.
La sanction est venue après une double faute d'Ola Aina sur Mustafa Karchom, une en marchant sur son pied, l'autre en tirant son maillot.Il a cependant fallu l'arbitrage vidéo pour les détecter.
Sinon, hormis une frappe de Yasin Ahmed (8e) de peu à côté, les Soudanais ont eu trop de peine à approcher le but de Maduka Okoye.
Le Nigeria aurait pu gagner plus largement encore s'il n'avait pas raté tant d'occasions, notamment par Simon, à un mètre de la ligne (44e).
Comme contre l’Égypte, le Nigeria a gaspillé et a baissé de régime au bout d'une heure de jeu.
C'est la petite faiblesse de l'équipe la plus emballante depuis le début de la Coupe d'Afrique.
En outre le Nigeria participe activement à la fête en remplissant dignement le stade de Garoua, près de sa frontière.Il a tout les atouts d'un favori.
VIDEO
LE MALI VERS L'ASPHYXIE
La fermeture des frontières de la Cédéao, l'embargo sur les échanges commerciaux ainsi que le gel des avoirs Maliens dans les banques ouest-africaines, menacent dangereusement l'économie d'un pays parmi les plus pauvres du monde
L’économiste malien Etienne Fakaba Sissoko analyse les conséquences des sanctions économiques décidées par la Cedeao. Pour lui, il y a un risque de panne de liquidités.
La fermeture des frontières de la Cédéao, l'embargo sur les échanges commerciaux (hors produits de première nécessité) et sur les transactions financières ainsi que le gel des avoirs maliens dans les banques ouest-africaines, menacent dangereusement l'économie d'un pays parmi les plus pauvres du monde, enclavé et éprouvé par les violences et la pandémie.
Mamadou Lamine Diawara, a exprimé son opposition à l’idée de la création d’une monnaie locale
LE MAIRE SORTANT OPPOSÉ À L’IDÉE D’UNE MONNAIE LOCALEMamadou Lamine Diawara, a exprimé son opposition à l’idée de la création d’une monnaie locale,
Djirédji (Sédhiou), 15 jan (APS) - Le maire sortant de Djirédji, Mamadou Lamine Diawara, a exprimé son opposition à l’idée de la création d’une monnaie locale, émise par le leader du parti les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF-Les Patriotes), Ousmane Sonko.
‘’Il ne faut pas qu’on fasse de l’amalgame. Sédhiou n’est pas Ziguinchor, et nous n’avons pas besoin de monnaie locale’’, a déclaré vendredi M. Diawara, candidat à sa propre succession à la mairie de Djirédji.
S’exprimant lors d’une caravane à l’occasion de laquelle il est allé à la rencontre des électeurs du Boudié et du Diassing, il a présenté son bilan et demandé aux électeurs de voter pour lui, de manière à lui permettre de poursuivre son oeuvre.
Il a présenté un bilan satisfaisant de son action à la tête de la mairie de Djirédji, soulignant que la localité a connu un ‘’réel changement’’ dans les différents secteurs de développement.
Il a cité parmi ses réalisations l’électrification rurale, la création des fermes agricoles rurales, le renforcement du système éducatif et du plateau médical.
Il a aussi mis en avant l’autonomisation des femmes et des jeunes, matérialisée par la tenue d’une série de formations et le financement d’activités génératrices de revenus pour relever l’économie locale.
Sur le plan de l’hydraulique, le raccordement au réseau d’eau potable constitue une avancée majeure, a-t-il magnifié. Il a signalé que la plupart des villages ont désormais accès à l’eau potable.
‘’Aujourd’hui, notre commune est bien partie sur le plan du développement économique et social’’, a quant à lui souligné Elhadj Abdoulaye Souané, directeur de campagne de la coalition Benno Bokk Yaakaar à Djirédji.
Il a annoncé que le prochain mandat du maire sortant sera celui des jeunes et des femmes. Les actions de développement vont être démultipliées, surtout dans l’agriculture, la pêche et la transformation des produits locaux.LE MAIRE SORTANT OPPOSÉ À L’IDÉE D’UNE MONNAIE LOCALE
Mamadou Lamine Diawara, a exprimé son opposition à l’idée de la création d’une monnaie locale
LE MAIRE SORTANT OPPOSÉ À L’IDÉE D’UNE MONNAIE LOCALEMamadou Lamine Diawara, a exprimé son opposition à l’idée de la création d’une monnaie locale,
Djirédji (Sédhiou), 15 jan (APS) - Le maire sortant de Djirédji, Mamadou Lamine Diawara, a exprimé son opposition à l’idée de la création d’une monnaie locale, émise par le leader du parti les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF-Les Patriotes), Ousmane Sonko.
‘’Il ne faut pas qu’on fasse de l’amalgame. Sédhiou n’est pas Ziguinchor, et nous n’avons pas besoin de monnaie locale’’, a déclaré vendredi M. Diawara, candidat à sa propre succession à la mairie de Djirédji.
S’exprimant lors d’une caravane à l’occasion de laquelle il est allé à la rencontre des électeurs du Boudié et du Diassing, il a présenté son bilan et demandé aux électeurs de voter pour lui, de manière à lui permettre de poursuivre son oeuvre.
Il a présenté un bilan satisfaisant de son action à la tête de la mairie de Djirédji, soulignant que la localité a connu un ‘’réel changement’’ dans les différents secteurs de développement.
Il a cité parmi ses réalisations l’électrification rurale, la création des fermes agricoles rurales, le renforcement du système éducatif et du plateau médical.
Il a aussi mis en avant l’autonomisation des femmes et des jeunes, matérialisée par la tenue d’une série de formations et le financement d’activités génératrices de revenus pour relever l’économie locale.
Sur le plan de l’hydraulique, le raccordement au réseau d’eau potable constitue une avancée majeure, a-t-il magnifié. Il a signalé que la plupart des villages ont désormais accès à l’eau potable.
‘’Aujourd’hui, notre commune est bien partie sur le plan du développement économique et social’’, a quant à lui souligné Elhadj Abdoulaye Souané, directeur de campagne de la coalition Benno Bokk Yaakaar à Djirédji.
Il a annoncé que le prochain mandat du maire sortant sera celui des jeunes et des femmes. Les actions de développement vont être démultipliées, surtout dans l’agriculture, la pêche et la transformation des produits locaux.LE MAIRE SORTANT OPPOSÉ À L’IDÉE D’UNE MONNAIE LOCALE
Mamadou Lamine Diawara, a exprimé son opposition à l’idée de la création d’une monnaie locale
LE MAIRE SORTANT OPPOSÉ À L’IDÉE D’UNE MONNAIE LOCALEMamadou Lamine Diawara, a exprimé son opposition à l’idée de la création d’une monnaie locale,
Djirédji (Sédhiou), 15 jan (APS) - Le maire sortant de Djirédji, Mamadou Lamine Diawara, a exprimé son opposition à l’idée de la création d’une monnaie locale, émise par le leader du parti les Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (PASTEF-Les Patriotes), Ousmane Sonko.
‘’Il ne faut pas qu’on fasse de l’amalgame. Sédhiou n’est pas Ziguinchor, et nous n’avons pas besoin de monnaie locale’’, a déclaré vendredi M. Diawara, candidat à sa propre succession à la mairie de Djirédji.
S’exprimant lors d’une caravane à l’occasion de laquelle il est allé à la rencontre des électeurs du Boudié et du Diassing, il a présenté son bilan et demandé aux électeurs de voter pour lui, de manière à lui permettre de poursuivre son oeuvre.
Il a présenté un bilan satisfaisant de son action à la tête de la mairie de Djirédji, soulignant que la localité a connu un ‘’réel changement’’ dans les différents secteurs de développement.
Il a cité parmi ses réalisations l’électrification rurale, la création des fermes agricoles rurales, le renforcement du système éducatif et du plateau médical.
Il a aussi mis en avant l’autonomisation des femmes et des jeunes, matérialisée par la tenue d’une série de formations et le financement d’activités génératrices de revenus pour relever l’économie locale.
Sur le plan de l’hydraulique, le raccordement au réseau d’eau potable constitue une avancée majeure, a-t-il magnifié. Il a signalé que la plupart des villages ont désormais accès à l’eau potable.
‘’Aujourd’hui, notre commune est bien partie sur le plan du développement économique et social’’, a quant à lui souligné Elhadj Abdoulaye Souané, directeur de campagne de la coalition Benno Bokk Yaakaar à Djirédji.
Il a annoncé que le prochain mandat du maire sortant sera celui des jeunes et des femmes. Les actions de développement vont être démultipliées, surtout dans l’agriculture, la pêche et la transformation des produits locaux.LE MAIRE SORTANT OPPOSÉ À L’IDÉE D’UNE MONNAIE LOCALE
LA FOLLE MESURE DU CAMEROUN POUR REMPLIR LES STADES
Alors que les tribunes sonnent creux depuis le début de la CAN, le gouvernement camerounais a décidé de suspendre l'école et les activités professionnelles à partir de 14 heures pour permettre au public d'aller au stade
RMC Sports |
AS avec Timothée Maymon |
Publication 15/01/2022
Les stades de la CAN vont-ils se garnir? Conscient que l’absence de public dans les stades entache la beauté de la Coupe d'Afrique des nations, le gouvernement camerounais vient de publier un communiqué suspendant l’école et les activités professionnelles à partir de 14 heures pour permettre aux Camerounais de se rendre dans les enceintes.
"Sur très hautes instructions de monsieur le président de la République, le Premier ministre, chef du gouvernement, informe la communauté nationale que, pendant les jours de la tenue des rencontres de la CAN les activités scolaires et académiques se tiendront de 7h30 à 13 heures, les activités professionnelles s'étaleront de 7h30 à 14 heures. Cette mesure s'appliquera dans le secteur public à compter du lundi 17 janvier jusqu'au 4 février", indique le communiqué.