Mécontents de leurs mauvaises conditions de travail, les employés du groupe de sécurité aéroportuaire américain, Securiport Sénégal ont, ce 23 février, haussé le ton pour dénoncer la discrimination raciale, professionnelle et salariale
Mécontents de leurs mauvaises conditions de travail, les employés du groupe de sécurité aéroportuaire américain, Securiport Sénégal ont, ce 23 février, haussé le ton pour dénoncer la discrimination raciale, professionnelle et salariale au sein de l’entreprise.
Affiliés au Syndicat des Personnels des Activités Aéronautiques du Sénégal (Synpaas) de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), les travailleurs ont alerté sur une bamboula estampillée du duo franco-belge Teddy Beaulieu et Luc Keppens, respectivement Directeur Technique et Directeur Général de Securiport qui, selon le syndicat, imposent des conditions de travail insoutenables aux agents sénégalais doublées d’affectation injustifiées avec des salaires insignifiants par rapport au chiffre d’affaires de la société estimé à 75 milliards FCFA par an.
Plusieurs points de revendications ont été évoqués par les travailleurs mentionnés dans une lettre de doléances adressée au directeur général de Securiport Sénégal, Luc Keppens.
Les employés ont notamment exigé de leur tutelle, le départ du directeur technique, Teddy Beaulieu en renseignant sur un éventuel mouvement d’humeur si aucune amélioration n’est apportée sur leurs conditions de travail. Le syndicat a, toutefois, invité le Chef de l’État, Macky Sall et son gouvernement à prendre leurs responsabilités pour éviter d’en arriver à un blocage des activités aéroportuaires.
Le Sympaas a saisi l’occasion pour insister sur la concrétisation des terrains de Daga Kholpa promis aux travailleurs de l’AIBD et l’actionnariat, mais aussi pour réclamer le départ du courtier de LAS (Limak-Aibd-Summa), gestionnaire de l'AIBD.
RECENSEMENT GENERAL DE LA POPULATION, LA SENSIBILISATION PRECONISEE
Abdou Diouf, adjoint du directeur général de l’Agence nationale de statistiques et de la démographie (ANSD), a souligné, mercredi,la nécessité d’accroître la sensibilisation des populations sur les enjeux de la cinquième édition du recensement général
Saint-Louis, 23 fev (APS) – Abdou Diouf, adjoint du directeur général de l’Agence nationale de statistiques et de la démographie (ANSD), a souligné, mercredi, la nécessité d’accroître la sensibilisation des populations sur les enjeux de la cinquième édition du recensement général de la population prévue en mars et juin 2023.
’’La clé du succès pour cette opération, c’est la sensibilisation’’, a-t-il indiqué lors d’un Comité régional de développement (CRD) consacré à la préparation de cette opération. Plus de 27000 agents recenseurs seront recrutés pour mener à bien cette opération.
M. Diouf a demandé aux populations de réserver un bon accueil aux agents enquêteurs afin de leur permettre de faire dans la quiétude leur travail destiné à fournir aux autorités, des statistiques fiables en vue de planifier les projets et programmes publics.
‘’Les agents recenseurs devront avoir un niveau d’études égal ou supérieur au Brevet’’, a précisé Samba Ndiaye, directeur des Statistiques et de la supervision à l’ANSD et superviseur du Comité de veille de ces recensements.
L’adjoint au gouverneur Modou Mamoune Diop est revenu sur les différentes étapes du recensement qui nécessite selon lui une certaine préparation pour informer tous les acteurs.
‘’Les agents recenseurs devront avoir un niveau d’études égal ou supérieur au Brevet’’, a précisé Samba Ndiaye, directeur des Statistiques et de la supervision à l’ANSD et superviseur du Comité de veille de ces recensements.
Il est revenu sur l’importance de la sensibilisation des populations qui ‘’devront réserver un bon accueil’’ aux agents recenseurs, avant de souhaiter l’implication des acteurs communautaires comme les Badienou Gox sur ce terrain.
‘’Le recensement est un exercice coûteux, mais nécessaire’’, selon M. Diop. Il rappelle la règlementation instituant ce type d’activité tous les dix ans ainsi que les engagements du Sénégal auprès des Nations Unies.
LES PRIX DES MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION ONT AUGMENTÉ DE 0, 6 % EN JANVIER
Les prix des matériaux de construction ont enregistré en janvier une hausse de 0, 6 % comparativement à leur niveau du mois précédent, a annoncé l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD).
Dakar, 23 fév (APS) – Les prix des matériaux de construction ont enregistré en janvier une hausse de 0, 6 % comparativement à leur niveau du mois précédent, a annoncé l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD).
Cette évolution résulte principalement de celle des prix des matériaux pour les travaux d’électricité, ainsi que ceux de plomberie et sanitaire, indique la structure dans une note flash consacrée à l’indice des prix des matériaux de construction.
Le document souligne que le renchérissement des matériaux de base et de menuiserie avait contribué à cette hausse des prix, alors qu’en variation annuelle, les coûts des matériaux de construction avaient progressé de 8, 6 % en janvier.
LE YEBBI, UN FARDEAU POUR LE PLAISIR DE LA BELLE-FAMILLE
Cette tradition visant à raffermir les liens entre la mariée et sa belle-famille est devenue une charge écrasante pour les mères des épouses
Le « yebbi » est une tradition visant à raffermir les liens entre la mariée et sa belle-famille couverte de cadeaux lors des mariages et baptêmes. Cependant, elle est devenue une charge écrasante pour les mères des épouses même si certaines en tirent un grand plaisir. Elles sont obligées de casquer fort pour « l’honneur » de leurs filles.
Le Sénégal a ses charmes et ses codes de convenance. Fatou Diop a célébré, il y a quelques mois, le mariage de sa fille aînée. Pour l’occasion, la quinquagénaire a cassé sa tirelire pour donner des cadeaux à la belle-famille de sa fille. Tissus, bijoux, fortes sommes d’argent, tout y est. On doit ravir la nouvelle famille de sa fille. Une nuit, en plein mois d’avril, dans l’un des deux pavillons dressés à l’occasion, une maman de trois filles a décaissé près de trois millions de FCfa pour combler l’assistance de cadeaux. « J’ai dû prendre les mises de mes deux tontines, soit une valeur de trois millions de FCfa, pour dilapider ça en une nuit », regrette-t-elle aujourd’hui.
Le « yebbi » est une tradition devenue un fardeau d’après Fatou Diop. La quinquagénaire explique que cette pratique avait pour but de solidifier les rapports de la mariée avec sa belle-famille. « C’est devenu difficile pour nous les mères, car nous perdons le même soir notre fille qui nous prêtait assistance dans les tâches ménagères et en même temps nous dépensons beaucoup d’argent pour lui assurer un bel avenir dans son ménage », crache-t-elle avec amertume. « Nous sommes obligées, ajoute-t-elle, de nous décarcasser pour cela, car, si nous ne le faisons pas, notre fille peut ne pas avoir un ménage épanoui ». Elle explique que la belle-fille peut même être victime de médisances de la part d’une belle-famille insatisfaite. « Il y a une sorte de concurrence qui se joue entre les mères. Chacune veut faire mieux que l’autre en donnant le maximum de cadeaux », dit-elle, peinée. Avec le temps, Fatou Diop juge que cette pratique est dévoyée, devenant un « fardeau social » pour les mères qui doivent penser à l’avenir de leurs filles.
Un « mal nécessaire »
« Si cela ne dépendait que de moi, cette pratique n’allait plus exister dans notre société », renchérit Khady Diakham d’un ton catégorique. Cette sexagénaire au corps frêle juge que le « yebbi » est une charge écrasante qui étouffe les mères même si parmi elles certaines y trouvent du plaisir. « Avant, la mère achetait juste quelques ustensiles de cuisine à sa fille et elle rejoignait tranquillement le domicile conjugal », se remémore-t-elle. Elle a eu à passer par cette « épreuve » pour le mariage de sa fille adoptive l’année dernière. Mais les 500.000 FCfa dépensées lors des épousailles lui ont laissé un goût amer. Elle en éprouve encore des remords. « En une nuit, tu flambes tout ce que tu as épargné durant des mois », dit-elle, le visage grave. La résidente de Grand Yoff travaillait dans un supermarché à Ngor et a dû piocher dans ses économies. « C’était difficile pour moi de me refaire une santé financière. Mais c’est une manière de fuir les qu’en-dira-t-on et autres humiliations », estime-telle, poussant un long soupir.
« J’ai empoché la mise de notre tontine, soit 400.000 FCfa, récupéré l’argent que me devaient des gens et reçu l’appui financier de quelques connaissances », énumère Fatou Diouf, en racontant comment elle a dilapidé ses sous lors du mariage de sa fille aînée. Agée de 67 ans, elle s’est débrouillée pour « honorer » sa fille. La commerçante avoue que c’est une « obligation » pour les mères d’agir ainsi devant la belle-famille de sa fille, un mal nécessaire.
Getzner, or, million…
« Je pense que cela contribue à raffermir les liens. C’est une pratique pavée de bonnes intentions. Elle fait partie de la téranga sénégalaise », pense Anta Ndiaye. Elle a eu à recevoir des présents lors des baptêmes de ses deux belles-filles. Des gestes fortement appréciés par cette mère de famille : « C’est une façon d’entrer dans les bonnes grâces de sa belle-famille en offrant des cadeaux à la belle-mère, au beau-père, aux beaux-frères, aux belles-sœurs et aux marraines ». Ces cadeaux l’ont émue. « Cela m’a beaucoup fait plaisir et j’étais très contente », se souvient-elle. Malgré ce bonheur, elle fustige certaines dérives rien que pour faire plaisir, au prix d’énormes sacrifices.
Magatte Ba a reçu beaucoup de cadeaux des mains de la mère de sa bru qui a eu un enfant récemment. Cela remonte à deux mois, mais elle se souvient encore des présents et de la joie immense qu’elle a éprouvée. « Elle m’a donné cinq getzner, cinq tissus brodés, cinq tissus wax, cinq thioup, des bijoux en or et un million de FCfa », énumère l’ancienne secrétaire à la Direction de l’automatisation des fichiers. La femme de 70 ans a beaucoup apprécié le geste. « J’étais agréablement surprise par ce geste », dit-elle, le sourire aux lèvres.
La contre-dot
Pour le sociologue Souleymane Lô, le « yebbi » ou la contre-dot est une épreuve par laquelle la famille de la mariée doit nécessairement passer pour rétablir l’équilibre des relations dominant-dominé, donateur-receveur dans cette entreprise sociale qu’est le mariage.
Le « yebbi », selon le sociologue Souleymane Lô, peut être compris comme une réponse à la dot qui est censée, au Sénégal, être donnée par le mari à la belle-famille. Il parle même d’une « contre-dot » à la fois libre et obligatoire. « La dot, par son caractère obligatoire en nature comme en espèce, garde perpétuellement enfouie dans la mémoire de la famille qui la reçoit la personnalité de la famille qui la donne », estime-t-il. Ce qui constitue, d’après le chercheur, une forme de domination voire une prééminence psychologique et culturelle de l’une sur l’autre, laquelle, désormais, se retrouve dans l’obligation de rendre après avoir reçu. « Sous ce rapport, le « yebbi » ou la contre-dot est une épreuve par laquelle la famille de la mariée doit nécessairement passer pour rétablir l’équilibre des relations dominant-dominé, donateur-receveur dans cette entreprise sociale qu’est le mariage », soutient M. Lô.
Ce dernier souligne que c’est par le « yebbi » qu’il est conféré à la mariée le statut social dont elle est censée jouir au sein de sa belle-famille. « C’est le prix à payer pour qu’elle ait droit d’être citée avec le respect et la dignité que les autres (belles-sœurs, belles-mères, beaux-frères et beaux-pères) lui devront nonobstant sa conduite, fût-elle des meilleures au sein d’eux », dit-il.
« Neutraliser » la belle-famille.
Cette contre-dot, autrement dit « Téranga », à l’image de la dot, est, d’après lui, l’arme avec laquelle la famille de la mariée compte neutraliser la belle-famille en la condamnant à couvrir ses yeux, ses oreilles et sa bouche au prix du bonheur de la mariée et de son accomplissement. « Ce fait est non seulement un gage de réussite du mariage de la fille mais une soupape de sécurité pour sa famille », soutient-il.
Le sociologue Souleymane Lô affirme qu’il n’y a pas de dérives coupables, car le « yebbi » est à la hauteur de la dot. « Plus la dot est importante en nature comme en espèce, plus l’est obligatoirement la contre-dot », estime-t-il. Le « yebbi » est, selon lui, l’effet de sa cause, la dot. Mieux, puisqu’elle est, elle aussi, appelée à garder dans la mémoire de la belle famille la personnalité de la famille de la mariée, cette dernière a naturellement tendance à avoir, par cette occasion, le dessus sur l’autre en marquant son territoire et en exprimant la grandeur de la famille digne d’avoir acté le mariage. « Dans ce rapport, la « téranga » constitue une forme de domination vis-à-vis de l’autre qui, par l’importance de la dot, avait déjà pris le dessus. Alors, relever un défi en vaut toujours la chandelle pour le parieur, notamment la famille de la mariée ».
LES LEGISLATIVES 2022, ANTOINE DIOME FACE AUX PARTIS POLITIQUES VENDREDI
Dans le cadre des avis consultatifs, en vue de la fixation du montant de la caution pour les élections législatives du 31 juillet 2022 et en application des dispositions des articles L.175 et R.80 du Code électoral, une rencontre se tiendra le vendredi 25
Les élections législatives seront organisées au Sénégal, le 31 juillet 2022. Les autorités en charge de ces scrutins sont dans les préparatifs. Et, le ministre de l’Intérieur, Antoine Félix Diome va rencontrer les partis politiques, ce vendredi, pour fixer la caution.
«Dans le cadre des avis consultatifs, en vue de la fixation du montant de la caution pour les élections législatives du 31 juillet 2022 et en application des dispositions des articles L.175 et R.80 du Code électoral, une rencontre se tiendra le vendredi 25 février 2022», informe un communiqué du ministère de l’Intérieur.
«Afin d’observer les mesures-barrières liées à la pandémie du coronavirus, chaque pôle ou coalition de partis politiques (majorité, opposition et non-aligné) aura trois (3) représentants. Les partis n’appartenant à aucun de ces pôles, de même que les entités regroupant des personnes indépendantes, sont priés de se faire représenter par une seule personne», ajoute le document.
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LA FRANCE AVAIT UN PLAN POUR RENVERSER LE GOUVERNEMENT MALIEN
Le Premier ministre malien Choguel Maïga a accordé un entretien exclusif à France 24 et RFI depuis Bamako. Selon lui, de "hautes autorités françaises" ont, dès 2012, tenté de diviser le Mali en alimentant les velléités autonomistes du nord du pays
Le Premier ministre malien Choguel Maïga a accordé un entretien exclusif à France 24 et RFI depuis Bamako. Selon lui, de "hautes autorités françaises" ont, dès 2012, tenté de diviser le Mali en alimentant les velléités autonomistes du nord du pays. Le Premier ministre estime "très clair" que Paris, par ses "manœuvres", et son "discours" qualifiant la junte au pouvoir d'illégitime, "préparait un plan" pour la renverser.
Le chef du gouvernement explique que les militaires maliens ont déjà réoccupé les bases libérées par les Français ces dernières semaines. "Nous nous sommes réorganisées", assure le Premier ministre. Interrogé à propos du groupe russe Wagner, il précise que le Mali travaille "avec des coopérants russes", dans le cadre d'un contrat signé avec Moscou. "Le mot Wagner, ce sont les Français qui le disent. Nous, on ne connaît pas de Wagner", affirme-t-il.
Choguel Maïga revendique plusieurs victoires contre les jihadistes sur le terrain : "On est allés au cœur du terrorisme pour détruire les bases et nous gagnons du terrain."
par Oumou Wane
QUAND MACKY SALL NOUS RASSEMBLE
Tous nos présidents aiment ou ont aimé le Sénégal passionnément et mettent tout leur cœur et leur force à son service, à notre service. C’est pourquoi il est émouvant de leur rendre hommage
Je pèse mes mots : ce discours du président de la République à l’occasion de l’inauguration du stade du Sénégal, désormais le stade Abdoulaye Wade était historique et infiniment émouvant à entendre pour l’enfant de la République que je suis.
D’aucuns pourront continuer à polémiquer sur le mérite du pape du Sopi à être honoré de la sorte, ce ne seront que vaines querelles d’ignorance et rancœurs d’arrière-garde.
Macky Sall l’a si bien dit, personne ne mérite plus que Wade le nom de ce stade. D’abord pour son parcours intellectuel, ensuite pour son parcours politique et enfin parce que simplement il a été président d’une République qui s’appelle le Sénégal. Mais ce qu’il ne nous dit pas, c’est qu’il aime profondément Wade, qu’il considère comme un grand Sénégalais et comme son deuxième père.
En tout cas, ce fut un bel événement que cette inauguration, sportif, mais aussi diplomatique et politique. Un rendez-vous qui nous rappelait l'importance de l'unité et de la paix dans notre pays. Hier soir l’émotion était forte, car je crois que tous les Sénégalais regardaient dans la même direction et croyaient en la sincérité de l’acte de leur président.
D’ailleurs, cet acte s’inscrit dans une continuité de tradition républicaine comme une « marque de reconnaissance », dans la lignée du stade Léopold-Sédar-Senghor ou encore du Centre international de conférence Abdou Diouf.
Tous nos présidents aiment ou ont aimé le Sénégal passionnément et mettent tout leur cœur et leur force à son service, à notre service. C’est pourquoi il est émouvant de leur rendre hommage. Si notre président Macky Sall a décidé d’honorer son prédécesseur et mentor en politique, de surcroit de son vivant, c’est avant tout une vraie reconnaissance d’un fils à son père, à sa personne qui en plus de nous céder un héritage politique inestimable, laissera désormais une trace architecturale indélébile dans notre histoire. C’est un symbole et une consécration, qui plus est, juste après la victoire des Lions à la coupe d’Afrique des Nations.
D’ailleurs, c’est encore Sadio Mané qui nous a fait vibrer hier soir.
Après avoir remporté la Can pour la première fois de l’histoire du Sénégal, l’enfant de Bambali a fait un beau geste pour apporter sa participation à l’inauguration du stade Abdoulaye Wade de Diamniadio. Il a annoncé par la voix du président de la République et sous les ovations du public, offrir son Ballon d’Or au musée Pape Bouba Diop.
C’était donc un grand soir de fête et un grand jour dans l’histoire du football sénégalais que ce mardi 22/02/2022, qui marqua l’inauguration du stade Abdoulaye Wade. Ce stade servira désormais d’enceinte à tous les matchs de l’équipe nationale du Sénégal. Alors quel plus beau lieu pour réaliser le souhait d’Abdoulaye Wade qui appelait cette semaine tous les Sénégalais à unir leurs forces pour la réalisation d’autres rêves encore plus grands au profit exclusif du Sénégal et de l'Afrique.
Longue vie à Abdoulaye Wade et merci à Macky Sall pour avoir honoré notre cher pater !